Après avoir passé la journée sur la plage naturiste de St Germain, il y eut un orage et je n’ai pas pu poursuivre mes séances de bronzage intégral, à mon grand regret.
Heureusement, il y avait une broîte, dont l’ambiance très ″chaude″ était réputée aux alentours, et Marion, ma copine, avait appris qu’ils organisaient une soirée ″Miss sexy″ ce soir-là. Excitée par l’idée, nous avons décidé d’y aller toutes les deux.
Pour l’occasion, je décidais de mettre une robe, au décolleté parfaitement indécent. Elle se portait normalement avec un fond opaque en dessous mais j’avais préféré m’en passer et oubliais le soutien-gorge. Une vrai salope quoi ! Sans que nous nous soyons consultées, Marion avait opté pour une mini robe, tout aussi décolletée. A croire que nous allions faire un concours de salopes. Nous craignions d’être un trop provocantes mais, lorsque nous sommes arrivées dans la broîte, vers minuit, nous avons vu d’autres filles habillées aussi sexy et ce, sans parler de la fille du vestiaire. Nous sommes rentrées dans la salle principale, et le barman nous a installées à une petite table, entre la piste de danse et une grande estrade. Il nous a précisé que nous pouvions consommer gratuitement, à volonté, si nous acceptions de participer à un concours de t-shirts mouillés, et que les finalistes gagnaient l’entrée gratuite pendant tout l’été. Sans nous poser plus de questions, nous avons accepté toutes les deux, et il a noté nos prénoms en nous apportant le cocktail de la maison. C’était délicieux, mais plutôt traitre et aphrodisiaque ! Tout en sirotant nos cocktails, nous regardions quelques danseurs et danseuses qui évoluaient sur la piste. Puis, un animateur, monta sur la scène, et annonça que le concours de t-shirts mouillés allait bientôt commencer. Il invita les participantes à aller se préparer, dans une pièce derrière l’estrade. Nous étions une dizaine de filles. On nous remit un tee-shirt qui nous arrivait au ras des fesses et nous étions nues dessous. Nous nous sommes toutes déshabillées sous les yeux gourmands de l’animateur et avons enfilé le fin tee-shirt en coton. Une fois sur scène, sous les sifflets des admirateurs, le maître de soirée nous demanda de nous présenter. Chacune à notre tour, l’animateur nous arrosait copieusement, et le t-shirt devenait transparent. Certaines candidates étaient trop timorées. Marion eu du succès avec sa danse très suggestive. A mon tour, je m’amusais à jouer la sainte ni-touche en minaudant un peu pour faire la ″petite fille″. Mais je finissais en soulevant mon t-shirt, libérant mes gros seins. J’eus le droit à un tonnerre d’applaudissement. Nous sommes restés alors 5 filles en lice. Il fallait nous départager. Je me demandais ce que nous réservait l’animateur pour cette finale. Le présentateur arrosa à nouveau chaque candidate. La première à se présenter, arracha d’entrée son t-shirt. Marion l’imita peu de temps après. Deux filles arrivèrent ensuite ensemble sur scène, ce que le public apprécia d’abord, mais leur prestation, très timide, déçut ensuite. Quand vint mon tour, je relevai mon t-shirt pour me faire arroser, et dévoilait ainsi mon minou au public. Qui accueilli ma prestation sous un des hués et sifflement suivi d’exclamations obscènes. Je sentais l’excitation monter dans le bas de mon ventre. Je déchirai le tee-shirt à mon tour et je demandai au présentateur de m’arroser encore. Finalement, nous étions 3 filles retenues pour une dernière épreuve : Audrey, Marion et moi. Audrey se présenta en premier, et n’hésita pas à se débarrasser de son slip. Suivit Marion. Je savais qu’elle aimait s’exhiber autant que moi et je me demandais bien qu’elle serait sa folie. Ma salope de copine se mit sans aucune pudeur à se caresser sous des cris d’encouragement. Je me devais de faire mieux. Je me mis à danser nue sous les bravos. Je m’agenouillai au bord de l’estrade, offrant une vue en gros plan de mes fesses et de ma chatte trempée. Les spectateurs étaient en délire, et le présentateur proposa de nous gouiner toutes les 3. Là c’était trop pour Audrey qui quittât le jeu. Il ne restait que Marion et moi. Pour nous départager, cette proposition fut accueillie par un concert de quolibets. Avec Marion, nous avons improvisé un duo très chaud. Je me suis allongée entre ses jambes, et j’ai commencé à lécher son clito déjà dressé. Nous nous sommes retrouvées en 69 et pris dans notre jeu, nous ne nous occupions plus du public tout ç notre jouissance. C’était fabuleux, je sentais le plaisir monter en moi, mais le présentateur interrompit notre exhibition et fit voter le public. Il fut impossible de nous départager, et nous avons été déclarées gagnantes, ex-æquo. Nous sommes allées nous rhabiller. Nous sommes retournées dans la salle, sous le regard admiratif des hommes et mais aussi de certaines filles. Le barman nous rapporta deux autres cocktails. Suite à notre spectacle, La tenue de plusieurs femmes devenait plus provocante et des mâles s’occupaient d’elles. Je décidai de retourner danser. La nudité sous ma robe était très provocatrice et évidemment les hommes se pressaient prés de moi. Très vite, je me suis fait draguer notamment par un mec assez séduisant et j’avais vraiment envie de me faire baiser. Pendant que nous dansions, il n’hésitait pas à me caresser, et à soulever ma robe. Je le laissais explorer mon corps. Marion me prit à part, et me glissa à l’oreille :
« Ce type a une réputation de bête de sexe. Je connais des copines qui ont couché avec lui, et elles racontent qu’il les a fait jouir comme des folles. » Je retournai danser avec galant, encore plus excitée. Le présentateur annonçât : « Michèle notre gagnante de ce soir va nous montrer ce qu’elle sait faire avec son danseur ! » Surprise, je regardais le type qui était avec moi et je m’apercevais que je ne connaissais même pas son nom. Il me sourit et c’est lui qui m’entrainât sur scène. Stupéfaite, je le vis sortir sa belle queue déjà bandée. C’était un coup monté et il était de connivence avec le présentateur. Fallait que ne passe pas pour une gourde. J’empoignais cette belle queue et me mis à le masturber. Puis sous les encouragement du public et de Marion, ni tenant plus, je m’agenouillais et me mis à le sucer avec gourmandise. Il avait un goût vraiment délicieux. Et le présentateur lança dans le micro : « Et bien, je vois que Michèle veut honorer son titre de ″fille la plus salope de la soirée ! » Tout autour de nous, les filles devenaient hystériques. Un homme du public nous rejoignit. Il était déjà nu, et en un instant je me retrouvais avec ces deux hommes entrain de me caresser. Les doigts de l’un fouillaient ma chatte trempée, tandis que l’autre me fourrait sa queue dans la bouche. Je gémissais de plaisir. Ils jouaient si bien avec mon clito. L’un des deux alors me pénétra. Autour de nous, un groupe de voyeurs s’était formé Je fixais la bite de mon fornicateur alors que je continuais à sucer mon deuxième mâle. Je perdais tout contrôle. Mes cris de plaisir couvraient presque la musique. J’avais connu un orgasme foudroyant. Celui que j’avais dans la bouche me gratifiât alors de sa liqueur que j’avalais avec délectation. Mais mon baiseur ne comptait pas en rester là. Il me fît mettre à 4 pattes. Je sentis sa queue explorer le sillon de mes fesses et forcer doucement mon anus. Je devenais vraiment la pute de la soirée.
Je poussai un cri, où se mélangeaient surprise et douleur. Mais l’excitation et certainement les cocktails aidant, je me laissais faire. Tandis que cet inconnu allait et venait de plus en plus vite dans mon petit trou, un autre sans me demander mon avis me mettait sa queue dans la bouche. Au bout de quelques minutes, un nouvel orgasme me submergea comme une lame de fond. Les deux hommes jouirent en même temps me remplissant le cul et la bouche de leurs spermes. En me relevant, chancelante, je vis que, la broîte de nuit c’était transformée en lupanar orgiaque. Alors que j’étais entrain de regarder cette orgie, un type me prit par la main et m’invita à venir sur lui. Je guidai son gland vers ma chatte et m’empalai sur sa verge. Dans cette position, mes jambes largement écartées ne cachaient rien de mon cul d’où s’écoulait un filet de sperme. C’était une invitation à une double pénétration. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’un deuxième homme y réponde. Très vite, mes deux partenaires accordèrent leurs coups de boutoirs. « Oh oui, allez-y, je sens bien vos bites au fond de moi ! » Une troisième queue se fraya un chemin entre mes lèvres. Je fus emportée, par un orgasmes. Je n’avais jamais connu ça. Le premier, l’homme qui me baisait la chatte jouit sur mon ventre, le maculant de sperme. L’homme que je suçais, déchaîné par cette vue, jouit à son tour dans ma bouche et sur mon visage. Presque aussitôt, je sentis la queue du troisiéme coulisser plus rapidement dans mon petit trou, et il gicla en moi. Quand il se retira, son foutre s’écoula lentement entre mes fesses. Je restai là, agenouillée, à bout de souffle. Etourdie par cette débauche, des hommes m’entourèrent aussitôt, pour que je les branle et que je les suce. Malgré ma fatigue, machinalement je m’occupais d’eux. En quelques minutes, je me retrouvais couverte de sperme. Totalement épuisée, je me laissai tomber sur la scène, à bout de souffle, mon corps nu ruisselant de sécrétions masculines. La broîte de nuit devait fermer et Marion m’apporta des lingettes pour m’essuyer. J’étais nue et ne retrouvais pas mes vêtements. Au vu de ses cernes et de son maquillage dévasté, Marion avait passé, elle aussi, une nuit mémorable. Marion approchât la voiture de la porte de la boite et je m’engouffrais nue à l’intérieur. Mais avant, le patron de la boite me lança une invitation. « Je crois que tu aimes particulièrement le sexe avec ta copine Si vous êtes libres, je passe vous chercher lundi après-midi, et je vous emmène dans un lieux fréquentée par des initiés. Comme des salopes qui n’en auraient pas pris assez, nous acceptions, en pensant que nous vivrions des expériences nouvelles.
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