Vivant à l’extérieur pour des études en technique sonore, je me cherche une nouvelle coiffeuse chemin passant, m’arrêtant dans un salon tout près de mon logis. Deux femmes en début quarantaine y travaillaient, Yolaine et Stéphanie. Yolaine la propriétaire du lieu, me donnant rendez-vous un vendredi après midi.
Elle devait mesurer environ 5 pieds 3, mère monoparentale de 2 enfants en début d’adolescence. Avait les cheveux châtains et les yeux bruns, avait un physique d’athlète étant une adepte du gym et de la course à pieds. Paraissait bien s’en être un super canon, avait une poitrine de grosseur bien moyenne sinon petite. Arriver le jour J, me lavant les cheveux, je trouvais qu’elle y prenait pas mal son temps dépassant de 5 bonnes minutes ce genre d’action usuel. Y allant même plutôt langoureusement, comme si étrangement elle me faisait l’amour. Une érection inévitable survenue, tentant de la cacher s’en apercevant je crois, suspectant le délais d’être l’objectif de mon malaise elle me dirigeant aussitôt vers la chaise pivotante. Les cheveux coupés, lui donnant 15 dollars prenant un autre rendez vous pour 1 mois et demi plus tard.
Au deuxième rendez vous, sa collègue semblait particulièrement enjouée s’en y aller pour autant avec exagération. Me lavant les cheveux le trop long délais évité cette fois ci. Entamant la coupe, devait aller au petit coin me laissant seul un moment. Revenant 5 minutes plus tard pour continuer ce qu’elle avait débuté. Passant sa main gauche devant mon visage (elle était gauchère), sentant une odeur de chatte et d’urine, ne s’ayant fort probablement pas lavé les mains après acte, un peu surpris car elle semblait être une femme propre et ordonnée. Lui donnant 15 dollars le travail accomplie prenant un autre rendez vous un lundi cette fois ci durant la mi session printanière nous donnant congé.
Arrivé au salon, j’étais seul avec elle en après midi, commençant à discuter de tout et de rien ayant un peu plus d’intimité qu’à l’habitude. Me demandant si je sortais dans les bars de tant en tant, ne m’ayant toujours pas vue dans un des trois bars de l’endroit. Très occupé point de vue étude, lui affirmant que peut-être vendredi je serai au bar du centre ville si elle c’était l’objectif de cette remarque. Rendu au bar vers 9 heures, Yolaine était là m’attendant m’assoyant à ses côtés. Elle était plutôt élégante, ses lèvres rougies, portant un chandail à manche court vert et une jupe noire. Un band jouait vers 11 heures, nous laissant amplement le temps de discuter, lui payant deux ou trois verre sur le lot. La dame était une adepte de cosmopolitan, moi de bière et de café cognac. Elle me donna son numéro en fin de soirée, me voyant le corps athlétique, pour me proposer de faire de la course à pieds ensemble le lendemain sachant déjà que je pouvais tenir la route.
L’appelant, me donnant son adresse qui était tout près de son lieu de travail, je vais à sa rencontre à pieds vivant à 10 minutes de marche de chez elle environ. Me suggérant une course en forêt, j’embarque dans sa voiture vers le lieu prévu. Un trajet de 15 kilomètres avec quelques haltes pour s’arrêter, me suggérant celle de mi-parcours. Une journée chaude, Yolaine en culotte courte bleue pâle et t-shirt blanc, elle était en forme mais moi je l’étais encore plus. Alors je suivais la cadence sans trop de problème, elle menant le tout. Elle sentait super bon puis-je ajouter. Discutant côte à côte, s’arrêtant à la halte prévue. Discutant pendant presque 45 minutes en s’abreuvant, reprenant l’entrainement, je crois qu’elle appréciait vraiment être en ma compagnie. Rendu à l’auto, me propose de passer chez elle vers 20 heures, étant seule à la maison ses enfants absents voulant continuer la conversation. Me faisant la remarque qu’elle avait beaucoup aimé faire la course avec moi, voulant répéter l’événement dans les semaines à venir.
Rendu à son domicile en soirée, je cogne et entre. Elle m’attendait habillée d’une robe moulante noire ultra sexy les lèvres rougies, venant m’embrasser avec fougue sur la bouche sans que je n’ai le temps de lui adresser la parole. Allez, baise moi. Je l’ai fourrer comme une chienne dans tous les recoins de la maison, elle hurlant de plaisir moi profitant du moment présent. Elle était fort probablement en manque voulant se satisfaire d’un jeune homme bien foutu (maintenant 29 ans – 5 pieds 6). Je l’ai fourré au moins 5 fois durant toute la fin de semaine, brisant puis-je ajouter une bibliothèque, puis quelques verres étant sur un comptoir tombant sur le sol. Une femme plutôt soumise, alors c’est moi qui faisant le gros du travail point de vue vas et viens. Elle me chevauchant dans son lit par contre, elle faisait super bien l’amour, et ses fellations étaient toujours bien appliquées avec justesse et douceur, comme si elle voulait me lancer un message de tendresse. Elle embrassait super bien et ses caresses étaient super agréable à subirent. Sa chatte était belle, l’intérieur rose délicat, le pubis taillé court, la goûtant avec hâte comme une rosée fraîche du matin. Elle gémissait sous mes coups de queues en levrettes s’agrippant à la couverte du lit ou bien sur une partie du divan se mordant les lèvres pour ne pas trop crier. Plutôt légère, elle aimait particulièrement se faire sauter à même les murs de sa maison dans des positions parfois audacieuses. Elle avait de beaux seins et de belles fesses fermes très agréables à toucher. Un très très bon coup au lit et celà sans équivoque, une femme ultra chaude et douce aussi. Endurante et en très grande forme physique, le plaisir parfait d’un jeune homme assouvi par une femme d’expérience.
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