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un imprévu au taf

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Bonjour,

il y a quelques semaines j’ai eu des soucis financier. Pour faire face, j’ai demandé une avance sur salaire, et à me faire payer quelques RTT. Je suis donc allé au service RH, en attendant qu’il n’y ait que Caroline dans le bureau (le bureau est partagé avec 3 autres personnes). Sans arrières pensées, juste que je ne voulais pas expliquer ma situation devant d’autres personnes.
Caroline est une femme d’une cinquantaine d’années, toujours habillée sexy. Brune à la peau mate, des petits seins (à mon grand regret), mais des longues jambes fines et un joli cul, qu’elle met souvent en valeur.

Ce jour-là il fait beau, elle porte une robe qui lui arrive mi-cuisse, et des talons. Je ne regrette pas qu’elle soit seule du coup…bien au contraire, je mate à la moindre occasion, essayant d’en découvrir un peu plus, peut-être même réussir à voir ce qu’elle porte dessous ?
Je lui explique rapidement ma situation pendant qu’elle est assise à son bureau. Je suis à côté d’elle, debout, mes yeux sur ses cuisses. Elle comprend rapidement, et se lève pour chercher les documents que j’ai à remplir….qui par chance sont dans un tiroir du bas. Lorsqu’elle se penche, jambes droites, pour récupérer les documents, je suis juste derrière elle, j’en profite pour me baisser un peu et tenter de voir si elle porte un string…mais on entend la porte et quelqu’un arrive dans le bureau.
Léger coup de stress (faudrait pas qu’on me voit en train de mater sous les jupes au bureau…), Caroline me donne les documents et m’explique comment les remplir et par qui les faire signer, avant de les lui rapporter.

J’y retourne un peu plus tard, le 1ier document rempli (celui pour l’avance sur salaire), les autres nécessitent une signature de mon responsable, donc j’irai plus tard.
Caroline est seule de nouveau. Je lui donne le document et on commence à discuter.
– Je m’en occupe aujourd’hui, le virement sera fait avant la fin de la semaine, me dit-elle.
– Parfait, merci. Très efficace !
– Oh il faut, c’est un sujet sensible.
Je remarque que les fenêtres sont fermées, et que la clim ne tourne pas, malgré la chaleur.
– Tu meurs pas de chaud ici, avec le temps qu’il fait on dirait qu’il y a le chauffage ? (j’ai pas trouvé mieux sur le moment)
– Je fais même plus attention ! Il fait toujours chaud dans ce bureau, on va finir par bosser à poil !
Un peu surpris par sa phrase, j’ai bien l’image en tête…
– Ca pourrait faire venir du monde dans le bureau, lui dis-je.
– Oh oui tu parles !
Puis elle repart sur un sujet beaucoup moins intéressant, mais je reste discuter quand même pour profiter de ses jambes.
La pause de midi arrive, je quitte son bureau pour aller débaucher. On sort de l’entreprise en même temps, et elle se remet à discuter. Parler course à pied et plage. Rien de bien terrible, mais j’essaye de savoir où elle va bronzer.

L’après-midi j’y retourne avec les autres documents. Elle est toujours seule, et se lève pour signer. Elle est juste à côté de moi, nos hanches se touchent. Discrètement je touche le pendant de sa robe et je commence à fantasmer. Elle se relève et au lieu de s’écarter reste là, et me dit que tout est bon pour les documents.
– Merci, ça va beaucoup m’aider. Il fait encore plus chaud que tout à l’heure ici !
– Oui, je vais ouvrir un peu.
– Sinon tu vas devoir te mettre à poil.
Elle rigole, et me dit :
– Oui mais seule c’est pas drôle !
Elle se penche vers la fenêtre et cette fois je ne résiste pas : je soulève sa robe pour voir ce qu’elle cache. Elle n’a pas dû s’en apercevoir de suite, j’ai le temps d’admirer son joli cul habillé d’un petit string ficèle. J’aurai pu lacher la robe et elle n’aurait rien senti, mais je la garde une seconde de trop.
– Mais qu’est-ce que tu fais, tu es fou ? me dit-elle d’un ton plus surpris qu’effrayé.
J’ai bien dû balbutier quelque chose pour m’excuser, mais la culpabilité n’est pas restée longtemps.
– T’es gourmand toi pour t’intéresser à une vieille peau comme moi.
Rassuré par sa dernière phrase, je me dis que ça peut évoluer de manière intéressante.
– Vieille peau ? T’as pas l’air si vieille que ça avec ce petit string.
Elle remonte sa robe :
– Tu trouves ? Des fois je me dis que je me sens mieux sans.
– Faut pas le garder alors.
Elle regarde vers la porte du bureau, puis fais tomber son string. Je passe ma main sous sa robe, caresse ses fesses. Elle se baisse pour ramasser son string, j’en profite pour glisser mes doigts entre ses cuisses et caresser son sexy épilé. Elle est toute aussi excitée que moi. Je masse son clitoris, mais elle se relève et me dit :
– Pas ici, on aurait de gros problèmes si on nous voyait.
Je quitte donc le bureau les doigts humide et la bite en feu, en attendant qu’elle finisse sa journée pour l’accompagner au parking.

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