Notre fille était partie poursuivre études dans la ville voisine. Elle s’était débrouillée toute seule pour se trouver un appartement. C’est que notre fille avait un fichu caractère et depuis longtemps elle savait ce qu’elle voulait. Elle avait aussi loué une camionnette pour emmener ses affaires et une fois installée, elle nous avait dit qu’elle n’a pas besoin qu’on vienne la voir.
J’étais trop occupé par mon boulot pour perdre mon temps à aller voir ntore fille. D’ailleurs, elle venait nous voir tous les quinze jours mais ça a fini par s’espacer et elle n’était plus venue depuis un mois si bien que sa mère n’a plus arrêté de me casser les pieds pour qu’on aille voir notre fille.
J’ai fini par céder et j’ai pris la route. Quand j’ai sonné à la porte de ma fille, c’est une autre fille qui m’a ouvert.
– Excusez-moi ? C’est pas là qu’habite Natacha, lui ai-je demandé ?
– Si, si, m’a répondu la fille ! Je suis sa coloc ! Elle est sortie ! Vous êtes qui ?
– Son père !
– Ah, oui, a ajouté la fille ! Il y a votre photo dans le salon ! Vous voulez entrer ?
La fille m’a laissé entrer et elle m’a conduit dans le salon pour me montrer la photo puis elle m’a dit de m’asseoir et je l’ai regardée s’éloigner.
Elle était chez elle, après tout et elle avait bien le droit de s’habiller comme elle voulait, avec une petite jupe qui lui arrivait au ras du cul et une chemisette si décolletée qu’elle ne tenait que par un nœud sur le nombril. Nombril que j’avais pu voir, ainsi que la poitrine généreuse.
La fille est revenue me voir au bout d’une demi-heure pour me proposer de boire quelque chose. J’ai accepté et elle a disparu à nouveau. Une demi-heure encore et j’ai entendu la sonnette. Cette fois, c’était ma fille. Je me suis levé.
– Papa, m’a-t-elle dit, ce n’était pas la peine de venir me voir ! Je viens dimanche ! J’allais t’appeler !
Je lui ai répondu que je passais dans le coin pour mon boulot.
– Tu as vu ma coloc, m’a encore demandé ma fille ?
Je lui ai attrapé le bras parce que j’avais vu quelque chose. J’ai remonté sa manche.
– Et c’est quoi, ça, lui ai-je demandé ?
Elle m’a tout de suite répondu que c’est un tatouage.
– Un vrai ?
– Un vrai ma répondu ma fille !
– Et ça veut dire quoi ?
Ce n’était pas notre écriture mais autre chose, une autre langue.
– C’est du russe, m’a dit sa coloc qui était revenue dans le salon ! Et ça veut dire que j’aime les femmes !
Le visage de ma fille s’était éteint.
– Tu n’as pas dit à tes parents que tu es lesbienne, a continué la coloc ?
Elle a soulevé la manche de sa chemise et j’ai vu tout un tas de petits mots en russe.
– C’est toutes les filles avec qui j’ai baisé, a ajouté la fille ! La première c’était celle-ci ! J’avais quinze ans ! C’était ma cousine !
Sur son bras, il y avait bien une douzaine de noms et sans me laisser attendre, elle a remonté son autre manche qui était aussi pleine de mots.
– Et celui-ci, c’est Natacha, a ajouté la fille !
Ma fille n’avait qu’un prénom et quant au nom de notre famille, il était plutôt court et ça ne semblait pas correspondre avec ce que la fille me montrait. Je lui ai posé la question.
– Exactement, il est écrit, m’a répondu la fille : Natacha, celle qui aime lécher les chattes !
Ma fille était plus blanche qu’un bout de carrelage de salle de bains.
– Montre-lui, lui a intimé sa copine !
Ma fille a retiré sa chemise et elle n’avait pas de soutien gorge et sa poitrine était constellée de petits dessins. Après, elle a baissé son jean sur ses fesses puis elle m’a montré le dessin. Sur ses reins, deux femmes faisaient l’amour et sur le dessin, c’était vraiment leur visage à toutes les deux et les deux femmes étaient toutes les deux équipées de godes ceinture dont celle qui ressemblait à ma fille profitait mais en regardant bien, j’ai vu que le gode, c’était dans l’anus qu’elle le prenait.
– C’est pas fini a insisté l’autre fille et ma fille a laissé tomber son jean sur ses chevilles et sur ses cuisses j’ai vu d’autres dessins, comme celui d’un couple, l’une debout et l’autre agenouillée entre ses jambes pour lui faire un cuninlingus.
– L’autre côté, a ordonné l’autre fille !
Ma fille a obéi et cette fois la fille était coincée entre deux autres. Elle avait aussi d’autres tatouages sur les mollets et je me suis demandé si je n’allais pas tomber dans les pommes mais les deux filles m’ont laissées au prétexte de préparer leur dîner et j’ai pu visiter l’appartement.
Dans la salle de bains, il y avait tout pour se raser de près et aussi des godes tout propres prêts à servir et dans la chambre, des photos sur les murs prises sur une plage et sur l’une d’elles, ma fille tenait sa copine par la main tandis qu’elle se faisait rouler un patin par une autre et sur une autre vue, elle était assise sur une serviette de plage et cuisses écartées, elle écartait sa vulve avec ses doigts. Je n’avais pas tout vu parce que sur une troisième photo, elle montrait son cul avec un plug dans son anus et des chaînettes qui pendaient à des anneaux plantés dans ses petites lèvres.
J’en avais vu assez. Je suis allé trouver les filles dans la cuisine et je leur ai dit que je dois partir si je ne veux pas arriver en retard et je suis parti. Je n’arrêtais pas de penser à notre fille et plusieurs fois j’ai faille terminer dans un fossé. Une fois arrivé à la maison, j’ai dit à sa mère qu’elle avait dû aller quelque part parce que personne n’avait répondu puis je suis allé me coucher. Ma femme est venue me rejoindre un peu plus tard. Pourquoi m’a-t-elle parlé de ça ?
– Tu te souviens, au début de notre mariage, tu m’avais demandé si j’avais déjà couché avec une fille ? Eh bien, je t’avais menti ! Je l’avais fait plusieurs fois ! J’étais attiré par les femmes et surtout par les femmes avec des gros seins, a-t-elle poursuivi !
– Ah bon ?
Elle m’a pris la main et elle l’a portée à sa coupe pour que je caresse sa chatte. Elle faisait souvent ça pour me dire qu’elle avait envie.
– C’était pas que je voulais avoir des gros seins, a-t-elle poursuivi ! J’avais envie d’être avec elles, de me serrer dans leurs brasè. Je voulais qu’elles me caresse et on s’embrassait sur la chatte et même on se masturbait ! Tu m’avais demandé pourquoi j’avais ce petit tatouage, a ajouté mon épouse ? Eh bien, je l’ai fait faire pour prouver à une fille que je l’aimais !
– Mais t’es lesbienne, lui ai-je demandé ?
– Non, je suis bi car j’ai toujours aimé que tu m’enfonces ta bite dans mes trois trous ! Ça, tu ne peux pas me le retirer !
Il était vrai qu’elle me faisait des pipes et que je la baisais mais un jour elle m’avait proposé de l’enculer. Et quand je l’avais fait, elle m’avait même dit que c’est bon.
– Je voudrais que tu me la mette bien au fond, m’a encore réclamé mon épouse !
Je ne me suis pas fait prier.
– Ah, j’aime ça quand tu m’encules, m’a-t-elle répété plusieurs fois ce soir-là ! Tu dois penser que je suis une pute ! Ah, c’est bon !
J’ai fini dans son anus puis je me suis endormi mais ma femme m’a réveillé :
– Tu crois que notre fille tient de moi ? Je voudrais quand même qu’elle nous fasse un descendant !
Quelques jours plus tard, en passant dans la rue de la mairie, je me suis arrêté devant la boutique du tatoueur et j’ai dit à ma femme que je veux lui offrir un tatouage :
– Un grand, avec deux femmes qui font l’amour et un homme qui vient derrière la seconde pour l’enculer !
Elle m’a répondu que ça doit coûter cher mais j’avais touché une bonne prime et nous avons commencé le chantier. Ça a duré un mois presque mais une fois fini, la mère ne déparait pas avec sa fille. Maintenant, tout le monde verrait que ce sont deux gouines.
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