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La roue de secours

La roue de secours



• Rue du Château, c’est bon, mon G.P.S. est programmé.

Georges me fait, j’allais dire chier, mais je suis une femme de bonne éducation alors je dirais que si j’en avais, il me casse les couilles.
J’avais rendez-vous avec Marie-Chantal, nous devions aller faire les boutiques, il faut bien que je dépense le fric de mon mari, il le gagne, je le dépense, croyez-moi, avec Marie-Chantal, la femme du premier adjoint de mon mari chef d’entreprise dans les travaux publics et maire de notre petite ville, ma copine et moi, savons faire chauffer leurs cartes bleues.
Je vais tout avouer, Marie-Chantal, c’est dans son dos que nous l’appelons comme ça, ses parents l’ont appelée Roselyne, ils ont beaucoup de bien immobilier géré par Marc, son mari.
Je l’avais dissuadé de l’épouser, un coureur de jupons, reste un coureur de jupons et ma copine refuse de voir qu’elle a des cornes qui bientôt l’empêcheront de passer dans les portes de leur villa avec piscine.
En ce qui concerne la villa, nous les battons, nous sommes deux et nous avons deux chambres de plus, ainsi que deux garages, bref nous sommes deux bourges de trente ans, car nous étions dans la petite école ensemble.
Mon père était maire de notre ville avant Georges qui dirigeait le club de judo, c’est là que je l’ai connu le jour où, mon père s’étant cassé une jambe en glissant sur une merde de chien m’a demandé de le conduire au tournoi de fin d’année devant remettre les médailles.
C’est ce soir-là vers 22 heures, alors que je venais d’avoir vingt ans que j’ai perdu mon pucelage, papa était rentré avec maman qui était venu me remplacer, le regard que me portait Georges faisait mouiller ma petite culotte.
Alors que je m’apprêtais à partir, Georges a vu que j’embrassais mes parents et est venu m’inviter à rester pour le vin d’honneur, deux coupes de champagne m’ont tourneboulé, un par un les judokas et les invités sont partis.
Une fois seul, les tapis rangés dans un coin de la pièce, c’est dessus que Georges m’a couché sans beaucoup de résistance de ma part et m’a pénétré, j’étais là sans y être, j’avais rêvé à la robe blanche et à la nuit de noces.
La robe blanche, je l’ai eue en urgence quand j’ai vu mes règles m’abandonner, c’est en pleurs que je suis allée voir mon père qui est venu voir les parents de Georges qui ont décidé de nous marier pour que notre bébé naisse dans des temps possibles pour un prématuré.

La nature est ainsi faîte, j’ai perdu mon bébé 15 jours après mon mariage, personne n’a su dans la ville que j’avais été enceinte, mais depuis même si mon mari a été le coup d’un soir, je n’ai jamais eu de nouvelles grossesses.
Je n’ai jamais prise la pilule, si ça vient, c’est que comme la première fois, la nature aura voulu que je sois mère.

Une dernière chose avant de revenir au fait qu’il me casse les couilles, mes parents m’ont appelé Bénédict plus joli nom que Roselyne.
Revenons à mon G.P.S. que je programme pour la rue du Château dans la ville voisine.

• Bénédict, il faut porter des papiers à la préfecture et nous n’avons pas le temps, vu la charge de travail, aucun de nous ne pouvons y aller, je compte sur toi.

J’appelle Marie-Chantal, j’ai son répondeur, je lui laisse un message, la prévenant que pour la carte bleue s’est remis à plus tard.

• Ma C1 est à sec, il va falloir que tu ailles acheter du gazole.
• Je t’ai dit que c’est pressé, il y a une réunion de commission cet après-midi et j’aimerais que ces papiers soient présentés, prends mon Crossover, j’ai fait le plein hier.

C’est ainsi que je programme le G.P.S et que je pars, j’arrive rue du Château ¾ d’heures après, c’est bizarre, la préfecture dans un tel quartier, mieux, la rue du Château est à voie unique et ma grosse voiture passe, mais avec difficulté.
Un bruit bizarre, c’est vraiment ma journée de merde, je m’arrête sur le bateau d’une espèce de hangar, j’ai crevé arrière gauche, comment change-t-on une roue, Dieu seul le sait, j’ignore même où elle est.

• On peut vous aider petite dame !

Le garçon qui vient de sortir du hangar est grand, le crâne rasé, tatoué à faire peur pour une femme de bonne famille comme moi, il a un marcel crasseux et pour compléter le personnage aux coins des lèvres, un mégot éteint semble placé là depuis des siècles.

• Tu ne vois pas que tu es garée devant chez moi, t’as un problème.
• Excusez-moi monsieur, je devais aller à la préfecture rue du Château et je viens de crever, j’ignore comment changer ma roue, pouvez-vous m’aider, je suis très pressée.
• Tout doux ma belle, c’est pas parce que tu as un joli petit cul qu’il faut me prendre de haut.
D’abord, ici c’est la rue du Château alors que la préfecture, c’est l’avenue du Château, pour ta roue, j’appelle mes copains.

Il prend son portable et appelle, cinq minutes après quatre gars aussi balèzes que celui qui les a appelés arrive, le plus costaud un magnifique noir semble le chef.

• N’ayez pas peur madame, on va vous dépanner, Yvon ouvre ta grange, on va rentrer la voiture, il plombe aujourd’hui, nous serons à l’ombre.

J’aurais dû me méfier, mais rien d’anormal qu’il souhaite être à l’abri du soleil dans cette journée de canicule.
Le noir se met au volant et les autres poussent sans démarrer le moteur et entre ma voiture dans ce qui avait dû être la grange d’une ferme qui a disparu avec l’extension de la ville.
Que font-ils, le grand noir semble chercher quelque chose, il se penche même sous la voiture ?

• Madame, où est placée votre roue de secours ?
• Vous m’en demandez trop, j’ignore même comment changer ma roue.
• Je vois son emplacement, mais elle n’y est pas, avez-vous déjà crevé ?

Georges a dû crever et placer la roue de secours pendant qu’il réparait l’autre, quel con, il aurait pu me prévenir même si ça n’avait pas changé grand-chose.

• Yvon prend ta voiture et va réparer la roue à la station, on t’attend.
• C’est toujours moi qui suis de corvée.
• Arrête de chouiner, madame est pressée.
• Bien Abdou, j’y vais.

Il charge la roue qu’ils ont démontée et la charge dans la voiture du dénommé Yvon garé devant le hangar.

• Que fait ont pendant l’heure qu’il va mettre.
• Une heure, il faut que j’appelle mon mari.
• Inutile de l’alarmer, j’ai bien une idée.
• Que voulez-vous dire, je vous vois venir, je vais crier !
• Arrêtez petite dame, nous sommes loin d’être des violeurs, on t’aide et tu nous traites comme des moins que rien.
• Excusez-moi, vous êtes des gars bien.
• C’est mieux, tu vas voir, c’est toi qui vas prendre des initiatives, enlève ta petite culotte.

Je dois dire qu’à ce moment, je vois ou le beau black veut en venir, il veut me sauter, mais il veut que ce soit-moi qui soit à l’initiative.
Les choses se précisent me faisant chavirer, depuis mon dépucelage, Georges me baise, mais c’est toujours pareil et j’aimerais voir la verge de cet homme qui me fait envie.
Même si c’est lui qui s’avance jusqu’à moi, c’est moi qui m’agenouille et qui sors sa bite, je trouve ce que j’espérais cacher dans son jean.
Je n’ai jamais sucé d’homme et je prends plaisir à le prendre dans la bouche, je suis novice, mais je trouve rapidement le rythme pour avaler le gland assez monstrueux et qui a du mal à entrer dans ma bouche.

• Tony va chercher le coussin d’Yvon dans sa chambre, madame risque d’avoir mal aux genoux.

J’aime qu’il prenne soin de moi, Georges aurait-il autant de prévenance, je lui en veux, c’est lui qui m’a dit rue du Château, ça j’en suis certaine, c’est encore lui qui m’a laissé partir sans roue de secours.
Le coussin arrive, Abdou me prend dans ses bras et me soulève, sa bouche cherche la mienne, c’est moi qui ouvre mes lèvres et qui accepte sa langue qui vient chercher la mienne.
Il me repose les genoux et je reprends sa verge.

• Ma belle tourne ta tête, mon copain à un cadeau pour toi.

Je regarde du coin de l’œil, ma bouche occupée, Tony a fait sortir sa verge, bien moins imposante que celle du chef, il récupère une de mes mains et je le masturbe, incroyable, il a raison personne ne me contrainte, lorsque de l’autre côté une main prend ma dernière main pour la poser sur sa bite, je masturbe et je suce trois des quatre garçons qui sont près de moi.
Le quatrième que je ne vois pas est derrière moi, il ouvre mon chemisier, quand je me suis levée ce matin, la chaleur était telle que je suis restée seins nus, je dois dire que c’est souvent ayant horreur qu’ils soient bridés.
Les agrafes de ma jupe suivent, je sens qu’elle me tombe sur les jambes m’abandonnant aux désirs de mes quatre superordinateur.
Qui force qui, quand je quitte la verge d’Abdou de ma bouche pour la poser sur le sexe de Tony, je passe de l’un à l’autre, le quatrième dont je ne connais pas le nom pousse son copain pour me présenter sa verge.
Je le prends facilement au fond de la bouche, je lui passe une main derrière le dos pour mieux lui tenir les fesses, mon doigt rencontre sa rosette, j’y fais rentrer un doigt, je suis devenue folle, je n’ai plus aucune retenue.
Bien que ce soit le dernier que je me suis occupé, je sens sa verge tressauter et avant que j’aie eu le temps de faire le moindre mouvement, une grande giclée de sperme frappe ma glotte.
Je l’ai dit, je n’ai jamais fait de fellation à mon mari, pour la première fois je bois du sperme, c’est doux, mais un peu fade.
Tony qui se masturbait décharge lui aussi sur ma figure, je sens du sperme couler sur ma poitrine sans rien voir, le début de la giclée m’arrive dans les yeux me faisant perdre la vue.
Ne voyant plus rien, un autre me fait tourner la tête et lui aussi arrose mon visage, dommage que je sois incapable de me voir, je dois avoir une tête impossible, celle d’une salope sentant sa chatte couler tellement ces moments de luxures me met en joie…

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