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Béatrice au bistrot

Béatrice au bistrot



Je m’appelle Béa, je suis blonde et plutôt mignonne ; je vis à Montpellier, j’ai vingt-quatre ans et mon ami trente deux.

Lors d’une virée estivale dans la capitale, tard dans la soirée, nous nous sommes retrouvés dans une petite rue, devant l’entrée d’un bar plutôt miteux, d’où entraient et sortaient plusieurs Nord-Africains. Un petit groupe fumait et discutait en arabe. Notre arrivée fit sensation ; il faisait assez chaud et ma tenue était assez légère, une courte jupe et un chemisier échancré.

Le petit groupe s’écarta pour nous laisser passer, les regards s’attardant sur ma silhouette. L’entrée était curieuse car elle donnait directement sur un étroit escalier, tournant et descendant d’une manière abrupte ; il ne fallait surtout pas rater une marche ! Un homme s’apprêtait à monter pour sortir, mais lorsqu’il vit mes jambes, il sembla se raviser et resta au pied de l’escalier, bouche bée…

Les conversations cessèrent à mon apparition. Sous les regards gourmands et concupiscents, je sentis une douce chaleur envahir mon bas-ventre. La salle était assez petite ; d’un côté, le bar avec de hauts tabourets ; de l’autre, banquette murale, tables et chaises. En fond sonore, une lente musique arabe…

Je restai un instant immobile et mon ami me poussa vers le comptoir en mettant sa main sur ma hanche. Je me hissai sur un tabouret, découvrant un peu plus mes cuisses, sous tous ces yeux avides guettant le moment où je m’écarterai davantage…

Ce qui ne tarda pas. Mon compagnon m’embrassa dans le cou, puis me murmura à l’oreille :

— Fais-les bander.

J’étais toute moite entre les cuisses ; je croisai haut mes jambes, découvrant mon string et troublant la partie de dominos qui se déroulait à la table en face de moi. Le joueur le plus proche en fit tomber quelques-uns par terre et se baissa rapidement pour les ramasser ; il mit beaucoup plus de temps pour se redresser… Il est vrai que, l’air de rien, j’avais à nouveau et très lentement décroisé et recroisé mes genoux, lui laissant amplement le temps d’admirer ma fente soulignée par mon string moulant et déjà humide…

Le patron, un grand costaud chauve et moustachu d‘une soixantaine d‘années, nous servit nos consommations en ne se gênant pas pour reluquer ma poitrine. Mon ami, derrière moi, en m’embrassant et en me chatouillant, en avait profité pour faire sauter deux boutons ; et comme je ne portais pas de soutien-gorge…

Mon ami, se tenant toujours derrière moi, avait une main sur mon ventre et l’autre sur ma cuisse ; il essayait de remonter ma jupe, sous le regard intéressé des joueurs de dominos. Je retenais sa main, mais inexorablement celle-ci remontait, entraînant la jupe… L’attention pour les dominos avait faibli ; par contre, elle était montée concernant mes cuisses. Le patron, lui aussi, s’était penché sur son comptoir et ne perdait pas une miette du spectacle. Suivant ma position, la pointe d’un sein apparaissait…

Il commençait à se faire tard ; certains clients étaient partis et il ne restait que quelques individus. Le patron dit qu’il allait éteindre l’enseigne et fermer la porte à clé pour ne pas enfreindre la loi. Nous voulûmes partir, mais il nous proposa la tournée du patron…

Assis sur un tabouret depuis notre arrivée, un Arabe très typé, assez noir de peau, d’une cinquantaine d’années, s’était sensiblement rapproché par à-coups, et il était maintenant carrément au contact de mes genoux. Je voyais assez nettement la bosse qui déformait son pantalon…

Des joueurs de dominos – dont la partie n’existait plus depuis longtemps, pratiquement depuis les premières érections – trois étaient restés et s’étaient rapprochés, en particulier celui qui en avait laissé tomber pas mal pour voir mon entrecuisse. Là, il n’avait plus besoin de laisser tomber quoi que ce soit, à part peut-être son pantalon, car j’avais les cuisses bien écartées…

L’Arabe assis sur le tabouret à mes côtés posa sa main sur mon genou, imité aussitôt par celui assis, pendant que le patron, de derrière son comptoir, passait la main sur mon épaule, mon cou et la glissait vers l’échancrure de mon chemisier, me faisant frissonner en emprisonnant un sein et en jouant avec sa pointe. Je poussai un soupir d’aise, d’autant que les deux mains progressaient sur mes cuisses… Mon ami et le patron défirent complètement mon chemisier, offrant ainsi ma poitrine à la vue de tous.

Un regroupement et un encerclement de ma personne s’ensuivirent, mon compagnon s’étant légèrement mis en retrait pour laisser la place à tous ces Arabes. La place de derrière, occupée précédemment par mon ami, fut prise par un des joueurs de dominos qui se colla complètement contre moi. Je sentis sa queue extrêmement dure contre mes fesses, et sa main se referma sur un sein ; je me tortillai en riant…

Tout en me trémoussant, je sentis les mains remonter vers ma fourche ; et lorsque l’une d’entre elles enveloppa ma chatte et la massa à travers mon string, je poussai un long gémissement de plaisir.

Je tendis la main vers le sexe tendu de mon ami, faisant des jaloux, celui-ci s’étant rapproché pour ôter ma jupe… Je remontai sur mon tabouret, m’offrant à toutes ces mains ; mon chemisier retiré à son tour. Le patron m’embrassait le cou, les seins, me tétant les pointes.

On me hissa sur le comptoir. D’abord, je me mis sur le ventre, et dix mains et cinq bouches me palpèrent, me léchèrent, des doigts s’insinuèrent entre mes fesses, me massèrent la chatte.

Puis on me retourna, et devant, mes seins et mon minou furent à l’honneur. Ils descendirent mon string et après m’avoir masturbée et enfilé plusieurs doigts, une langue agile parcourut ma fente trempée avant qu’une bouche vorace n’aspire mon clitoris. Une langue lapait, tournoyait tout autour de mon nombril, deux autres bouches s’occupaient de mes seins. Quant à celle du patron, elle s’occupait… de la mienne, et sa langue jouait avec la mienne. Je voyais mon ami terriblement excité qui se masturbait doucement.

Le patron prit une bouteille et m’introduisit le goulot dans la chatte ; mes cuisses étaient maintenues grandes ouvertes par les autres, et tous regardaient ce va-et-vient et mes réactions… Mes gémissements, mes cris et les mouvements de ma tête, à droite et à gauche, témoignaient du plaisir que je prenais.

J’avançai mon bassin, je me soulevai pour aller au-devant de la pénétration… Quelle jouissance !

— J’ai envie de sucer.

Quelques secondes suffirent pour que je me retrouve face à cinq queues plus grosses les unes que les autres… Mon ami se branlait doucement en regardant, et je savais que là, il allait particulièrement apprécier. Il adore me voir pomper et avaler des grosses bites jusqu’à l’éjaculation ; il sait que j’aime recevoir de fortes décharges dans ma bouche, et c’est encore mieux quand il regarde.

Je me mis à genoux, et la première que je pris fut celle du patron, qui était conforme au personnage : monstrueuse. Je le regardai, puis passai doucement ma langue sur son gland, la faisant tournoyer autour, puis je descendis le long de la hampe, m’amusai avec ses gros testicules et remontai, toujours avec ma langue ; puis, arrivant à nouveau sur le gland, je l’engloutis tout entier. Il gémit fortement et sa main puissante se posa sur ma tête ; je crus étouffer.

Celui qui était très foncé s’était rapproché et je changeai pour une noiraude plus courte, mais épaisse ; je sentis qu’il appréciait énormément, puis je pris les trois autres, suçant et branlant. Je pris deux queues en même temps, essayant de prendre les deux glands ou alternant rapidement de l’un à l’autre…

Puis ils me firent monter sur une table et me prirent l’un après l’autre pendant que je suçais toujours une bite ou deux… puis sur la banquette. Le patron s’allongea et je vins m’empaler sur lui ; celui qui était très foncé chercha à me sodomiser et y parvint. Il restait trois queues ; mais vu la position sur la banquette étroite, je ne pouvais en sucer ou branler qu’une seule.

Le patron alla donc chercher une couverture et l’installa par terre. Là, nous pûmes nous installer plus confortablement, et je pus m’occuper de toutes ces queues, prise en double pénétration, couchée et empalée sur le patron. Le noiraud pouvait me sodomiser à son aise pendant que je suçais et branlais les trois autres. Mon ami se masturbait toujours, se régalant de me voir ainsi bien baisée par ces cinq hommes…

Celui que je suçais émit les premiers signes d’une proche jouissance ; j’accélérai alors jusqu’à ce que je sente le point de non-retour. Il jouit alors abondamment par de fortes décharges et me remplit la bouche de sperme chaud. J’avalai tout ce que je pus, mais le trop-plein déborda de mes lèvres sur mon menton et mon cou…

Puis les deux autres que je branlais se disputèrent ma bouche ; je les pris tous les deux alternativement, et ils ne tardèrent pas à gicler dans ma bouche et sur mon visage. Mon ami se branlait de plus en plus vite ; je voulais le sucer aussi, qu’il se répande dans ma gorge…

Le patron me souleva littéralement en jouissant ; il gicla en de fortes éjaculations que je reçus au fond de ma chatte et qui déclenchèrent ma jouissance et celle de celui qui m’enculait, qui se répandit en jets brûlants dans mes fesses.

Je finis mon ami avec mes mains et ma bouche ; un flot abondant de sperme envahit ma gorge au plus profond…

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