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14de 23: Mère et Fils: une histoire d’

14de 23: Mère et Fils: une histoire d’



Chapitre 14 : Je t’aime mon fils, joyeux noël.

La période de Noël est un temps rempli de souvenirs. Souvenirs d’enfance, de jouets et d’arbres de Noël plus beaux chaque année, chants de Noël et cantiques et où l’on mange toutes sortes de bonbons et gâteaux, et parfois ces images nous submergent. Pour moi, tous ces souvenirs impliquent ma mère, la femme la plus aimante et attentive que je n’ai jamais connu. Vraiment, maman est la source de bonheur qui a béni toute mon adolescence, ma vie.

Tout aussi puissant sont mes souvenirs de maman et moi et de notre premier Noël, ensemble comme amoureux, comme amants. Le souvenir de maman debout, nue devant moi, éclairée par la douce lueur de la neige qui tombe derrière elle, au-delà de la fenêtre, restera dans ma mémoire pour toujours. Comme Maman nue sur un édredon, sous mon arbre de Noël, jambes et cuisses écartées s’offrant à moi pour que je lui fasse l’amour. Ce sont des souvenirs que je vais toujours chérir et leurs existences mêmes me fait espérer que beaucoup d’autre souvenirs du même type suivront.

Début décembre, Maman trouve le prétexte de faire des courses et venir me voir. Elle passe la nuit avec moi et le lendemain dans mon lit pour faire l’amour avec son fils chéri.
3 Jours avant Noël c’est moi qui reviens à la maison, profitant que mon père et mes frères sont allés à la chasse au gros gibier en forêt noire. Nous sommes seuls dans la maison pour les trois prochains jours. Nous avons fait l’amour dans toutes les pièces de la maison, à l’exception de la fosse malpropre qui est la chambre de mes frères. Aujourd’hui, à quarante-trois ans, maman est plus belle que jamais. Maman possède encore une beauté voluptueuse avec ses seins lourds en forme de gourde bien remplie avec des tétons épais et larges qui ne demandent qu’à être sucés. Ses jambes sont fermes et bien galbées et entre ses cuisses, son buisson épais de poils noirs et soyeux qui cache sa boîte aux trésors humides, sa chatte fougueuse et avide.
Tout ce qu’il faut pour me faire bander comme un taureau. Rien qu’à voir ses yeux brun-vert me regarder avec amour et passion ou simplement inhaler son parfum naturel lorsque j’enfonce mon visage dans son cou et ses longs cheveux noir, le soupçon de jasmin m’excite comme personne d’autre ne peut le faire. Maman est une véritable poudrière de désir i****tueux, emballé dans un corps sexy et je ne vois pas comment un fils, normalement constitué ne tomberait pas immédiatement amoureux d’elle en l’apercevant tous les matins en se levant.
Je vais donc tout vous raconter pour vous faire partager mon amour pour ma mère.
Avant que mon père ne rentre avec mes frères je n’arrête pas de faire l’amour à maman, et j’adore sa chatte qui serre étroitement ma bite et sa façon de se serrer contre moi avec ses jambes autour de mon dos. L’appartement est rempli de nos cris mêlés sous la passion de notre accouplement toujours aussi fort. On parle peu pendant qu’on fait l’amour, on se regarde dans les yeux, nos âmes et cœurs lié et on baise comme seul, une mère et son fils, dévorés par un amour et une passion commune, peuvent baiser.
En voiture, juste avant que mon père et mes frères ne rentre, maman porte une jupe longue fendue très haute sur le côté. D’une main, elle dévoile ses cuisses crémeuse et enfin sa toison noire, sauvage, épaisse.
– Maman a un délicieux cadeau de Noël pour son fils… s’il a faim…
Dit-elle en roucoulant et en utilisant deux doigts pour écarter largement ses lèvres épaisses et révéler la belle et scintillante chair rose de sa chatte.
En regardant la chatte de maman je m’en lèche les babines.
– J’ai toujours faim de toi, maman, mais pas facile de pouvoir manger ta chatte et conduire en même temps. Mais je peux m’arrêter quelque part ?
Maman rigole et roulant sa jupe autour de sa taille pour bien dévoiler sa chatte poilue, elle me dit.
– Non, Dany. Continue et je vais m’occuper de tout.
Je sens ma queue faire un bond dans mon jeans quand maman glisse sa main entre ses jambes et qu’elle commence à se masturber et à glisser un et puis deux doigts dans sa chatte humide. Son autre main a trouvé sa place dans mon entrecuisse, frottant mon érection grandissante.
Maman pousse un gros gémissement élogieux, en partie par ce qu’elle sent dans mon pantalon et en partie par le doigtâge de sa chatte déjà humide. Après avoir joué avec elle-même, pendant une minute, maman retire ses doigts de sa chatte et les porte vers ma bouche.
Je respire son parfum, mes narines brûlent comme une torche quand je respire l’arôme doux et capiteux de la chatte de ma mère. Maman presse son doigt humide contre mes lèvres et dépose sa crème de chatte que j’aspire dans ma bouche pour la déguster. Je gémis quand maman enlève ses doigts. Aucune femme n’est aussi délicieuse que ma mère. Son jus à un soupçon de mon propre sperme, ce qui n’est pas étonnant car je me suis vidé mes couilles en elle au moins cinq fois entre hier après-midi et aujourd’hui.
Pendant que je conduis, maman continue de se doigter une minute ou deux et ensuite elle me laisse sucer son jus sur ses doigts. Elle continue comme çà pendant un bon moment et petit à petit, maman se met à gémir et à soupirer, travaillant sa chatte de ses doigts plus vigoureusement, en les enfonçant et les retirant, remplissant l’intérieur de la voiture familiale de son parfum intime et enivrant sous un doux bruits de clapotis.
C’est vachement excitant de regarder sa mère se faire plaisir elle-même et de goûter son excitation pour chaque écoulement de son jus qui dégouline littéralement de ses doigts.

Sous le soleil couchant et la lumière diffuse à l’intérieur notre voiture, maman crie enfin son plaisir orgasmique, enfonçant frénétiquement ses quatre doigts dans sa chatte, qui sous son orgasme, coule de plus bel. Le trafic étant faible et la route à deux voies, alors que maman se tortille sur le siège à côté de moi, je glisse une main le long de sa cuisse. Mes doigts se faufilent dans sa toison bouclée pour sentir sa moiteur et se mêler avec ses doigts à l’intérieur de sa chatte chaude et trempée.
Maman s’écrie qu’elle a maintenant deux doigts supplémentaires qui taquinent ses entrailles. D’une voix taquine, je lui dis.
– Si je ne me retenais pas je suis sûr que mon poing pourrait te baiser, maman !
Maman sous sa jouissance ne peut que sangloter et gémir tout en prenant mon poignet pour enfoncer le plus qu’elle peut ma main sur sa chatte et faire comme si je la baisais. Elle entretien son orgasme jusqu’à ce qu’une plainte plus élevée s’échappe de sa bouche et que son corps se convulse sous les spasmes de sa jouissance.
Puis les doigts de maman sont dans ma bouche et je suce tout ce qui coule pendant qu’elle se relève et embrasse ma joue et mon cou. Quand j’ai fini de sucer ses doigts, la main de maman est tombée dans mon entre-jambe et elle frotte mon érection douloureuse avec impatience.
– Arrête-toi, fils. Maintenant ! Maman a besoin de te goûter. Soupire-t-elle.
La chance est avec moi, je vois un parking près d’une petite église et je me gare bien loin de la route. Maman est tellement excitée qu’elle n’attend même pas que la voiture soit garée pour s’escrimer avec fureur sur ma ceinture, ouvrir mon pantalon et libérer ma bite endolorie. Elle me saute dessus et je gémis quand je sens le souffle doux de maman sur le gland de ma bite, puis sa langue mouillée, avant qu’elle n’avale entièrement ma bite et commence à la sucer.

Les gémissements de maman sont étouffés et doux, étouffés par le morceau de chair qu’elle a entre ses lèvres, et je fais aller venir mes doigts dans sa chatte brûlante qui se trouve sous mes yeux, le bout crocheté vers le haut comme si je voulais extraire son point G.
– Oh putain, maman ! J’aime ta bouche!
Dis-je en gémissant quand maman aspire et fait tourbillonner sans arrêt sa langue sur et autour de mon gland. Je ris intérieurement en pensant qu’il faut que je fasse une prière dans l’église d’à côté pour remercier le Dieu de l’amour pour m’accorder le privilège d’être l’amant de ma mère.

Je replonge ma bouche sur sa chatte et tout à coup, je bois à la source le jus de maman qui vient sûrement de jouir. Avant d’abandonner sa chatte qui dégouline sur mon visage, ma langue saturée de jus replonge dans cette chair rose et palpitante pour siphonner cette crème onctueuse et odorante. Je me retire, pour l’allonger sur la banquette et je remets deux doigts dans ses tendres plis et je recommence à chercher ses endroits sensibles.
J’appuie sur le bon endroit car maman crie de nouveau avec joie et sa chatte expulse soudainement un jet de cyprine quand elle a un nouvel orgasme.
Ensuite maman me suce furieusement et je ne suis pas loin d’exploser. Je la préviens mais rien ne peut plus l’arrêter et je déverse dans sa bouche sa récompense. Elle avale goulûment mon sperme en lapant comme une petite chienne tout ce qui continue de s’écouler.
De longues minutes passent ou nous apprécions ces sensations merveilleuses de l’après orgasme ou nos corps évacuent lentement les tensions qui leurs font tant de bien, mais maman refuse de lâcher mon pénis jusqu’à ce qu’elle soit sûre de bien le nettoyer de toute trace de sperme.
Quand je sens que la chatte de maman est complétement calmée, je retire lentement mes doigts et je suce son délicieux jus onctueux jusqu’à ce que mes doigts soient propres.
S’en suit un long baiser avant de se redresser et de contempler la petite église.
– C’est une jolie petite église, n’est-ce pas, Dany ?
– Oui, elle me rappelle un peu ton ancienne église ou tu vivais avec tes parents.
– Un jour, fils, chuchote maman, un jour, je vais t’épouser devant Dieu et tout le monde dans une église comme ça.
Même dans l’obscurité du début de soirée, je peux voir le feu de sa passion dans les yeux de maman, qui fait gonfler mon cœur d’amour et de désir pour elle, chaque fois que je vois cet éclair.
Je l’embrasse encore passionnément avant de répondre.
– Oui, tu m’épouseras, maman. En attentant c’est un des meilleurs cadeaux que tu m’as offert pour Noel.
Maman roucoule comme une colombe devant son male et m’attire pour dévorer mes lèvres et ma langue avant de reprendre à contrecœur le chemin du retour.

Une fois arrivés à la maison, maman se penche et m’embrasse à nouveau, sa langue danse avec la mienne et puis, elle s’amuse de lécher le bout de mon nez avant de dire,
– J’ai une surprise pour toi dans ta chambre.
Quand je lui demande ce que s’est, elle sourit et dit.
– Tu verras bien…
En arrivant, nous sommes accueillis par notre famille. Mes jeunes frères jumeaux toujours assez froid envers leur grand frère et mon père qui après avoir pris une gorgée de bière dit en grognant.
– Je me doutais bien que tu ne serais pas là pour faire à manger.
Il fait un geste vers la cuisine.
– Nous avons commandé des pizzas. Il en reste dans la cuisine.
Nous échangeons avec maman un sourire coquin et maman lui répond.
– Non, Merci, Dany et moi avons grignoté quelque chose sur la route.
Discussions banales comme d’habitude, mon père qui râle sur la longueur de mes études et de l’argent jeté par les fenêtres. Normalement, j’aurai répliqué et probablement quitté la pièce mais j’avais une nouvelle que je voulais partager juste avec maman mais le moment est trop propice.
– En fait, papa, j’ai été interviewé par plusieurs compagnies et j’ai déjà deux offres d’emploi.
Je regarde maman et ce que j’ajoute lui fait ouvrir tout grand ses beaux yeux de surprise.
– Une de ces sociétés est d’ailleurs tout près du village de naissance de maman.
Les mains de maman se portent sur sa bouche et j’ai senti qu’elle allait presque pleurer. Puis elle est venue vers moi pour m’étreindre.
-Oh, Dany ! C’est merveilleux, merveilleux!
Elle se serre contre moi et je me sens un peu gêné qu’elle se comporte ainsi devant papa.
Maman se retourne et le regarde.
– Et bien, Frank. Félicite au moins ton fils, pour l’amour du ciel !
Papa a l’air légèrement irrité, mais il se lève et me serre la main.
– Bon, euh, c’est bien, tu vas enfin travailler. Tu vas pouvoir te prendre en charge maintenant. Bon, je vais dans le garage réparer une gaule de pèche.
Maman m’embrasse encore, sur la joue, les jumeaux me tournent le dos et vont dans leur chambre au sous-sol.
Maman et moi montons à l’étage et seuls pour le moment, nos mains se retrouvent en grimpant les escaliers.
– Dany, tu es prêt pour ta surprise ?
Me demande-t-elle en arrivant près de mon ancienne chambre.

Je soulève mes sourcils en lui demandant.
– maintenant, ici, avec tout le monde dans la maison ?
Maman sourit et dit,
– Eh bien, au moins pour la première partie de la surprise. Elle pointe son doigt vers ma porte. Entre Dany.
J’ouvre la porte et je m’arrête un peu étonné.
– Whaou !
Dans ma chambre trône un arbre de Noël près de la fenêtre qui donne sur la rue. Il est décoré et illuminé.
– Maman, c’est beau.
Et mon cœur bat la chamade en me souvenant du dernier Noël ou ma mère est devenue ma maîtresse, mon amante.
– C’est la chose la plus idiote que je vois depuis longtemps !
C’est papa qui vent de remonter et qui se trouve derrière nous.
Regardant par-dessus nos épaules il ajoute avec un air de dégoût.
– J’en voulais pas en bas et ta mère a pensé que ce serait mignon ici et que ça te rappellerait des souvenirs. Et il ajoute d’une voix moqueuse.
– Bon noël pour le bébé à sa maman !
Maman l’ignore complétement et ses yeux dans les miens, pleine de passion et d’amour.
– Moi j’aime ça. Non, j’aime tout court !
– Merci, maman, je t’aime…
Et me penchant je l’embrasse sur le coin de la bouche.
Mon père est déjà repartit en grommelant.
– Vous avez l’air fin tous les deux ! Et c’est bien ton fils !
La main de maman serre fortement la mienne et dès que papa a disparu dans l’escalier elle me prend dans ses bras et me dit.
– Oui, tu es sans nul doute mon fils, Dany… et bien plus encore, Dieu merci. Je t’aime, mon grand garçon.
– Moi aussi je t’aime, maman.
Et nous nous embrassons d’une façon passionnée comme de jeunes amants, l’un tirant l’autre le plus serré possible jusqu’à ce que nous puissions sentir nos cœurs battre à l’unisson. Quand enfin, nous arrivons à nous séparer, nous restons haletants en cherchant de reprendre notre respiration. Malgré avoir assouvi notre appétit sexuel les deux derniers jours, nous sommes encore désireux de satisfaire nos désirs mutuels.
– J’aime beaucoup cet arbre, maman. C’est Noël! Mais que voulais-tu dire par c’est la première partie de ma surprise ?
Maman sourit et laisse courir sa main dans mon entre jambes avant de répondre.
– Patience, fils, Noël est presque là et tu ne peux imaginer ce que le Père Noel peut laisser sous ton sapin de Noël, le matin de Noël.
Je n’ai pas le temps d’ajouter un mot que nous entendons le téléphone sonner et quelques instants plus tard, mon père braille,
– Sabine, le téléphone ! Je pense que c’est ta sœur.
Maman clignote des yeux, m’embrasse à nouveau et murmure,
-A plus tard, mon fils bien aimé.

Le lendemain, maman est extrêmement occupée et prépare le dîner de Noël. Elle quitte rarement la cuisine, malgré mon aide. Bien sûr, je l’ai un peu ralentie quand je profitais qu’il n’y avait personne aux alentours pour l’embraser et caresser son joli petit cul à chaque fois que l’occasion se présentait.
En plus, quelques membres de la famille de mon père qui vivent dans la ville sont venus nous saluer et il m’a été difficile d’être seul avec maman.
La soirée s’est terminée assez tranquillement. Les jumeaux sont sortis avec des amis pour faire la fête et papa, l’air maussade comme d’habitude, s’est écroulé devant la télé avec un pack de bières.
La neige commence à tomber et le météorologue de la télé confirme que nous aurons une dizaine de centimètre et demande aux enfants d’aller se coucher en attendant que le Père noël passe.
Peu avant minuit, et que papa émerge dans son fauteuil, maman annonce qu’il est temps d’aller se coucher. Elle se penche sur moi et m’embrasse doucement sur le coin de ma bouche, avec ces mots.
– Je t’aime mon amour.
Dans ma chambre, je sors et enveloppe mes cadeaux pour ensuite les placer sous le sapin de Noël. Je lis un peu mais ensuite j’éteins les lumières pour juste laisser le sapin illuminé et regarder la neige tomber par-delà la fenêtre.
Vers une heure du matin j’entends les jumeaux qui rentrent en riant bruyamment et aussi la porte de chambre de maman, qui est descendue dire aux garçons de faire moins de bruit et d’aller se coucher au sous-sol.
Puis j’entends les pas de maman qui monte l’escalier et qui s’arrêtent devant ma porte. Mon cœur bat vite quand elle entre tout doucement et qu’elle referme la porte derrière elle. Maman, comme toujours, est magnifique, même dans sa vieille robe de chambre en flanelle qu’elle a depuis des lustres. Dans ses bras elle a un gros édredon qu’elle jette dans un fauteuil.
– Joyeux Noël, fiston, dit-elle d’une voix haletante. Joyeux anniversaire, mon chéri.
Et elle défait la ceinture de sa robe, dégage ses épaule et laisse tomber sa robe de chambre. J’écarquille mes yeux pour voir ma mère vêtue d’un déshabillé blanc diaphane.
– Tu n’as pas oublié ceci ? Dany…
Me demande maman avec une lueur perverse dans ses yeux.
Je suis hors du lit en une seconde, et je me précipite vers ma mère à peine vêtue, admirant la façon dont son corps luxuriant rempli son déshabillé presque transparent. Son décolleté profond et descendant très bas m’offre une vue presque totalement ouverte sur ses seins aux tétons gonflés et proéminents. Le tissu vaporeux est étudié pour ne cacher que peu de peau de ses cuisses et la toison de poils indisciplinés entre ses cuisses de porcelaine.
Je la prends dans mes bras en disant.
– Est-ce une autre nuit de noël en amoureux, maman. Tu es aussi belle que ce premier noël ou nous nous sommes tant aimés.
Je l’embrasse doucement en posant mes lèvres sur les siennes qui s’entrouvrent immédiatement pour laisser passer sa langue et sucer la mienne et la caresser dans ma bouche. Je resserre mon étreinte, tirant maman contre moi pour sentir la chaleur de son corps brûlant de désir et le fusionner avec le mien.
Notre baiser semble durer indéfiniment comme si nous avions peur qu’il pourrait être le dernier. Nos langues tourbillonnent follement l’une contre l’autre, nos respirations sont de plus en plus lourdes au fur et à mesure que notre passion grandie. Déjà, je sens l’excitation de maman qui s’échappe par le haut de sa chatte humide, se mêlant avec ce soupçon omniprésent de jasmin, ce doux parfum que je chérirai jusqu’à la fin de mes jours. Ma bite gonfle dans mon slip et cherche à s’échapper pour s’appuyer contre et dans la chair tendre de ma mère.
Quand nos bouche arrivent à s’éloigner l’une de l’autre, maman haletante murmure.
– Je t’aime, mon fils. Fais-moi l’amour. C’est Noël, c’est notre nuit. Maintenant, fais-moi l’amour, tout de suite…
Et pour bien me faire comprendre son envie pressante, elle presse à nouveau ses lèvres contre les miennes, et la puissance de son baiser ardent me laisse tout étourdi alors que ses mains descendent mon slip vers mes pieds.
Ma queue se balance librement et se retrouve instantanément dans la main de maman et elle commence à la frotter contre son ventre, pressant son corps couvert de soie contre le mien.
– Et si quelqu’un nous surprends ?
Dis-je doucement à maman qui arrache mon T-shirt et qui embrasse ma poitrine en faisant rouler sa langue sur mes tétons.
– Ne t’inquiète pas, Dany. Ton père cuve sa bière et ne se réveillera pas avant demain et autant que je sache c’est notre anniversaire, notre premier anniversaire et je veux que mon fils me baise, ici, maintenant, sous notre arbre de Noël.
Une main toujours enroulée autour de ma bite dressée, maman se tourne et d’une seule main elle att**** l’édredon et le déroule sous l’arbre. Ma mère m’embrasse à nouveau et bien que verrouillés par notre baiser, elle nous dirige vers notre arbre illuminé et clignotant. La main de maman caresse et branle mon pénis palpitant, pendant qu’elle utilise ses pieds pour étaler l’édredon. Elle att**** les oreillers de mon lit et les jette sur ce lit improvisé.
– Je t’aime… Ooooohhh, je t’aime, Dany. Aime-moi, maintenant, baise-moi, fils. Baise-moi, Dany. Baise ta maman.
Ma mère a murmuré ses paroles i****tueuses avec une intensité presque religieuse. Maman se laisse tomber sur l’édredon en me tirant avec elle, et je me retrouve accroupi entre ses cuisses écartées, alors qu’elle a réussi à tirer son déshabillé par-dessus sa tête je ne sais comment.
– Baise maman, Dany. Aimes-moi comme tu sais si bien le faire et promets-moi que tous les Noël suivant tu feras toujours l’amour avec moi, Dany.
Je me laisse aller sur elle pour sentir ses cuisses entourer mes hanches et son épaisse toison noire chatouiller mon érection douloureuse. Elle se presse contre mon gland pour me révéler la chaleur de sa chatte, sa moiteur, et son besoin urgent d’amour.
– Je t’aime tellement, maman, je t’appartiens corps et âme.
Dis-je en sentant ma poitrine s’enfoncer dans ses gros seins.
– Joyeux Noël, maman. Je t’aime.
C’est mon dernier mot qui sort de ma bouche, avant un gémissement de bonheur, quand le bout de ma bite trouve la chatte de maman, glisse entre ses lèvres charnue et humides pour d’un seul coup d’estoc me retrouver au fond de son corps et encore une fois ne faire plus qu’un, unis par notre amour et notre désir.
Maman gémit et lève sa tête pour étouffer ses propres cris en m’embrassant. Je sens ses ongles s’enfoncer dans mon dos quand dans un long et lent mouvement, j’enfouis ma bite profondément dans cette chatte maternelle. Maman pousse son bassin vers le haut pour répondre aux mouvements de ma bite et pour m’aider à aller plus loin le plus rapidement. Ses talons croisés dans mes reins lui sert de levier pour s’ouvrir à moi encore plus et aider ma bite à pénétrer plus profondément dans son ventre.
C’est ce moment parfait, érotique et i****tueux, où notre désir et notre besoin de sexe, devient plaisir, indescriptiblement délicieux comme la jonction d’une pièce mâle avec sa femelle pour devenir une seule pièce dans une fusion sulfureuse. Ma bite va et viens dans la chair chaude et crémeuse de maman qui se resserre autour de mon sexe dans une étreinte amoureuse, comme sa bouche qui cherche et dévore la mienne avec frénésie. Pendant une durée indéterminée, nous restons sans bouger, suspendus dans cette étreinte parfaite, incapable de se décoller l’un de l’autre et notre baiser est de plus en plus passionné en phase avec notre plaisir qui croît toujours en intensité chaque fois que nous faisons l’amour.
Les tétons de maman, déjà épais et gonflés, semblent s’allonger encore plus pour presser ma poitrine. Par le biais de ses seins lourds, aplatis par le poids de mon corps, je peux sentir son cœur battre sauvagement, son rythme effréné accompagnant mes propre battements.
Apres ce baiser incandescent, haletant, je cherche frénétiquement de l’air en regardant ma mère, la tête sur l’oreiller, ses yeux presque fermés avec un sourire presque obscène, doux et a****l à la fois et avec un gémissement de satisfaction sexuelle qui s’échappe de ses lèvres.

Ma bite à mi-chemin dans sa chatte je me repositionne sur elle et lentement je renfonce ma queue au fin fond de son antre d’amour brûlant.
Comme seulement deux amoureux passionnés fous savent le faire, nos sexes sont en parfaite communion et je me déplace dans la chatte de maman pendant qu’avec gourmandise, elle me travaille mon sexe avec ses muscles vaginaux, créant cette friction unique et incroyablement jouissive qui prend de l’ampleur à chaque mouvement de notre corps. Nos yeux rivés l’un dans l’autre, nous échangeons de rapides et tendres baisers, entremêlés de plus longs et plus passionnés qui semblent durer éternellement. Les bras et les jambes de maman serrés autour de moi, accentuent soudainement leurs pressions sur mon corps et entre deux baisers elle se mord sa lèvre inférieure en soupirant et gémissant plus fort.
C’est le signe que son orgasme n’est pas loin d’éclater.
Maman ressemble à un ange de l’amour aux cheveux noirs et les lumières du sapin jouent sur sa peau claire, et provoque des étincelles dans ses yeux. Notre plaisir augmente au rythme de notre baise. La lave liquide de la chatte de maman, enveloppe ma bite et ce feu se propage pour embraser notre désir i****tueux et courir ensuite dans nos veines pour nous immoler sur le bûcher de l’i****te et mourir de plaisir.
La langue de maman s’enfonce frénétiquement dans ma bouche pour un duel avec la mienne quand elle commence à crier sa joie immense d’être, une fois de plus, transcendée par l’orgasme que lui procure son fils aîné. Les parois de son vagin dansent la gigue autour de ma bite enfoncée dans son utérus et je sens mon propre orgasme arriver.
Ma bite baigne dans un flot d’huile douce et délicieusement parfumée et mon gland se gonfle et palpite avant de pulvériser, comme une lance d’incendie, des jets de mon sperme chaud.

Nos corps encore plus serrés, semblent figés dans le doux moment qui suit notre orgasme commun. Nous nous embrassons, les yeux dans les yeux, nos âmes enlacées, avec le désir et la nécessité de faire sentir à l’autre tout l’amour qu’il veut lui faire partager, maintenant et à jamais.

Une fois calmé, je me soulève un peu pour soulager maman de mon poids mais elle resserre ses jambes autour de moi pour maintenir son emprise.
-Chéri, tu vas vraiment trouver du travail près de mon village ? Tu vas aller vivre là-bas ?
Je souris et hoche de la tête.
– Non, « ON » va se déplacer vers le village où tu es née… ensemble… pour toujours !
Des larmes roulent sur le visage de maman, alors qu’elle rit et pleure en même temps. Tout ce qu’elle peut articuler, c’est
– Oui, ensembles.
Mon sexe quitte le sien et nous continuons à nous câliner sur la couette. J’arrache mes couvertures de mon lit pour nous couvrir et je lui chuchote.
– Je t’aime tellement, maman.
La tête de maman repose sur ma poitrine, sa main sur mon ventre, juste au-dessus de mes poils pubiens. Elle se tourne pour embrasser ma joue et répond.
– je t’aime, mon fils. Joyeux Noël.
Et nous nous sommes endormis, heureux, dans les bras l’un de l’autre, nos cuisses mêlées.

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