LU sur le net :
Aîcha est tunisienne, 41 ans, mariée et mère
Je suis d’origine tunisienne mariée depuis une vingtaine d’année à un médecin. Nous avions choisit de vivre en France depuis ma dernière et quatrième maternité.
Mon mariage avait tout pour réussir, mais avec le temps, Ramzi mon mari, me délaissa pour sortir en cachette avec de jeunes filles de notre communauté. Mon coeur s’était brisé en découvrant son infidélité.
Mais ayant reçu une solide éducation religieuse, je me suis résignée à lui rester fidèle et à ne pas divorcer. Une amie antillaise mise au courant de mon calvaire m’a proposé de prendre un amant, mais voyant que je ne réagissais pas, elle m’a présenté des hommes, organisant des rendez-vous pendant lesquels elle me faisait boire pour m’aider à dépasser mes complexes. En vain! Je me contentai de recevoir des caresses de mes amants imposés sans plus.
Elle finit pas se lasser après une engueulade en règle. Rayda, c’est son nom, bien que mariée menait une vie sexuelle très libérée. Elle se donnait pratiquement à tous ceux qui lui faisaient la cour et rompait après deux ou trois semaines. Son mari, de la même nationalité, était un sacré coureur de jupon. Il poussa un jour l’audace jusqu’à me draguer, mais je refusai net.
Un soir, pour fêter sa promotion, mon mari invita ses plus proches amis dont les miennes, à partager un cocktail à la maison. Il y’avait près d’une vingtaine d’invités et l’ambiance était bonne puisque tous se connaissaient presque. Il y’avait N un collègue de travail de R. Il était très séduisant et nous rendait fréquemment visite à la maison. J’avoue avoir craqué pour lui un temps. Je l’ai présenté à Rayda, qui comme on pouvait s’y attendre, tomba sous son charme. Elle a prit place à ses côtés dans le canapé. Ils discutaient gaiement, ignorant pratiquement l’assemblée. Assise en face d’eux, je ne les quittais pas des yeux. C’était peut être par jalousie ayant un faible pour lui. Rayda le caressait sur les cuisses. Il faut dire que la faible luminosité diffusée par les lustres permettait de petits incartables. Au fil du temps, elle lui a prit la main et lui caressait le bras, l’embrassant de temps à autre.
Comme je l’envisageais, N se mit lui aussi à lui caresser les cuisses. La scène était d’une telle intensité que j’en fus excitée. Un moment, je vis la main de N disparaître sous les pans du pagne de ma copine. Les caresses semblèrent faire leurs effets car je vis Rayda plus concentrée. Elle ouvrit discrètement les cuisses pour faciliter sa progression. Mais, tout n’allait pas pour le mieux. Elle se leva et se dirigea vers les toilettes. Quand elle revint une minute plutard, je remarquai qu’elle n’avait plus sa culotte. La salope, elle s’en était débarrassée pour se donner plus aisément à son amant. Je le vis remettre une boule de tissu de dentelle à N; sa culotte! Elle s’asseyant, elle desserra largement son pagne. Un instant après, N replongea sa main dans son intimité. Rayda sursauta un moment; les doigts venaient de la pénétrer. N, dans un calme commençait à lui fouiller son intimité car la bosse s’agitait lentement au niveau du ventre de Rayda. Le plaisir l’envahissait peu à peu, elle se balançait doucement d’avant en arrière, les yeux mis clos, la bouche entrouverte dans un plaisir naissant. Elle croisait et décroisait les cuisses, se tordant par moment. Je ne les quittais plus des yeux. Mon envie longtemps au repos s’éveillait. Je sentis mon ventre couler abondement. N semblait combler ma copine. Il prenait tranquillement du champagne, alors que de l’autre main, il donnait un immense plaisir à Rayda. Bientôt, elle se laissa aller sur le dossier, les cuisses plus béantes que jamais, les yeux révulsés jusqu’au moment où elle se crispa, refermant brusquement les cuisses sur la main de son amant. Elle resta ainsi un long moment, dévastée par l’orgasme. Elle se détendit enfin et N put retirer sa main qu’il essuya sur le siège. Mon pauvre siège! Rayda l’embrassa tendrement sur la joue visiblement heureuse. Elle s’est retirée aux toilettes et quand elle revint s’installer, je remarquai une large auréole derrière son pagne, à hauteur des fesses.
A mon tour, je me levai pour aller dans les toilettes en prisons à une excitation sans borne. J’ai refermé la porte et tout de suite j’ai rabaissé ma culotte et remonter ma robe sur le ventre. Ma main a glissé dans ma fente intime et je me masturbai. C’était agréable, le plaisir montait lentement. Je gémissais, la tête renversée en arrière, balançant le bassin d’avant en imaginant la bite de D en mon ventre. Je répétai son nom jusqu’à ce qu’un orgasme me terrasse. Je suis restée un moment à savourer mon bonheur apaisé. Quand je rouvris les yeux, D se trouvait en face de moi, un sourire complice aux lèvres. Il avait assisté à mon ébat solitaire. Imaginez ma confusion! Je balbutiai une excuse et m’apprêtai à filer, mais il me retint d’une main ferme. Il ferma la porte à clé et revenant vers moi, me plaqua contre le mur en m’embrassant. Je fis semblant de résister et me laissai aller par la suite. Nous nous sommes mangés la bouche pendant qu’il me caressait la chatte dégoulinante. Je soupirais d’aise, gémissais de plaisir. N me retourna et me fit pencher en avant. Je pris appuis sur les mains et me combrai encore plus. N releva ma robe autour de la taille et d’une poussée puissante, me pénétra profondément. Il était aussi long que gros. Rien à voir avec la petite queue de Ramzi. Il se mit à me baiser, d’abord lentement, puis de plus en plus fort. Je me suis laissée aller au plaisir en criant et gémissant. La musique et le vacarme crée par les bavardages couvraient mes cris. Oh, N baisait divinement que je jouis plusieurs fois. Il accéléra et dans un rugissement étouffé se vida les couilles dans mon con. Le jet du sperme chaud et abandon dans ma chatte a suffit à déclencher un nouvel plus dévastateur que les précédents. Nous nous sommes embrassés de nouveau, puis N s’éclipsa après avoir uriner. J’étais tant ravie qu’honteuse de cette partie de baise. Mon fantasme venait de se réaliser. N m’a sauté bien avant ma salope de Rayda. J’étais bien décidée à lui raconter mon histoire plutard.
Je me suis changée car ma robe avait été tâchée par le sperme de mon amant. Quand je croisai le regard de mon mari, j’y lu de la surprise, mais me contentai de lui sourire. N mit fit un clin d’oeil complice auquel je répondis par un baiser du bout des lèvres. Rayda parut comprendre, mais je détournais rapidement le regard.
Une heure plutard, les invités se sont retirés. Rayda était accrochée aux bras de N, très amoureuse. Avant de monter dans la voiture de N, elle me dit d’appeler son mari pour l’avertir qu’elle dormait chez moi, ayant abusé de l’alcool. N s’était rapproché de moi et me prenant par la taille, m’a déposé un long baiser chaud sur la bouche. Je lui dis ma reconnaissance en souhaitant le revoir bientôt. Il me donna rendez vous pour le lendemain.
Rayda occupée à téléphoner à qui, je ne sais, n’avait rien remarqué. Ils disparurent bientôt. Pendant toute la nuit, j’ai fantasmé sur mon nouvel amant N en l’imaginant déjà entrain de me sauter.
Comme convenu, il m’appela le lendemain après midi. Je le retrouvai dans son appartement et il me sauta comme je le méritais. Depuis ce jour, nous vivons en cachette.
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