La douceur du réveil était propice à la saillie pour nous.
La tension érotique telle qu’il n’était plus possible de résister.
Elle me chevauchait, ses deux petites mains en l’air comme si elle faisait de la corde à sauter sur mon membre.
Les deux auriculaires tendus, elle savait donner à ses doigts manucurés, l’élégance et le charme de la féminité.
La tiédeur humide entre ses fesses cambrées était apaisante tout comme le minuscule couinement de sa voix pendant ses délicats efforts.
Les poils si bien rasés, dessinaient un sapin de plaisir autour des grandes lèvres, me chatouillant délicieusement le pubis et par là-même, augmentaient l’impression de volume du précieux dindon.
À la manière d’une belle de nuit, la fleur aux longs cheveux blonds et soyeux paraissait vouloir éclore, s’ouvrir de grâce, par la raideur de la tige qui faisait couler sa sève.
Les pétales se déployaient progressivement, elle s’épanouissait entièrement.
Consciente de la délicatesse en cette heure très matinale, elle maintenait la fermeté de la verge avec douceur.
Elle contractait le vagin quand elle faisait rentrer lentement le vit pour le faire frotter entièrement et relâchait au moment de le recalotter. Le gros champignon violacé écartait les parois serrées tout au long de la pénétration pour finir avec le prépuce refoulé et le frein entièrement tendus, la couronne du gland dessinant et délimitant le bout de la tringle.
Les testicules faisaient office de fin de course contre la vulve, c’est d’ailleurs ce qu’elle pouvait voir pendant ses suaves chevauchées de putain retenue.
En appui sur ses doigts de pieds, elle montait et descendait gracieusement, prenant soin de conserver la tête du phallus confortable en elle pour que cette dernière se durcisse et se développe au maximum.
Elle se délectait de ces sensations, de réussir à rendre le membre large et dur avec une extrémité aussi épineuse qu’elle le souhaitait.
Ayant trouvé le plaisir de s’abandonner, elle commençait à braire, perçant le silence du matin et faisant profiter le quartier de ses gémissements.
Je l’encourageais à continuer en lui palpant les mamelles.
Les tétines étaient fermes et proéminentes, idylliques pour stimuler une vigoureuse décharge de jute.
Tellement excité par tout ce qu’elle façonnait, je l’accompagnais dorénavant en lui adjugeant de profonds coups de pénis.
Ma virilité lui faisait claquer les fesses, l’impression inconfortablement délicieuse de mes coups de queue entière lui donnait l’inspiration de couiner différemment.
Le con attisé par ma bite, elle était montée d’une octave dans ses geignements, dépassant mes limites de tolérances à la jouissance.
Ses tétons dans mes mains, j’expulsais énergiquement tout le foutre dans son vagin aux lèvres barbues.
Elle s’était tue et me laissait séjourner passivement, le temps que mes couilles puissent se vider des dernières gouttes que je forçais à extraire de l’urètre.
Le pieux s’était déraidi et sortait naturellement d’entre ses fesses.
Elle s’allongeait sur moi, les petits pieds en ballerine, la moule copieusement spermeuse et les nichons écrasés contre mon torse pour pouvoir finir sa nuit.
Magnifique femme.
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