Ma femme et le Pitbull d’Abdel, chez mon dealer.
Un jour, ma femme et moi étions sexuellement très excités, et on avait envie de fumer un peu d’herbe pour nous détendre et faire l’amour tranquillement.
Je téléphonais à Abdel, un petit dealer que je connaissais, qui me donna rencard chez lui à 18h. Ma femme avait mis une mini-jupe, et n’avait pas mis de culotte : j’adorais ça, j’adorais savoir qu’elle était nue sous sa jupe lorsqu’on se promenait dans les rues de Paris et dans le métro. Cette situation nous excitait tout les deux très fortement.
Arrivés chez Abdel, je sonnais et, immédiatement, j’entendis des aboiements derrière la porte. J’étais très étonné car je ne savais pas qu’Abdel avait fait l’acquisition d’un chien.
Après nous avoir ouvert, Abdel me dit que c’était le Pitbull d’une copine à lui, qui lui avait laissé en garde pendant qu’elle faisait un break de six mois à l’étranger.
Le problème c’est que le chien était salement énervé et, surtout, très entreprenant. C’était comme comme s’il avait été très attiré par l’odeur de la chatte de ma femme. C’était très gênant. Comme ma femme n’avait pas de culotte, je comprenais qu’il devait sentir directement l’odeur de son sexe, mais je n’avais pas envie de le dire à Abdel.
Ma femme n’arrêtait pas de repousser le chien, mais celui-ci arrivait tout de même à laper par-ci par-là de temps en temps sous sa jupe, ce qui ne manquait pas de déclencher chez ma femme un rire gêné.
Je voyais bien que ma femme avait à la fois envie d’en rire mais qu’elle était également très embarrassée.
Au bout d’un moment, Abdel, lui aussi gêné, en a eu assez, il prit le Pitbull par le collier et le mit dans une pièce à part.
Nous nous sommes enfin assis dans le salon et avons commencer à fumer l’herbe que nous proposait Abdel. Nous discutions tranquillement bien installé dans les canapés et l’effet de la substance commençait à se faire sentir. On se sentait de plus en plus tranquille et détendu, mais derrière la porte, le chien, lui, était toujours très énervé et n’arrêtait pas d’aboyer, comme s’il voulait participer à notre petite partie.
Nous continuons à fumer en rigolant et on s’excitait de plus en plus, lorsqu’à un moment, entendant les gémissements du chien, ma femme ne pu s’empêcher de dire à Abdel qu’elle se sentait tout de même une peu coupable d’avoir fait enfermer la pauvre bête dans une pièce à part.
Abdel lui répondit qu’il voulait bien laisser sortir le chien mais qu’il allait continuer à essayer de la lécher surtout dans l’état dans lequel elle se trouvait désormais, rigolarde et grisée, car, lui précisa-t-il, les chiens sentent immédiatement l’excitation des humains.
Ma femme rigola et insista pour libérer le chien.
Abdel alla à la porte, l’ouvrit et, évidemment, se passa ce qui devait se passer… Le chien se jeta immédiatement sous les jupes de ma femme pour la lécher de plus belles !
Ma femme lâcha de petits cris deux trois fois en essayant de le repousser, mais on voyait bien que les coups langue du Pitbull atteignaient souvent leur but et ne la laissait pas sans effet, ma femme rigolant de plus belle sous l’effet de l’herbe.
Au bout d’un moment, Abdel compris ce que tout le monde commençait à comprendre à demi-mots… Il me regarda et me dit :
– Putain, fini ce petit manège mon pote, ta femme a vraiment envie se faire lécher par le Pit !
Alors que je restais interloqué par sa réflexion, Abdel se leva, prit le Pitbull par le collier et s’adressa directement à ma femme :
– T’as envie de te faire lécher par le chien ?
Ma femme était éberluée, elle rigolait, mais ne répondait rien, tandis que le Pitbull essayait de jouer du collier et d’avancer vers ma femme pour lui donner quelques coups langues supplémentaires.
Abdel le retenait toujours par le collier mais approcha un peu plus le Pit de ma femme et répéta la question :
– T’as envie de te faire lécher par le chien salope ? Répond !
Ma femme me regarda hagard et excitée, cette fois-ci elle ne rigolait plus et ne savait plus quoi répondre.
Abdel alors prit les choses main, et il lui dit d’un ton assuré :
– Allez salope, lève ta jupe et fais toi bouffer devant ton mari, t’en as envie hein ? Dis-le !
Il approcha le Pitbull tout près de la chatte de ma femme, le chien essayait de laper de plus belle en allongeant sa langue des quelques centimètres qui le séparaient de la chatte de ma femme… « Ouvre tes cuisses salope ! » dit une dernière fois Abdel.
Ma femme s’exécuta timidement et s’abandonna alors totalement sous les coups de langues épaisses du Pit !
Le spectacle était affolant. Au bout de quelques secondes la chatte de ma femme était complètement engorgée et elle gémissait comme une chienne en chaleur.
Elle ne nous calculait plus. Elle se tordait sous les babines épaisses du Pitbull qui, affamé, ne semblait plus pouvoir s’arrêter.
Je vis Abdel s’asseoir à côté de moi et sortir sa bite et commencer à se branler devant le spectacle. Sa queue était énorme. Trois fois plus grosse que la mienne. Il se branlait tout en commentant le spectacle.
– Ta femme va se faire niquer par le Pit mon pote, tu vas voir, il va finir par la niquer… 2 contre 1 !
Ma femme gémissait de plus en plus.
Je n’en pouvais plus. Je sortis moi aussi ma queue et commençais à me palucher à côté de l’énorme bite d’Abdel, qui commentait toujours le spectacle.
– Regarde elle commence à avoir envie de se faire monter…
Effectivement, le Pit commençait à essayer de monter sur ma femme, mais c’était pas pratique de la prendre en missionnaire, il ne faisait que s’accrocher à ses cuisses.
– Regarde-la, elle commence à écarter les cuisses… elle a envie de se faire monter, regarde…
Abdel me regarda me masturber et me dit :
– Ça excite ta petite bite hein ? Le Pit’ va te niquer ta femme avec sa grosse queue mon pote !
J’étais au bord de l’éjaculation.
« Tu n’y arriveras pas comme ça salope, dit Abdel, faut que tu mettes à quatre pattes… »
Le Pitbull essayait de plus en plus de monter sur ma femme, qui écartait de plus en plus les jambes, mais le chien n’arrivait qu’à att****r une de ses cuisses : tantôt la droite, tantôt la gauche, alternativement ; son sexe, sorti du fourreau, dardait vers ma femme, mais n’arrivait toujours pas à trouver le chemin.
Ma femme gémissait, elle avait maintenant manifestement envie que le Pit la monte, elle écartait les jambes mais ne savait pas comment s’y prendre.
Là encore, Abdel prit les choses en main. Il sortit de la pièce et revient avec une laisse au bout de laquelle était fixé un gros collier de chien.
Abdel s’approcha de ma femme et lui passa le collier autour du coup, puis il prit l’autre bout de la laisse et lui dit sèchement :
– Allez, fous toi à quatre patte maintenant !
Ma femme descendis du canapé et se mis à quatre patte sur le tapis.
Abdel la fit tourner au bout de sa laisse tout autour de la pièce, avec le Pit qui la suivait à la trace en essayant de lui monter dessus.
Au bout d’un moment Abdel s’arrêta et le Pit essaya de monter ma femme, trois ou quatre fois sans réussite. À la cinquième fois, il lui fourra violemment sa bite dans la chatte et entama un va-et-vient à une cadence hallucinante, entrainant des cris suraigus de ma femme. Elle jouissait d’une manière totalement extraordinaire, autant du rythme infernal des va-et-vient du Pit que de se faire humilier de la sorte.
Cette scène extraordinaire scène dura bien 40 ou 50 secondes, avant que le Pit ne se calme, et finit par rester immobile, accroché au con de ma femme.
Sa bite avait tellement grossie qu’elle était prisonnière de la chatte de ma femme, qui le retenait jusqu’au nœud.
Ma femme continuait de gémir, car manifestement, la bite du Pit continuait d’éjaculer dans son con.
Le Pit et ma femme étaient tous deux essoufflés, essayant chacun de reprendre leur souffle, mais ma femme continuait manifestement à jouir.
Cela dura bien trois ou quatre minutes, avant que le Pit déconna dans un bruit de jet d’urine : c’était le sperme enfermé dans la chatte de ma femme qui soudain d’échappait. Au même moment, ma femme laissa échappé un cri suraigu, puis s’allongea sur le dos comme essoufflée, râlant encore de plaisir.
Le Pit tournait lentement autour d’elle, sa grosse queue encore turgescente brinquebalait entre ses pattes, en laissant régulièrement échappée d’énormes giclées de sperme.
Ma femme se masturbait machinalement en râlant, les yeux hagards.
C’est alors qu’Abdel intervint de nouveau :
– Finis-le salope ! Suce lui sa grosse queue, prends la dans ta bouche !… Vas y il a envie se faire sucer maintenant !
À ces mots ma femme recommença à geindre et à se masturber de plus belle, tandis qu’Abdel, s’accroupit, pris la queue du chien à sa base, et l’approcha de la bouche de ma femme.
Ma femme se prit alors un énorme giclée de sperme en travers de la figure et dans un râle, commença à lécher la bite turgescente du Pit.
« Vas y prends-la toute dans ta bouche salope ! », l’encouragea Abdel.
Ma femme s’empara alors de l’énorme queue et la glissa profondément dans sa bouche et la suça en va-et-vient tandis que le Pit lui léchait sa chatte encore toute mouillée. Un 69 bestiale s’ensuivit, enivrant, ma femme râlait à chaque giclée de sperme du Pit qui, lui, la léchait de plus belle…
Abdel n’en pouvait plus, il prit à nouveau son sexe dans sa main et recommença à branler son énorme bite en me regardant et en traitant ma femme de salope de blanche, de chienne en chaleur et j’en passe.
Au bout d’un moment, la queue du Pit se dégonfla et le chien s’éloigna, laissant ma femme seule, allongée sur le dos, se masturbant sur le tapis…
C’est là qu’Abdel s’approcha de ma femme, s’accroupit en continuant à se branler et l’insulter et, soudain, lui lâcha dans la bouche une énorme giclée de sperme que ma femme tentât de capter du mieux qu’elle pouvait, tandis qu’Abdel la traitait de chienne en chaleur.
À la dernière giclée, ma femme avança sa bouche vers le gland d’Abdel, s’en empara puis le suça comme pour en faire sortir le dernières gouttes de semence… Abdel l’insultait :
– Vas-y salope, suce la grosse queue d’Arabe, pompe encore, t’as encore envie de pomper de la grosse queue de rebeu hein ? Salope !
Me femme n’arrêtait pas de pomper la bite d’Abdel qui commençait enfin à se dégonfler.
Au bout d’un moment, Abdel en eut marre.
« Allez, ça va sale pute, ça suffit », dit Abdel en se relevant. « C’est pas le tout les amis, mais j’ai un autre deal à conclure dans 10 mn, et il faudrait que je clean un peu tout ce merdier avant ! Il est temps partir les amis ! »
Ma femme se rhabilla, et Abdel nous raccompagna à la porte. Au moment de partir il me dit :
– Ta femme voudra recommencer mec, c’est sûr, je sais pas dans combien de temps, mais après avoir gouté à ça, on peut plus s’en passer mec… La prochaine fois, je te prendrai 300€ pour que le Pit baise ta femme, prix d’ami ! Tu me passes un coup de fil avant, et je vous dirai quand passer ! Allez salut, à la revoyure !
Ma femme et moi, nous descendîmes l’escalier sans un mot, main dans la main. Nous rentrâmes chez nous, et une fois arrivé, on ne put s’empêcher de se jeter l’un sur l’autre et de faire l’amour surexcités comme des bêtes.
Ça dura comme ça une semaine, chaque jour, chaque soir, à baiser comme des fous ! Jusqu’à ce qu’un jour… je compris, à demi-mots, que ma femme avait encore envie d’aller chez Abdel. Alors, moi aussi, tout excité, je pris mon téléphone, et composa le numéro.
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