Michel, vingt huit ans, rentre d’un long séminaire dans le nord de la France.
Avant de partir, il avait demandait à son frère Eric, jeune et beau célibataire de vingt deux ans, de venir s’installer chez lui, pour protéger sa jeune épouse, d’un éventuel cambriolage.
Christel, la jeune épouse de Michel, âgée de vingt cinq ans, est d’une beauté à couper le souffle. Des seins et des hanches faites au tour.
Quand Michel arrive, la villa est vide. Sa femme et son frère ont du aller faire des courses.
Il rentre, récupère le courrier, et un petit paquet. Il pose le tout sur la table basse, et va prendre une douche. Il revient, vêtu d’un peignoir de bain, se sert un bon whisky, et s’installe sur un fauteuil.
Il ouvre le courrier, rien d’intéressant. Il ouvre le petit colis… c’est un DVD.
Michel pense que s’est la démonstration d’un produit, comme Christel en reçoit souvent.
Curieux, il le met dans le lecteur.
Les premières images montrent Georges, la cinquantaine, un des collaborateurs de Michel, en caleçon, assit sur le canapé, en train de siroter un verre. Au bout de quelques minutes, Christel, apparait, vêtue d’un peignoir blanc, que son mari lui avait offert. Elle l’ôte, s’installe à côté George, et se love contre lui.
Michel se dresse sur son fauteuil. Mais il n’est pas au bout de ses surprises.
-Alors mon chérie, dit Christel en l’embrassant…j’ai envie de toi ce soir…quitte ton caleçon.
-Mais enfin, mon amour, je t’ai baisée tout l’après midi…t’en n’as pas assez…
-J’en veux encore, souffle-t-elle. Tu sais que j’aime la queue.
Christel s’installe dans l’angle du canapé, jambes écartées, entièrement offerte. Georges glisse une main entre les jambes de la jeune femme, jouent avec la chatte fraichement épilée. Il se met à genoux à côté d’elle, et place sa queue au contact de sa bouche. Christel l’aspire de ses sensuelles lèvres. Les doigts de Georges caressent la fente déjà humide, excite le clitoris.
-Ah…gémit-elle, salaud…Il dirait quoi Michel s’il savait qu’un de ses collaborateur s’amuse avec la petite chatte de sa femme.
-Et qu’est- ce- qu’il dirait s’il savait que pendant que je lui doigte son petit bouton, elle me taille une pipe, lui qui la croit fidèle…
-Et tu en profites de mon infidélité, hein, vilain…vas-y mon amour…fais toi plaisir…fais moi jouir…
Michel, paralysé, voit les doigts de Georges pénétrer la chatte, il voit aussi son calibre aller et venir entre les lèvres de son épouse. Au bout d’un court instant, il enfonce entièrement sa bite dans la bouche de Christel, lui maintient la tête. Il est tout simplement en train de se vider les couilles dans sa bouche. Et il prend son temps.
-Hum…hum…hum…tu vois que tu avais envie toi aussi…tes couilles étaient pleines, salaud.
-Ah…putain…quelle pipe tu m’as taillée…ouais…si ton mari savait ça…
-Enfoiré, répond Christel, mon mari, c’est ton ami je te signale. Allez, baises moi maintenant.
Georges s’allonge sur le dos, la bite toujours en érection. Christel le chevauche, et s’empale sur le calibre décalotté, en poussant un râle de plaisir. Elle se penche et lui prend la bouche.
Michel assiste impuissant à la scène.
« Oh mon dieu, mais que fait-elle…et avec mon collaborateur copain en plus ».
Soudain, une ombre se faufile dans le salon, et se dirige vers le canapé.
C’est Eric, le propre frère de Michel, qui se place devant Christel, la queue en érection.
-Un petit encas ma chérie, dit-il.
-Oui, répond Christel, viens que je te suce…
La bite d’Eric disparait, happée par les lèvres de la jeune femme. Lentement, elle commence à tailler une pipe à son beau frère. Michel fulmine sur son fauteuil. Et ce n’est pas fini.
Une troisième personne intervient.
« Oh non, pas lui, hurle-t-il ».
Il reconnait Guy, son pire ennemi, celui qu’il déteste le plus au monde. Il avait averti son épouse du côté dragueur de Guy, qui s’était juré de la baiser Christel, rien que pour l’humilier Michel.
« T’inquiète, lui avait répondu Christel, tu sais que je n’aime que toi, que je suis fidèle. Et même, Il est hors de question que je te trompe avec un connard pareil. »
Guy est entièrement nu, la bite tendue au maximum. Il s’approche du canapé.
-Oh, sourit-il, je vois qu’il y a un petit trou de libre…m’est-il réservé ?
-Il t’attend, souffle Christel, vas-y, prend le…donne ta bite que la mouille un peu…
Guy avance sa queue lubrifiée avec soins par la bouche de Christel. Il frotte le gland décalotté sur le petit orifice, le taquine, puis l’enfonce dans les entrailles de la jeune femme, qui feule de plaisir.
-Vas-y, gémit Christel, si Michel savais que sa femme se fait sodomiser par son pire ennemi…
-Je prends tellement plaisir à l’humilier ce cocu. J’aime tellement m’amuser avec sa femme…et toi, t’as pas envie qu’on joue…
-Oh si mon amour, fais-toi plaisir…ouvre moi le cul avec ta grosse bite…tu sais que j’adore les doubles pénétrations…pour une fois que j’ai deux grosses bites dans le ventre, ça me change de la petite queue de mon mari…
Michel est sidéré par les propos tenus par son épouse, même s’il reconnait que Georges, et surtout Guy, sont mieux montés que lui. Les mensurations en érection sont incomparables. Ce qui lui fait mal aussi, c’est d’entendre Christel crier son nom.
Soudain, Christel a un terrible orgasme. Elle est prise de violents spasmes, hurle de plaisir.
Les trois mâles éjaculent en même temps. Tous ses orifices sont remplis de sperme. D’ailleurs, elle avale celui d’Eric, sans en perdre une goutte.
Pour finir, Christel prend soin de nettoyer les trois bites avec sa langue, puis avales les restes.
Michel ne sent plus ses jambes, comme un boxeur qui vient de prendre un uppercut.
Soudain, il se sent violemment secoué.
-Hey, Michel, mon chérie, le secoue Christel. Mais t’es bien énervé.
Michel écarte son épouse du bras, pour voir la télé. Les infos passent en boucle.
-Oh mon dieu ma chérie, dit-il, quel cauchemar.
-Hum…à voir la queue tendue qui dépasse de ton peignoir, ce n’était pas plutôt un rêve érotique, sourit Christel. Mais vas-y, racontes moi.
-Tu étais en train de faire l’amour avec Georges, et mon frère. Et le pire, c’est qu’il y avait Guy, mon pire ennemi, qui participait. Je voyais qu’il prenait un réel plaisir à t’enculer. Tu hurlais de plaisir.
-Mon dieu, c’est vraiment un cauchemar. Mais j’avoue qu’une partie à trois, avec ton frère, ne me déplairait pas, dit Christel en passant sa langue sur ses lèvres.
-T’es sérieuse, sourit Michel, tu aimerais vraiment baiser avec moi et mon frère.
-Si tu es d’accord, bien sur, pour te faire plaisir…pourquoi pas…
-Vicieuse, déshabille toi que je te nique, salope.
-Tu vois que ton cauchemar t’a donné des envies. Viens sur le canapé que je te fasse un gros câlin. Tu me diras des mots crus, me traiteras moi de pute…
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