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Des 2 cotés du fouet

Des 2 cotés du fouet



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Bien qu’il vienne de dépasser la cinquantaine, Alain est un très bel homme. Sportif accompli, il a su garder un corps d’athlète et tous ses cheveux. Bien des quadragénaires pourraient lui envier sa sveltesse et son élégance. Sa compagne Martine, de dix ans sa cadette, est aussi grande que lui mais beaucoup plus pulpeuse. C’est une belle rousse tout à fait séduisante et dotée d’une poitrine généreuse, mais encore très ferme, qui fait sa fierté et la joie d’Alain. Tous deux forment un couple sympathique et épicurien, grand amateur des plaisirs de la chère et de la chair. Dans ce domaine, ils se complètent parfaitement : Alain aime dominer, Martine adore se soumettre ; le premier aime manier la cravache, la seconde adore être fouettée ou prise avec brutalité. C’est pourquoi ils ont aménagé dans l’ancienne fermette qu’ils ont restaurée et qui se trouve loin de toute autre habitation une pièce qu’ils appellent en souriant leur « salle de toutes les ivresses ». Ils aiment y recevoir de temps en temps des amis triés sur le volet et surtout des couples dont les femmes désirent, par goût personnel ou pour plaire à leur amant, devenir pour quelques heures des esclaves sexuelles.
Lorsque nous pénétrons, Bernard et moi, dans la « salle de toutes les ivresses », je me dis qu’Alain aurait plutôt dû l’appeler la « salle de toutes les tortures » ! On y trouve, en effet, toute une collection de palans, de croix munies de menottes, de potences, de piloris. L’un des murs est entièrement tapissé de fouets, chaînes, martinets, cravaches, de cuissardes noires, de colliers cloutés et d’une impressionnante série de godemichés de toutes formes et de toutes tailles. Au centre de la pièce, une petite estrade d’environ deux mètres sur trois sert de scène et il y a, tout autour, des miroirs et des spots. La salle communique avec un petit vestiaire d’où sort un couple étonnant : la femme est une magnifique métisse dont les cheveux bruns bouclés tombent sur les épaules et qui porte une robe de soirée noire, l’homme est nu et porte un collier de chien autour du cou. C’est à lui, bien sûr, que je m’intéresse le plus. C’est un beau mâle, de type méditerranéen, à la peau mate, hélas totalement imberbe y compris au niveau du sexe court et épais. Notre hôte nous les présente tous deux :
« Voici Lesline qui, l’an dernier encore, faisait partie de la troupe d’un cabaret parisien célèbre et qui aura la gentillesse de nous présenter tout à l’heure l’un de ses plus beaux numéros… Et voici son ami Sergio, Espagnol, pur masochiste qui ne bande de manière satisfaisante que lorsqu’une femme le fouette. D’où sa présence parmi nous ! »
Martine, Bernard et moi nous nous installons confortablement face à l’estrade dans de profonds canapés. Sergio est chargé de remplir nos coupes de champagne. Alain règle la sono et les spots. Que le spectacle commence ! Lesline nous présente un numéro d’un érotisme torride : un strip-tease magistral qu’elle mène plus loin qu’elle ne pouvait le faire en public. Elle se caresse longuement les seins, la taille, les fesses, le clitoris, nous présente, cuisses largement ouvertes, une chatte parfaitement épilée et luisante de cyprine, et un cul ravissant dans lequel elle enfonce, après les avoir sucés et enduits de salive, des godemichés aux formes variées dont l’un, très long, en ébène. Je suis sûre que Martine mouille autant que moi. Quant à Bernard, il ne peut cacher l’érection qui gonfle son pantalon. Il n’y a que ce malheureux Sergio qui, quoique fasciné par le spectacle que nous offre sa ravissante amie, reste sans réaction.
Après son numéro, Lesline, désormais nue remplace Martine sur le canapé entre Bernard et moi. Nous la félicitons chaleureusement et, comme elle écarte les cuisses, nous glissons chacun un doigt dans sa chatte tout en l’embrassant. Elle ronronne de plaisir et coule sur nos doigts inquisiteurs. Je pense que Bernard adorerait l’enfiler mais Alain nous a prévenus : elle ne veut être pénétrée que par son Sergio … si celui-ci réussit enfin à bander.
Pendant ce temps, Martine s’est déshabillée. Alain l’attache, face à nous, sur une grande croix. Cela me laisse le temps de l’admirer. Malgré sa cinquantaine, c’est toujours une très belle femme, pulpeuse, épanouie, excitante. A la façon dont il la regarde aussi, je vois que mon mari partage mon avis. Alain revient vers nous et lui tend un martinet à longues lanières de cuir :
— Echange de bons procédés, dit-il. Puisque j’ai l’intention de fouetter ta femme, il est juste que tu flagelles la mienne. Surtout, fais preuve de sévérité. Elle n’aime pas la mièvrerie.
Bernard, que ce spectacle à la suite du précédent, a prodigieusement excité, quitte tous ses vêtements qu’il abandonne sur le canapé et, le phallus dressé comme un étendard, il monte sur la scène. Je suis fière de mon homme surtout lorsque Lesline me glisse à l’oreille :
— Quel beau mâle ! Quelle belle paire de fesses ! Quels pectoraux ! Quelle bite impressionnante !
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femme fouettee sur une croix
Je sais déjà comment Bernard va procéder. Il caresse d’abord la femme avec les lanières de cuir qu’il fait glisser entre ses seins, sur ses cuisses, sur son sexe. Puis le rythme s’accélère et les caresses du début se transforment en coups de plus en plus violents. Martine ne tarde pas à hurler, mais c’est une erreur car les cris, loin de calmer mon mari, ne font que l’exciter davantage. Bernard a une seconde d’hésitation puis il se décide à la détacher, la fait se mettre à quatre pattes et, d’un violent coup de rein, il s’enfonce jusqu’aux couilles dans le cul de la femme qui hurle de plus belle. Il commence à donner de grandes claques sur les fesses de celle qu’il encule. Il fait de même avec moi quand il me sodomise, mais ce n’est jamais très violent, il le fait pour m’échauffer la croupe et c’est plutôt agréable. Avec Martine, c’est différent : il la fesse avec un désir évident de faire mal. Alain, d’ailleurs, l’encourage :
— Vas-y ! Frappe-là ! Plus fort ! Plus fort ! J’adore l’entendre hurler !
Tandis que Bernard se déchaîne sur les fesses de Martine et au plus profond de son cul, Alain se glisse derrière moi. Il me demande de me lever et, tout en faisant glisser les bretelles de ma robe, il me murmure à l’oreille :
— Brigitte chérie, tu es encore la seule femme habillée. Et pourtant, cela va être à notre tour, à tous deux dans quelques instants…
La robe tombe à mes pieds, ses mains glissent sur ma peau, ses doigts emprisonnent mes seins, pincent mes tétons qui sont déjà durs. Je sens son membre qui gonfle contre mes fesses.
— Tu as vraiment une poitrine superbe, j’adore…
— Un peu moins opulente que celle de Martine tout de même… lui dis-je.
— Regarde un peu ton Bernard comme il est beau quand il baise ! A ce rythme là il ne va pas tarder à jouir ! Il est déchaîné.
— Rassure-toi, Alain, il a déjà joui dans ma bouche dans la voiture en venant ici. Je suis sûre qu’il va durer au moins dix minutes !
— On fait un pari, Brigitte ? Je te parie qu’il va gicler dans le cul de Martine dans moins de cinq minutes !
— Pari tenu, lui dis-je. A mon avis, il ne jouira pas avant dix minutes et choisira de se vider entre ses seins car, comme tous les hommes, il adore les gros seins, mon cher salaud.
— Si tu gagnes, c’est toi qui flagelleras Sergio. Si tu perds, c’est Martine qui maniera le fouet. »
Cette perspective me réjouit assez. Je sais que, dans quelques instants, c’est moi qu’Alain fouettera sur la scène – et je suis venue pour cela – mais l’idée de pouvoir me venger ensuite sur la chair de ce bel Hidalgo n’est pas pour me déplaire ! Pourvu que Bernard tienne !
Alain regarde sa montre et doit s’avouer vaincu. Cela fait plus de quinze minutes que Bernard va et vient dans le cul de Martine et, quand il se retire, c’est pour aller mettre sa bite, toujours aussi raide, dans sa bouche. :
— Vas-y, ordonne-t-il, nettoie-moi la queue. Après ça, je m’occuperai de tes seins. Là … Oui … Ta langue sur le gland… Oui… Encore… C’est bon, couche-toi sur le dos et donne-moi tes mamelles !
Martine s’effondre plus qu’elle ne se couche et se retourne. Bernard l’enjambe et glisse sa queue entre les deux globes de chair après les avoir longuement triturés entre ses doigts. Il pince violemment les tétons et les tire comme s’il voulait les arracher. Martine hurle à nouveau et, ouvrant largement les cuisses, libère de nouveaux flots de plaisir. Alors Bernard jouit à son tour et éjacule en rugissant sur la poitrine de la femme, sur son visage et jusque dans ses cheveux de longs jets de sperme blanc.
Je suis nue et je ne peux m’empêcher de frissonner en songeant à ce qui m’attend. Alain me dit de monter sur la scène et de tendre les bras au-dessus de ma tête. Il descend une corde fixée au plafond par un système de poulies. Il enserre mes poignets dans deux bracelets de cuir noir fixés au bout de la corde puis il fait remonter celle-ci avant de la bloquer. Je suis obligée d’étirer mes bras et tout mon corps car mes pieds touchent à peine le sol. La posture à laquelle je suis contrainte me fait cambrer les reins et saillir la vulve et la poitrine. Alain, qui était encore le seul à être habillé, quitte ses vêtements et, nu devant moi, m’interroge :
— Puis-je te fouetter les seins ? Acceptes-tu les aiguilles ? Les pinces ? »
Bernard répond pour moi :
— Sans aucun problème, mais ne me l’abîme pas.
Puis, tandis qu’Alain va chercher un martinet à larges lanières qui ne laisse pas de marques trop profondes, Bernard se tourne vers moi :
— Mon amour, mon unique, tu vas danser pour mon plaisir et je sais que, nous regardant te regarder, tu auras du plaisir toi aussi. Veux-tu que je te donne une balle de mousse à mordre ou préfères-tu crier ?
— Je préfère crier car je sais que ça t’excite encore davantage.
— Comme tu voudras !
— Bernard !
— Oui !
— Dès qu’il aura fini, baise-moi !
— Plutôt deux fois qu’une !
J’ai beau m’y attendre, quand les lanières s’abattent sur mes cuisses, je fais un bond. Alain n’est pas du genre à simuler. Il frappe méthodiquement les épaules, le dos, les fesses. Mon corps se tord sous les coups (Bernard dirait que je danse). Je retiens mes cris le plus longtemps possible, mais quand Alain passe devant moi et que les lanières s’abattent de plus en plus violemment sur les hanches, sur les seins, je me mets à hurler comme Martine tout à l’heure. Alain et Bernard bandent de plus en plus et c’est ma récompense. Je leur offre le spectacle de mon corps nu fouetté et le plaisir qu’ils prennent devient mon propre plaisir. Tandis qu’Alain s’acharne sur ma croupe et que perlent les premières gouttes de sang, Bernard vient refermer sur la pointe de mes seins les mâchoires d’acier des pinces et, sous cette douleur atroce, je jouis interminablement.
On me détache et, aussitôt, comme je le lui ai demandé, Bernard me prend en levrette. Que c’est bon de retrouver au fond de moi sa longue bite dure qui va et vient sans se lasser, sans faiblir. Alain passe devant moi, bite dressée, impérieuse et belle. Va-t-il me l’enfoncer dans la bouche ? J’aimerais assez, mais pour l’instant, il se tourne vers Martine et lui donne un ordre :
— Prépare-le !
De quoi s’agit-il ? Je ne sais et je décide de me concentrer sur le plaisir que me donne Bernard. Il va et vient au plus profond de moi et c’est un vrai régal. Mais pourquoi s’arrête-t-il à présent ? Qu’il continue ! Qu’il continue ! Je jette un coup d’œil dans l’un des miroirs latéraux et je comprends : Martine s’est agenouillée derrière lui et, sous le regard d’Alain, elle lui lèche le cul. Bernard se prête volontiers à cette caresse qu’il adore et que lui prodigue souvent ma sœur Agnès quand elle vient nous voir et participe à nos ébats. Mais pourvu que cela ne le fasse pas jouir trop vite ! J’ai envie de le sentir encore longtemps en moi. Soudain, je sens que Bernard se crispe et commence à débander. Que se passe-t-il encore ? Coup d’œil dans le miroir et surprise ! Martine s’est relevée et Alain a pris sa place. Je vois très nettement son membre qui s’enfonce entre les fesses de Bernard. Ainsi mon cher mari va-t-il goûter à sa première sodomie !
— Mon cher ami, dit Alain, toi qui aimes tant enculer les femmes, il est temps que tu saches quelle sensation cela procure ! Depuis tout à l’heure, je suis fasciné par tes fesses ! Allez ! Ouvre-toi que je t’empale ! »
Bernard ne répond pas. Je suppose qu’il serre les dents au moment où le gland force le sphincter, moment qui est toujours le plus douloureux quand on a à faire à un homme bien monté. Et soudain, quand le passage est franchi et qu’Alain s’installe tout entier dans le cul qu’il convoitait, Bernard est littéralement propulsé au fond de moi. Dès lors, c’est Alain qui mène la danse : quand il s’enfonce dans le cul de Bernard, la bite de celui-ci plonge jusqu’à ma matrice et quand il fait le mouvement inverse Bernard suit. C’est un peu comme si Alain me baisait par le truchement de mon mari dont le sexe a repris du volume et qui, en définitive, semble plutôt apprécier la situation.
Nous voguons ainsi tous les trois sur les cimes du plaisir sous le regard intéressé des trois autres. Quelques instants plus tard, Alain se retire et vient me présenter sa queue tandis que Bernard retrouve son rythme de baise habituel.
— Tiens, jolie Brigitte, hume cette bite qui sort du cul de ton homme. Y reconnais-tu son odeur ? Lave-moi avec ta salive. Fais-moi jouir à présent.
Et il plonge son membre odorant au fond de ma bouche sans même me laisser le temps de lui lécher le gland. Me tenant par les cheveux, il va et vient. Il baise ma bouche comme s’il était dans ma chatte ou dans mon cul. Pourvu qu’il ne se retire pas ! Pourvu qu’il me donne son jus ! Si souvent, les hommes préfèrent se retirer pour éjaculer sur le visage ou sur la poitrine de la femme, la privant de ce dessert exquis dont elles raffolent ! Mais non ! Alléluia ! Il explose en moi et m’envoie sur la langue et dans la gorge une semence épaisse et abondante dont je me délecte.
— Attends, me souffle Alain. Je vais te rincer la gorge.
Je garde son sexe entre mes lèvres et, effectivement, quelques instants plus tard, il pisse dans ma bouche tout en maintenant ma tête pour m’obliger à tout boire. Tout en avalant cette liqueur dorée, je jouis sous les coups de boutoir de Bernard dont le sperme jaillit en moi, tel un geyser. Nous nous retrouvons tous les trois encore haletants sur le canapé tandis que Lesline monte sur l’estrade avec Sergio pour l’attacher comme je l’étais moi-même auparavant afin que je tente, en le flagellant, de le faire bander.
Alain me dit que ce serait plus excitant si, pour la circonstance, je revêtais une tenue de dominatrice. Il va en chercher une et m’invite à mettre toute une panoplie de cuir noir : très hauts talons, cuissardes, corset serré qui fait jaillir les seins nus et cambrer la croupe. Je me prête à ses désirs et l’esclave se transforme en maîtresse tant il est vrai que nous ne sommes ni blancs ni noirs, mais blancs et noirs, que nous ne sommes ni hétéros ni homos mais tous un peu bi (parfois sans le savoir), autrement dit que nous sommes tous doubles, que nous avons deux faces. En ce qui me concerne, si j’aime qu’on me fouette il ne me déplaît pas de fouetter à mon tour.
— Commence en douceur, me glisse Lesline, mais si tu vois qu’il ne bande pas, vas-y à fond. Il faut absolument que tu le mettes en état de me baiser.
J’éprouve un sentiment de pitié pour cette femme magnifique capable de faire bander n’importe quel homme normalement constitué rien qu’en bougeant les seins et qui s’est amourachée d’un mec incapable de la satisfaire sans l’aide d’une tierce personne. Et, bien qu’il n’y soit pour rien, j’en veux à Sergio de ne pas être à la hauteur. Je sens même que la colère me gagne et, quand Lesline me donne la cravache, j’ai soudain envie de m’en servir de la manière la plus cruelle qui soit. Mais, puisqu’elle me l’a demandé, j’essaie de me modérer. Je passe doucement les lanières sur sa bite désespérément inerte, puis dans la raie de ses fesses. Je donne des coups légers sur les couilles, sur les cuisses, sur les pectoraux, mais il n’y a aucune réaction. Alors là, je me fâche. Je me place derrière lui et je commence à lui cingler le dos et les fesses de plus en plus violemment. Comme je le faisais moi-même tout à l’heure, il se met à « danser » et à crier sous les coups. Aussitôt ma chatte se liquéfie et un plaisir trouble mais bien réel s’empare de moi me poussant à être encore plus sévère et à frapper encore plus fort. Des gouttes de sang perlent par endroits, mais je n’en ai cure et je m’acharne sur sa croupe déjà bien marquée.
— C’est bon ! s’écrie soudain Lesline. C’est bon !
Je passe devant Sergio et, en effet, il a une superbe érection. Alain le détache rapidement, Lesline se met en position et Sergio s’empresse de la prendre en levrette. Enfin ! Ce n’est pas trop tôt ! Mais moi j’ai la chatte en feu ! Bernard s’en rend compte. Il m’allonge sur le canapé, j’ouvre largement les cuisses et il me lèche jusqu’à ce que de nouveaux orgasmes m’emportent et m’apaisent.

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