Je viens d’avoir 18 ans, je suis une jolie fille blonde aux yeux bleus que je tiens de ma mère, je suis bien faite avec une jolie petite poitrine 85B, que les hommes aiment bien caresser. Mon père, est un bel homme de 55 ans, alors que ma mère a 40 ans ; elle a une sœur de 2 ans son aînée ; elles se ressemblent beaucoup, c’est aussi ma marraine.
Quand ma mère avait 18 ans et sa sœur 20, elles perdirent leurs parents dans un accident de voiture, leur laissant un grand appartement dans le 7ème à Paris ; comme elles n’avaient pas encore terminé leurs études, et qu’elles étaient sans grandes ressources, elles décidèrent de recevoir des hommes pour vendre leurs charmes ; elles recevaient des hommes le soir ou pendant leurs inter cours ; que des hommes plus vieux qu’elles ou mariés, pour être tranquilles ; elles disposaient d’un discret et grand appartement, elles avaient chacune leur chambre, et disposaient de deux chambres d’amis pour recevoir. Au début, elles ne voulaient pas recevoir dans la chambre de leurs parents, mais très vite cela est devenu nécessaire.
Mon père a connu ma mère, il était un client de ma marraine, mais n’ignorait pas les activités de ma mère, puisque de temps en temps, quand ma marraine était occupée, ils faisaient l’amour ensemble.
Puis il la demanda en mariage ; ma mère accepta à une seule condition : qu’elle reçoive toujours ses clients, mais qu’elle se protégerait sauf avec lui ; il accepta mais voulut, lui aussi, pouvoir de temps en temps baiser avec sa sœur.
Ils se marièrent ; la nuit de noces se passa à trois, et, dès le lendemain, ma mère recevait ses clients comme avant, mais avec des préservatifs et en simulant l’orgasme. Le soir, elle retrouvait mon père, qui, lui, ne mettait pas de préservatif et ma mère prenait à chaque fois son pied. Ma marraine voyait mon père au moins une fois par semaine, surtout quand maman était occupée dans l’autre chambre, mais plus comme client, mais comme amant.
Puis ma mère est tombée enceinte ; ma mère promit à sa sœur qu’elle serait la marraine de leur enfant.
Quand j’étais petite, ma mère m’emmenait avec elle chez ma marraine tous les jours, et pendant qu’elle recevait ses clients, ma marraine s’occupait de moi ; elles s’arrangeaient pour ne jamais me laisser seule. Le soir papa venait nous chercher, et quelquefois, nous l’attendions pendant qu’il s’isolait avec ma marraine ; je ne savais pas encore ce qu’ils faisaient, puis ma marraine revenait et maman allait retrouver papa, puis nous rentrions à la maison.
Plus tard, vers mes 12 ou 13 ans, je compris enfin pourquoi papa passait du temps avec ma marraine ; maman m’expliqua alors ce qu’ils faisaient et me fit comprendre que, bientôt, dans quelques années je ferai la même chose ; elle m’apprit à mettre les préservatifs avec ma bouche, comme elle faisait avec les clients ; papa aimait me prendre sur ses genoux, et aimait que je fasse pipi sur lui ; maman me dit un soir, alors que j’avais envie, de me retenir et d’aller avec papa dans la salle de bains ; papa retira ma culotte pour que je fasse mon besoin dans sa bouche ; maman m’expliqua que papa aimait se faire uriner dessus, et qu’elle et ma marraine le lui faisaient souvent.
Alors que j’étais ado, et nous chahutions tous les deux, un jour, je me suis aperçu que dans le pantalon de papa il y avait une grosse bosse ; maman s’en est aussi aperçu et cela la faisait sourire, ; elle me dit qu’il ne faut pas tarder pour que tu y goûtes, elle me passe la main entre mes cuisses, et sent ma culotte toute mouillée.
Ma mère en parle à ma marraine, qui lui dit que je suis encore un peu jeune, mais qu’il va falloir commencer mon éducation ; sur ses conseils, maman me dit de ne pas mettre de culotte quand je chahute avec papa, que je serai plus à l’aise et qu’il pourra me caresser ; j’avais pris l’habitude de ne plus en mettre, ce dont ma marraine et ma mère se rendirent compte ; papa aussi et n’hésita pas à passer sa main sur mon sexe à chaque fois qu’il pouvait ; maman me demanda de m’asseoir sur les genoux de papa en lui tournant le dos et de retrousser ma robe ; papa sortit son sexe ; je ne pouvais pas le voir, mais je le sentais dans ma raie arrière ; il se masturbait dans mes fesses, et inonda de son jus mes petites fesses ; maman vient me les lécher pour me nettoyer. J’épiais ma marraine et ma mère quand elles recevaient des hommes ; souvent je les voyais sur le dos, les jambes écartées et des grosses bites les pénétrer ; comme cela me faisait envie, je me caressais.
Pour ma fête, ma marraine m’offrit un drôle de cadeau, mon premier vibromasseur ; elle m’expliqua comment m’en servir et me l’introduisit dans ma chatte pour me montrer sans oublier mon petit bouton ; je suis devenue une adepte de la masturbation solitaire, puis avec ma marraine, ma mère et mon père. J’aimais jouir et ne pouvais pas m’endormir sans ; j’appris à faire l’amour avec des femmes avant même d’y avoir goûté avec un homme.
Le jour de mes 16 ans, maman m’invita dans son lit, où papa nous attendait ; je savais que ce soir j’allais perdre mon pucelage par la bite de mon père que j’avais déjà sucé à plusieurs reprises sur les conseils de maman. Papa et maman préparèrent bien ma chatte par des caresses avec leurs mains et leurs langues ; quand je fus toute mouillée, je demandai à papa de m’enfoncer sa grosse queue dans mon sexe, il me demanda de m’allonger sur le dos, d’écarter bien mes jambes, je savais faire, j’avais vu ma marraine et maman le faire avec papa et d’autres hommes ; maman tenait la queue de papa et la présenta devant ma grotte ; n’y tenant plus, je demandai à papa de la rentrer, mais celui-ci alla très doucement ; j’étais vierge, et il voulait me déflorer en douceur ; puis il se heurta à mon hymen, et je lui dis de continuer ; il donna un coup de rein, et entra au fond de moi d’un seul coup ; quand il fut entré entièrement, il ne bougea pas pour que je m’habitue à avoir une queue dans mon ventre ; maman me dit : ça y est, tu es maintenant une vraie femme et j’espère que tu vas savoir en profiter, avec ton père et avec d’autres.
La nuit même, maman téléphona à ma marraine pour lui annoncer la nouvelle ; celle-ci lui dit que je suis encore trop jeune pour me prostituer, mais qu’elle partagera ses amants avec moi, qu’ils ne pourront pas me baiser, mais que je pourrai me faire caresser et sucer de belles queues ; je sais que je vais maintenant partager le lit de maman avec papa. Un soir dans le lit, maman mit du gel dans mon cul, et demanda à papa de me prendre par derrière ; c’était la première fois ; maman plaça la bite de papa devant mon petit trou ; j’appréhendais un peu, mais avec le gel, elle entra facilement ; j’avais mal, je serrais les dents, mais maman m’encourageait et papa continua son introduction ; quand il fut entré en entier, j’eus mal, mais papa commença des va-et-vient, très rapidement ; la douleur se transforma en plaisir, et je criai de bonheur en lui disant de rentrer plus loin encore. Au bout de quelques minutes, je jouis avec des cris et des gémissements quand papa lâcha tout son foutre dans mon ventre.
Ma vie continua comme cela pendant deux ans ; je me faisais baiser et enculer presque tous les soirs ; papa me laissait pisser dans sa bouche, et maman me demanda d’ouvrir ma bouche, pour uriner dans la mienne ; marraine aussi me pissait dessus et j’aimais bien l’urine chaude, surtout quand elle coulait sur mes seins. Je partageais les amants de marraine ou ceux de maman ; ils voulaient goûter à ma petite chatte, surtout quand je les suçais et me branlais avec mon gode, mais maman ou ma marraine ne voulait jamais, malgré mon désir de me faire baiser ; je me rattrapais avec papa et, souvent, il avait trois femelles dans son lit. Nous aimions toutes les trois nous faire pisser dessus.
Puis mes 18 ans arrivèrent, et le soir même sous les yeux de ma marraine et de ma mère, pour la 1ère fois je me prostituai et simulai la jouissance avec un de leurs amants. Maintenant nous étions trois belles putes ; je baisais pour la plupart du temps avec les vieux et elles avec les jeunes, papa aimait nous voir baiser.
Ma vie d’étudiante ne fût pas perturbée pour autant, je restais, en dehors de chez ma marraine ou de chez moi, une fille prude et sage, alors qu’à la maison, je me faisais prendre par tous mes trous pour mon plus grand bonheur.
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