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JOHANNA une vie de putain 6

JOHANNA une vie de putain 6



JOHANNA une vie de putain 6

Le chien fonce vers la fille qui est apeurée, reste tétanisée, elle n’ose pas bouger et se met à crier.
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La bête tourne autour de la captive tout en la reniflant puis celle-ci sent la truffe humide qui frotte entre ses jambes et contre son sexe puis la langue qui lui lèche la chatte.
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Horrifiée elle voit le chien poser les pattes de devant sur son ventre.
Quelque chose frotte et se déplace contre son sexe, elle comprend que Hannibal est en érection.
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Elle hésite puis menacée d’être battue et sachant qu’elle devra faire suivant la volonté de Harold elle se résigne et fait ce qu’il demande.
Dégoûtée, avec une main elle att**** le pénis qui perd du liquide et l’introduit dans sa chatte dans laquelle il s’enfonce.
Hannibal fait bouger son corps rapidement et la fille sent le membre se déplacer dans son ventre.
C’est rapide, après quelques minutes le chien se met à trembler, son sexe gonfle et une bonne quantité de sperme coule dans la chatte de sa femelle.
Il reste un moment sans bouger puis se retourne, son pénis sort de l’intimité de Johanna en émettant un bruit de succion.
Il s’assoit à côté de la fille et attend.
Le sperme s’échappe de la chatte de Johanna et coule sur le sol.
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La jeune fille est décontenancée, elle se sent sale et humiliée. Elle ne répond pas et pleure.
Elle commence à comprendre que sa déchéance ne fait que commencer et que seul un miracle pourrait la sortir du pétrin dans lequel elle s’est mise à cause de son inconscience et son appétit sexuel.

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Elle a droit à son premier exercice en tant que « chienne de son maître », la tenant en laisse il la promène à quatre pattes dans l’herbe et sur l’allée caillouteuse devant l’habitation.
Il n’est que rarement content du comportement de son élève esclave et la cravache qu’il garde en main s’abat souvent sur le dos ou les fesses de Johanna.
Au bout d’un bon moment elle n’en peut plus mais s’efforce de satisfaire au mieux son bourreau pour éviter d’être frappée.
Ce jour là pour finir elle se retrouve à genoux les mains sur la tête dans l’allée faite de graviers.
Elle trouve le temps long et sans oser bouger souffre à cause des graviers qui ont tendance à s’incruster dans la chair de ses genoux.

Le deuxième jour, il commence lui par demander de faire les exercices d’obéissance à quatre pattes en lui disant qu’ils seront quotidiens.
Ensuite il la fait courir, elle tourne longtemps en rond dans l’herbe dans la cour de la propriété.
Il a sorti un fouet dont la lanière single le dos de la fille quand elle ralentit ou s’arrête en manque de souffle.
Elle est à bout et en sueur quand le supplice cesse.

Ce matin là Harold s’est équipé de bottes et de vêtements de pluie.
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Effectivement la pluie tombe drue et est froide, la fille est glacée et a la chair de poule.
Il exige qu’elle rampe sur le sol détrempé et boueux sans éviter les flaques d’eau.
Parfois quand l’endroit est très boueux il met un pied sur le dos de la fille et appuie dessus pour la plaquer contre le sol.
Quand il est enfin satisfait et lui dit de se relever elle est méconnaissable, crottée de la tête aux pieds.
Harold lui amène une éponge et une brosse puis attache sa laisse à un anneau fixé sur un abreuvoir situé dans un angle de la cour.
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Elle fait ce qu’il demande malgré que l’eau soit froide et la glace.
Il revient mais n’est pas satisfait et lui met la tête sous l’eau, la maintenant jusqu’à ce qu’elle suffoque et que les mouvements de son corps indiquent qu’elle est à la limite du supportable.
Il recommence plusieurs fois la torture et la fille craint de ne pas pouvoir supporter le manque d’air.
Ensuite il l’empoigne et la jette dans l’abreuvoir.
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Elle sort de l’eau et se retrouve les poignets menottés à l’anneau de l’abreuvoir.
Johanna reste à grelotter sous la pluie incessante qui redouble jusqu’au repas du soir.
Après s’être séchée, toujours transie de froid, elle mange à genoux le contenu de son écuelle puis fait la vaisselle.

Harold est assis sur une chaise et réclame une pipe.
Sans discuter elle se positionne à genoux entre ses jambes puis elle sort la queue du pantalon.
Après l’avoir caressé elle embrasse, lèche puis suce consciencieusement le membre jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche.
Après avoir avalé le sperme et continué à sucer puis à lécher partout la queue elle la remet dans le pantalon puis se relève et attend de nouveaux ordres.
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La tenant en laisse il l’emmène dans sa chambre puis attache une de ses chevilles à la chaîne fixée sous le lit.
Elle est contente d’être sous les couvertures, elle met longtemps avant d’arriver à vraiment se réchauffer avant de s’endormir.

L’automne arrive.
Hormis les radiateurs, Harold se chauffe beaucoup au bois dans une grande cheminée, son esclave doit s’occuper du feu.
Elle doit transporter les bûches, maintenir la température dans la pièce, enlever les cendres le matin quand le feu est éteint puis rallumer.
La saison passe mais si Johanna souffre à cause de ce que son maître lui fait endurer et des conditions climatiques le pire n’est pas encore arrivé.

C’est maintenant l’hiver avec un temps qui correspond à la saison.
La température est glaciale ce qui n’empêche pas Harold, chaudement vêtu, de sortir Johanna tenue en laisse dehors et de la faire ramper sur le sol, marcher à genoux ou courir pendant un temps qui paraît interminable à la jeune fille.
Les morsures des coups de fouet s’ajoute à celles du froid.

Ce matin là quand Harold amène la fille dans la salle pour déjeuner elle voit qu’il a neigé pendant la nuit et que de gros flocons continuent de tomber.
Johanna est heureuse et se dit qu’elle va couper aux exercices extérieurs.
Sa laisse attachée à un pied de table, accroupie aux pieds de la chaise sur laquelle est assis son maître elle est curieuse de voir ce qu’il va exiger d’elle vu le temps.
Quand il se lève et met des vêtements très chauds elle a compris et appréhende la suite.
Il détache la laisse et tirant la fille avec celle-ci lui dit:
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Nue et sans chaussures elle ne voit pas où est son plaisir.
Une fois dehors, après les exercices quotidiens à quatre pattes, elle doit ramper puis se rouler dans la neige.
C’est difficilement tenable pour elle à cause du froid qui la frigorifie et de la neige qui brûle son corps et ses doigts amenant des douleurs insupportables.
Enfin le supplice cesse, elle peut rentrer dans l’habitation et prendre un bain chaud.
Ensuite enroulée dans des couvertures elle tente de se réchauffer, elle est désespérée sachant que son calvaire va continuer car de la neige va encore tomber et le froid n’est pas près de s’arrêter.

Harold vient la chercher pour qu’elle prépare le repas du midi.
Elle sait d’avance que la cravache va sévir, elle ne sait pratiquement pas faire la cuisine, même des nouilles elle n’arrive pas à les faire cuire correctement.
Effectivement c’est ce qui se passe et elle doit manger ce qu’elle a cuisiné pendant que lui se fait chauffer des plats préparés.
L’après-midi comme plusieurs fois par semaine elle doit faire le ménage dans la salle, l’escalier, la chambre de son maître et la sienne.
Evidemment l’inspection qu’il fait quand elle a fini n’est pas satisfaisante.
Ajouté à la punition due pour le repas raté Johanna sait qu’elle va souffrir toute la soirée et la nuit.
Allongée sur le lit elle se retrouve bras et jambes écartées les poignets et chevilles attachés par des sangles aux quatre pieds du lit.
Harold a amené dans la chambre une espèce de boîtier électrique qu’il branche à une prise.
Il dispose des électrodes en différents endroits sur le corps de sa victime, il introduit un gode dans sa chatte et un dans son cul les faisant tenir en place avec du ruban adhésif.
Il manipule les boutons de son boîtier et au début ce sont des sensations agréables que ressent la jeune fille.
Il augmente progressivement la puissance du courant électrique tout en observant son esclave.
D’agréable le ressenti devient douloureux puis très douloureux et les gémissements deviennent des cris stridents.
Johanna dont le corps bouge beaucoup sur le lit supplie son maître d’arrêter mais il n’en a cure.
Pour ne plus l’entendre il la bâillonne puis quitte la chambre en laissant la lumière allumée.
Elle ne dormira pas de la nuit avec la souffrance ressentie dans son corps, sa chatte et son cul et n’arrêtera pas de gigoter en émettant des cris atténués par le bâillon.
Quand son tortionnaire vient mettre fin à son calvaire le lendemain matin la fille est dans un état physique lamentable.

Les grosses punitions se passent souvent dans une grange attenante qui est très bien équipée signe que Johanna n’est pas la première femme à être passée dans les lieux pour y être dressée.
Une poulie, dans laquelle passe une corde est fixée à une poutre, la fille se retrouve attachée par les poignets ou bien par les chevilles à la corde puis soulevée pour ne plus toucher terre.
Elle reste ainsi des heures à souffrir.

Il y a aussi une cage faite en barreaux métalliques pas très haute dans laquelle suivant son bon plaisir il l’enferme, se mettre debout est impossible et où elle reste accroupie ou au mieux à genoux.
Là elle a de la compagnie, il y enferme avec elle Hannibal son chien qui la saute quand il en a envie sans qu’elle ne résiste.

Quand Harold est en colère, la pire des punitions c’est le séjour dans les deux espèces de cabanons munis de portes à grandes vitres permettant de voir en permanence ce qui se passe à l’intérieur.
Sur le plancher surélevé sont fixées des sangles permettant d’immobiliser les poignets et chevilles de la victime en position allongée.
Dans le premier cabanon il y a un chauffage électrique qui expose la jeune fille pendant un bon moment à une température très élevée ce qui la fait suer abondamment et lui dessèche la gorge, un sauna c’est de la rigolade à côté.
Le deuxième cabanon c’est le frigo, la suppliciée subit les assauts du froid sans pouvoir bouger ce qui est très éprouvant.
Harold s’amuse de la voir trembler, claquer des dents et devenir toute bleue.
En sortant de là elle a droit au bain obligatoire dans une mare située à l’arrière de l’habitation ou dans l’abreuvoir situé dans la cour et qui devait servir pour des chevaux.
Elle en sort frigorifiée et le corps bleui vu la faible température de l’eau.

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