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Une rencontre

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J’ai déjà dit comment je me suis fait abordé en sortant de l’Euromen’s Club. J’ai dit que j’avais éconduit mon dragueur. La réalité est un peu différente. Je vais maintenant tout avouer.
Donc je sors de l’Euromen’s Club après une après-midi un peu décevante, pour une fois : j’ai juste branlé et pompé quelques queues assez molles dans la backroom, attendu dans le hammam, le sauna, une cabine…quelques attouchements mais rien de sérieux..À la porte du club je suis accosté par un type entre deux âges, assez trapu, brun, genre nord africain, souriant :
« Je peux vous parler ? »
« Bien sûr »
« C’était bien au sauna ? »
« Oui comme d’habitude »
« Tu as joui ? »
« T’es bien curieux, t’es de la police ou quoi ? »
« Non non c’est juste que ça m’excite d’imaginer tous ces hommes entrain de se caresser, se pomper, s’enculer…et toi qu’est ce que t’as fait ? »
« Ah Ah ça ne ce dit pas .. »
« Allez . Si tu veux je t’emmène chez moi, c’est tout prêt et je te ferai jouir..après tu pourras venir quand tu voudras au lieu d’aller au sauna et tu seras sûr de tirer ton coup… »
« C’est gentil mais là j’ai pas le temps il faut que j’aille retrouver ma femme. »
« Viens au moins prendre un café… juste là.. »
Pour ne pas froisser ce type somme toute sympathique et ne pas passer pour un raciste, je me laisse entraîner dans la plus proche brasserie. On s’assoit au fond sur la banquette et toute suite il colle sa cuisse contre la mienne. Dés qu’on a été servis il recommence son interrogatoire :
« Tu aimes ça toi pomper une grosse bite ? Sucer les boules ? Avaler à fond ? »
J’avoues que cette façon de parler m’excite beaucoup et je réponds sur le même ton
« Oui moi j’adore faire la salope, sucer une grosse queue, en faisant le plus de bruit possible avec ma bouche, geindre, m’enfoncer le gland jusqu’au fond de la gorge, ressortir et remonter avec la langue, des couilles jusqu’au méat, bien sûr en me branlant moi même. En plus dans la backroom y a toujours quelqu’un qui s’approche pour se faire sucer aussi. C’est trop excitant.. »
« Et tu te fais enculer ou t’es plutôt actif ? »
« Plutôt actif, j’ai baisé et fisté plusieurs fois à l’Euromen’s Club mais pas cet après-midi, c’était calme… En fait j’aimerai bien me faire sodomiser mais j’ai le trou très serré, à chaque essai ça n’a pas très bien marché. Mais ça m’excite d’offrir mon cul, sur le dos, les jambes sur les épaules de mon partenaire, avec des voyeurs qui se masturbent devant la porte ouverte.. »
« Dis donc tu es une vrai salope tu me fais bander.. »
Là il prend ma main et la glisse sous la table jusqu’à son entre-jambe. Je sens et je caresse son chibre hyper raide. Mais ça ne lui suffit pas. Il porte une espèce de survet avec un élastique à la taille. Il glisse ma main dans sa culotte et je me retrouve à le branler en public , dans un bistrot …heureusement on est dans un coin et personne ne nous voit mais c’est trop excitant. Quand le garçon passe devant nous j’arrête les mouvements mais je ne lâche pas sa queue. Il mouille abondamment et m’encourage avec des petits mouvements du bassin et des propos salaces.
« C’est bon, tu branles bien, vas y, continues….tu vas me faire jouir…j’ai envie de toi.. je veux t’enculer…viens .. »
Tout à coup sans que j’ai eu le temps de réagir il m’att**** la tête et il me roule une pelle bien profonde avec la langue. Je réponds, j’ouvre grand la bouche, j’aspire sa langue, je tourne avec la mienne.
On est interrompu par le garçon qui toussote, gêné :
« Dites donc les amoureux on veut pas d’exhibition ici. Allez faire vos saloperies ailleurs »
Je suis rouge de honte et de confusion. Je paye rapidement et je sors suivi de mon dragueur sous l’œil du garçon et de son collègue auquel il a dû raconter la scène. Ça aussi ça m’excite.
« Aller viens chez moi, c’est juste à côté j’ai trop envie de toi. »
Au point où j’en suis je le laisse m’entraîner. Cinq minutes plus tard on entre dans un immeuble et on prend l’ascenseur. Il se colle contre moi, sa main derrière ma tête et nous nous embrassons à nouveau tout le long de la montée. Je sens sa bite raide contre la mienne, je suis dans le même état et je me frotte contre lui en gémissant.
Arrivés au 6éme on entre dans un studio petit, mais propre avec un grand lit. La porte à peine fermé il baisse son survet sous lequel il ne porte naturellement rien et m’offre sa bite pour que je la pompe à genoux. Il est gros, circoncis, raide et humide et entièrement épilé. C’est trop bon. J’y vais de bon cœur. Je lèche ses couilles, son gland, j’avale jusqu’au fond de la gorge, je ressors, je pompe, je pompe… il me guide gentiment en le caressant la tête qu’il tient parfois enfoncée jusqu’à ce que j’étouffe presque. Ou bout d’un long moment il me relève et nous nous déshabillons fébrilement.
Complètement nus on s’installe sur le lit l’un contre l’autre, on s’embrasse, il me triture les tétons, je frotte ma queue contre sa cuisse et je descend pour lui lécher la poitrine, lui mordiller les tétons et reprendre sa queue en bouche. Il me renverse et nous nous mettons en position de 69, moi en dessous. Il s’appuie sur ses coudes et ses genoux et il ne m’écrase pas. Je peux le téter et le branler avec ma bouche en soulevant rythmiquement la tête. À l’opposé il me suce aussi tout en s’occupant de mon anus qu’il pistonne avec un ou deux doigts bien salivés. Bientôt on se met sur le côté, j’ai la tête coincée entre ses cuisses et sa pine dans la bouche. J’adore ça.
Après de longues minutes, il s’interrompt :
« Tu veux que je te prennes ? »
« Oui encules moi à fond, défonces moi, fait moi jouir »
Je suis vraiment en rut cette fois çi et prêt à tout.
Il me fait mettre à 4 pattes sur lit, la tête dans un coussin et le cul offert.
Il m’enduit bien le trou et profondément à l’intérieur d’un lubrifiant bien gras et présente son sexe contre mon anus.
Il se penche dans mon dos, contre mon oreille :
« Je vais te dépuceler, je vais faire de toi un enculé et après tu ne pourras plus t’en passer, au début ce sera peut être un peu douloureux mais très vite tu vas adorer. »
En fait je me suis déjà fait sodomiser quand j’étais adolescent mais ça ne s’était pas bien passé. Cette fois ci je veux y aller à fond et vraiment apprécier.
« Ça y est, je vais rentrer d’abord le gland tout doucement. Branles toi pour associer la jouissance à la pénétration »
Il pousse contre mon trou, je pousse de mon côté pour l’ouvrir au maximum. Plop, le gland est entré. Ça fait hyper mal mais je résiste, je serre les dents, je me branle à fond. Il reste immobile un bon moment.
« Ça va ? Tu n’as pas trop mal ? Tu veux que j’arrête ? »
« Non, non vas y, je veux être enculé »
Il reprend sa progression, doucement, régulièrement, il rentre en moi entièrement en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles et ses cuisses contre mon cul. Il reste d’abord immobile.
« Ça va ? »
« Oui, oui j’ai moins mal »
« Attention je vais commencer à limer, si tu veux que j’arrête dis le moi »
«Oui, oui, vas y »
Doucement il se retire d’un rien, un centimètre, quelques millimètres, puis il redescend. En arrière, en avant, lentement, régulièrement. Je sens que mes muscles et mes sphincters se relâchent, j’ai moins mal, de moins en moins mal, je sens même monter la jouissance et je peux lâcher ma bite pour m’accrocher au coussin et au matelas. Il augmente l’amplitude, la cadence. Je geins:
« Oh c’est bon, vas y, encules moi, je suis ta salope, fais moi jouir.. »
Maintenant il me défonce à fond , il sors presqu’entièrement de mon cul pour y revenir à toute vitesse, il pistonne à un cadence de marteau piqueur. Parfois il ralentit ou même s’arrête pour reprendre de plus belle quelques instants plus tard. Nous sommes en sueur, haletant, il grogne :
« Je vais jouir chéri, dans ton cul, c’est trop bon…»
Dans un dernier sursaut il s’effondre sur moi avec un râle de jouissance. Je suis fier de moi j’ai fait jouir mon homme. Il se couche sur le dos pour reprendre haleine, je me précipite sur sa queue pour lui arracher la capote et boire son jus que je tête avec avidité tout en me branlant. J’éjacule à mon tour en tâtant mon trou du cul qui petit à petit se referme. Je me blottis contre lui après lui avoir roulé une pelle d’enfer et nous restons immobiles un long moment.
Rapidement j’ai envie de réessayer, de sentir à nouveau mon anus rempli.
Cette fois c’est moi qui prend l’initiative. Il reste sur le dos et je descends le branler et le sucer pour le faire à nouveau bander. Cela ne tarde pas. Je lui mets la capote et je m’accroupis face à lui sur son ventre. Je guide sa bite raide jusqu’à mon trou et j’appuie. C’est encore un peu douloureux mais ça rentre assez facilement. Bientôt je serai suffisamment large pour prendre les plus gros engins sans difficulté. Je fais des va et viens sur sa queue avec la mienne qui bat de haut en bas. Je peux en même temps le regarder dans les yeux et voir l’arrivée de sa jouissance. Cependant cette position tire sur les cuisses et nous basculons sans déculer, moi sur le dos, les jambes sur ses épaules, lui en dessus me baisant presqu’en missionnaire. Il se penche vers l’avant pour me rouler une pelle puis de redresse pour me permettre de me branler pendant qu’il le lime le cul. Quelle partie.. J’aimerai ne pas arrêter mais il joui à nouveau et sa bite sors de mon trou qui est maintenant bien dilaté.
Je regarde ma montre, trois heures ont passé depuis la sortie du sauna. Il faut y aller. Nous prenons ensemble une douche rapide qui est bien sûr l’occasion de nouvelles caresses et de profonds baisers, je me suis à nouveau retrouvé à genoux devant sa grosse bite délicieuse mais finalement je quitte les lieux non sans avoir échangé nos téléphones et promis de recommencer.
Moi c’est sûr que je recommencerai à me faire enculer car c’est vraiment trop délicieux.

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