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UN RÊVE…

UN RÊVE…



Je ne fais pas souvent de rêves, en tout cas, je ne m’en souviens que rarement ; pourtant, ce matin, j’ai été réveillé alors que j’étais plongé dans un de ces derniers que l’on pourrait classer XXX.Je ne me souviens que vaguement du début comme si j’entrais directement dans l’histoire. Je me retrouvais au Camping à Cambo où j’allais rejoindre mon nouvel amant. En vacances, il avait loué un mobil home et m’en avait donné les coordonnées. Je profitais donc d’une journée où ma femme travaillait pour aller le rejoindre.

Arrivé sur les lieux, j’hésitais encore un peu, effrayé à l’idée de pouvoir me tromper de Mobil home. Mais, de celui qui était au fond, un bel homme d’âge mur, sortait en me regardant fixement, un sourire aux lèvres. Sans hésiter, il me fit entrer comme s’il me connaissait déjà: Probablement que ma façon de marcher en ondulant les fesses m’avait trahis. Mon cœur se serrait dans ma poitrine et une force à laquelle je ne pouvais résister me poussa à franchir les derniers mètres puis gravir quelques marches qui nous séparaient encore. Sans rien dire, il referma la porte derrière moi me proposant aussitôt de me mettre à l’aise. Timidement, je lui demandais si je devais me déshabiller et c’est moqueur qu’il me demanda :

-T’es venue ici pour ça ?! Non ? Alors ne perds pas de temps, prouves moi que tu es bien une salope !

Bizarrement, j’obéissais rapidement et Pascal laissait la place à Pascale. J’étais venue avec mes dessous noirs: un bustier agrafé dans le dos, qui me serait la poitrine, équipé de porte-jarretelles qui gardaient mes bas tendus. Un tanga brésilien en dentelle transparente cachait difficilement la preuve que j’étais un mâle et fendait mes fesses en les mettant en valeur… Ca y’est, j’étais la petite cochonne venue se faire engrosser!

L’homme semblait autoritaire, décidé, son regard en disait long sur ses envies; appréciant le spectacle, il m’ordonna de tourner sur moi-même et siffla en admirant le postérieur que je lui présentais en creusant les reins presqu’exagérément.

-T’es mignonne dit-il en me passant les mains sur les fesses qu’il ne tarda pas à fesser doucement comme pour vérifier si j’étais vraiment prête.

-C’est bien, tu vas être ma petite pute à moi.

Il s’assit alors sur une sorte de divan-lit en me disant de lui montrer ce que je savais faire. Je tombais à genoux d’instinct, lui ouvrais le pantalon et libérais doucement un membre déjà bien gonflé. Délicatement, je passais ma langue sur le bout de son gland que je trouvais alors si soyeux ; une main lui caressant les couilles, l’autre le masturbant doucement je le suçais en m’appliquant, jouant le la langue, pompant consciencieusement pour le sentir se raidir encore plus. Dans ma tête, j’étais sa petite femme du jour, celle qui se devait à son homme et c’est naturellement que je m’appliquais consciencieusement sur la queue que je désirais tant !

-Vas-y salope, suce moi, avale ma queue… Si tu le mérite, je te baiserai comme une chienne… T’en as envie, n’est-ce pas ?

-Oh ouiiiiiii

-Ensuite tu devras me nettoyer quand je t’aurai remplie de mon foutre…

-J’obéirai.

-Je sais, t’as intérêt ! Tu n’es qu’une putain qui doit faire tout ce que je lui dis.

Après plusieurs minutes de cette magistrale pipe, il m’intima l’ordre de me relever et de m’appuyer sur la table. Je sentais le froid sur mon ventre, écartant le plus possible les jambes en me cambrant comme une chienne s’offrant au mâle pendant ses chaleurs, les mains posées au dessus de ma tête. Ecartant mon string pour laisser apparaitre mon petit trou, il continuait à m’insulter, m’humiliant comme j’aime tant l’être. Pas d’erreur possible pour lui, j’étais sans poils et donc bien une tapette venue se faire sauter. Sans prévenir, il me frappa de quelques claques sur mes parties les plus charnues, les faisant rougir pour y laisser des traces de doigts rouges. Agréable douleur : mes cris s’étouffaient difficilement, j’en voulais encore ! De temps en temps, je sentais sa queue me toucher les fesses, j’avais envie de lui… Comme pour me calmer, il entreprit alors de me lécher un moment pour très vite que je sente sa langue fouiller mon intimité que j’avais soigneusement lavée et préparer avant de le rejoindre. Je me sentais si bien; je sentais son souffle chaud sur … Ma chatte!

Un instant plus tard, ses mains se posèrent sur mes hanches, me tirant légèrement en arrière.

-Je vais te la mettre ma salope ! Je vais te défoncer ta petite chatte mais je veux t’entendre me le demander…

-Oh oui, s’il te plait, baise moi, je t’en prie

-T’es un vrai trou à bites !

-Encule moi, fais de moi une vraie femelle !!!

J’écartais sans pudeur les fesses en les tendant vers la verge salvatrice. Son gland, chaud, s’appuya sur ma rondelle. Je le senti pousser doucement au début bien que j’aurais aimé être prise d’un seul coup. Très vite, la pression augmentait alors que ses mains me tiraient vers lui. Le spectacle de mon petit cul bien ouvert devait l’exciter. Ce fut une libération quand je senti sa bite entrer en moi, s’enfonçant dans mon ventre au plus profond. J’imaginais mes lèvres, vaincues, cédant le passage à l’envahisseur, l’accueillant sans résistances. J’appréciais avec délices ses « aller-retour » en moi; il me semblait sentir des seins sur ma poitrine dont les tétons se durcissaient bien malgré moi. J’étais sienne, sans limites, gémissant comme une folle et me précipitant à la rencontre de chacun de ces coups de boutoir qu’il m’assenait. Une main passée entre mes cuisses, j’essayais de lui caresser les couilles lorsqu’elles venaient me frapper les miennes, vestiges d’une masculinité perdue et réalisais qu’il devait être alors vraiment enfoncé au maximum. Comme j’étais bien! Heureuse, comblée mais surtout prenant conscience de mon rôle de simple trou à bite(s)… C’était si bon, bien meilleur que mes godes ou autres jouets que je m’enfonce d’habitude. J’étais docile et obéissante et reste persuadée qu’il aurait pu faire de moi une vraie pute.

Sa respiration s’accélérait. Ses mains me serraient la taille comme des serres. Les mots crus pleuvaient augmentant plus encore mon désir. Quand je le sentis se tendre, sa queue aussi dure qu’un pieu j’essayais alors, impudique, d’écarter le plus possible les lobes de mes fesses de mes mains afin de recevoir sa semence dans mes entrailles. Son souffle saccadé m’informait qu’il ne pouvait plus se retenir bien longtemps. Des idées salaces se bousculaient dans ma tête. J’attendais impatiemment l’instant où le flot de son sperme m’inonderait le ventre, poussant des petits cris de satisfaction en le suppliant de me défoncer encore plus fort. Il se figea alors en moi, je sentis la douce chaleur de son jus se rependre dans mes entrailles, mon vagin; j’étais vraiment une salope qui venait de se faire engrosser et appréciais l’instant comme il se devait.

C’est de moi-même que j’entrepris de le nettoyer lorsqu’il se retira car j’avais encore envie, encore besoin. Sentant sa sève couler doucement entre mes cuisses, je le pompais, sans honte, repensant avec excitation que cette bite sortait de mon cul de tapette car c’est bien ce que je suis devenu!

Tous les rêves ont une fin, malheureusement. Je me réveille quand à coté de moi, ma femme se lève. J’affiche sans honte mon petit cul à peine caché par ma culotte et ma petite nuisette transparente. Elle regarde peut-être, bien loin d’imaginer que je viens de me faire baiser… Je hais ce réveil qui me prive alors d’une autre partie de jambes en l’air!!!

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