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Ali et moi (03)

Ali et moi (03)



— Viens voir Paul.

On est passé dans la pièce où il était sur le sling, Ali a remué le gode de tous cotés dans le cul de Paul avant de détacher et de retirer le gode.

— Putain! Tu pues! Tu vas chier et te laver le cul devant la crevette.

Il l’a détaché du sling, c’est vrai qu’il sentais pas bon. Il est allé aux chiottes se vider en laissant la porte ouverte sans me regarder et après il s’est mis sous la douche et a introduit une douchette dans son cul. Il a laissé couler jusqu’à ce que l’eau soit claire, s’est essuyé et il est revenu vers Ali.

— Tu comprends ce que j’ai écrit sur les feuilles, la crevette? Plus de liberté et d’intimité! Voila ce que j’attends de toi plus tard.

— Oui maître.

— Vous allez nettoyer la porcherie où vous vivez. Je vous enferme et que ça soit nickel quand je reviendrais.

Il est sorti, a refermé à clé nous laissant nus. Paul m’a montré les balais, les éponges et la cuisine. Il se chargerait des chambres et moi de la cuisine. On s’est mis au travail, j’ai fait la vaisselle , passé le balai et nettoyé tout ce que je trouvais, même si ça paraissait propre J’imaginais Paul et sa queue faire les lits et tout nettoyer, je creusais les reins déjà en manque de bite, je me frottais partout où je voyais un truc un peu en forme de bite qui pointait quand ça a sonné à la porte. Paul est sorti de la chambre, m’a fait signe d’y rentrer et d’attendre. J’ai repoussé la porte mais j’entendais tout. Il a ouvert, pas gêné d’être nu.

— Bonjour, vous avez du courrier?

— Oui pour un Julien xxxxx mais c’est un recommandé. Il est pas là ?

— Euh non il est sorti.

— Bon il passera à la poste dans 2 heures j’aurai laissé le recommandé là-bas, qu’il vienne avec une carte d’identité. Dis donc la salope t’as l’air d’avoir chaud au miches! J’ai envie d’une bonne pompeuse tu me sèches la bite?

J’ai entendu un bruit de zip puis de succion, Paul devait piper le facteur dans l’entrée. Le mec a pas été long à jouir en rigolant. J’ai entendu le bruit du zip et la porte qui claquait derrière lui. Je suis sorti de la chambre, Paul avait les lèvres luisantes et les yeux brillants.

— T’es vraiment une affamée toi! Ali te suffit pas, t’as besoin de toutes les queues! Elle était belle?

— Bof, pas la peine si elle est raide! Allez, faut qu’on finisse le boulot.

On avait même pas fini de tout nettoyer quand Ali est revenu. Il s’est installé sur le canapé en nous matant terminer.

— T’as déjà essayé de laisser pousser tes cheveux la crevette?

— Oui maître mais ma mère dit que c’est féminin alors je les fait couper court.

— Tu les laisseras pousser comme une femelle. Je vais faire de toi une shemale, tu comprends ce que je veux?

— J’ai vu des photos oui. Des nanas avec de beau seins et une bite?

— Tout à fait. Un rêve à black! Une petite salope avec une petite bite. Tu l’a mesurée quand tu bandes?

— Non maître mais je sais qu’elle est petite. Moins de 10centimètres je crois. Mais j’ai pas de seins!

— T’inquiètes, j’ai un toubib avec qui je peux avoir des hormones, ça va bloquer ton système pileux et développer tes mamelles. Je m’occuperais de te faire de beaux tétons.

En parlant j’essayais de m’imaginer avec une poitrine et sans réfléchir j’ai commencé à bander.

— Va chercher dans le tiroir de la cuisine le mètre à ruban que je mesure ta bite de lopette.

Je l’ai ramené et il a pris les mesures.

— 8centimètres! Toute mouillée! Juste un beau clito pour jouer.

Paul est entré avec le papier du facteur. Il l’a donné à Ali en expliquant que je pourrais retirer le recommandé dans 1heure à peu prés.

— Tu l’as pompé salope pour le remercier?

— Oui comme d’habitude.

— Bon, crevette faut que je te trouve quelque chose à mettre sur le cul pour aller à la poste. Viens voir dans ma chambre.

Je l’ai suivi. Pour la première fois je voyais où il dormait, grand lit, montant en cuir noir, draps d’une matière soyeuse à voir. Il a ouvert une armoire et un tiroir. Il a sorti un short très court, rouge et un débardeur blanc.

— Essaye ça!

J’ai mis le short, il moulait mes fesses et j’ai du arranger mon petit paquet pour pas qu’on le voie, l’espace de tissus entre les cuisses était très court. Dés que j’ai levé les bras pour enfiler le débardeur tout est ressorti d’entre mes cuisses. Ali a éclaté de rire quand j’ai arrangé encore une fois mon matériel masculin.

— Vire ce short et enfile ça avant!

Il m’a tendu un string blanc ou j’ai pu mettre mes boules et ma queue, il me rentrait dans la raie derrière, mais j’ai pu mettre le short après. Il m’a tendu des chaussures avec un petit talon de 3centimétres, genre baskets de nanas. J’avais l’impression d’être perchée dessus, pas habitué du tout à ce genre de talons.

— Regarde toi dans la glace! Tu imagines quand j’aurais fait de toi une femelle l’effet que tu auras sur les mecs? Surtout sur mes potes!

Je faisais un peu androgyne, mi gars mi fille , pas encore vraiment fille mais j’ai pu deviner.

— Viens on va marcher un peu dehors avant d’aller à la poste.

Je l’ai suivi , bien maladroit avec ses petits talons qui me gênaient à chaque pas. Ali à côté de moi me donnait des indications pour paraître plus naturel.

— Cambre toi. Marche moins vite, fais de petits pas. Lève le menton, regarde au loin. Tes pieds doivent avancer parallèles. Là! C’est mieux.

Je me trouvais bizarre mais lui aimait la démarche que je prenais. On s’est éloigné de plus en plus sur le bord de mer, on croisait des gens, je voyais des sourires sur les visages, des vieilles qui grimaçaient, hochaient la tête. Ali m’a entrainé dans une rue ou j’ai vu l’enseigne de la poste. Il a sorti ma carte d’identité de sa poche.

— Va au guichet demander ton courrier, je te mate de derrière.

À cette heure il n’y avait personne et j’ai demandé en tendant ma carte le courrier qui m’était adressé. La fille derrière a regardé mon nom sur la carte et a sorti un petit paquet plat, m’a fait signer sur un papier avant de me le tendre. Je suis revenu vers Ali qui a pris le paquet.

On est retourné chez lui, je marchais déjà mieux avec les talons et commençais à regarder autour de moi. En fait il habitait presque sur le port un hangar avec un appartement au dessus et un accès direct à la mer pour les bateaux entreposés sous le hangar. Dés qu’on est arrivé sur son terrain il m’a fait retirer le short et le débardeur.

— Habitue toi, ici c’est le sud et les filles sont décontractées. Ton string te va très bien. Monte à l’appart devant moi.

J’ai monté les escaliers, ondulant des fesses, je savais qu’il matait et j’aimais la sensation de savoir son regard là. Il m’a poussé dans l’appartement et a ouvert le paquet. Il y avait une carte bleue et un relevé indiquant que j’avais de l’argent sur le compte, une lettre jointe signé de ma mère et d’un inconnu me disait que les démarches avaient commencé et que je recevrais bientôt le papier d’émancipation. Sûrement dans la semaine après mon anniversaire, ma mère me souhaitait bonne chance et m’embrassais.

— On va fêter ça, a dit Ali. Je vais te bourrer le cul comme tu aimes. Mets toi à genoux sur le fauteuil. Sors ma bite et suce moi comme une femelle amoureuse de la queue de son mec!

J’ai pas eu à me forcer, son membre était déjà bien raide quand je l’ai dégagé et je l’ai pompé, caressé des couilles à la tige, ma bouche serrée sur son gland qui aspirait sa queue. J’aimais sa vigueur et son sexe, ses grosses boules qui se balançaient dessous.

— Tourne toi! Appuie toi au dossier du fauteuil, fait ressortir tes fesses!

Il m’a léché la rondelle comme il aurait léché une chatte de fille, je sentais sa langue dans mon cul et j’ai commencé à haleter. Il s’est redressé et a à peine mis le gland sur mon trou que j’ai reculé sur lui, je le voulais tout en moi. J’ai étouffé un petit cri quand il est entré mais après : quel plaisir! Je le sentais aller et venir en moi, accélérer, ralentir, faire monter en moi des ondes de plaisirs jusqu’au moment où j’ai crié et j’ai jouis sous moi comme une femelle. Il a attendu et s’est remis à me limer, je savais plus ou j’en étais. Je grimpais aux rideaux comme les mecs disent! Il grognait à chaque coups de reins en moi et sans prévenir j’ai senti qu’il inondait mon cul. Il s’est retiré, m’a tendu sa queue.

— Nettoie la petite salope! Montre lui que tu l’aimes!

J’ai léché sa queue en l’adorant comme une idole pour le bien qu’elle m’avait donné. Ali a appelé Paul .

— Arrive, je vais avoir besoin de toi pour l’éduquer

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