Vendredi, fin de septembre. La fatigue commence à se faire sentir chez moi. Le stress, la pression, tout me fait mal dormir. Pourtant, je suis là, sur le pas de la porte, prêt à faire une autre longue journée de travail. Juliette, qui viens de se réveiller, a congé ce matin. Elle sort de la salle de bains et viens me voir pour me souhaiter bonne journée. Je la regarde s’avancer vers moi, nue, ses beaux cheveux descendant à la hauteur de ses seins, encore bien fermes, et ses hanchez qu’elle déteste tant mais que je trouve tellement sexy. Elle n’a plus 20 ans mais son corps me semble encore plus beau qu’à cette époque. Je l’aime vraiment.
Elle s’approche de moi, se met sur la pointe des pieds, puis m’embrasse. Avec passion. Je remarque qu’elle a une haleine fraîche, ce que j’apprécie beaucoup, le contraire aurait gâché le moment. Je la serre contre moi. J’aime le contact doux de sa peau et le contraste de ses mamelons, tellement durs que je les sens à travers mes vêtements. « Comment vas-tu ce matin? » me demande-t-elle. « Boaf… la nuit fut courte… je n’ai pas super bien dormi. » Alors qu’on parle, elle glisse sa main sur mon entrejambe. Je suis un peu surpris car ce n’est pas nécessairement dans ses habitudes. Mon membre se durcit automatiquement et je crois que cela l’encourage dans ses efforts qu’elle continue. Elle m’embrasse encore et descend ma braguette. Elle sort mon pénis et se laissant glisser tout doucement contre mon corps, le met dans sa bouche. Alors là, je suis sous le choc. Elle qui n’aime vraiment pas ce genre de petites aventures, et encore moins faire une pipe….Je me vois par nos portes vitrées de l’entrée. Elle qui s’active frénétiquement et moi, comme un grand idiot, avec ma mallette à la main, qui ne sais pas trop comment réagir..
Je me laissai faire. Sa bouche et ses mains s’agitaient frénétiquement autour mon sexe. Des mouvements précis faisaient monter en moi une extase que je ne pourrais pas retenir longtemps. Sentant cela, elle s’arrêta, puis fit le chemin inverse et vint m’embrasser encore. J’en profitai pour caresser rapidement un sein au passage, puis je descendis cette main entre ses deux jambes, zone bien humide. Je la caressai quelques instants, faisant onduler son bassin puis elle se dégagea et redescendit. Cette fois je fermai les yeux. Je ne pensais plus à rien. Tout avait disparu. Pas de stress, pas d’angoisse, pas de rien. Juste une sensation ultime, focalisée sur mon sexe qui était sur le point d’exploser. Ce qu’il fit. Bonheur total. Lorsque j’ouvre les yeux, je la vois me regardant, amusée. Elle a avalé mon sperme. Là. Je suis plus que médusé et cela doit transparaitre car elle m’explique « Fallait pas te salir… tu vas travailler! »
Elle se relève, referme ma braguette et va s’accoter sur la rampe d’escalier tout près. Les jambes légèrement écartées, la dos cabré, les seins bien fermes que la gravité semble embellir. « Tu voudrais finir ce que tu as commencé tantôt? Ce serait plus sympa que de le dildo.. » Après une seconde d’hésitation, je lui répond « Bien sûr » et déposant ma malette que je n’avais toujours pas laissée, je m’approche derrière elle. Ma main gauche va sur son sein pendant que la droite, plus habile, va sur son clitoris. C’est déjà un lac et cela devient bientôt une rivière. Je vois bien à ses mouvements de plus en plus saccadés qu’elle apprécie ce que je lui fais. « À l’intérieur » me lance-t-elle, comme une supplication. Ce à quoi J’obéis. Un premier doigt fait son entrée. Puis un deuxième. Et finalement un troisième. Elle est tellement humide que je pourrais probablement en insérer plus mais ce n’est pas mon but ce matin. Comme je suis toujours derrière elle, la position est inhabituelle et je décide de descendre ma main gauche à la rescousse. Elle va caresser le clitoris pendant que ma main droite y va de grands mouvements de va et vient. Cette aide inattendue semble l’avoir prise au dépourvu et elle commence à gémir de plus en plus fort. Jusqu’à l’orgasme. Je continue mes mouvements sur son corps qui convulse de plus en plus. Puis tout cela cesse alors que je la ratt****, l’empêchant de s’écrouler au sol alors que ses jambes ne la soutiennent plus. Je la dépose doucement sur le sol, l’embrasse sur le front, retourne à la salle de bains et sans oublier ma malette, franchit la porte pour aller travailler.
Tous les vendredis devraient commencer ainsi…
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