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La fille du chat qui voulait que je la baise

La fille du chat qui voulait que je la baise



Lorsqu’on s’inscrit sur un site de discussion associé à du porno, on saisit rapidement avec qui on fait affaire. Un paquet d’invitations parce qu’il y a une fille qui est là. Donc beaucoup de gars. Certains qui envoient des photos de leur sexe. D’autres suggèrent directement un trip à 3. Ou à 4. Ou demande si madame a déjà fait X ou Y. La majorité restent très polis. D’autres le sont moins malheureusement. C’est sympa mais rien de tout cela ne nous intéressait. Souvent on ne se donne même pas la peine de répondre. On viens ici pour lire des histoires, raconter nos aventures (souvent romancées), des fantasmes, bref avoir du bon temps.

Puis, en fin de l’été, Juliette m’appelle. Hey Gab, viens voir ça! Une fille avait écrit. Comme quoi elle aimait bien nos histoires. À la fin de son message, elle disait qu’elle aimerait bien qu’on lui fasse vivre une aventure comme celles-ci et qu’elle était disposée à pas mal tout. On trouve cela plutôt flatteur et Juliette décide de répondre. « Merci pour ton beau message. Cela nous fais vraiment plaisir que tu apprécies le tout! Quant à la possibilité de te le faire vivre… Gab ne fait pas cela avec n’importe qui! À toi de le convaincre! P.S. Des gros plans, il ne trippe pas… il préfères les poses suggestives, avec des vêtements… soit originale! ». Le message envoyé, on est certain que rien ne reviendra jamais mais bon….

Le lendemain, j’ouvre la page… pouf! Une photo. On ne voit pas le visage mais une camisole blanche moulante et une paire de short assez courtes montrent qu’il y a du potentiel. Pas mal comme début… je lui fait un petit emoji…Le manège va se répéter. Encore et encore. Quotidiennement pendant plus d’un mois. En bikini, en tailleur, avec un wet T-Shirt, etc. Tout y passe. En tout, plus d’une centaine de photos, et plusieurs vidéos privés. Une fois de temps en temps un de nous lui fait une demande spéciale, qu’elle exécute avec diligence. Elle veut vraiment!

Je dois avouer qu’à ce moment là ma curiosité est piquée. On discute Juliette et moi et on décide de voir plus sérieusement. Je me met alors à jaser avec elle. Toujours via le site. Un plan se dessine. Mais le changement de température soudain de la fin du mois de septembre nous oblige à faire autrement. Une nouvelle idée germe dans ma tête, on s’entend sur quelques règles : elle ne connaitra pas mon identité réelle, je ne dévoilerai rien de la sienne ici, mais je dois faire un récit du tout (qui fera attention aux détails pour ne pas dévoiler d’identités). Aussi pas de sexe non-protégé. On est tous d’accord et on met le tout en action.

Je lui donne donc un rendez-vous dans un hôtel de la couronne nord de Montréal. Je suis sagement assis dans le lobby, faisant semblant de regarder mon Iphone mais surveillant les arrivées. La voilà, dans sa robe noire moulante s’approchant de la réception. (je la reconnais facilement car dans ses photos elle a fini par montrer son visage). Elle parle avec la dame qui lui remet le paquet que j’avais laissé pour elle. Ses talons hauts, bas de nylon, et ses cheveux qui descendent au milieu du dos qu’elle a coiffé lui donnent un look d’enfer! Elle se dirige vers les toilettes, tel que convenu. Je rentre au bar et m’y asseois, le plus loin possible de l’entrée. La soirée s’annonce plutôt intéressante.

Après quelques minutes, je la vois entrer elle aussi. À contre-jour, je peux apercevoir malgré tout la profondeur du décolleté qu’elle abore, la blancheur de sa peau contrastant avec la noirceur de sa robe. Je lui envoie un petit message sur son cellulaire lui suggérant de se commander un verre avec l’argent que je lui avais laissé. Elle s’approche donc du bar et demande quelque chose au barman. Je la vois alors sursauter légèrement. Puis se tortiller un peu avant de se ressaisir. C’est que dans son paquet, se trouvait un vibrateur télécommandé. Je me retourne et je vois Juliette, confortablement assise, s’amusant avec son écran de téléphone. C’est elle qui aura la tâche d’activer le vibrateur et de divertir notre nouvelle amie. D’ailleurs, dans nos règles du jeu, si elle jouit avant de monter dans la chambre, le tout se termine immédiatement. Un petit défi de plus..

Je lui envoie comme message de jaser un peu avec le barman. Ce dernier, grand, noir, paraissait très bien. Elle discute avec lui pendant quelques minutes alors qu’il lui préparait un cocktail.. bleu. Elle se dandine un peu mais garde le contrôle sans problème. Ensuite, suite à un autre message, elle s’assied au bar, sirotant son drink. Elle ne le savait pas mais elle était assise tout près de moi. Faut dire qu’à part nous deux, il y avait cinq autres personnes au bar. Je l’observais via un miroir et voyait sa respiration devenir tranquillement plus haletante, sa main gauche être portée vers ses cuisses. Cela faisait de longues minutes qu’elle était là. Je décide de la mettre en action. Elle va donc parler à un homme (quarantaine, chauve, plutôt grand) pour lui demander s’il a vu son amie. Il n’est qu’à quelques siège d’elle mais elle devait se déplacer pour cela. Le passage de assise/debout sembla un peu laborieux et elle se marcha lentement vers l’homme qu’elle aborda. Le tout se déroula brièvement, l’homme étant plus intéressé à regarder le match Canadiens-Penguins qu’à jaser. Elle fût rapidement de retour à sa place, m’obligeant à essayer autre chose. Je lui textai d’aller demander aux deux hommes assis sur des fauteuils près de l’entrée pour encore s’enquérir de son amie. Elle s’exécuta aussitôt. Sa démarche était beaucoup moins sûre qu’à l’arrivée. En se penchant vers eux, dévoilant sa poitrine (tel que je lui avais demandé), elle dut s’accoter sur le fauteuil de l’un d’eux, serra les cuisse mais réussit à garder le contrôle. Je crus deviner que le plus âgé (et bedonnant) des deux lui offrit de s’asseoir avec eux en l’attendant. Il faut dire que de où il était, il devait avoir toute une vue! L’homme se montrait insistant et je la voyais bien tenter de se dépêtrer de cette situation. La seule chose qui la sauva est que l’homme semblait en rendez-vous d’affaire et il devait rester professionnel devant un client (potentiel?). Elle réussit finalement à revenir à sa place, semblant bien soulagée. Un autre texto. Un autre drink. Juliette semblait avoir mis le vibrateur sur pause car je la voyais beaucoup plus calme. Le drink descendit rapidement. Un message à Juliette qui relança le vibro. Puis un texto l’enjoignant à aller s’enquérir à un autre homme au bar au sujet de son amie. Ou de n’importe quoi d’autre. Mais elle devait converser avec lui jusqu’à ce que je lui envoie un autre message. Quelques instants plus tard, alors que j’écrivais un autre message, une jolie voie me lança « Excusez-moi monsieur, vous n’auriez pas vu mon amie par hasard? ».

« Bonsoir! Votre amie? Je ne sais pas, elle a l’air de quoi? » que je lui répond tout en prenant une tonalité qui ressemble beaucoup à celle de Robert des Grandes Gueules (qui aurait cru que de refaire ces imitations me servirait ainsi un jour!). Elle tente de me répondre mais sans grande conviction. Sa concentration était ailleurs, c’était évident. « Hmm, je ne sais pas trop, j’ai vu une fille passer tantot qui ressemblait un peu à cela… penses-tu que les Canadiens vont aller loin cette année? » que je lui lance, la décontenançant un peu. « J..je ne suis pas vraiment le hockey.. » me lance-t-elle. « Ah bon, dommage » et je me retourne, fixant l’écran. Je sais qu’elle est coincée et qu’elle doit converser avec moi tant que je ne la texte pas.. Quelques secondes passent et elle me répond « M.mais.. ils… sont.. bons selon vous? ». Je me retourne vers elle. Et commence une scène surréaliste. Je suis assis à un bar dans un hôtel où je discute hockey avec une fille qui est à peu de chose de jouir devant moi mais qui se retient. Et cette fille me fait la conversation le plus normalement qu’elle peut car c’est sa chance de se faire baiser un peu plus tard par un inconnu pervert qui se trouve à être moi… Je pense à tout cela pendant que je converse avec elle et honnêtement j’ai une érection du tonnerre (et juste d’y repenser et de l’écrire, je bande!). Je sens qu’elle perd le contrôle. Lentement mais surement. Son bassin qui ondule subtilement, ses mains qui semblent se crisper sur son verre et après le bar… BZZZ. Ça vibre! Son téléphone. « C…c’est.. c’est elle, elle vient de me dire où elle est. Bonne soirée » Me lance-t-elle avant de se détourner de moi vers la sortie. Je levai les bras pour m’étirer tout en la regardant partir. C’était le code pour que Juju arrête la petite vibration… Je regarde mon phone. « Chambre 412. » . Mon dernier message envoyé… il y a 1 minute.

Après quelques minutes, j’ouvre mon application qui active la webcam que j’ai placée dans la chambre (j’aime bien ne rien laisser au hasard). Elle semble déjà y être car la lumière est allumée. La porte de la salle de bains s’ouvre, la voilà. Elle s’approche du lit, enlève ses bretelles de robe puis son soutien-gorge qu’elle dépose sur le bureau avec son sac à main. Elle enfile ensuite les bouchons pour le son, le blindfold ainsi que des coquilles anti-bruit (c’est sa demande, elle avait plutôt aimé cela lorsque je lui avait demandé une petite vidéo ave ces accessoires..). Elle s’installe à tâton au bout du lit, la croupe relevée, la poitrine plus basse, bien accotée sur les oreillers qu’elle a brillamment placé pour rendre plus confortable l’attente de mon arrivée. Je ferme le tout et je regarde la fusillade au hockey, laissant tranquillement diminuer une érection plutôt gênante lorsqu’on se promène dans l’hôtel. Le Canadien finit par gagner, mon érection à baisser, après un petit arrêt pipi, en route vers l’ascenseur et la chambre.

J’ouvre la porte et j’entre rapidement. Immédiatement, je ressens une chaleur agréable. Madame ne voulais pas avoir froid, le thermostat est bien élevé! Je la vois, bien immobile, bien installée. J’enlève mes souliers et je m’approche silencieusement d’elle. De la façon dont elle est placée, la robe recouvre ses fesses, ne laissant qu’une petite ligne de peau à nu entre le bas de la robe et le haut de ses bas retenus par une jarretelle. Juste à sa vue, ma température aussi est en hausse. Rendu à sa hauteur, je claque fortement mes mains pour la faire sursauter. Aucune réaction. Elle n’entend vraiment rien… Je me déshabille donc au complet, enfile un condom et en enfile un sur le dildo de 9 pouces que j’ai aussi apporté. Si je la baise immédiatement, je suis tellement excité que cela va durer 2 minutes… Une fois prêt, je met la main sur son cul. Petit sursaut de sa part. je me met alors à caresser son cul et je relève le bas de la robe le recouvrant. Un beau cul bien ferme, avec les fesses bien découpées. Je vois bien sa fente bien luisante à cause de l’humidité… Puis j’ai une idée. Je commence par relever sa poitrine. Elle est donc bien installée à quatre pattes, attendant sagement la suite. Je déplace le haut de sa robe, découvrant ses seins, et ses mamelons, plutôt discrets, d’un rose plutôt foncé. Ils semblent terriblement doux mais je garde cela pour plus tard. Je m’éloigne d’elle pour faire un peu de réaménagement de l’ameublement de la place. Avec la table de travail, le petit fauteuil et la chaise, j’arrive à avoir la chaise à quelques pouces derrière elle. Cela devrait fonctionner. Je m’installe sur la chaise (le dossier en cuir entre nous deux) et je continue de caresser son postérieur. Je la pousse aussi un peu légèrement vers l’avant, petit à petit. Juste assez pour avoir de l’espace pour insérer le dildo avec lequel je la pénètre. Profondément. Elle pousse un gémissement. Puis elle commence à s’activer. Alors, tranquillement, je refais le chemin inverse et elle finit par se retrouver plus vers l’arrière. Jusqu’à ce que je puisses fixer la ventouse du dildo sur la chaise. Je me déplace alors rapidement vers le côté du lit et je me retrouve à voir un spectacle superbe. Cette femme, au corps superbe, tout de noir vêtue, caressant ses seins de sa main droite, qui baise un dildo attaché à un amas de meubles comme si sa vie en dépendait. À chaque mouvement vers l’arrière, un nouveau gémissement. De plus en plus fort. Et de plus en plus rapprochés. Sa main gauche s’agrippe aux couvertures et je vois ses orteils (elle a malheureusement enlevé ses souliers à talons haut) commencer à se crisper. Alors qu’elle semble sur le point de jouir, je la repousse vers l’avant, la faisant perdre l’équilibre et s’affaisser sur le lit mais aussi la privant de son précieux bâton de plaisir. Elle se retourne rapidement sur le dos et descend rapidement ses mains vers son sexe. Je comprends rapidement ce qu’elle tente de faire et je lui saisis les deux avant-bras que je ramène au-dessus de sa tête. « je veux jouir, laisse-moi jouir » me répète-t-elle, en suppliant. Ses hanches continuent à bouger comme si le dildo était encore là. Mais il n’y était plus, alors cela devrait attendre.

Je prend le dildo et l’amène près de sa buche pour qu’elle le suce. Elle l’avale profondément mais détourne la tête, signifiant que ce n’est pas ce qu’elle veut. Je mets le tout de côté et je m’insère en elle. Cela rentre comme dans du beurre. C’est tellement mouillé qu’on entend un gros « flock » quand j’arrive au bout. Je recommence. Encore. Et encore. Mais elle est vraiment frénétique et bouge comme c’est pas possible. Elle veut ma queue…. Je vais jouir bientôt si cela continue et ce n’est pas ce que je veux. Je lui prend les deux poignets que je remonte au-dessus de sa tête. En même temps, je change de position et je place une de ses jambes entre les miennes, ce qui me redonne un peu de contrôle. Je me redescend et me colle à son corps, sur lequel je me laisse glisser à chaque fois que je la pistonne. Elle fait beaucoup de bruits, de sons.. qui sont d’ailleurs de moins en moins cohérents. Je sens qu’elle veut encore plus et qu’elle tente de bouger son bassin, mais ma position la maintient fermement en place. Ma poitrine frotte sur ses mamelons à chaque passage, et je les sens très bien, très durs. Je continue à la baiser. Et elle continue de gémir. De plus en plus rapidement, de plus en plus fort. Jusqu’à l’extase. Elle pousse de haut cris. Son corps est en transe, tremblant comme une feuille, les muscles ayant de violents spasmes. Incluant ses muscles pelviens, qui donnent à mon pénis des sensations que je n’avais jamais eues avant. Et là, c’est à mon tour de jouir. Pas de spasmes, juste tout mon corps tendu alors que je pousse moi aussi quelques grognements bien profonds. D’ailleurs, je dois sortir rapidement d’en elle car elle continue son travail autour de ma queue, qui a eu ce qu’elle voulait. Alors que je roule à côté d’elle, elle me fait comprendre qu’elle en veut encore… et moi, je ne veux pas décevoir madame mais j’ai besoin de repos… mon regard se pose alors sur le dildo que j’avais mis de côté quelques instants auparavant. Je le reprend et lui insère. Elle recommence ses mouvements de bassin et caresse son clitoris avec une main, l’autre étant sur sa poitrine. Au début, je la laissais se mouvoir autour du machin de plastique. Puis, reprenant peu à peu mes esprits, je fis des mouvements avec. De plus en plus fort. Et à chaque fois, encouragé par ses cris.. « Encore! Plus fort! C’est bon! » À un certain moment, je voulus ralentir un peu car j’avais peur de lui faire mal mais elle exprima rapidement son mécontentement face à ma baisse de régime et je repartit de plus belle. Au bout de quelques minutes (Il commençait à être temps, je commençais à avoir mal au bras), elle atteignit le nirvana et l’hôtel en entier dût le savoir. Après que cela se soit calmé un peu, elle glissa sa main sur mon corps… et retrouva mon sexe, de nouveau très dur (avec le spectacle que je venais de voir, cela aidait). Elle me demanda de remonter plus haut dans le lit, enleva ses coquilles et ses bouchons, puis s’installa sur moi, enleva mon condom et entreprit de me caresser. Je ferma les yeux et me laissai aller aux délices de ses caresses, tantôt avec les mains, avec les seins ou la bouche. Plein de sensations différentes, merveilleuses. Bien concentré sur mon plaisir, cela me prit du temps à remarquer qu’elle frottait en même temps son clitoris contre ma jambe qui était entre les siennes. Je finis par jouir. Violemment. J’en avais jusque sur le cou! Quant à elle, elle continua de se masturber avec ma jambe puis jouit à son tour. Je m’essuyai rapidement puis revint me coller contre elle, en cuillère, ma main sur son sein. Je n’avais que le goût de dormir mais il ne le fallait pas… je l’ai embrassée dans le cou, me suis relevé, nettoyé convenablement puis rhabillé et je suis sorti. Tel que convenu, c’est à ce moment qu’elle pouvait enfin enlever son blindfold et quitter la chambre. Je retournerai plus tard ramasser les objets laissés.

J’arrive au bar de l’hôtel. Je vois une très belle femme, seule à une table. Je m’avance vers elle. « Puis-je? » que je lui demande, pointant le fauteuil à côté d’elle. Elle hoche de la tête et je m’asseois. Je commande un verre pour moi et un pour elle.
« Tu as passé une belle soirée? »
« Pas autant que toi à ce que j’ai vu.. » me répond-t-elle
Je la regarde, interloqué.
Elle sort son téléphone et me montre l’écran, sur lequel je vois le live feed de la caméra que j’avais installée dans la chambre.
Je fais un gros sourire « Ouin, madame Juliette s’est rincée l’œil…. J’avoue que c’était toute une soirée! »
« Pas juste l’œil de bien rincé » me lance-t-elle en approchant sa main de mon visage. À l’odeur, ses doigts ne sont pas restés sagement sur la table…. « et le monsieur pas de cheveux au bar s’est aussi bien rincé l’œil.. je crois qu’il me trouvait mieux que la télé en tout cas! ». Petit rire, puis une gorgée. Bzz. Un texto.
– J’ai peur.
– ??
– Après une soirée comme celle-là, comment est-ce que je vais être à nouveau satisfaite au lit?
– Hmm… bah dis-toi qu’au moins tu l’auras été une fois pour de vrai! Combien ne le seront jamais? 😉
– Tu as peut-être raison. Tk merci pour cette soirée extraordinaire <3(Voilà, ma part du marché est complétée. En espérant que cela convient!)

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