Suite…
Je regarde les terrasses voisines en contre bas, quelques résidents sont présents mais il est clairement impossible pour eux de la voir, je me retourne et vérifie que la petite barrière est bien fermée à clé.
Je ne réalise pas… si on m’avait dit qu’un jour je me retrouverais dans cette situation, tout semble onirique, le temps est suspendu, mon cœur bat vite, je réalise seulement la journée fantastique que je continue à vivre.
Je pense à Jen, mais je ne culpabilise pas, c’est en partie grâce à elle que je vis ce rêve.
Augustina me regarde sourire aux lèvres, sa main droite malaxe son sein droit tendrement, sa main gauche elle, caresse sa chatte cuisses écartées, la lumière jaunâtre des lampadaires au travers de la végétation dessinent sur son corps des motifs magnifiques.
Mon sexe est en érection, je suis comme paralysé devant le spectacle mais une forte envie de me masturber en la regardant me prend. Elle me fait signe d’enlever mon short, je l’abaisse sans attendre libérant mon sexe aussi dur que du bois. Elle me demande d’approcher, arrivé à son niveau elle tend la bras et att**** ma queue qu’elle tire jusque à sa bouche.
Agenouillé sur le rebord du transat je me laisse sucer, elle prend tout en bouche, de longs filets de bave coulent sur ses seins, c’est gourmand, je commence à donner des petits mouvements me servant de sa bouche comme si c’était sa chatte, elle pousse des gémissements d’encouragement qui me font tourner la tête, mon cœur bat de plus en plus vite et mon sperme commence à monter. J’ai une envie folle de lui jouir dans la bouche mais je me retire vite.
– Tu aimes?
- Oui c’est magnifique
– A ton tour, lèche moi mon amour!
Elle me guide en saisissant mon bras, sans attendre je me glisse entre ses cuisses, face à sa belle grosse chatte humide. Elle plaque mon visage contre sa moule, en un rien de temps il est est totalement recouvert de sa mouille, de ses deux mains elle le compresse de toute ses forces et ma langue s’enfonce au maximum en elle, elle gémit, j’ai peur que ça s’entende mais peu importe rien au monde ne me fera arrêter cette dégustation.
Après un long moment elle me guide dans sa petite villa, ferme la porte et m’embrasse avec fougue. Mes mains caressent son dos, ses fesses. Elle me pousse violemment sur le canapé, elle est chaude et moi je me sens pousser des ailes, tout devient puissant, les baisers sont intenses, nos langues s’enfoncent, elle lèche mon visage mon cou, ses gros seins se compriment contre mon torse et ma bite se frotte contre sa chatte et fini rapidement par s’enfoncer d’une traite bien au fond, un frisson m’envahis, c’est magique.
Je la baisse de toute mes force la faisant sauter à chaque coup de reins. J’att**** ses seins, je joue avec, ils sont si doux. Après quelques minutes je jouis comme jamais hurlant de plaisir.
On reste enlacés un moment, les baisers n’arrêtent pas, on se dit merci encore et encore puis au bout d’un moment elle se retire de ma bite et se retrouve debout face à moi, restant allongé je la regarde elle est superbe, un pied sur le sofa elle écarte sa chatte et me montre le sperme couler sur ses doigts quelle fini par lécher.
Devant un tel spectacle mon sexe est à nouveau raide, je me lève, l’att**** et pars vers sa chambre.
On s’enlace sur le lit yeux dans les yeux.
– Te quiero hijo « Je t’aime fils »
- Tu es plus qu’une mère pour moi Augustina!
Sa déclaration me fait chaud au cœur, cette femme est fantastique et je ne peux que l’aimer!
Je l’embrasse tendrement allongé sur elle, j’att**** mon sexe bander et l’enfonce dans sa chatte pleine de nos sécrétions. Une chaleur intense s’y dégage. Je m’active lentement, plus rien à voir avec la coup précédent. C’est doux, câlin, relaxant…
Je caresse ses cheveux et son visage tout en la baisant toujours aussi lentement, ça dure longtemps, ses caresses sur mon dos me font frissonner. Nos deux corps sont recouverts de transpiration, il fait très chaud. J’aime sentir sa peau humide et son odeur. Je me retire et m’allonge un peu, je ressens une petite fatigue bien que ma bite soit toujours bien raide.
Elle passe au dessus de moi au niveau de mon ventre elle suce ses doigts, pousse des petits gémissements… elle m’excite. Je me branle en la regardant faire son spectacle puis elle elle se retourne et place son bon gros cul en face de mon visage.
A chacune de mes tentatives de lui lécher la moule elle se redresse pour m’offrir son petit trou en écartant bien ses fesses… Je comprends vite que c’est là qu’elle veut toute mon attention…
Je suis un peu étonné… mais excité par son offrande.
Au début un peu hésitant je fini vite par apprécier. Elle est limite assise sur moi, ses deux mains branlent ma bite, j’étouffe presque ma langue s’enfonce un peu dans son anus.
Après ce délicieux moment elle se redresse et guide ma queue contre son son joli petit trou, une fois mon gland entré, elle prend appui de ses deux bras et se laisse pénétrer lentement, la vue est superbe et c’est plus serré quand dans mon imagination. Je commence à être aussi chaud que sur le sofa, je la pousse en avant et la prend par derrière avec toute l’énergie qu’il me reste, ça claque, elle m’encourage.
– Vas y baise moi! baise mon cul! plus fort! encore oui! Baise ta maman espagnole, baise moi encore et encore!
Ses commentaires et la vue de ma bite qui s’active dans son cul m’excite beaucoup et je sens qu’un second orgasme n’est pas loin.
Je la défonce avec rage, elle se retrouve allongée, terrassée par mon assaut.
– Je veux jouir c’est trop bon
!
– Pas encore attend !
Elle se retire et prend ma bite dans sa bouche ce qui à l’époque m’a limite choqué! Mais après quelques succions c’est là qu’aura lieu mon deuxième orgasme, elle ouvrira sa bouche pour me montrer qu’elle a tout avaler.
Elle est pleine de transpiration, les cheveux mouillés, la bouche dégoulinante… c’est moi qui ai fait tout ça!
On se dirige ensemble vers la douche, on l’a bien méritée, ce long moment de tendresse sous les jets d’eau est divin.
Il est temps pour moi de rentrer, il est passé 4h du matin et ma mère va certainement se demander ou j’étais passer… pourtant j’ai une envie folle de dormir dans ses bras.
En quittant elle me dit :
– Je t’aime comme un fils…
- Je sais…… maman!
Heureuse elle m’enlace, glisse sa main dans mon short, serre mon sexe et m’embrasse pour la dernière fois de la journée, puis m’ouvre le grillage et je retourne chez moi… le villa d’à coté.
Cette nuit là dans mon lit malgré la fatigue j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir, et je me suis même masturbé en repensant à tout ce qu’elle m’avait fait découvrir, j’étais impatient que le journée démarre.
Je devais partir avec mes parents mais je savais déjà que je prétexterai une gastro pour une pas y aller et profiter d’elle un maximum.
Vivement demain!
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