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Le zob black

Le zob black



Non, tous les blacks ne sont pas hyper membrés !

Je l’ai « touché » du doigt par une belle nuit de printemps. Sa mine enjouée et son sourire m’avaient instantanément mis en confiance. Le temps d’échanger quelques banalités nous permit de nous retrouver suffisamment à l’écart pour que j’étreigne sa virilité à travers l’étoffe de son pantalon.
Toutes les images colportées depuis des années vantant l’incroyable puissance de sexes aux dimensions sensationnelles bousculaient dans mon esprit échauffé par le désir.
Mais ce premier contact avec les blacks ne m’apporta pas la réponse escomptée. Cette verge couleur d’ébène était tout ce qu’il y a de plus conventionnelle, n’arrivant pas à rivaliser avec mes amants blancs connus jusque là.
Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’il m’a été donné de renouer avec l’objet de tant de rumeurs. Une histoire sans grand romantisme, perdu dans les fourrés d’un lieu réputé pour la facilité de rencontres rapides entre hommes avides de plaisirs rapidement consommés.
Depuis une bonne vingtaine de minutes, j’arpentais les sentiers à la recherche de sensations lorsque je vis un black de belle allure se diriger directement entre d’épais buissons et y disparaître. Sans trop y croire, je marchais sur ses traces, ne tardant pas à le retrouver. Il se tenait au milieu d’un espace clairsemé, face à moi. De son pantalon complètement ouvert, il avait sorti un sexe aussi gros et long que noir. Tout en sondant mon regard, il agrippa sa virilité et, sans autre forme de procès, commença à uriner.

Son gland pourpre à demi décalotté était à l’échelle de son organe. Le méat largement ouvert par l’imposant débit, il se soulageait longuement avant de secouer les dernières gouttes rebelles. J’étais incapable de détacher mon regard de cette lourde queue. D’un geste naturel, il décalotta complètement pour bien l’égoutter, puis avança de deux pas en ma direction. C’était sans équivoque, Monsieur en attendait un peu plus.
Comme aimanté, je ne résistais pas à l’attraction qu’exerçait son membre fascinant. Mes doigts étaient bien trop courts pour circonscrire totalement sa brillante hampe délicieusement veinée qui, d’ailleurs, dépassait de part et d’autre de ma main.
Vaincu, convaincu même, je m’agenouillais devant lui. N’étais-je pas là dans l’espoir de tailler une bonne pipe ? Bien que de fort belles tailles, ses bourses semblaient tellement disproportionnées. Elles se faisaient voler la vedette par une verge de compétiteur s’affichant… loin devant.
Je le saisissais à pleines mains pour porter à ma bouche le beau gland sombre. À demi bandé, celui-ci force pour se frayer un passage et finit par reprendre son volume à peine le rempart de mes lèvres franchi. Ma langue part à la découverte simultanée de sa texture et de ses saveurs musquées malgré le peu de place qu’il lui reste pour s’exprimer. Les quelques gouttes d’urine encore contenues dans son urètre ne me dérangeaient pas le moins du monde.
– Oh, Monsieur est puissant ! Pensais-je intérieurement.
Délicieuse confusion cérébrale lorsque l’on réalise pouvoir branler une queue à deux mains tout en ayant la possibilité de sucer ce qui dépasse largement au-delà de mon emprise. Là, on sait qu’il s’agit d’une bite exceptionnelle, pas besoin de mesurer !

J’avance sur lui pour en prendre un maximum en bouche. L’épaisse hampe se frotte à mes dents, pas d’autre alternative, je suis incapable d’ouvrir mes mâchoires davantage malgré toute ma bonne volonté. Je sens la grosse veine rouler à chaque passage de mes lèvres. Sa verge branlée à un rythme régulier gagne encore en rigidité, devient plus consistante en se gorgeant de sang.
Ses couilles ballottent régulièrement alors qu’avec des gestes posés, il déboutonne complètement sa chemise. Sa toison pubienne drue est assez localisée, seule une colonne remonte le long de son ventre plat, pour finir son ascension autour de son ombilic. Loin comme ils le sont, ils ne me chatouilleront pas le nez, et je ne devrais pas en avoir sur la langue !
Ma salive s’épaissit. Je marque une pause pour admirer ce monument. J’att**** ses bourses d’une main en pesant sa queue de l’autre, constatant sa semi rigidité imputable à l’énorme volume qu’elle représente. Je la lèche, m’en frappe les joues et le front, ce qui le fait sourire.

Que demander de plus ?

Il se tient debout, le pantalon sur les chevilles, la chemise grande ouverte, les mains sur ses hanches, la queue cajolée par un admirateur inconditionnel. Je ne dois pas être son premier fan, du reste.
Je reprends en bouche son gros zob et repousse mes limites pour tenter de le satisfaire. Je passe une main entre ses cuisses pour plaquer ma main sur ses fesses. Ses couilles posées sur mon bras, je caresse son cul lisse musclé (si typique de la physionomie black) en propulsant son nœud de plus en plus vite au fond de ma bouche.
De l’autre main, je le branle en cadence, ce qui ne semble pas lui déplaire, puisque son bassin vient à ma rencontre.
Il me plaît, tous mes sens sont en émoi. Ma mâchoire devient douloureuse, mais peu m’importe ! Je le pompe de plus belle. Il ne semble pas pressé de jouir. Je ferme les yeux en le savourant, vrille ma succion autour de son zob, entame de petits sprints avant de revenir à un tempo plus langoureux… Sa main passe dans mes cheveux. En ouvrant les yeux, je croise un regard gentil, et toujours ce sourire aux lèvres…

J’accélère un peu, agrippe ses bourses en posant mon majeur entre ses fesses. Ses petits coups de bassin confirment son désir d’aller plus fort, quelque chose me dit que nous sommes sur la bonne voie.
Alors je m’emporte. Il m’écartèle la bouche. Moi qui n’aime « que les grosses”, je suis comblé ! Mes lèvres chauffent à tant frotter, ma salive devient presque collante. S’il ne vient pas bientôt, je vais prendre feu !
Mon doigt posé sur son anus lui met juste un peu de pression, ses fesses se serrent d’ailleurs régulièrement. Je le branle avec force maintenant, pressé d’en finir. Comme s’il lisait dans ma tête, il pose alors une main sur mes cheveux alors que son autre main presse la mienne pour que mon doigt le viole. Deux phalanges suffisent à lui arracher un mot : Ouais !
Le bassin en avant, les couilles remontées, il m’envoie une épaisse coulée de sperme. Je m’empresse de l’avaler, découvrant à peine son goût salé. Une autre coulée suit, bien plus conséquente que la précédente. Elle comble le peu d’espace restant autour de son puissant nœud qui n’est pas encore décidé à ramollir. Je m’y reprends à deux fois pour tout avaler, juste avant qu’il ne projette de nouveau son sexe vibrant au fond de ma gorge pour, de nouveau, m’abreuver de son foutre. J’en voulais, il me comble ! Je tente de le garder un peu pour moi, le temps qu’un dernier spasme ne dépose ses dernières réserves.

Là, le bout de son gland au bord des lèvres, j’en découvre la texture délicieusement gluante, le goût presque métallique, la troublante chaleur… Le nectar coule dans ma gorge, je ravale mon gros boa pour, tendrement, le finir. Son gland perd de sa superbe, sa hampe redevient plus souple, l’homme est vaincu. Je retire doucement mon doigt de son fondement pour aller caresser ses douces fesses totalement imberbes.
Avec une infinie tendresse, je savoure ce membre de compétition encore un long moment. J’apprécie qu’il me laisse jouer avec.
D’une main ferme, j’extirpe de sa hampe les dernières larmes de sperme pour m’en délecter une dernière fois. Une dernière gorge profonde me permet d’avaler la moitié de son sabre avant de remettre en place son prépuce et de lui rendre définitivement.

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