Dans ce récit je parle d’une époque ou le TGV n’était pas encore en service.
Je dois rejoindre mon mari pour passer le weekend avec lui à Biarritz ou il est en déplacement.
Après avoir préparé un petit sac de vêtements je prends le train de la ville ou je réside jusqu’à la gare du Nord à Paris puis le métro pour arriver gare Montparnasse.
Dans le train qui doit m’emmener à destination je pénètre dans un wagon et m’installe à la place que j’ai réservée.
Sur la banquette en face de moi un homme au physique quelconque est absorbé par la lecture d’un roman et ne prête pas attention à moi, je ne sais même pas s’il s’est aperçu de ma présence.
Un couple de personnes âgées s’installent aussi dans le compartiment à l’autre extrémité des banquettes.
Le train roule depuis environ deux heures quand l’homme pose son livre et me regarde fixement sans détourner son regard.
Je pose également mon regard sur lui de temps en temps mais gênée car il me fixe sans jamais détourner les yeux je baisse les miens mais je ne peux m’empêcher de le regarder de nouveau, le manège dure un petit moment.
C’est vrai que vêtue d’une jupe courte d’été qui remonte très haut quand je suis assise et de mon débardeur à bretelles qui laisse entrevoir ma poitrine je dois être attirante.
Le manège de l’homme se poursuit et je ne sais pas quelle attitude adopter, je suis déboussolée et terriblement gênée, il ne me quitte pas du regard un seul instant.
A un moment il me fait un signe de la tête et se lève, je le regarde se diriger vers la porte du wagon sans réagir.
Avant de sortir il se retourne et me regarde puis me fait de nouveau un signe de la tête que j’interprète voulant dire « viens ».
Machinalement je me lève et le suit. Ma réaction est incompréhensible il n’est pas beau, ne me plait pas du tout et en plus je ne le connais pas.
Il se dirige vers les toilettes dont il ouvre la porte et me fait signe toujours de la tête d’y entrer.
Je ne réfléchis pas et je pénètre dans les lieux, il entre après moi puis ferme la porte et la verrouille.
Toujours silencieux l’inconnu déboutonne son pantalon et extrait de son slip un sexe moyen qui se dresse fièrement.
Il me plaque le dos contre la porte, soulève ma jupe qu’il retrousse et remonte jusqu’à mes hanches, il écarte ma culotte. Machinalement j’écarte au mieux mes cuisses quand il approche sa queue de mon sexe contre lequel elle bute, avec une main il dirige son membre vers l’entrée de mon vagin et d’une forte et brusque poussée s’introduit en moi.
Je sens le pénis coulisser dans mon intimité puis ses mains agrippées à mes hanches il commence les mouvements de va-et-vient, avec ses coups de reins mon dos cogne contre la cloison. Le pilonnage de mon intimité ne dure pas très longtemps avant que des soubresauts n’agitent sa verge et qu’il éjacule arrosant mon vagin de son sperme.
Il se retire et s’essuie avec du papier toilette.
Voyant ce qu’il va faire et frustrée je l’empêche de remballer son engin qui bande encore et assise sur les toilettes j’approche ma bouche, je lèche sa verge recueillant au passage le sperme qui la souille ensuite je l’introduis dans ma bouche et je lui fais une fellation vigoureuse. Il est surpris de ma réaction et un peu désorienté mais se reprend vite.
Je suce un moment sans chercher à le faire jouir.
Quand je juge suffisante la caresse buccale que je lui aie faite, je me lève et enlève ma culotte souillée de sa semence.
Je lui tourne le dos et me penche en avant. Il comprend ce que je veux, se colle contre moi et introduit sa queue dans mon vagin pour me prendre en levrette. Ses mains agrippées à mes cuisses il s’active à grands coups de reins pendant qu’avec une main je triture ses testicules et qu’avec l’autre main je me tiens aux toilettes.
Il est plus long à venir mais la rapidité de ses coups de boutoir m’indiquent qu’il ne souhaite pas s’éterniser.
Pendant ce temps plusieurs fois on tente d’ouvrir la porte de l’extérieur, des personnes vont rester avec leur envie d’uriner.
Ses ongles s’incrustent dans la peau de mes hanches puis l’inconnu finit par éjaculer dans mon intimité en soupirant, il essuie de nouveau sa queue avec du papier toilette puis il rajuste sa tenue et sort m’abandonnant là.
Je referme derrière lui afin de pouvoir m’essuyer tranquillement les fesses, la chatte et le fond de ma culotte. Il va falloir que je revienne là avec mon sac pour changer de culotte
Je regagne ma place dans le wagon, l’homme a repris sa lecture et ne prête pas attention à moi.
Le voyage se poursuit sans qu’il ne daigne me regarder ou me parler.
Il reste un peu plus d’une heure de parcours pour arriver à Bordeaux quand l’inconnu pose de nouveau son livre et recommence à me regarder fixement.
Il se lève et se dirige vers la porte sans cesser de me regarder, telle une automate je me lève et je le suis.
Il ouvre la porte des toilettes, je pénètre à l’intérieur, il entre derrière moi puis ferme la porte et la verrouille.
Je retire ma culotte pendant qu’il sort sa queue de son pantalon, son érection est molle et dans cet état je ne vois pas comment il va pouvoir me pénétrer alors sans rien demander je m’accroupis et je lui fais une fellation jusqu’à ce qu’il bande correctement.
Adossée à la paroi jupe relevée et jambes écartées il se colle contre moi et introduit son pénis dans mon vagin.
Il ne semble pas vouloir perdre de temps et s’active énergiquement, les aller-retour de sa verge dans mon intimité sont très rapides.
Je n’ai pas beaucoup le temps de mouiller ni de prendre de plaisir avant que sa queue ne gonfle et agitée de soubresauts il n’éjacule dans ma chatte.
Je ne pense pas que mon plaisir soit sa priorité, il veut juste se soulager dans un cul de salope alors avec moi il a visé juste.
Il s’essuie, se rhabille et s’en va me laissant plantée là.
Je m’essuie avec du papier toilette, remets ma culotte et rajuste ma tenue avant de quitter les lieux.
Je regagne le compartiment sans que l’homme qui a repris sa lecture ne daigne prêter attention à moi. Pour lui je n’existe pas.
Arrivée à la gare ou mon mari m’a dit qu’il m’attendait je sors du train mon sac à la main, l’inconnu qui a quitté le wagon après moi passe à côté de moi une valise à la main et un sac en bandoulière,il me double sans un regard.
Je ne connais pas le son de sa voix car il ne m’a jamais adressée la parole que ce soit dans le compartiment ou quand il me sautait, je n’ai jamais tenté de lui parler. Je ne comprends toujours pas pourquoi j’ai acceptée de lui servir de vide-couilles.
A l’extérieur de la gare j’aperçois mon homme qui m’attend adossé à sa voiture, je le rejoins mais ne lui parle de rien.
Le soir dans la chambre d’hôtel mon mari tombe sur ma culotte sale et comme il est habitué à mes écarts de conduite il dit simplement.
<<ça m'aurait étonné que tu fasses la trajet sans te faire sauter>>.
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