Solange et Patou, collection Histoires vécues
Solange m’avait entraînée dans son monde, pour me remercier de l’avoir invitée sur mon bateau. Une rencontre amicale, qui devint sexuelle…
Comme nous sommes voisines, j’ai gardé une relation épisodique avec elle, en particulier le tennis, dans le même club… Parfois elle venait bavarder au bord de ma piscine…
Dès le lendemain, elle avait convié deux jeunes hommes qu’elle connaissait déjà, au bord de sa piscine, pour s’évader disait-elle… Une expérience que je n’avais jamais faite, car ma vie s’était orientée vers des hommes plus mûrs… (v. la collection Histoires Vécues)
Elle m’avait présenté JL et Edgar qui m’avaient étonnée par leur maturité sexuelle, leur savoir-faire… J’avais craqué…
Solange papillonnait, entre des ex et ses errements sexuels avec de jeunes sportifs, rencontrés sur les courts…
J’avais gardé la carte d’Edgar, après cet après-midi très chaude et les émois qui en avaient découlé… Deux ans de sevrage avaient laissé place à un désir latent, mais dissipé par ma vie de maman, et mes deux loustics, dont le père se désintéressait… Ils avaient grandi, le plus petit avait cinq ans, l’autre sept bientôt. La nounou s’occupait de les mener à l’école, de les faire manger et je les retrouvais le soir, tous les trois.
Je n’avais pas besoin de travailler, juste m’aérer l’esprit et me changer les idées. Le bateau m’intéressait de plus en plus, et je sortais souvent pour m’habituer aux manœuvres, et faire quelques sorties, des régates amicales et en amateur… L’esprit était très bon, et on partageait souvent le repas du midi, sur l’un ou l’autre des voiliers, le mien était un des pus grands.
Je ne cherchais rien de façon intime, juste apprendre, comprendre parfois, et vivre cette passion nouvelle.
Je prenais les enfants et Cathy, la nounou, avec moi, surtout en été et quand il faisait beau. Elle aimait la voile, naviguer, apprendre…
Ses dix-huit ans et son bac en poche, elle resta ma voisine un moment, partagea mes soirées, car elle n’aimait pas rester seule avec ses parents.
Elle décrocha un job, faillit me planter, mais arriva à garder mes petits, ne travaillant que la nuit. Elle était rentrée au service du tri, à la poste, pour la saison d’été…
Mais elle voulait aller en Fac en septembre, médecine, ou école d’infirmière…
Elle me présenta Annie, sa cousine, 16 ans, qui allait habiter chez ses parents, donc cela ne changerait rien pour moi…
Annie était jolie, agréable et les enfants l’adorèrent rapidement, car elle jouait avec eux…
Je dus quand même mettre les choses au point, trop de tablette, trop de jeux vidéo…
Ensuite ce furent les copains qu’elle laissait entrer chez moi…
Elle était inscrite en enseignement par correspondance, et j’appris que ses parents étaient en train de divorcer.
Je la pris en tant qu’aide à domicile, je la payais bien, 800 euros par mois, logée et nourrie, elle était libre le soir et 1 jour par semaine, que je fixais au lundi…
Elle accepta…
Les parents de Cathy vinrent me remercier de prendre leur nièce en charge, sa mère étant incapable de s’occuper de sa fille pour l’instant…
J’avais les moyens et des besoins !…
Je la trouvais souvent en pleurs lorsque je rentrais tard. Elle téléphonait tous les soirs à sa mère… Ça se passait mal, son père voulait sa garde pour les trois années qui lui restaient, avant sa majorité…
J’invitais la maman un samedi, pour faire le point et la connaître…
Brune, mince, la trentaine…
Une femme en détresse, qui n’avait pas de travail et vivait un enfer avec un mari méchant, menteur et colérique, dont elle voulait se séparer…
Je réfléchissais…
Estelle me remercia pour sa fille, qui lui donnait tout l’argent qu’elle gagnait…
Elle toucherait bientôt des aides sociales, et le père serait condamné à lui verser 600 euros par mois… Mais le pourra-t-il ? Ses économies ne suffiront pas à les faire vivre toutes deux en attendant le divorce…
Il venait sonner le soir à sa porte, la police l’avait mis en garde à vue hier soir…
Elle avait peur de rentrer chez elle… Peur, qu’il se venge et qu’il la batte…
Je l’invitais à s’installer dans ma villa, elle pouvait partager la chambre avec sa fille, jusqu’à ce que son divorce soit prononcé. Elle était invitée et donc nourrie et logée…
Je lui proposais de tenir ma maison, je la prendrais alors en CDD, le temps que cessent ses ennuis… Ce qui me donnera plus de temps libre…
Elles étaient en pleurs, de bonheur, m’embrassaient, elle courut chez sa sœur, ma voisine…
Pourquoi ne l’a-t-elle pas hébergée comme sa fille Cat ?
Le père de Cathy était un de ses ex…
Sa sœur ne la voulait pas chez elle… Elle avait accepté de protéger sa fille…
Lorsqu’elle revint une heure plus tard, elle souriait… Sa sœur avait accusé le coup, que je fasse ce qu’elle ne voulait pas faire, par jalousie malsaine…
Elles avaient parlé avec son ex-amant, il avait expliqué à sa femme, que c’était de l’histoire ancienne et qu’il n’était plus amoureux de sa sœur…
Mais celle-ci se méfiait si elle devait habiter avec eux…
Donc, notre arrangement contentait tout le monde…
– Qu’elle est conne… J’échappe à un mari, je ne vais pas baiser avec un ex…
– A moins qu’elle aime les situations familiales complexes… Tu es jolie et il aurait la vie belle avec deux femmes à la maison…
– Oui, et le connaissant…
– Ah ? Des regrets ?
– Non, on s’est séparés parce qu’on n’avait plus d’atomes crochus, mais la vie nous change… Je suis seule, et j’ai besoin de tendresse… Ma fille l’aime bien, ils s’entendent bien. Il a des regrets sans doute, mais moi, j’ai tourné la page.
– Bon, c’est bien, installez-vous, si vous désirez plus de place, prenez l’autre chambre, je la gardais en secours, et voilà une urgence, non ?…
Je les laisse seules le lendemain, je vais juste faire un tour au bateau avant midi, puis reviens pour manger…
Estelle est ravie, elle connait mes goûts par Cathy et par Annie, devenue l’amie de mes enfants… La maman sert de garde-fou, et cela me plaît.
Une salade composée, des légumes, puis des poissons en filets, que j’avais au congélateur. On s’entend pour les courses, supermarché, boulangerie, boucherie, je fais confiance, mais veux un ticket détaillé, les notes de supermarché, et les dépenses de goûter et autres sorties avec l’école. On tient un livre… Je pars enchantée de ce premier repas de midi entre nous 5…
Je trouve une culotte dans la couchette principale…
Parties sans doute trop vite la dernière fois… Ce n’est pas ma marque préférée…
Je me revois avec Gisèle, son après-midi d’initiation à la voile a tourné court dans la couchette… Première fois depuis deux ans que j’avais un rapport sexuel, certes lesbien, mais oh combien intense… Et puis le lendemain, les deux jeunes…
Mes affaires personnelles s’arrangent, j’ai failli perdre une nounou, je me retrouve avec 2, et je sens mes enfants en bonnes mains…
J’ai envie de m’accorder un peu de temps et quelques douceurs méritées…
J’appelle Gisèle…
– Solange ?
– Ma chérie comment vas-tu ?
– J’allais t’appeler… Figures-toi que j’ai croisé Edgar au tennis, et il m’a parlé de toi… Il est impatient de te retrouver… Il a aimé notre quadrille…
– Justement, j’ai réglé mes problèmes d’intendance, je te raconterai. J’avais envie de m’accorder un peu de détente… Celle que tu proposes me tente bien…
– Il y a une fille que je dois inviter, nous serons 3 couples en fait… Je ne t’ai pas parlé de Patou, une amie un peu comme nous, elle a besoin de sortir pour reprendre goût à la vie… Elle est super sympa… Je lui ai proposé de goûter à la chair fraîche, comme pour toi… Vendredi après-midi, tu es libre ?
– Chez toi ? Oui, je viendrai… JL sera là aussi ?
– Yes… Avec un nouveau que ne connais pas encore, mais ils m’ont assuré le meilleur, il est Guadeloupéen…
– Tu savais que l’on serait 6 alors ?
– Je ne peux rien te cacher… Tu vas aimer Patou, on a flirté l’autre soir, sous la douche, c’est un volcan…
Je sonne et une voix nasillarde me dit d’entrer…
La première chose que je vois, c’est un corps magnifique en maillot sexy, qui me sourit…
– Voici Patou…
– Patou, Solange dont je t’ai parlé et Henry que tu ne connais pas…
– Bonjour Madame…
– Les autres tu les connais…
– Ça me fait plaisir de vous revoir les copains…
– Va te mettre à l’aise, tu as ton maillot ?
Gisèle est à croquer, maillot deux pièces qui ne cache que vraiment le strict minimum, a beaucoup de mal à dissimuler le reste…
Quand je reviens sur la terrasse, Gisèle me sert à boire, il est temps de faire connaissance…
– Patou, c’est Pat aussi… Tu es voisine ?
– Oui, mais on s’est rencontrées au tennis !…
– Oh !… Il paraît que tu as un magnifique voilier, qui te permet d’oublier ton mari ?
– Oui, c’était le but après ma séparation. Mes enfants ont adoré, et moi, j’ai passé le permis. Oh, c’est un bateau de 15 ans déjà, mais l’ancien propriétaire s’en servait seul et l’avait parfaitement équipé. Donc, je m’évade souvent seule… Et toi ? Je te tutoie…
– Oui, oh, Gisèle m’a parlé de toi, et c’est pareil pour moi… Mariage, enfant, et au bout de 7 ans, traces de rouge à lèvres, moins pressant, plus rêveur… J’ai vite compris… Cela ne pouvait m’arriver à moi, alors j’ai craqué, l’an passé, dépression, une loque… Puis divorce prononcé, enfant partagé, j’avais un travail, je l’ai retrouvé, mais c’est juste… J’ai du mal à oublier, à me reconstruire, à faire confiance, à sortir, et Gisèle m’a expliqué que nous sommes nombreuses dans ce cas…
Remonter la pente, découvrir ou redécouvrir des sensations oubliées, d’autres gens autour, des nouveaux, des amies, des hommes pour le sexe…
– Les femmes aussi…
– Oui, c’est vrai… Pour moi, c’est récent… Je veux dire les femmes…
– Tu es ravissante pourtant…
– Merci, toi, tu es divine…
– Tu les connais JL et Edgar ?
– Pas encore, elle m’a parlé d’eux, des jeunes, plus fous, moins sérieux, juste pour s’évader… Voilà…
– Tu ne l’avais jamais trompé ?
– Non, juste flirté un soir, avec un collègue…
Ses yeux sont adorables, blonde, cheveux épars, juste longs, peau claire, sans doute une vraie blonde… Je dirai 1.63m, 55 kg. Ses seins sont moyens, mais soutenus par le soutien-gorge…
Elle regarde les trois garçons plonger…
– Ils sont beaux nos toys…
– Ah, oui…
– Tu as peur ?
– Une bonne année sans…. Mais je pense que je vais retrouver mes sensations et le désir…
– Tu as fait l’amour avec Gigi ?
– Un peu avant qu’ils arrivent… L’autre soir, on a pris un verre après la réunion des parents d’élèves… On a fait connaissance, elle m’a amené ici pour dîner et puis on a flirté, mais quelqu’un est arrivé, je suis partie…
– En tous cas, tu me plais…
– Assez pour une sortie en voilier ?
– Oui, d’accord, demain ?… Tu as des enfants ?
– J’en n’ai qu’un, un garçon 11 ans… Mais je le laisse souvent chez mes parents. Demain 14 heures au port ?
– C’est dit, juste toi et moi…
Nous descendons les marches en nous mouillant un peu, mais elle est bonne… Gisèle a déjà commencé, ils sont tous les trois autour d’elle et elle a perdu son haut…
Edgar et Henry arrivent vers nous en nageant, Henry me soulève, Edgar, emporte Patou, et le temps s’arrête…
Je vois le visage de ma nouvelle amie s’éclairer, elle virevolte dans l’eau en riant, elle est nue, libre et leurs lèvres se joignent…
En même temps que les mains d’Henry se planquent entre mes cuisses et que mon haut s’envole vers la terrasse…
J’ai connu des hommes, et beaucoup sont dans la moyenne, mais quand je sens son membre venir contre ventre sous l’eau, j’ai comme un frisson…
Gisèle et JL s’embrassent dans un coin du bassin, et comme elle ferme les yeux, je pense que les choses vont bon train…
Patou me fait un signe, tout va bien, elle a l’air satisfaite de son premier contact…
Elle tourne autour d’Edgar, qui cherche à la coincer contre l’échelle… Quel bon souvenir !…
Henry masse mes seins, et je sens pleinement son dard bandé comme celui d’un taureau…
Il faut qu’il savoure cet instant…
Gisèle lâche ses premiers râles, accoudée à la margelle, les fesses ouvertes devant les yeux de JL… Il se serre contre elle, s’accroche, il a du la pénétrer car elle pose sa tête entre les bras, puis son corps est parcouru de soubresauts, à un rythme régulier, rythme que je connais bien et que je ressens aussi…
Toutes les 3, nous sommes en train de gémir sous les assauts de nos partenaires, Patou se laisse convaincre la dernière, et, accoudée à la margelle, elle relève son bassin vers lui, elle doit sentir le sexe progresser, Edgar lui parle, la serre dans ses bras pour la maintenir… Elle doit l’apprécier, comme moi, car elle ferme les yeux, elle jouit, en allant et venant contre lui…
Puis nous prenons l’échelle et venons nous allonger au sec, chacune gardant son copain…
Je me retrouve aux côtés de Patou, sur le dos et cuisses ouvertes, la tête d’Edgar entre ses cuisses, et elle apprécie en effet…
Sans s’être concertées, nous prenons la même pose, Gisèle en avance et gémit son premier orgasme, tandis que Pat honore le sexe devant elle et que je sens celui d’Henry grossir dans ma main…
Je le veux, et le suce, quel pied ce machin énorme que je dois prendre à deux mains pour mieux le contrôler dans ma bouche…
Ma langue le lèche comme un cornet glacé… Je sens ses doigts ouvrir ma vulve, il me masturbe doucement, je fonds de désir… On se met en 69, Gisèle se fait labourer avec passion, Patou, s’est ouverte et la langue de son amant la porte au supplice. Elle se tord, se donne, le veut, le lui dit…
Chacune avec sa technique, s’emploie à vivre ces instants de sexe…
Gisèle est montée en amazone et se prend en menant le bal, Patou continue son 69, et moi, je me suis offerte au sexe qui est venu s’enfoncer dans ma chatte détrempée de salive…
Que c’est bon, il pousse et comme par magie, mon vagin grossit avec lui, et il me possède entièrement et je jouis… Nos râles nous emportent, et ils partagent nos feulements de louves…
Patou s’est soumise, en levrette, ses fesses sont pilonnées par les coups de reins d’Edgar… Elle jouit à son tour, se lâchant avec nous, nous regardant jouir prendre notre plaisir, pousser nos feulements de lionne, nous offrir sans façon à nos jeunes amants, parfois nous prendre avec fougue, véritables furies, dansant sur un sexe en criant notre orgasme…
Plus de faux semblants, Henry me défonce…
– Oh, oui, viens chéri, baise-moi à fond… Que tu es gros !…
Je ne sais ce qu’il a compris mais je sens un doigt tourner sur mon anus, pénétrer, ouvrir, et le sexe s’engager…
– Oh !… Viens ! Tu vas me sodomiser gros cochon pervers… Oui !… Tu rentres !… Oh !… Encore !… Oui, pousse encore !… Oui, Ah ! Ah !… Ah !…
Et je jouis de lui, de toute la longueur de sa longue bite, qu’il enfonce sans ménagement, venant buter mon ventre, pilonnant mes fesses, son dard planté au plus profond de moi, il ravage ma rondelle…
Gisèle en a profité pour venir contre l’autre couple et embrasser Patou, excitées par mes gémissements, et mes onomatopées, pour l’embrasser, toutes les deux empalées sur le sexe de leur partenaire, Patou jouissant, écartelée, massée par deux mains puissantes, absorbant la large bite avec sexe grâce à de grands glissements de son bassin…
Deux femmes magnifiques, qui se donnent dans un combat sensuel, gémissant leur plaisir à chaque étape…
Et Henry revient me prendre la chatte en les regardant. Il me tient par les hanches, je le sens prêt… Il accélère, me portant à l’extase et explose en moi…
Je sens la chaleur envahir mon ventre, il me serre contre lui, toujours vissé à moi.
C’est un réel plaisir, que je ressens, cette libération qui vient me donner la vie, on s’embrasse tendrement, il caresse mes seins…
Le calme est revenu, nous avons toutes eues ce que nous étions venues chercher, une heure sauvage et tendre avec des jeunes hommes très virils qui nous ont apporté leur jeunesse, nous faisant l’amour décomplexé, en nous portant à des orgasmes délirants, réveillant notre libido éteinte…
Nous passons des peignoirs au retour de la douche…
Que de plaisir en cet instant, pensant à ces minutes de libération sexuelle…
– Et si vous restiez ce soir avec nous ?
– Oh, oui, restez messieurs… On commandera des pizzas…
– Bonne idée ma chère, après ces apéritifs, je me sens en forme pour continuer….
– Avec plaisir, oui, on a apprécié votre accueil mesdames et vos formes…
– Je propose de passer à la suite… Cette première heure était une mise en bouche, si je puis dire… Maintenant, certaines d’entre nous aimeraient plus de légèreté, plus de folie… Venez nous enchanter, messieurs, faites-nous rêver, jouez avec nos corps comme d’un instrument magique, et déclinez vos talents en de multiples orgasmes…
– Je demanderai de la spontanéité, du partage, un brin de passion, un zeste de piment, du jamais-vu… Oh, oui, baisez-nous ensemble, partagez nos corps que nous vous offrons, avec toute votre science, sans formalisme, juste du plaisir à puiser dans nos charmes…
– Viens Henry ! prends-moi comme tu l’as fait à Solange, enfile-moi ta grosse queue dans le cul et fais-moi jouir, comme jamais je n’ai joui… Partagez-nous sans réserve et sans honte. Nous allons au salon prendre quelques forces et nous y resterons, pour que nos débordements restent privés…
– Allez ! On monte au salon. J’offre le champagne pour le bal des sirènes…
Gisèle donne l’exemple et son verre à la main, elle se met à danser sur la musique qui s’élève de la chaîne stéréo…
Les 3 femmes regardent leurs partenaires en enlevant leurs peignoirs.
Très vite, les garçons tendent leurs verres, et bien d’autres choses… Ce qui vient affoler nos princesses…
Elles attirent les mâles, ondulant de la croupe, puis chacune dans les bras d’un garçon, elles trinquent à l’amour, un verre à la main, ou posée sur une queue, qu’elles se mettent à masturber, puis s’asseyent sur le canapé et les prennent en bouche, en hommage à leur performance de cette après-midi…
Patou fixe le sexe énorme devant elle, elle a du mal à le prendre en bouche, se contente de le lécher ardemment, Gisèle est aux bras de Andy, et je retrouve la chaleur troublante de JL…
Je donne l’exemple en me livrant à lui après une fellation de sirène et il s’agenouille à mes pieds, tête entre mes cuisses pour nous honorer à notre tour…
Ça commence à gémir, les cuisses s’écartèlent, les seins pointent leur désir, chacune attire le sien sur elle, et se laisse embrocher sans faillir…
Patou gémit, se tord, souffle, puis griffe… Il vient de la saillir, jusqu’au fond, comme quoi, elle cachait bien son jeu… Les doigts foncés pétrissent les beaux seins ronds, le sexe entre et sort en cadence sous les gémissements ponctués de Oh et de Ah !!!
Gisèle subit Edgar comme je le faisais… Chantant à tue-tête, elle baragouine des mots sans suite, sentant un orgasme arriver…
J’en suis là aussi, percutée avec fougue, par des coups de reins secs et puissants qui libèrent mes vocalises et déclenchent mes orgasmes…
Ses baisers sont brûlants, il me redresse et me reprend après m’avoir retournée, et penchée en avant…
Son sexe est un régal en levrette, emportée dans son monde, délicat et inventif, ses mains me caressent… Je suis à lui…
Je me trouve face à Patou, dans la même position que moi, baisée en levrette par la grosse queue d’Henry qui la tient par les hanches…
Je me rapproche et on s’embrasse en jouissant de nos amants…
C’est délicieux, sa langue s’enroule autour de la mienne, nous nous transmettons nos sensations, les mains de JL massent mes seins, sa bite me pilonne… Me voir embrasser une autre femme doit l’exciter au plus haut point…
Les doigts de Patou viennent explorer ma chatte, accompagnant le sexe de JL, caressant mon clitoris, ce qui me propulse vers un nouvel orgasme…
– Oh ! Oui ! Patou… Vas-y !… Caresse-moi… C’est bon, ta main quand il me baise, c’est génial…
– Il me baise aussi avec son dard énorme… Je délire… Je vais jouir de lui…
Deux chattes excitées qui se donnent, j’arrive à l’atteindre aussi… Elle est trempée, le sexe va et vient, doux, mais très gros, dilatant ses chairs intimes, son clitoris est énorme, elle est excitée par ce dard peu commun et savoure…
– Oh que tu es douce… Oui, branle-moi pendant qu’il détruit ma chatte… Oh oui, comme ça, sur l’anus, j’adore sentir ton doigt tourner autour de ma rondelle… Il va sans doute me sodomiser plus tard… Tu me fais jouir…
– Lâche-toi, il va jouir en nous regardant…
– Le tien aussi va se délivrer…
– Mais non, regarde Gisèle…
Gisèle jouit du sexe qui la propulse vers un orgasme, étendue sur le côté, les cuisses ouvertes, il la prend en ciseau, sa chatte grande ouverte accueille son dard, on ne peut que le regarder s’engouffrer dans son vagin… Il masse son anus, elle explose !
D’un coup, mon JL s’en va vers elle, sexe à la main et lui propose de la sodomiser…
Patou gémit, Henry est parti vers Gisèle, la laissant pantoise, cuisses ouvertes… Puis le sexe imposant remplace celui d’Edgar…
Ce dernier, offre sa bite à la bouche de Gisèle, seul espace libre, qui s’exécute en la prenant dans ses doigts, et en caressant les bourses pleines…
Patou vient contre moi, m’enlace, son sexe contre le mien et elle se frotte en cadence, croisant ses cuisses, nos sexes détrempés par nos amants, emboîtés maintenant, mélangent leurs sucs, et je jouis avec elle…
J’arrive à caresser ses seins fermes et arrogants, Gisèle jouit par les trois orifices, vocifère un orgasme…
Le sexe du Guadeloupéen ravage son minou, elle se donne et se redonne, s’empalant en même temps sur le dard de JL, tout en savourant celui d’Edgar…
Les 3 garçons la butinent avec fougue, et échangent leurs positions, c’est Henry qui la prend par l’arrière et enfonce sa grosse bite dans le méat ouvert par son ami… Mais son sexe est plus large et Gisèle crie son plaisir, écartelée, dilatée….
Edgar peut planter sa queue dans la chatte désertée, ouverte, rougie… Il s’enfonce dans son fourreau, elle gémit, elle jouit, ils la baisent ensemble, elle pompe le vît, puis le masturbe avec sa main, il grossit, il va éjaculer, elle l’embouche, elle sent le sperme gicler sur sa langue…
Puis elle ressent les deux autres qui la pilonnent, combinant leurs rythmes, et elle sent les deux sexes se délivrer, leur chaleur envahir son ventre, elle jouit en cherchant les lèvres d’Edgar qui est fiché en elle, épuisé…
Patou y met toutes ses forces et jouit en même temps que moi, nos vulves écarlates soudées, nos doigts plongent dans nos chattes, dans nos anus, nos lèvres se cherchent et nos baisers deviennent étranges, baisers d’amour, mouillés, suaves…
Elle me fait jouir, me mène à l’extase, je ne contrôle plus rien, j’explose sous ses doigts…
– Bon sang ! Quelle santé !
– Vous êtes des sirènes, avec de la volupté à revendre…
– Nous sommes jeunes et inexpérimentés face à vous, pourtant vous nous avez emportés dans vos délires, dans votre monde… Merci mesdames de nous avoir offert cette journée supplémentaire, c’était un vrai cadeau…
– Merci à vous, jeunes intrépides qui venez découvrir en nous la Femme… La femme qui vous a mis au monde, celle qui vous fait jouir, enfin, celle que vous chercherez, la pureté, l’amante et toutes à la fois, celle que vous épouserez !…
– C’est gentil ce que tu dis Gisèle… Tu as reçu notre hommage sans commentaire, t’abandonnant à nos délires, à nos pulsions, te donnant à tous les trois ensemble, pour te remercier, parce que tu es, et tes amies aussi, vous êtes, des exemples, aimant le sexe, cherchant à travers nous le juste milieu entre l’ado et le macho… Pas de perversité, juste de la tendresse, du respect et du sexe. Merci.
– Je ne sais pas ce que je penserai de vous demain… Mais en tous cas j’ai apprécié, autant que l’autrefois, et plus, car plus spontané et j’ai joui sans faille de chacun de vos assauts de jeunes fous, malmenée parfois, bousculée, triturée, mais heureuse entre vos bras…
– Vous nous avez donné des instants de sexe inoubliables, tellement forts, et si pleinement vécus, vous libérant totalement pour nous, que vous serez gravé dans notre souvenir. Merci à vous Gisèle, Solange, et Patou.
– Solange et Patou, vous avez fait connaissance pendant de cet intermède avec mes trois amants… Je tiens à vous remercier pour ce spectacle qui les a tant excités que j’en ressens encore les effets… Ils n’ont pas été les seuls à ressentir du désir par votre duo lesbien, j’aimerais participer dès que possible…
FIN
Marika842010 juin 2019
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