Nouvel étudiant en formation guitare jazz dans une région lointaine. Découvrant pour la première fois mon logis qui avait plus de ressemblance avec un taudis. Les deux autres chambres libres occupé par un couple et un de leurs amis deux semaines plus tard. La cohabitation devenu difficile dans les instants à cause de nos nombreux différents. Ma logeuse intervenue recherchant une solution au problème. Me proposant alors d’aller habiter chez une de ses amies. Andrée de son petit nom vivant par contre plus loin. Située à 35 minutes de marche de mon collège. J’allais devoir être en collocation avec sa jeune nièce de 21 ans au sous-sol. Étudiante aussi possédant une voiture. Logeant à mon arrivé dans une maison pourrais-je dire fort luxueuse. Tout le contraire de ce qu’étais la précédente.
Déménageant tout mon matériel chez elle. Faisant connaissance de la dame et de sa jeune tenante Stéphanie. Une autre semaine passée apercevant la demoiselle tous les soirs vers 21 heures. Douchée avec une serviette à la taille. Un peu trop petite pour elle pouvant apercevoir fréquemment son large fessier. Une blonde aux yeux verts de carrure voluptueuse. Un peu plus petite que moi à 5 pieds 4 pouces. Étudiante en soin infirmier au même collège que moi. Avec une personnalité fort sympathique. Urinant et se déshabillant toujours étrangement la porte de sa chambre ou de la salle de bain entrouverte. Un son de jet d’urine quelques fois porté à mes oreilles par occasion. Trouvant son aisance un peu troublante vu le peu de temps passé en sa compagnie.
Andrée photographe à ses heures à la retraite. Veuve depuis un certain temps son mari décédé depuis un moment. Vivant seule dans sa grande maison de bois pavé de pierres. Une rouquine de 61 ans aux yeux pers portant des lunettes. Un peu grosse mais quand même bien roulée. Un peu plus petite que moi avec une imposante poitrine ronde. Sa peau laiteuse m’affirmant qu’elle devait être hyper chaude. Très à l’aise en général et fort souriante. M’avait permis de venir la voir à chaque matin de fin de semaine. Pour ainsi déjeuner et apprendre à se connaître un peu. Réalisant qu’elle aussi apparaissait toujours douchée avec une serviette à la taille lors de mes présences. Sa porte de chambre et de salle de bain par contre à elle bien fermées. Revenant toujours habillée sobrement. Je crois qu’elle avait un faible pour les jeunes hommes en quête d’expérience. Car certains de ses sujets par moment devenaient un peu plus corsés…
Andrée – Alors…L’école…
Moi – Çà va…
Andrée – Loin de ta famille…
Moi – Oui…Passablement…
Andrée – T’as quel âge en passant…Par curiosité…
Moi – Ah…25 ans…
Andrée – Alors un peu plus âgé que la moyenne du collège…
Moi – Effectivement…
Andrée – T’as déjà une copine je suppose…
Moi – Non…Pas pour le moment…
Andrée – Stéphanie…Elle t’intéresse pas…
Moi – Oui et non…Mais j’apprécie sa présence par contre…
Andrée – C’est vrai qu’elle est gentille…Si tu veux…Les vendredis…Je fais toujours mes courses le matin…Alors…
Moi – Ce ne serait pas de refus…Mes cours son à 9 heures et demi en passant…
Andrée – Ah…Mon heure idéale…Je vais faire du pain la semaine prochaine…Si tu as envie d’en manger…
Moi – Ok…Si vous voulez…
Andrée – Tout chaud…Avec du beurre qui fond dessus…Un peu comme une chatte qui…Désolé…
Moi – Hummm…Hey bien…
Andrée – Enfin…Je vais quand même finir ma phrase même si elle semble déplacée…Une chatte ruisselante de mouille toute chaude…C’est ce que je voulais dire…Désolé pour l’obscénité…(Andrée souriant)…
Le vendredi arrivé Andrée venant me porter avec sa voiture. Mes occasions passées au matin en sa compagnie devenant aussi les vendredis, samedis et dimanches soir. Une forte tension sexuelle se développant alors entre nous deux. Sachant dorénavant que la madame voulait s’envoyer en l’air. Seulement par le fait que le sexe apparaissait souvent dans ses sujets de conversation. Qu’elle avait aussi une odeur forte et aimait me toucher brièvement par moment. Me laissant sous-entendre qu’il y avait des privilèges à l’accouplement. Que ce soit elle ou bien une autre. Qu’elle adorait écouter les gémissements nocturnes de ses voisins. La fenêtre de chambre toujours ouverte pour cette raison. Caressant habituellement sa vulve en les entendants s’investirent. M’indiquant que de me voir lécher ce beurre sur ce pain chaud lui donnait des envies. Et que de me voir tremper ce morceau dans ma tasse de café et de venir le porter à mes lèvres encore plus…
Andrée – T’aimerais voir mes photos…(Assis sur le fauteuil de son salon)…
Moi – Bien sûre…
Me démontrant sa panoplie de photos diverses ou de voyages sur son ordinateur portable. Quelques représentations d’elle complètement nue dans son spa extérieur en plein hiver. L’eau chaude couvrant évidemment son corps jusqu’aux épaules. Des feuilles de vignes en guise de façade la couvrant des regards voisins. Dégustant ses raisins tel une paire de testicules portés à sa bouche. Réitérant que la madame devait être hyper chaude pour se promener ainsi en robe de chambre dans ce froid glacial. Je sentais qu’elle avait de plus en plus envie de se faire enfiler. Déjà que je l’avais vu ce matin ne couvrant que sa poitrine et son pubis d’une serviette à la cuisine. Continuant sa route vers la salle de bain le fessier à l’air. Tout comme sa nièce me le démontrait régulièrement. Elle avait laissée une de ses petites culottes souillée sur la couverture de mon lit il y de çà deux jours. Ma tige dressée en main en soirée reniflant son doux parfum. Je m’étais masturbé deux fois juste en pensant à elle…
Andrée – Regarde celles ci…
Découvrant la dame en sous-vêtements de dentelle rouge avec un masque de plumes à ses yeux. Allongée sur son divan avec une coupe de champagne à la main…
Andrée – Celles avec le coussin cachant mes parties intimes…Sans petite culotte…Et la chatte bien baveuse de mouille…
Me rappelant son sous-vêtement semblable retrouvé dans ma chambre. Elle semblait avoir les cheveux un peu plus humidifiés sur cette photo…
Andrée – Je m’étais masturbée pendant une quarantaine de minutes avec mon vibrateur…En pensant un peu à toi… Déshabillé…Imaginant ton corps jeune, musclé et imberbe…Tu sais…
Moi – Ah…Bon…
Andrée – Çà fait tellement longtemps qu’on ne m’a pas sailli…Déjà que mon mari n’était pas très bon au lit…
Moi – Ah…Alors…
Andrée – Ton écoute est superbe…J’en ai la chatte toute mouillée…Tu devrais voir mon pauvre oreiller se faire assaillir le soir…En fait…Je me suis filmée en pleine action…Si tu veux voir la vidéo…
Moi – Hummm…Ah….Bon….
Andrée – T’as rien contre les vieilles…J’espère…(La madame caressant mes épaules tout doucement)…
Moi – Non…Pas pour l’instant…Tout va bien de ce côté…(J’avais tellement envie de la sauter)…
Andrée – T’aurais pas envie de me fourrer…Je pourrais pas être plus directe…La chambre est tout près…Deux semaines que je te tourne autour et…
Moi – Allons y ma chère Andrée…T’as l’air d’en avoir besoin…
Plus chaude que celà tu meurs. Y allant d’une chaleureuse embrassade en début d’hostilité. Pour ensuite enlever ensemble nos vêtements à la hâte. La dame cuisses ouvertes allongée sur son lit. Voulait se faire entreprendre tout doucement au début. Sans préliminaire car elle avait déjà la chatte en feu bien humide. Trempant lentement mon pinceau dans sa fente pendant les 5 premières minutes en missionnaire. Andrée qui me dirigeait calmement juste pour ne pas trop brusquer les choses. En me glissant quelques mots doux à l’oreille. Mon corps embrasé contre le siens. Pour ensuite ralentir la cadence et lui donner quelques coups de bassin vifs et secs à sa demande. Le matelas de son lit faisant du bruit. Son dossier de bois frappant à répétition contre le mur devant. Accélérant mon rythme avec ses mains agrippées à mon fessier. Son odeur de femme en chaleur se propageant dans toute la pièce. Fourrant sa vulve pendant une bonne quinzaine de minutes. Son corps devenu plus ferme empoignant ses grosses fesses. Gémissant avec son souffle qui devenait de plus en plus intense. Réagissant à mes intrusions pelviennes par quelques vocalises soutenues…
Andrée – Aaahhh…Aaaahhh…Ouiiii…OUiiiiiiiiii…
Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Je sentais ma logeuse presque défaillir à chacun de mes vas et vient constants et virils. Éjaculant finalement dans sa fente en saccade. Mon corps s’affalant alors contre le sien. Pour prendre une pause de dix minutes et se dégager. Elle m’avait proposé une douche avant de partir. En me signifiant qu’elle avait adorée faire l’amour avec moi. Pour revenir vers son spa extérieur au lendemain. Et me faire faire une fellation dans l’inspiration du moment. Fourrant Andrée pendant une bonne partie de la nuit chez elle. Elle qui voulait se faire tricoter les mailles sans cesse. Comme un a****l en rut. J’avais envie de lui démonter sa chatte de vieille en manque. Jouissant prise sur le côté dans la position de la pieuvre. Avec son antre chaud imbibé de cyprine.
Le vendredi, le samedi et le dimanche soir devenus mes jours de baise absolus avec elle. Le faisant même dans sa voiture lorsqu’elle venait me chercher à la fin de mes cours du vendredi. Stéphanie empalée aussi par mon glaive durant le mois. Baisée habituellement en levrette durant les lundis, mardis, mercredis et jeudis de la semaine. Selon ses disponibilitées. Elle savait que je fourrais sa tante depuis un bon moment. Et ne se faisait pas prier pour se faire défoncer elle aussi. Avec son gros fessier bien cambré dans les airs. Une grosse cochonne qui voulait se faire entendre haut et fort. Par l’entremise de mes mouvements pelviens. Envisageant peut-être de le faire en trio prochainement. Si elles en sont d’accord bien sûre. Me sachant déjà comme amant mutuel.
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