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Sylvie, ma belle-sœur(5)

Sylvie, ma belle-sœur(5)



En laissant Sylvie la dernière fois devant chez elle, je lui avais dit que je la rappellerai le lendemain. En fait je n’en fais rien car j’ai décidé de la laisser mariner et penser à tout ce que je lui ai fait subir. Si elle a suivi mes instructions elle doit être désormais libre comme l’air et avoir quitté définitivement Laurent. Je pars en déplacement professionnel une semaine et à mon retour j’aviserai. Il faut qu’elle soit en état de manque vis-à-vis de moi pour que je puisse maintenir mon emprise sur elle.
Pendant toute mon absence je reçois des SMS de Sylvie qui s’étonne de mon silence. Je me garde bien de répondre…
Dès mon retour je l’appelle, j’ai quelques jours de congés après mon déplacement, et, sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui dis que je passe la chercher dans une demi- heure au bas de l’immeuble où elle habite chez ses parents. Mes ordres fusent :
• En jupe et chemisier ! Pas de culotte, pas de collants, pas de soutif !
Et je raccroche.
Je la trouve comme prévu au lieu indiqué montrant ainsi sa soumission totale. Elle monte dans ma voiture et je démarre sans prononcer une parole. Elle ne dit rien non plus attendant mon bon vouloir.
Je parcours quelques kilomètres et m’arrête dans un chemin creux. Sylvie me regarde avec appréhension. Je défais ma ceinture de sécurité et je me penche vers elle pour lui rouler une pelle d’anthologie. Nos langues s’enroulent dans une furie qui trahit son attente pendant laquelle elle est restée sans nouvelles de moi. Elle tremble de bonheur. J’en profite pour passer ma main gauche sous sa jupe. Elle écarte ses jambes pour me faciliter l’accès à sa moule déjà trempée dans laquelle je n’ai aucun mal à faire pénétrer les quatre doigts de ma main… Je libère sa bouche et lance un ordre :
• Recule ton siège et abaisse le dossier!
Elle s’exécute. Dans cette position je peux alors mieux jouer avec ma main. Mon pouce rejoint mes doigts et, lentement, tout en effectuant des va-et-vient avec mon bras, je fais tourner ma main pour agrandir sa chatte et l’introduire en entier jusqu’au fond de son vagin. Elle feule de bonheur, pousse de petits cris, me dis des mots insensés :
• Baise-moi bien avec ta main, aarhhh, j’aime, encore, je n’en pouvais plus d’attendre, tu peux faire de moi ce que tu veux je suis ta chose… Ahhh je jouis !
Elle trésaille emportée par l’orgasme violent qui l’envahit.
Toutes ces paroles dites ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd et vont faciliter le scénario de la journée !
Néanmoins cet épisode ne m’a pas calmé, au contraire. Il faut que je me soulage. Profitant de sa position allongée, j’enlève mon short et mon caleçon, puis j’enjambe tant bien que mal son corps (l’habitacle de la voiture ne facilite pas les choses…) et je frotte mon gourdin bien bandé sur sa figure. Sylvie ouvre sa bouche et commence un léchage en règle de mes bourses, puis de ma queue. Je ne peux résorc*r plus longtemps à ce traitement car je suis en manque suite à mon absence et au fait que Sophie, ma femme, sa sœur, a ses règles depuis quelques jours. J’éjacule en longs jets sur son visage, ses cheveux et finalement dans sa bouche. Avec ma main j’étale mon sperme comme une crème de beauté sur ses paupières, son nez, son front. Je ricane en lui disant :
• Pas besoin d’aller chez l’esthéticienne, c’est bien meilleur et c’est moins cher ! Tu n’es vraiment qu’une trainée pour te faire traiter comme ça par le mari de ta sœur.
• Oui c’est vrai mais je ne peux plus me passer de toi. Cette semaine, sans un seul mot de ta part, sans une réponse à mes SMS, a été un vrai supplice. J’ai rêvé de toi toutes les nuits en me masturbant et en me godant avec une bouteille de Coca-Cola.
• Tu te rends compte de ce que tu me dis ? Tu es prête à m’obéir sans barguigner ? Tu sais que je vais te détruire, t’avilir à un point que tu ne soupçonnes pas ? Es-tu d’accord sur cette approche ?
• Oui j’y suis prête !
• Bon dès maintenant ton éducation va se poursuivre. Tu m’obéis et tu ne parles que quand je te le demande. OK ?
• OK
Je reprends le volant. Sylvie remets en place son siège et s’essuie, du mieux qu’elle peut, son visage avec des Kleenex. J’en profite pour passer ma main dans son corsage et lui tordre violemment son téton droit. Elle pousse un cri et grimace de douleur.
• Chut ! Tu dois désormais souffrir en silence !
• Oui mais c’est trop dur.
• Ce n’est que le commencement !
Nous reprenons la route, destination un hôtel Formule 1 discret près d’ici. Arrivés sur le parking, je prends une petite mallette dans le coffre de ma voiture et nous montons dans la chambre que j’avais pris la précaution de réserver auparavant.
A peine la porte de la chambre refermée, je plaque Sylvie contre celle-ci, je déboutonne son chemisier, dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds, je la retourne le nez contre la porte, j’empoigne ses deux seins dans mes mains et commence un malaxage en règle. Sylvie gémit. Je presse mon sexe déjà dur contre ses fesses. Je libère l’une de mes mains pour baisser mon short et mon caleçon. Mon sexe nu revient dans la raie de son cul. Je la fais reculer et j’appuie sur sa tête pour qu’elle se penche en avant. Je fais glisser ma bite vers sa rondelle encore vierge et j’appuie. Elle pousse un cri :
• Non pas là !
• Tais-toi ! Je vais te dépuceler du cul et tu en redemanderas…
Suit une suite de ses commentaires dont je fais fi. Elle hurle lorsque j’amorce ma pénétration car j’ai décidé, pour lui donner une leçon et bien la dominer, de faire ça à sec. Je lui claque les fesses pour la détendre et m’enfonce d’une seule poussée dans son anus. Je remets mes mains sur ses seins et tout en les massacrant je commence mon enculade violente. Elle crie – heureusement à cette heure l’hôtel est vide – elle pleure, puis gémit et, enfin, hurle sa jouissance. Ses sphincters serrent ma bite qui durcit de plus en plus. C’est incroyable même quand j’ai sodomisé ma femme Sophie pour la première fois je n’ai pas senti un tel plaisir. J’ai l’impression d’avoir une batte de base-ball en lieu et place du sexe. Je la défonce encore et encore, je veux que ça dure le plus longtemps possible. Mais après plus de dix minutes de ce régime je ne peux plus résorc*r et je me répands dans ses entrailles. Elle m’a vidé ! Que ce fut bon ! Elle s’écroule épuisée. Un flot de sperme s’écoule le long de ses fesses. Je me baisse et lui présente mon chibre débandé pour qu’elle le nettoie. Elle l’empoigne et le lèche avec volupté semblant ignorer qu’il sort de son fondement.
Elle me regarde avec amour, vaincue, domptée définitivement confirmant cet état par ses propres paroles :
• Je suis à toi. Tu peux faire de moi ce que tu veux. Tu peux me prostituer, m’enculer selon ton bon vouloir. Je suis ta chose. Tu me fais trop de bien avec ta queue et je ne pourrai pas m’en passer. Je ne te veux pas pour moi uniquement car je sais que tu aimes trop ma sœur et que pour toi je ne suis qu’un garage à bites.
Je sais alors que je peux passer au deuxième acte de la journée que je lui ai préparé. Ce sera une surprise pour elle et une étape de plus vers son avilissement.
Je lui demande de s’allonger sur le lit les bras et les jambes en croix. Je prends ma mallette d’où je sors des godes de différentes tailles, des menottes pour attacher ses poignets et ses chevilles aux montants du lit. Elle me laisse faire sans rien dire se demandant bien ce qu’il allait lui arriver maintenant. Je lui rehausse ses fesses avec un coussin. Je choisis dans la panoplie un phallus artificiel de taille moyenne – 3 cm de diamètre pour 15 cm de longueur – et je lui enfile délicatement celui-ci dans l’anus. Cette intromission est facilitée par le sperme qui baigne ses parois. Grâce à une télécommande je mets en route le vibrateur que contient cet olisbos afin de tester son efficacité. Sylvie commence à gémir. Ça fonctionne ! J’arrête cette action. Je ne veux pas qu’elle jouisse maintenant.
Je m’adresse alors à elle en ces termes :
• Dans quelques minutes un visiteur va arriver. Il a payé cher pour utiliser ton corps sans limite, hormis te sodomiser. Il utilisera ta bouche, ton sexe, tes seins comme il en aura envie. Tu ne devras rien lui refuser. Un simple refus de ta part et je m’en vais définitivement. Tu as bien compris ?
• Oui j’ai compris je ne veux pas te perdre je ferai tout ce que tu veux.
On frappe à la porte. Sylvie redresse sa tête. Je vais ouvrir et fais entrer l’oncle Georges, déjà en partie décrit dans ce récit. Veuf de 55 ans, au teint rubicond, il ne respire pas la propreté depuis la mort de sa femme il y a un an.
Sylvie me lance un regard terrorisé.
• Non pas oncle Georges ! Il est de ma famille ! Il n’est pas propre et il sent mauvais !
• Et alors ? Justement en famille on aime faire plaisir. N’est-ce pas oncle Georges ? Quant à sa saleté il faudra t’y habituer. T’es une pute et une pute n’a pas à choisir !
• Oui d’autant qu’elle me chauffe depuis un moment et que j’ai vraiment envie de la sauter. L’autre jour chez la cousine je me la serais bien faite tellement elle faisait pute. Je ne savais pas quand qu’en payant je pourrai me la faire et pour 500 €, ce n’est pas cher. Merci mon neveu (par alliance) pour cette belle offre. Je sens que je vais lui faire sa fête pendant un moment. Depuis que je n’ai pas baisé il faut que je compense…
• Vous aurez tout le temps qu’il faudra et vous pourrez renouveler l’expérience à condition que je sois toujours présent. Seul son cul vous est interdit. D’ailleurs il est déjà rempli par un gode vibrant que j’actionnerais grâce à sa télécommande pour accentuer votre plaisir à tous les deux. Ah, une dernière chose Sylvie, oncle Georges a une particularité. Vous voulez lui montrer ?
A ces mots oncle Georges se déshabille complètement et, tel un serpent qui jaillit de sa boite, il bande déjà, libère son sexe qui s’avère monstrueux : près de 30 cm de long pour un diamètre en rapport. Sylvie est horrifiée à la vue d’un tel engin.
• Alors qu’en penses-tu Sylvie ? Tu vas voir comme je vais te faire du bien. Ta tante, Dieu ait son âme, ne pouvait pas s’en passer.
• Jamais je ne pourrai absorber une telle bite… En plus elle est sale.
• Quand tu m’auras sucé ça ira mieux. Tu t’y habitueras. Et ne t’avises pas de vomir quand tu avaleras mon sexe.
Je surenchéris en lui rappelant tout ce qu’elle m’a promis. Sylvie acquiesce du regard, matée encore une fois.
• Bon dans la position où tu es on va commencer par un bon 69. Je vais te bouffer la moule et tu vas me lécher le cul pendant que je mettrais ma matraque entre tes seins. T’as compris ?
• Oui.
• Oui mon oncle !
• Oui mon oncle.
Oncle Georges se met en position. Je commence à filmer la scène car c’est digne d’un grand porno. Il abaisse son cul sur la bouche de Sylvie qui détourne la tête vaincue par l’odeur de saleté que dégage son anus. Je filme en gros plan et, tel un metteur en scène, je donne des indications aux deux acteurs :
• Allez Sylvie bouffe lui le cul !
• ….
• Bon je m’en vais c’est ce que tu veux ?
• Non.
• Alors vas-y !
Sa langue commence son travail de nettoyage. Elle est au bord du vomissement mais elle résiste d’autant qu’oncle Georges sait y faire avec sa langue qui lui titille le clitoris et ses gros doigts qui s’introduisent dans sa chatte, vite remplacés par sa langue. Elle gémit… et fait pénétrer elle aussi sa langue mais dans son anus. Elle a vaincue son dégout : encore une étape de son avilissement franchie.
Les mains de Georges étant libres il en profite pour presser les seins de Sylvie contre sa grosse bite qu’il fait aller et venir pour se branler entre eux. Ce traitement d’une fille magnifique qu’il n’aurait pas, même dans ses rêves, envisagé de baiser, conjugué à une longue période d’abstinence, font que son sexe est vite secoué par une suite d’éjaculations abondantes. C’est à ce moment que je presse la télécommande du godemichet pour la mettre au maximum de vibrations ce qui entraine un orgasme fulgurant de Sylvie.
Oncle Georges se relève, se tourne et va se faire nettoyer , en finale, sa bite malodorante par la bouche de Sylvie. Elle le suce avidement sans aucun dégout cette fois.
• Merde ! Elle est vraiment bonne. Je sens que je ne vais pas tarder à remettre le couvert. Mais cette fois-ci j’aimerais que ce soit elle qui agisse de son plein gré. Je veux qu’elle me fasse la totale. On va la détacher si tu veux bien.
• OK
Sylvie, ma belle-sœur(6)
Ni une, ni deux on lui enlève ses menottes. Elle est désormais libre comme l’air. Son corps est couvert du sperme de l’oncle Georges et elle a toujours le gode dans le cul. Georges me pose alors une question :
• Tu m’as dit que tu avais des accessoires.
• Oui j’en ai plein dans cette mallette que j’utilise avec Sophie, sa sœur. Tu veux les voir ?
• Oui je dois reprendre des forces et en attendant j’aimerais m’amuser avec le corps de Sylvie.
• Tu peux tout lui faire, elle ne dira rien. Y’a que son cul qui m’appartient exclusivement. N’est-ce pas Sylvie ?
• Oui, mon oncle tu peux tout me faire si Bernard le dit.
J’étale alors sur la table de la chambre tout un lot de produits divers et variés : des godes de différentes tailles et de différentes formes, des boules de geishas, des plugs, des pinces et des étaux à seins, des pinces à clito, une pompe à vide et même un fouet que je n’ai jamais utilisé n’en ayant jamais eu l’occasion. Peut-être un jour avec Sylvie mais dans un endroit plus discret pour qu’elle puisse crier à loisir.
• Alors qu’est-ce qui vous ferait plaisir d’utiliser en premier sur elle ?
Son regard de vieux pervers s’anime alors et je vois Sylvie, malgré son accord, blêmir car elle ne sait pas à quelle sauce elle va être mangée vu les outils que j’ai déballés devant ses yeux.
• Je trouve qu’elle a de très beaux seins qui demandent à être un peu travaillés.
• Je pense que c’est une excellente idée. Compressées dans des étaux avec des pinces sur les tétons par exemple je pense qu’on doit arriver à la faire jouir rapidement vu sa soumission. Elle a déjà un gode vibrant dans le cul on pourrait en plus la pénétrer doublement dans la chatte avec cette grosse queue qui imite parfaitement le sexe d’un noir. Ca la préparera pour votre gros sexe dès que vous serez en forme à nouveau.
• Allons-y ! J’ai hâte de voir ses réactions.
• Laissez-moi faire oncle Georges j’ai l’expérience et je sais arrêter quand il faut.
Sylvie n’en mène pas large car on va lui faire découvrir d’autres dépravations. Pour être plus à l’aise, je lui demande de se mettre en travers du lit, la tête pendante hors de celui-ci.
Je prends dans la mallette un premier étau à seins. Cet instrument est constitué de deux barrettes métalliques, recouvertes de plastique pour ne pas blesser, dans lesquelles sont enfilées deux tiges filetées terminées par des écrous à oreille qui assureront le serrage. Je desserre les vis au maximum, je fais glisser le sein droit de Sylvie entre les deux barrettes et j’enfonce l’outil en profondeur jusqu’à obtenir une certaine résistance montrant que je suis au maximum du possible. Je fais de même pour le sein gauche. Je demande à Georges de me rejoindre pour commencer à serrer les vis de concert afin que les deux seins soient comprimés en même temps. Il en profite pour passer son sexe sur le visage de Sylvie. Nous commençons le serrage régulier des écrous à oreille. Les seins de Sylvie bleuissent légèrement et ressemblent à des ballons de baudruche mal gonflé. Je décide d’arrêter là car Sylvie dit qu’elle a mal et je ne veux pas abuser pour cette première séance. Je prends des pinces à seins que j’installe sur chacun de ses tétons que j’ai au préalable étirés. A chaque pose, Sylvie pousse un cri de douleur, puis gémit en permanence une fois habituée.
Je vais tâter son sexe, il est trempé. Elle commence à jouir. J’en fais part à l’oncle Georges et lui dit qu’il peut lui enfoncer le gros dildo dans la chatte. Elle est prête. Il a beaucoup de mal pour le faire entrer car elle est très étroite et celui qui est situé dans son anus ne facilite pas l’intromission. Il force, elle crie, mais au fur et à mesure il gagne du terrain et arrive à le faire entrer jusqu’à la garde. C’est fou comme le vagin d’une femme peut être élastique… Le visage de Sylvie est couvert de sueur.
• Je crois qu’elle est maintenant apte à recevoir mon gros sexe.
• Je crois aussi. Tu en penses quoi Sylvie ?
• …
J’enclenche la télécommande et les deux godes se mettent à vibrer au maximum. Sylvie est agitée par des soubresauts qui annoncent une jouissance proche.
• Allez oncle Georges, profitez en elle est en bonne position pour lui faire une « gorge profonde ». Jouissez dans sa bouche elle n’attend que ça !
Oncle Georges bande comme un âne et lui enfourne son énorme sexe dans la gorge. Il atteint son larynx alors qu’il reste au moins dix centimètres au dehors. Sylvie s’étouffe, il ressort un peu pour la laisser respirer et tire sur les deux pinces serrés sur ses tétons. Sylvie crie mais c’est de bonheur car elle est à deux doigts de l’orgasme sous l’action combinée des deux godemichets, de la bite dans sa bouche et de l’étirement de ses seins. C’est ce moment que choisit Georges pour expulser sa semence en enfonçant son sexe carrément dans le larynx de Sylvie qui sous ce dernier assaut est agitée par une jouissance qu’elle n’avait jamais eu jusqu’à présent. C’est ce qu’elle m’avouera plus tard. Elle étouffe mais il a l’élégance de se retirer un peu pour la laisser respirer. Elle en profite pour tout avaler.
• Tu as aimé ?
• Oncle Georges est un vieux vicieux mais j’ai adoré tout ce qu’il m’a fait. Je suis une salope et il m’a traitée comme telle. Il est moche, sale, dépravé mais j’ai apprécié toutes les cochonneries qu’il m’a fait faire et les sévices qu’il m’a fait subir, plus particulièrement le travail que vous avez effectué sur mes seins.
• Tu veux qu’il te défonce avec sa matraque ?
• Oui.
• Alors je sens que tu vas déguster car il est en forme pour son âge et tu n’es pas prête de l’oublier !
Je la débarrasse de tous les accessoires y compris le gode dans son cul et la laisse se réinstaller normalement sur le lit.
Quelques minutes de repos pour elle le temps qu’oncle Georges reprenne de la vigueur. Il s’allonge auprès d’elle sur le côté et commence à lui caresser les seins.
• Hum ils sont bien gros et bien fermes comme je les aime. Tes tétons sont durs et je vais te faire jouir uniquement en les étirant et en les pressant. Tu vas voir comme c’est bon.
• Oh oui tonton, continue comme ça ! C’est trop bon ! Encore ! Encore ! Ouiiiii je jouis !!!!
• Allez ! Embrasse-moi pour me remercier !
Il se penche sur elle et approche sa bouche à l’haleine empuantie pour lui rouler une pelle. Sylvie détourne la tête mais il la lui maintient fermement et force ses lèvres pour faire entrer sa langue. Sylvie abdique et répond à son baiser.
• On sent le goût de mon sperme dans ta bouche. J’espère que tu as apprécié ?
• …
• Bon passons aux choses sérieuses ! Suce-moi pour me faire bander à nouveau !
Sylvie se penche sur lui et entame, pour le plus grand bonheur d’oncle Georges, une fellation divine. Elle lui lèche les bourses, la raie du cul, remonte le long de sa tige qui durcit de plus en plus vu le traitement qu’elle lui fait subir, avale son gland énorme. Il est désormais raide comme un passe-lacet !
Oncle Georges la fait basculer, lui relève les jambes qu’il écarte au maximum, se met au-dessus d’elle et frotte sa bite contre son clitoris. Puis, s’aidant de sa main il commence son introduction. Sylvie souffle, elle a peur, mais finalement se détend. La lente progression continue. Il se retire un peu, puis rentre à nouveau un peu plus loin gagnant du terrain à chaque poussée. Il est dur comme du bois mais après dix minutes d’efforts constants il crie :
• Ça y est tu as tout avalé ! Tu me sens au fond de ta matrice ?
• Oh oui vous me remplissez bien ! Je ne pensais pas pouvoir absorber un tel engin.
• Ce n’est pas fini ! Que la fête commence !
Oncle Georges commence alors un pilonnage en règle de la pauvre Sylvie. Après quelques allers et retours rapides qui la font déjà crier, Il fait sortir entièrement sa bite et la replonge brutalement au fond de son vagin. Ca déclenche un premier orgasme de sa nièce. Mais il ne s’arrête pas là. Pendant plus d’une demi-heure il continue ce processus brutal sans baisser le rythme. Il prend son temps et profite de Sylvie qui bave de bonheur, crie qu’elle n’en peut plus mais qu’elle en veut encore, hurle son plaisir…
Il décide alors de changer de position et de la prendre en levrette. Il empoigne ses seins, se lève à moitié et reprend son travail. Sylvie n’en peut plus et s’écroule à plat ventre sur le lit, il continue et ne débande pas. Il ne veut pas finir, il maitrise son éjaculation. Il ressort son sexe puis s’allonge sur le dos et lui jette un ordre :
• Viens t’empaler sur ma bite !
Sylvie s’exécute, se met à cheval sur lui, puis fait pénétrer à nouveau l’énorme matraque dans sa chatte.
• Allez ! Fais toi jouir toute seule rien qu’en contactant ton vagin.
Elle entame le travail demandé, ne tarde pas à jouir une énième fois et s’écroule sur la poitrine de son oncle qui n’a toujours pas fini…
Celui-ci me fait signe alors et m’indique avec son index le cul de Sylvie. J’ai compris ! Il sait que son anus m’appartient et veut qu’on pratique une double pénétration sur elle.
Je ne me fais pas prier une seule seconde car depuis le début de la séance avec son oncle je n’ai pas pu me libérer de mon envie de la baiser. J’ai le sexe en feu. C’est à mon tour de jouir !
Je me mets sur le lit, pose mon gland sur la rondelle de Sylvie qui crie qu’elle ne veut pas, et d’un seul coup d’un seul je l’encule profondément. Elle a maintenant deux sexes en elle et c’est son premier sandwich. De concert, nous alternons les entrées et sorties de son anus et de son con, les deux à la fois, puis l’un, puis l’autre. Sylvie gémit, dit que c’est trop bon, qu’elle n’aurait jamais voulu rater ça. Nous sommes inépuisables. Nous accélérons le rythme et, sans nous concerter, nous poussons tous les trois un ultime rugissement qui s’achève pour Sylvie par un flot de mouille qui s’écoule de sa chatte et pour nous par des éjaculations successives dans son fondement et son vagin.
Nous sortons d’elle et elle vient nous nettoyer à tour de rôle.
La séance est terminée. Nous sommes tous épuisés et oncle Georges est heureux d’avoir baisé sa nièce. Il va faire des économies pour pouvoir continuer ce genre de rencontres. Il a d’autres idées pour Sylvie.
Je ramène Sylvie chez ses parents et je lui dis que je suis fier d’elle et que je lui prépare d’autres expériences.
Elle m’embrasse goulument et me dis :
• Je suis à toi quoi que tu me fasses faire !

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