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Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part. 4

Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part. 4



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Partie 2: http://xhamster.com/user/DarKei/posts/63050.html
Partie 3: http://xhamster.com/user/DarKei/posts/67272.html

Salut les gens, pardonnez ma longue absence, ma vie a été bien remplie dernièrement mais je suis de retour!

Partie 4: La Déchéance

La semaine qui suivit, à la reprise des vacances, Marguerite vint me demander comment ça c’était passé, apparemment Samantha devait lui avoir parlé, et je lui raconta tout dans les moindres détails. La petite métisse semblait très intéressée par tout ça et me dévorait littéralement du regard tandis que je lui expliquait la soirée avec Samantha. Marguerite me proposa cash de coucher avec elle en ajoutant à la fin de mon histoire:
– Woaw! Et t’aurais pas envie de remettre ça avec moi? Ça devait etre super!
Je fus assez choqué de cette phrase, mais excité par la proposition je repondis:
– Haha, si l’occase se présente, pourquoi pas?

Pour rappel et expliquer un peu la personne de Marguerite, je rappelle que je n’ai jamais été véritablement attiré par elle à la base, car elle n’était pas particulièrement jolie, mais elle avait un autre don qui la rendait très intéressante: c’était une grosse cochonne! D’ailleurs à bien y réfléchir, toutes les situations un peu folles qui étaient arrivées jusque là étaient dues en grandes parties à son audace sans limite. Et puis bon, pour faire le macho le plus basique: si on lui cachait le visage, son corps était juste superbe! C’était néanmoins une fille adorable, qui me soutenait depuis longtemps dans ma « conquête de Samantha » et une amie sincère. Bref, elle a été là pour moi à ce moment un peu dur de l’année.

Ce jour-là, environ 2 semaines après la reprise, il me semblait que Samantha était particulièrement distante et froide avec moi. J’ai donc demandé des explications et c’est là que l’info est tombée:
– Tu dirais quoi si je t’avoue que je veux sortir avec quelqu’un d’autre? Me demanda timidement Samantha.
La douleur emplit mon cœur mais je sut rester calme et essayer d’être franc avec moi-même. Je lui ai répondu:
– Ben, c’est pas que je m’en fous, au contraire ça me rend un peu triste, mais tu sais, c’est pas comme si j’étais ton copain non plus. Je peux pas prétendre avoir le droit de te dire de ne pas sortir avec quelqu’un, c’est comme ça. Donc fais ce que tu veux.
Sabrina me regarda avec les yeux un peu humides.
– D’accord, répliqua-t-elle, dans ce cas, oublie-moi pour l’instant ok? Je ne suis plus ni ton plan cul, ni ta copine. Je suis désolée. J’ai rencontré un gars et je crois que je l’aime donc…
Et elle lâcha une petite larme et s’en alla.

J’allais plus mal que ce que je croyais. J’ai demandé à Marguerite si elle pouvait me voir pour en discuter le soir-même et elle accepta avec plaisir. Nous allames dans un petit bar sympa. Je vous zapperais la partie où j’ai raconté à quel point je croyais l’aimer et comme je détestais le type qu’elle avait rencontré. Toujours est-il que de paroles en paroles et de bières en bières, je me suis retrouvé avec ma langue dans sa bouche. Je lui pelotais les seins en public dans le bar, d’une manière très peu discrète, et elle se laissait faire, elle aimait ça même. Ça ne m’ettonait pas enfait, c’etait tout à fait son genre. En sortant du bar, quelques minutes plus tard enfait, j’ai demandé à Marguerite la question qui me brûlait les lèvres depuis une moment:
– Avec le caractère que tu as et ta façon de voir les choses en sexe, je peux pas croire une seule seconde que t’es vierge, comme tu l’a laissé entendre jusque là.
Elle me raconta donc la vérité: elle ne l’était plus depuis quelques mois et elle était en manque évident, pas du tout bloquée par la chose et carrément perverse. C’est donc tout naturellement qu’elle me demanda si je voulais aller dormir chez elle.

Autant dire qu’à peine arrivés chez elle, après avoir entrevu ses parents devant la télé et monté dans sa chambre, ma queue se retrouva dans sa bouche très rapidement. Elle la prit rapidement et la douce sensation de chaleur qui m’envahit me fit échapper un petit gémissement de plaisir. Je me rappelais alors comme elle suçait bien. Enfait elle gérait carrément la fellation. Elle jouait avec sa langue autour de mon gland puis faisait glisser d’une traite ma verge jusqu’au fond de sa gorge qu’elle aspirait avec brio. Je fulminais, elle me rendait fou. Je ne pensais plus qu’à elle et au fait que je voulais vraiment aller au bout cette fois. A un tel point que je n’attendis plus, je mis debout Marguerite face à moi et me leva doucement. Je lui déboutonna son pantalon et tout en glissant ma langue dans sa bouche je descendit lentement ma main dans son petit jardin secret. Sa chatte semblait rasée mais pas totalement dépourvue de poils, mais ce que mes doigts demandaient, je le trouva: sa fente était terriblement mouillée. Ma main glissa dessus comme sur une patinoire et entrèrent d’eux-mêmes dans l’entrée de son vagin. Sans crier gare, son pantalon glissa le long de ses jambes et dévoila sa petite culotte blanche en dentelles très sexy, la voir porter ça m’étonna et m’excita beaucoup. Ma main à l’intérieur glissait, caressait, trifouillait son sexe détrempé et elle soupirait fort en gémissant, s’agrippant à ma verge se frottant contre ses jambes.

Je n’arrivais plus à contenir toute cette colère, cette frustration intérieure par rapport à Samantha et pour me « venger » je me déchainait sur sa meilleure amie. Je la jeta presque sur le lit d’une impulsion de mes deux bras et m’agenouilla face à son entrejambe humide. Je posa ma bouche contre le tissu et me mit à happer son sexe à travers sa culotte, ce qu’elle sembla bien apprécier. J’aspirais sa chatte bouillante et l’entendais souffler déjà, des petits gémissements de provocation, comme un appel, une irrémédiable envie de continuer. Je retira la culotte de dentelles et découvrit sa petite chatte métissée très très attirante, les poils rasés en ce fameux « ticket de métro », étonnamment sexy. J’approcha à nouveau ma bouche de son sexe et la prit à pleine bouche. Cette fois, Marguerite se tordit de plaisir au contact de ma langue. J’étais bien décidée à lui faire du bien, lui faire passer la meilleure nuit de sa vie et je m’y attelais du bout de la langue- Je la glissais baveusement sur son clitoris bien sûr mais aussi à l’intérieur de sa chatte et sur toute la surface de son sexe. J’attrapais ses jambes et les tirais contre moi pour avoir un meilleur appui et ainsi plus de pression sur son sexe.

Je fis pivoter la jeune femme d’un mouvement de bras et celle-ci m’offrit son cul en le soulevant bien haut. Lorsque je vis son petit trou tout rasé au dessus de sa chatte détrempée, j’attrapa Marguerite par les hanches et plaqua son cul contre ma bouche pour le bouffer à pleine dents! Je la mangeais au sens propre, je me défoulais, j’exprimais ma colère sur son corps. C’était un peu pathétique dans un sens, et c’est vrai que ce n’était pas cool pour elle mais intérieurement j’étais plus entrain de me venger de ma « séparation » avec Samantha, plutôt que de coucher avec Marguerite. Son petit cul était bouillant et vraiment sexy. Elle avait des fesses vraiment très rebondies et fermes, la joie du métissage, et si je n’ai jamais été très attiré par elle, son cul était entrain de me faire changer d’avis. Elle gémissait de plus en plus fort et je compris qu’il était temps pour moi de passer aux choses sérieuses. Je me redressa et posa mon gland contre sa chatte luisante de salive et de mouille. Je fis glisser mon membre le long de la fente d’avant en arrière plusieurs fois de suite, pour augmenter l’intensité de l’excitation de ce moment si chaud.

Je me rappelle qu’à ce moment précis, j’ai véritablement eu un flashback de la même scène avec Samantha 2 semaines auparavant et il ne me vint qu’une chose à l’esprit: j’allais faire mieux. Une levrette ne me suffirait pas cette fois. Je poussa ma queue dans la fente et elle m’aspira en elle d’une traite. La chaleur engloba mon sexe et me procura un effet de plaisir incroyable, inarettable. Je commençais à peine à bouger que la jeune femme se mit déjà à gémir, un peu trop fort à mon goût, mais sa voix déformée et son corps tordu par le plaisir me redoubla mon excitation. J’attrapa ses hanches et je me mis à taper rapidement en elle. A chaque claquement de mes couilles contre son entrejambe mon gland frappait au fond de sa petite chatte, qui au passage était vraiment très étroite par rapport à Samantha, redoublant notre plaisir à chaque va-et-vient. Elle gémissait et parlait beaucoup:
– Aaah, putain c’est bon! Oh, vas-y déchaine-toi. Prends-moi bien!
La petite Marguerite que j’avais rencontré en début d’année, timide, vierge et pure venait de disparaître plus que jamais, éclatée par son envie irrémédiable de luxure et de sexe. Ma bite était dans sa chatte alors qu’elle était dans celle de sa meilleure amie 2 semaine auparavant et elle en demandait toujours plus. Je ne me reconnaissais pas non plus, jouant au Don Juan, profitant de la situation avec ces deux filles, moi qui avant étais si timide et renfermé. Mais les faits étaient bien là, je baisais avec Marguerite.

Mon entrejambe frappait en elle de façon cyclique, un bruit très sexy et lourd s’en échappait, Marguerite se crispait, se tordait, gémissait mon nom, posait ses mains sur ses fesses pour les écarter et me permettre de plonger en elle encore plus profondément. Son dos brun clair se couvrait de sueur que je caressait et où mes mains s’agrippaient. Ses tresses africaines sautillaient à chacun de mes assauts et ses fesses s’aplatissaient sous le choc. Comme je sentais bien que le plaisir et l’excitation montais trop vite dans cette position, je retourna la belle qui se plaqua sur le dos, attrapa ses deux jambes que je collèrent contre mes épaules et entra en elle rapidement. En la prenant dans cette position je voyais super bien sa petite chatte gonfler se refermer sur ma verge et ses petits seins se trémousser d’avant en arrière au rythme de mes coups de reins. Là-aussi la sensation était dure à contrôler. Je ne suis pas précoce, mais disons que je ne tiens pas super longtemps quoi, surtout lorsque l’excitation est à son comble comme ici.
Je lui attrapa les deux jambes et les passèrent sur mon épaule droite, pliant la jeune métisse en deux, regardant ma queue s’enfoncer en elle, serrant les dents pour ne pas me laisser jouir. Voyant que j’avais de la peine, Marguerite coupa ses gémissement pour me dire d’une voix essoufflée:
– Attends, ne jouis pas, c’est trop bon, je vais me mettre sur toi un moment. C’est trop bon!
Elle se redressa et nos langue se collèrent l’une à l’autre dans un baiser passionné, intense et fougueux, son souffle chaud contre le mien nous tenant en extase. Je me laissa tomber en arrière, le sexe bien tendu au ciel et Marguerite vient s’y empaler lentement. Pour me calmer, je commençais par la laisser s’amuser toute seule sur ma queue, elle posa ses mains sur mon torse et commença à remuer le bassin de façon cyclique de haut en bas en faisant tanguer mon corps tout entier, la chaleur et l’aspiration de sa chatte sur mon membre se faisait d’autant plus ressentir, mais le fait que je restais calme fit redescendre un peu ma jouissance. Lorsque je fus assez calmé et n’y tenant plus, j’attrapa ses fesses et commença moi aussi à bouger sérieusement, faisant tomber son magnifique cul bien ferme sur mes couilles en m’aidant de mes mains pour aider la métisse à sauter sur ma bite. Je luis claquais le cul, je luis mordillais les tétons lorsqu’ils passaient près de ma bouche. Mes mains se crispèrent, ma queue se tendit.
– Je viens!! Hurlais-je.
Elle s’éjecta de ma queue et l’attrapa de sa main droite, elle approcha son visage, bouche grande ouverte comme dans un bon porno et laissa mon sperme lui inonder la face, giclant dans sa bouche et sur ses joues. Elle avala une grande quantité de ma semence et suça encore ma queue pour l’essuyer. Lorsqu’on eu finit, elle vint se coller contre mon épaule, le coeur battant aussi fort que le mien et me souffla:
– On remet ça? Moi aussi je veux jouir.
J’étais épuisé mais elle m’a bien fait recommencé. Nous avons fais l’amour 3 fois cette nuit-là, sans vraiment dormir.

J’ai appelé cet épisode « La déchéance » pour les 2 mois qui se sont déroulés après. Déjà le jour suivant…

Le lendemain nous avions cours donc on s’y est pointés, crevés et tous retournés de la nuit qui venait de passer. Les cours ne m’intéressaient pas vraiment, je ne voyais plus Marguerite de la même manière. J’avais dans ma classe ce qui pouvait se résumer comme le meilleur plan cul que j’ai jamais eu. Elle aussi semblait ne pas vraiment s’intéresser à la classe. Même Samantha, assise un peu plus loin, semblait invisible après cette nuit. Et c’est donc tout naturellement que les choses partirent rapidement en couille. Les pauses, avant, je les passais toujours avec mes deux chéries Sam et Marge mais depuis que Samantha m’avait demandé de prendre des distances, eh bien j’étais bon pour passer mes pauses qu’avec la jeune métisse. Ce qui tombait plutôt bien dans la situation présente, car nous rêvions de nous retrouver seuls. A la pause de midi, nous allâmes d’abord acheter nos sandwichs et sans crier gare nous avions vite fait de nous retrouver seuls dans un passage qui menait à l’école que peu de monde empruntait, derrière de grands buissons limite posés là exprès pour ça, avec ma queue dans sa bouche. C’était putain d’excitant de savoir que les quelques rares passants qui passaient à côté de ces buissons auraient pu sans trop de difficultés nous griller. Je me ****lle parfaitement de l’excitation que ça me faisait de devoir retenir mon souffle pendant que les gens passaient, Marguerite glissant toujours sa bouche sur ma bite. A la fin de ma gâterie, je lui jouis dans la bouche et Marguerite avala toute ma semence, pour éviter que ça ne gicle partout probablement. Et nous reprirent le chemin de l’école tranquillement comme si de rien n’était.
Ce fut le seul épisode du jour, mais la scène se répéta presque toute la semaine. Pendant que Samantha nous lâchait comme des merdes, nous baisions tous les jours ou du moins nous jouions ensemble tous les jours. Osant toujours autant prendre des risques, car Marguerite était une vraie tarée. Un jour nous le firent dans les toilettes des filles du deuxième étage de l’école à la pause de 10 heures, qui n’est de loin pas l’étage le plus calme et une nana était entrée, nous tétanisant dans notre cabine de chiotte. Mais heureusement, il n’y a qu’une cabine par toilettes, donc lorsqu’elle vu que c’était occupé, elle ressortit immédiatement, nous permettant de nous y remettre, non sans peine vu le flip qu’on avait eu.
Une autre fois, ce fut dans la salle de l’économat lorsque Marguerite et moi furent désignés pour aller chercher des bouquins de cours. Mais ce fut rapide. Plus le temps passait plus nous baisions PARTOUT!
Nous n’avions plus de limites et nous profitions de cette attirance pendant 2 longs mois.

Pourquoi que 2 mois? Eh bien parce qu’au bout de 2 mois, quelque chose que je n’attendais pas arriva et changea une nouvelle fois la donne avec Samantha. Les choses devinrent une nouvelle fois confuses et très chaudes. Je vous le réserve pour l’épisode suivant.

Bisous à tous où vous voulez XD

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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