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Gwendoline en Afrique

Gwendoline en Afrique



D’abord je dédicace cette histoire à Gwendoline, une ravissante petite blonde..
Ensuite, à Rose Laurens.
Une allusion aux inconnus y est glissée…Retrouvez la…
Enfin je précise que certains termes comme « sauvages », ou « nègre », sont à replacer dans la bouche d’une aristocrate britannique en 1920. Ils ne doivent pas être pris comme un indice de racisme de l’auteur. Ce n’est certainement pas le cas.

Dans l’air moite de la jungle, le corps de Gwen se balance mollement, attaché à une branche. Elle observe le corps puissant des guerriers qui la porte. Ses bottes de cuir fauve protègent ses chevilles, mais ses liens lui blessent le poignet. Ca devient très inconfortable. Elle est tendue, remplie de peur. Elle a vu mourrir 2 porteurs juste près d’elle. Les autres ont détalé en hurlant. Avant qu’elle comprenne quoi que ce soit, elle était déjà entravée. Son guide, Impala Bones, se balance sur une autre branche, inconscient. Il lui avait déconseillé d’entreprendre cette expédition.

_ Les sikas? Hmm, oui j’en ai entendu parler, mais à vot’ place, j’irais pas, m’dam…
_ Ah, et pourquoi, monsieur Bones?
_ Ben, disons que personne n’est jamais rev’nu de ce coin là, m’dam.

Il l’énervait avec ses allures de cow boy de pacotille et son accent traînant. Et son regard qui se perdait facilement dans son décolleté, ou sur ses fesses quand elle avait le dos tourné! Ces américains n’avaient décidément aucune éducation! Comme elle s’y attendait, après avoir doublé la mise, il avait accepté de l’emmener. Fille chérie de Lord Lanscombe, Gwen disposait d’une jolie fortune. Férue d’anthropologie, elle avait comme but de rencontrer une peuplade encore jamais décrite. L’Afrique centrale était vaste. De nombreuses légendes courraient à propos de peuplades mystérieuses, vivant dans des lieux encore inexplorés. Les Sikas, Gwen n’était même pas sûre qu’ils existent vraiment.

En se balançant sur sa branche, elle se dit que peut être, s’ils ne l’ont pas encore tuée, c’est que tout n’est pas perdu…Et puis, il se pourrait très bien qu’elle les ait découverts, ces fameux Sikas. Et il y a peu de chances qu’ils soient anthropophages, sinon ils auraient emmené les corps des porteurs morts…Gwen se rassure comme elle peut. Soudain d’autres sauvages les entourent, la discussion est très animée, ils parlent fort, très agités. La piste s’élargit, et ils débouchent dans une large clairière. Gwen et Impala Bones, toujours inconscient, sont détachés, et placés dans dans de petites cages, plus adaptées à des singes qu’à des humains. Une foule d’hommes et de femmes noirs s’empressent autour de ces 2 blancs. Gwen surtout attire leur attention, avec ses cheveux blonds. Ils viennent la toucher, puis se reculent précipitamment, en poussant des cris, puis en riant.

Les hommes ne sont pas très grands, mais trapus, musculeux. Ils sont vêtus d’un pagne en paille, portent souvent 1 collier au cou et un bracelet aux chevilles. Les femmes également sont plutôt petites, avec des cuisses et des fessiers bien développés. Elles portent un pagne comparable à celui des hommes, mais leur collier pend au milieu de seins nus qu’une cambrure marquée du dos rend arrogants. Ces 2 globes bien proprtionnés semblent fermes, comme nerveux.

Gwen les observe, et est de plus en plus convaincue que ce sont les Sikas. Outre leur aspect physique, qui concorde avec ce qu’elle croit savoir, il y a ce totem au milieu du village. Un tronc d’arbre peint, avec un moignon de branche qui figure un pénis. Un pénis énorme, disproportionné. Le totem arbore des yeux maléfiques, très grands, qui semblent lancer des flammes sous des sourcils froncés. Elle a déja entendu des racontars à propos des Sikas et de leurs pratiques sexuelles originales…Bien sûr, elle n’ y a pas accordé le moindre crédit! Des fantasmes d’homme frustrés, des histoires qui gonflent de bouche en oreille…

Soudain, une femme, beaucoup plus grande que le reste de la population apparait. Gwen se mord la lèvre. Quelle beauté!! Elancée, des fesses un peu fortes, mais bien rondes et musclées. Un ventre plat, les côtes bien dessinées. Les cuisses fuselées, dont la peau luit au soleil. Des seins pleins, arrogants, avec des tétons qui narguent le ciel. Une fièreté, une expression de la plus haute noblesse. Sa coiffure est également différente : de nombreuses tresses se perdent dans son dos, ornées de perles de bois. Une plaque de métal jaune, retenue par une chaîne, orne le dessus de sa poitrine. Son pagne est en peau plutôt qu’en paille, et bracelets du même métal décorent ses poignets et ses chevilles. La crainte et le respect semblent repousser les autres à plus d’un pas. Elle s’avance vers Gwen, en la regardant fixement, droit dans les yeux. Même la fière mademoiselle Lanscombe ne peut soutenir l’intensité de ce regard.

Elle semble donner un ordre, et deux guerriers sortent Gwen de sa cage, la font s’agenouiller devant ce qui semble être la reine, et la maintiennent fermement. Curieuse, la reine s’approche, lui touche les cheveux, retire sa main, puis les retouche. Son visage exprime une grande curiosité. Puis c’est au tour du visage de Gwen d’être caressé, reconnu, exploré. Gwen est troublée par ce contact. Ces mains qui la touchent sont douces, chaudes. Gwen se sent plus calme, presque rassurée. Puis l’exploration se poursuit dans le cou. Un ordre, et les boutons de sa chemise beige sautent, dévoilant sa poitrine. La reine recule, craintive. Elle montre le soutien gorge. Elle va pour le toucher, recule. Gwen la regarde sans animosité, ce qui semble la convaincre de toucher ce curieux objet. Elle en touche l’avant, l’arrière, les bretelles, toute à sa découverte.

Sous cette caresse, les tétons de Gwen se signalent. Elle en rougit de honte! La reine les touche, habile, douce et ferme à la fois. Puis s’adresse à la foule, et tout le monde rit bruyamment. Elle donne un ordre, et le pantalon kaki est enlevé en même temps que les bottes, puis fait signe à Gwen d’enlever ce qui reste. Mon Dieu!, heureusement que Bones ne voit pas cela!! N’ayant d’autres choix, elle s’exécute. Les mains de la reine lui écarte les cuisses. Puis en pointant du doigt le pubis blond, s’adresse de nouveau à la foule. Un grand oooooooooooooh lui répond. La main noire caresse la peau blanche, puis les poils blonds. Le coeur de Gwen bondit dans sa poitrine, qui gonfle et se dégonfle rapidement. Ses seins aussi sont bien fermes, plus ronds que ceux des noires. En caressant le pubis blond, la reine pousse un hmmm de satisfaction. C’est doux! Puis elle prend la main de Gwen et l’applique sur son sexe, sous le pagne, lui montrant la différence. Puis Gwen, ne sachant que faire, y laisse la main. La reine se méprenant sans doute, y frotte son sexe. Voulant rendre la pareille, elle caresse le sexe délicat de Gwen et rit. Gwen ne sait plus où se mettre : elle est toute humide!

En se retournant elle aperçoit Impala Bones qui la regarde. Elle en tremble de honte, ses larmes lui monte aux yeux. Percevant son trouble, la reine prend son visage et l’embrasse tendrement. Sa langue est longue, elle explore les moindres recoins de la petite bouche de Gwen. Elle caresse la peau douce et blanche de l’anglaise, qu’un bien être inattendu envahit. La reine ordonne, et Gwen est attachée, nue, à un poteau. Le lien est long, une sorte de laisse, qui permet à Gwen de s’asseoir, ou de bouger un peu.

Puis c’est au tour d’Impala Bones de se retrouver nu, et attaché au centre du village. La plupart des femmes semblent se moquer de lui en montrant son sexe. Lui et Gwen évitent de se regarder, honteux l’un comme l’autre. La reine semble annoncer quelque chose, puis elle est acclamée, et immédiatement, tout le monde s’affaire dans ce qui semble être des préparatifs. Les Sikas lient, construisent, amènent des troncs creux (des tambours?). Face au totem, un drôle d’engin prend place. Une espèce de tronc coupé en deux, avec une sorte de crémaillère dans le fond de la partie plate. Avec une sorte d’huile épaisse, le tronc est graissé. Deux genres de portiques sont rapidement construits. Puis l’activité retombe. Quelques curieux s’attardent près des 2 blancs.

Une odeur de grillade monte. L’estomac de Gwen se creuse encore, lui faisant presque mal tant elle a faim. Peu après, deux femmes s’approchent, un bol de bois à la main. Elles donnent à manger aux deux blancs en riant, visiblement très excitées. Ce n’est pas mauvais. Avide, Gwen termine son bol rapidement. Depuis l’enlèvement, elle n’a pas encore échangé un mot avec Impala Bones.

Le soir tombe. Des flambeaux s’allument, créant une ambiance très particulière. La reine se plante devant le totem, lance un appel. La foule arrive très vite, impatiente. La reine au corps de déesse se lance dans de longues incantations puis, transfigurée, elle s’adresse à son peuple. Des hommes prennent place derrière les troncs creux. Ce sont bien des tambours. Ils jouent doucement, sur un rythme lent. Les femmes entonnent un chant doux, chaud, très répétitif, hypnotique. Un ordre, et les 2 blancs sont liés au portique. Nus, écartelés. Les incantations de la reine se font plus fortes. Puis elle se porte devant le totem avec un bol, et, sortant d’on ne sait où, un liquide blanchâtre jaillit du « sexe » de bois. Elle le recueille dans le bol, en semblant remercier les cieux. Les mots Sika Sika sont prononcés. Malgré son angoisse, Gwen le remarque. Une acolyte s’approche de la reine et lui tend un bouquet de branches fines. La reine le prend, s’approche de Gwen et Impala en le trampant dans le bol. Puis elle commence à fouetter les prisonniers, en retrempant régulièrement le bouquet, psalmodiant encore et encore. Les tambours jouent plus fort.

La flagellation n’est pas si douloureuse, c’est plutôt stimulant. Gwen sent la chaleur envahir ses membres. Ses seins semblent gonfler. Elle jette un coup d’oeil à Impala : il bande! La reine falgelle son sexe, puis les seins de Gwen. Elle introduit le bouquet entre les cuises de la jeune femme, le fustige à petits coups de pignet. Gwen gémit. Puis la reine leur fait boire le fond du bol. C’est infect! Mais ils n’ont pas le choix et avalent. La reine insiste sur les sexes de Bones et Gwen. Bones se tortille. De plaisir? Gwen, quant à elle sent son ventre, son sexe et ses seins chauffer. Elle gémit de plus en plus, tremblante. La transe s’empare d’elle. Deux guerriers la détachent, et l’installent sur l’engin bizarre, couchée sur le dos. Ses chevilles sont écartées par un bois, callé sur la « crémaillère ».

L’engin est incliné à environ 45°. Gwen est liée. Elle peut juste bouger les jambes pour se relever ou descendre sur la planche huilée. La reine s’approche et, au milieu du tronc, installe un objet de bois, mince, long et lisse. Elle le graisse. Il arrive à l’orée de l’anus de Gwen qui se crispe. La panique s’empare d’elle, mais la reine s’approche, la caresse. Ses seins très sensibles sont durs, les tétons tendus. La reine les lui lèche avec tendresse tandis que sa main s’insinue entre les cuisses blanches légèrement potelées. Le plaisir envahit Gwen. Elle gémit. La reine la regarde, triomphante. L’anglaise commence à mouiller abondamment. La caresse de la reine se fait plus présente, forte, rapide. Gwen se tortille sur sa planche, le sexe de bois commence à lui pénétrer l’anus. Etrangement, Gwen ne ressent pas de douleur, et, lentement, se laisse glisser, se laisse pénétrer. La reine l’embrasse à pleine bouche, la masturbant toujours. Hmmm et cette chose dans son derrière. C’est bon! Son ventre brûle. Les tambours jouent plus fort, le chant des femmes plus rythmé. Le sexe de Gwen coule, coule, sans vouloir sembler s’arrêter. La reine murmure à son oreille. Ses mots résonnent dans la tête de Gwen, et son ventre se déchire, elle jouit dans un long cri a****l. Puis lentement, elle retombe, la reine continuant à la caresser doucement le corps.

Puis elle appelle. Un guerrier arrive, sort de son pagne un sexe dur et dressé. Il est long, gros, noueux. Parfaitement placé face à Gwen , il la pénètre sur un ordre de la reine. Il s’enfonce doucement dans ce sexe grand ouvert, dégoulinant, et entame une danse sensuelle, au rythme des tambours. Son pieu dressé avance, recule, tourne. Le plaisir remonte directement en Gwen, écartelée par ce burin humain. Doublement pénétrée, elle s’abandonne à son plaisir, à celui de ce sauvage, à celui de la reine. Celle-ci lui embrasse les seins. Hmmm oui!, Gwen adore! D’elle même, elle se tortille à la rencontre des 2 sexes qui la prennent.

Sur un ordre, Impala est installé sur un engin semblable, mais complètement plat et lisse. Il bande comme un cheval. Son sexe palpite, comme déjà prêt à jouir. La reine choisit une jeune femme dans la foule et l’amène près de Bones. Obéissante, elle caresse doucement le sexe blanc. Puis elle ouvre la bouche, et l’avale. Sa langue le caresse, le pompe doucement. La reine la prend par la tête, et lui imprime son rythme, en accord avec les tambours. Woaaagh! Impala n’a jamais éprouvé un tel plaisir. Il sent qu’il va jouir, mais quelque chose le bloque. Un mot de la reine, et la jeune fille s’empale d’un coup sur le sexe dressé. Son sexe est encore meilleur qu sa bouche! Elle se déhanche au rythme des tambours, entre dans une espèce de transe, gémit tant et plus. Puis la reine vient s’asseoir sur la bouche d’Impala qui ne se fait pas prier. Il la lèche, glissant sa langue entre les lèvres mouillées. La reine également rejoint le rythme des tambours. La jeune fille crie longuement quand la reine lui prend les seins, puis l’embrasse. Elle caresse les couilles et les cuisses d’Impala, qui se sent toujours au bord de la jouissance, mais est comme retenu. Il est au sommet du plaisir, en transes lui aussi.

De voir ces deux femmes utiliser Impala pour leur plaisir emporte Gwen vers un nouvel orgasme. Le guerrier la baise maintenant sauvagement, son sexe énorme la défonce sans pitié. Mais elle adore! Toutes ses barrières morales tombent. Oui! baise moi!!! plus fort!!!! Elle s’envole vers un long orgasme, en poussant de nouveau ce cri de bête blessée. Le noir sort son sexe, et deux jeunes filles viennent aussitôt, présentant leur bouche. Elles n’en perdent pas une goutte! Un peu déçue, Gwen aurait voulu sentir cette flaque brûlante s’abattre sur son ventre en jets puissants.

Sur Impala, la reine s’agite de plus en plus, gémit, rejoint la jeune fille dans ses cris, puis se crispe sur la bouche qui la caresse. D’un geste, elle fait partir la jeune fille, se penche, et avale le sexe d’Impala! Elle l’embrasse, le suce, psalmodie quelques paroles, et, soudain, la semence trop longtemps retenue se déverse dans cette bouche chaude, avide. Impala perd presque connaissance tant il jouit. Il se déverse en abondance, à longs jets. La reine n’en perd pas une goutte. Elle rappelle la jeune fille et l’embrasse, partageant avec elle la divine récompense.

Impala est laissé sur sa planche. Un groupe de jeunes filles se presse auprès de lui. Gwen est libérée, puis installée à quatre pattes et liée au portique. La reine appelle 4 hommes, leur donne un ordre. Un guerrier vient se placer couché sur le dos, entre les cuisses de Gwen. D’elle même, elle vient s’empaler sur la bite d’ébène. Un autre vient se placer derrière elle, et l’encule doucement. Son anus, bien élargi, l’englouti sans effort. Au rythme des tambours, ils la pénètrent de concert. Sur sa droite, un autre sexe se présente. Elle le lèche, puis l’englouti. Mon Dieu, seules les putains font ça!! La honte ne fait que l’exciter d’avantage. Elle veut ces bites, elle les veut toutes, comme la pire des salopes! C’est la première fois qu’elle a un sexe au bout de sa langue. Elle aime distiller ce plaisir à ce sauvage! Elle veut son foutre! Elle le suce de plus en plus fort. Les deux sexes qui lui déchirent les entrailles la ramène vers un nouvel orgasme, elle le sent! Sa main branle le quatrième homme, puis elle change. Celui ci est plus gros, moins long. L’homme grogne quand la bouche chaude et humide l’englouti. Une vague de chaleur envahit Gwen. La transe la ressaisit. Sur un ordre de la reine, les quatre hommes déchargent en même temps! Un dans sa bouche, un dans son derrière, un dans son sexe, un dans sa main. Et tout explose en elle! Une main géante la prend, l’envoie haut, très haut! Pendant quelques instants, elle traverse des nuages rouges verts, bleus! Puis elle aterri doucement dans un énorme matelas de chaleur. Les hommes qui l’ont prise l’enserrent tendrement, pendant de longs moments de manière très surprenante. Puis ils se retirent et Gwen s’effondre. Terrasée par la fatigue. Elle est ramenée jusquà sa laisse, et s’endort presque instantanément.

Sur sa planche, Impala n’a pas débandé. Quelques jeunes filles profitent de ce sexe dressé, objet de toute leur curiosité. Elles le sucent puis s’y empalent et se font jouir. La langue inquisitrice d’Impala est également mise à contribution. Et c’est au tour de la reine, superbe , de s’empaler sur l’américain. Les autres filles se retirent puis entoure le couple dans une sorte de cérémonie. Le tambour change de rythme, il s’accorde au va et vient de la reine, d’abord très lent et marqué. Le dos bien droit, les hanches souples, elle danse sensuellement dans un mouvement circulaire qui s’accélère imperceptiblement. Elle appelle, un guerrier vient se placer derrière elle et pénètre son anus. Elle feule comme un félin furieux. L’homme accorde son rythme, tout dévoué au plaisir de sa reine. Son rythme augmente encore, son visage se tourne vers le ciel, et elle psalmodie, invoquant les divinités, entre en transe, puis se met à crier. Son rythme est maintenant frénétique, ses bras tendus vers le ciel. Ses paroles sont plus fortes, elle crie son invocation. Impala se sent emporté. Quelque chose venu du fond des âges envahit son bas ventre, se diffuse comme une chaleur. Puis soudain, les hanches noires se bloquent, les yeux de la reine se révulsent. Comme aux ordres, Impala décharge en elle, de même que le guerrier. Tous trois sont transportés, gémissent longuement. Après de longs instants, les tambours ralentissent, le calme revient. La reine s’effondre sur Impala. Elle est brûlante! Le guerrier la recouvre, les deux corps se confondent. Quand la reine reprend conscience, le guerrier se retire respectueusement. Puis 2 autres guerriers redressent la reine et la soutiennent. Elle semble épuisée. Impala ne vaut guère mieux, incapable du moindre geste. On le prend et, comme Gwen, on le réinstalle à son poteau. Il s’effondre, se perd dans l’inconscience.

C’est la fraîcheur de la nuit qui réveille Gwen, autant que le murmure à son oreille.

_ M’dam Lanscombe!!
_ Bones?
_ Chhht!!!! Réveillez vous, il faut partir!!
_ Mais…
_ Allons!

Il a réussi à se défaire de ses liens. Il a pris la peine de se rhabiller et tend à Gwen les guenilles qu’il a récupérées. Elle les prend, ne sachant que faire. Partir? Après avoir découvert les Sikas?

_ Allez y Monsieur Bones…Je vais rester!
_ Mais m’dam, c’est dangereux!
_ C’est mon affaire!
_ Bien…

Et Impala Bones s’enfonce sans un bruit dans la jungle obscure et sombre….

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