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cokine ces beurettes

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Le bus Tamda-Bastos:
Je suis un jeune black de 20 ans, étudiant à l’université de Tamda (Tizi-Ouzou). Comme d’habitude, je prends le transport universitaire pour tout déplacement. Un jour, comme à l’accoutumé, j’étais donc assis, côté fenêtre, dans la dernière rangée, le bus était presque vide. J’avais posé le livre que je lisais et commençais à fermer les yeux de fatigue.
Je n’ai pas sentie une personne s’asseoir à côté de moi. Sans doute perdu dans mes pensées, dans un demi rêve. C’était une femme bien-sur. Elle n’a rien dit. Elle ne dira rien. Tout ce qui suivi se passa en silence, seuls venaient troubler ce moment irréel les klaxons des véhicules à cause d’un embouteillage.
Sa main s’est posée sur ma cuisse, me faisant prendre conscience de sa présence. J’ai tourné la tête vers elle. Elle devait avoir une quarantaine d’années, une fonctionnaire c’est sur. Elle portait une chemise blanche en soie, une jupe noire aux genoux et de talons noirs aussi, elle avait attaché ses cheveux . Avant que j’ai pu dire quoi que ce soit elle posait un doigt sur les lèvres m’intimant au silence. Son autre main remonta le long de ma cuisse et vint vers mon entrejambe, se posant en coupe sur mon sexe.
Elle commença à me masser et je sentis un début d’érection venir tendre mon pantalon. Elle continua jusqu’à ce que je bande ferme. Me sentant en pleine érection elle libera ma bite en déboutonnant ma braguette. Souriant devant ma bite dressée elle la prit en main. Fermement. Elle resta ainsi, ma queue entre ses doigts, sans bouger pendant ce qui me sembla une éternité. Pendant tout ce temps elle me regardait..
Enfin, elle commença à me branler. Doucement. Tout doucement. Sa main montait le long de mon sexe, s’attardait sur mon gland, puis redescendait tout aussi lentement. Elle allait et venait, savourant le montée progressive de mon envie. De temps en temps, elle accélérait avant de s’arrêter brusquement.
Je la laissais faire, ne lui donnant aucune indication, jouet entre ses doigts, acceptant son rythme, sa façon de faire. Avant d’être totalement submergé par le plaisir que je sentais monter peu à peu, je tentais d’imaginer le pourquoi de cette acte gratuit. Qui était cette femme ? Rêvait-elle d’une longue bite noire ? Allait-elle me sucer aussi une fois que je serais sur le point de jouir ? Où bien irions nous quelque part où elle m’ordonnerait de la prendre, de la baiser?
Bientôt je ne fus plus capable de penser à autre chose qu’à cette main qui enserrais ma queue et me branlait. Un travail d’experte d’une femme mariée. Elle savait varier le rythme, l’intensité de son emprise. Faire durer le plaisir. Attentive à mes réactions, au rythme de ma respiration, elle s’appliqua et retarda au maximum l’explosion.
Je finis tout de même par jouir, long jets de sperme qui vinrent souiller le sol, mon pantalon, et qui coulèrent le long des doigts de l’inconnue. Elle souriait à pleine dents devant le résultats de son travail, tenant toujours mon sexe dans sa main. Elle attendit que je reprenne mes esprit, puis, comme point final à cette prestation elle lécha un à un ses doigts, avalant le foutre qu’elle avait recueilli. Une nouvelle fois elle me regardait ostensiblement en procédant à son festin de sperme.
Elle sorti un mouchoir en papier de son sac, essuya ma bite, mon pantalon, rangeât mon «matériel», se leva et passa à l’avant. Je fus tenté de la suivre pour en savoir plus. Pourtant je n’en fis rien. Ce moment étrange, irréel, magique, devait rester tel quel, entouré de mystère.

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