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Evolution de ma femme Odile partie 2

Evolution de ma femme Odile partie 2



Ma femme Odile

Histoire sortie de mon imaginaire, quoique pas tout à fait …
Entre un mélange de vécu, de fantasme et inspirée d’autres histoires.
Récit rédigé par moi-même, avec mes propres mots.

Suite de la première partie « Evolution de ma femme Odile »

Partie 2 – le voyage au japon

Le quotidien reprit son cours. Les journées sont restées très professionnelles. Ma femme Odile, que j’appelle ainsi malgré le fait qu’on ne soit pas encore marié, ne pensait qu’à ce voyage qui arrivait à grand pas. Elle appréhendait ce tête à tête avec Thierry son patron.
Odile et moi étions assez complices au sein de notre couple, on essayait de parler de tout, de ne rien se cacher, ce qui est une chose assez difficile en fonction des sujets abordés. Mais nous faisions en sorte de ne jamais de nous endormir fâchés. On discutait beaucoup pour mettre les choses à plat et prendre les bonnes décisions.
Concernant le voyage au Japon, en effet, j’étais, moi aussi, plus qu’inquiet. Ma femme allait se retrouver seule avec un homme, son patron, qui plus est assez ouvert et qui aime le sexe, vu qu’on l’allait vu participer à la soirée libertine.
Aucun doute sur le fait que le côté professionnel du voyage allait réussir.
Par contre, sur les autres sujets, les questions étaient nombreuses, les craintes aussi.
Comment allait se passer le voyage, l’avion? Va-t-il en profiter pour draguer ouvertement ma femme? Va-t-il réussir?
Les différents repas, les dîners, les sorties? … etc
En fait, Odile et Thierry allaient quasiment »vivre » ensemble pendant plusieurs jours.
Pour rassurer ma femme, je n’étais pas forcément la personne la mieux placée. Effectivement, j’aimerais que ma femme soit plus ouverte d’esprit, afin que dans notre couple, on en profite plus. Mais la réalité pourrait être dur à accepter si cela se réalisait. J’étais donc moi-même angoissé, stressé que ma femme fasse ce déplacement.
Les jours précédents étaient dédiés à la préparation du voyage. Il fallait tout prévoir. Le contenu de la valise allait être difficile à faire. Prendre le strict nécessaire, mais ne rien oublier. Une femme a tellement de choses à emporter généralement, et ma femme n’échappe pas à la règle. Les différentes tenues, les cosmétiques etc ..

Puis le grand jour arriva, ma femme partait pour quelques jours avec son patron en me lassant seul. On se rassurait comme on pouvait en se disant que c’est professionnel et rien de plus.
Finalement l’aéroport, les longues heures dans l’avion, le taxi, l’hôtel .. Tout se passa bien. Nous avions imaginé tellement de scénarios que le plus simple se réalisa. Celui où rien de particulier se passa, le scénario le plus logique. Odile se sentit rassurer. Aucune allusion, aucun geste déplacé, Thierry était courtois et professionnel. Chacun était resté dans sa bulle, sans trop discuté.
Arrivés à l’hôtel au Japon le matin, Odile fut encore plus rassurée quand elle sut que chacun avait sa propre chambre. Ce qui est en soi, normal. Mais Odile était inquiète de tout, et avait imaginé tellement de possibilités, au cas où. A l’étage, en rejoignant leur chambre, elle remarqua que leur chambre était côte à côte. Pratique, mais à la fois bizarre de savoir que son patron est juste à côté.
A cause du décalage horaire, il était convenu qu’ils allaient se reposer la première journée. Sortir dîner ensemble, visiter les alentours rapidement et être d’attaque le lendemain, afin de commencer les rendez-vous pour la négociation du contrat. Ma femme m’écrivait souvent. On gardait contact ainsi tout le temps et quand on pouvait en fonction de l’heure, elle me téléphonait directement.
Le soir venu, Odile fut d’autant plus rassurée que le dîner et la promenade étaient amicaux. Odile commençait à se sentir à l’aise et en confiance. Thierry se conduisait en parfait gentleman.
Les deux jours suivants, étaient dédiés à la négociation sur les tarifs et terme du contrat. Les japonais ne voulaient visiblement pas faire un pas en avant sur l’accord. Ce qui poussa Thierry à être de plus en plus tendu et rustre.
Il eut l’idée d’inviter les 3 collaborateurs japonais à sortir dîner, afin de les amadouer un peu. Par contre, Thierry avait aussi de l’idée de sortir le grand jeu. Il demanda à ma femme.
– Écoutes, comme tu as pu le constater, ce n’est pas gagné, il va falloir changer de tactique. Ce soir, en sortant, je veux que tu joues avec eux, ou plutôt que tu « flirtes ». Allumes les. Je veux que tu t’habilles sexy. Ce n’est que des hommes après tout.
Odile, comme à son habitude, était prise de court, lorsqu’une chose la contrariait, ne pouvait sortir une seule phrase.
– Mais, je ..
– Pas de mais. Prends la carte de la société, va acheter des fringues sexy. Et la totale. Oublies les tenues habituelles pour le travail. Tu as compris? jupe, décolleté … etc je veux qu’ils ne soient pas concentrés dans la négociation, mais plutôt sur toi.
Odile ne disait plus rien. L’autorité de Thierry, quand il est dans cet état, l’emporte. Un patron a son employée. Un dominant à une dominée. Elle obéissait, même à contre cœur. Elle allait devoir faire la potiche. Dans sa valise, elle n’avait pas amené grand chose de vraiment sexy au point d’allumer des hommes. Loin d’elle, d’imaginer qu’elle en aurait eu besoin. Elle fit donc les magasins afin de s’acheter des tenues de soirées. Ne sachant pas trop quoi acheter exactement, elle se représenta une femme « allumeuse », ce qu’elle pouvait porter. Jupe courte, escarpins, collant ou bas, porte jarretelle. Elle en profita pour s’acheter plein de choses, sur le compte de la société, sur ordre du patron. Une petite contrepartie à son manque de tact. Et les femmes, savent très bien faire quand il s’agit de faire chauffer la carte bancaire.
Le soir, dans sa chambre, elle commença à faire le tri parmi toutes ses emplettes. Qu’allait-elle choisir et mettre pour satisfaire son patron? Elle déposa tous ses achats sur le lit. Il y avait de tout. Et finalement, son choix se porta instinctivement sur une robe courte noire à bretelles, lingerie rouge à dentelles, des bas auto fixant, et des talons hauts. Le tout additionné d’un maquillage bien plus prononcé plus qu’habitude, on ne pouvait pas faire plus allumeuse d’après elle.
En sortant de la chambre, Thierry à la vue d’Odile, n’en croyait presque pas ses yeux. Odile était superbe. Une femme qui attirait le regard. On ne pouvait pas l’ignorer. Elle était tellement sexy dans cette tenue.
– Tu es superbe, sacrément sexy. Merci par avance. Ces messieurs n’auront plus la tête à négocier.
– Merci.
Ce fut le seul mot qu’Odile ait pu répondre. Partagée entre le fait que son patron l’utilise comme potiche et appât, et le fait qu’elle se sentait femme fatale. Elle n’avait pas l’habitude d’être habillée comme cela. Certe, Thierry lui avait déjà demandé d’être sexy au quotidien, mais à ce point là. Et ça lui procurait un plaisir de satisfaction, de savoir qu’elle pouvait avoir un pouvoir sur les hommes grâce à sa tenue. Elle se sentait désirée, belle, sexy, charmante.
Le rendez vous fut fixé dans un bar à chant. un karaoke. Les japonais apprécient ce type de lieux. Une salle privée dédiée pour eux. Dans la salle, lumière tamisée, plusieurs chaises, une banquette et un écran géant avec tout le matériel de chant. Des hôtesses pouvaient faire des allers retours pour les commandes des consommations. Les japonais aimaient chanter. Surement faux, mais cela les détendait.
L’ambiance était posée, les chansons commençaient à s’enchaîner. Chacun son tour ou à plusieurs chantaient. Les boissons aussi s’enchaînaient. Les japonais aimaient trinquer pour n’importe quoi. Au fur et à mesure des boissons alcoolisés, l’ambiance était de plus en plus bruyante. Tout le monde buvait, et par la même occasion Odile, elle était quasiment forcé par les japonais à chaque fois qu’ils voulaient trinquer. Elle qui ne buvait pas habituellement. Les premiers effets de l’alcool se ressentaient déjà. Thierry essayait tant bien que mal de glisser quelques négociations mais effectivement, les japonais n’avaient d’yeux que pour ma femme. La stratégie fonctionnait, mais peut être un peu trop. Odile était assise sur la banquette au milieu des japonais, et Thierry leur faisait face. Assise ainsi, on distinguait le haut des bas d’Odile. La robe courte était bien remontée, plus haut qu’à mi-cuisse. Thierry ent****rcevait de temps en temps la couleur rouge de la culotte d’Odile. Il appréciait de voir qu’Odile avait fait des efforts juste qu’au moindre détail. Puis un japonais proposa à Thierry une demande.
Thierry était surpris par cette requête, mais plus qu’heureux de l’apprendre. Il tendit la main vers Odile, lui demanda de se lever et lui dit.
– Écoutes, nous avons réussi, ils acceptent nos termes du contrat. Nous allons pouvoir signer. Mais à une seule dernière condition. Que t’ailles devant l’écran et que tu leur fasses à un striptease le temps d’une chanson. Je pense qu’ils sont déjà saouls. Ils veulent te voir en lingerie, tu n’as même pas besoin d’être nue.
– Quoi? Mais c’est n’importe quoi la? cria quasiment instantanément Odile. Je ne suis pas une pute ou une escorte.
– Arrêtes de faire ta mijaurée. Tu te trémousses un peu, tu retires ta robe, et on n’en parle plus, c’est plié et on rentre en France. Ce n’est pas grand chose. Imagines toi être en maillot de bain a la plage.
– Mais …
– Pas de mais. Combien de fois il faut que je te le dise. Il faut faire ce qu’il faut pour gagner dans ce monde. Il faut le mériter. Et puis, ces mecs tu ne les verras plus de toute manière.
Thierry poussa Odile par la hanche afin qu’elle s’avance devant l’écran géant. Les japonais criaient pour exprimer leur victoire, comme des bêtes. Odile ne distinguait rien d’où elle était, les lumières des spots l’éblouissaient. Elle était pour ainsi dire seule. Elle se sentit vaincue, l’alcool ne l’aidant pas à lutter, elle se résigna à le faire. Qui ne dit mot consent. Sur le rythme de la musique ambiante, machinalement, son corps se dandinait, commençant ainsi un semblant de striptease. Elle n’était pas à l’aise. Ce n’était pas le striptease le plus sexy qu’on ait vu, mais fit ce qui fallait. Ses mouvements étaient saccadés et pas très sensuels. Elle abaissa les bretelles de sa robe, gauche droite par dessus son épaule, et baissa le haut jusqu’aux hanches, dévoila ainsi un soutien gorge rouge à dentelle avec une jolie poitrine bombée 85C dedans. Les cris et des applaudissements continuaient de plus belle. Les mains sur la robe au niveau des hanches, et elle descendit le reste de sa robe jusqu’au pied, et se retournait comme si elle avait honte. Un merveilleux string rouge à dentelles rentrait dans ses fesses, dessinant sa courbure. Odile était donc en lingerie devant des hommes autre que moi, son mari. Ses fesses rondes, un tout petit peu charnues, bougeaient de droite à gauche à chaque mouvement qu’elle faisait. Quand elle se retourna de nouveau pour faire face à ces messieurs, avec la lumière, on pouvait distinguer une ombre plus sombre au niveau du pubis à travers de son string rouge à dentelles qui possédait un petit voile transparent. Ce qui signifiait qu’elle n’était pas complémentent rasée. Des applaudissements et félicitations se firent entendre. Elle comprit qu’elle pouvait arrêter et se rhabiller. L’affaire était conclue en moins de 2 minutes. Et effectivement les japonais n’en demandaient pas plus. Les verres continuaient à s’enchaîner pour ainsi dire célébrer les termes du contrat. Tout le monde finit bien alcoolisé.
De retour à l’hôtel, Thierry aidait ma femme à avancer. Les nombreux verres avec les japonais ont eu raison d’eux. Arrivés devant leur chambre, Thierry entra dans la chambre d’Odile au lieu de la sienne. Sans demander la permission de rester à Odile, Thierry s’installa dans le fauteuil au fond de la chambre dans un coin. Ma femme en ignorant son patron, elle commençait à se préparer pour aller dormir. Elle fit plusieurs aller retour dans la salle de bain, et ne prêtait toujours pas attention à Thierry, à en oublier sa présence. Il ne disait rien, ne faisant pas de bruit. Elle se déshabilla. Elle retira sa robe, ses bas, pour se retrouver en soutien gorge et string. Thierry assista à son deuxième striptease de la soirée pour son plus grand bonheur, mais cette fois ci involontairement de la part de ma femme. De dos à Thierry, Odile retira son soutien gorge et baissa son string. Elle était entièrement nue pendant quelques secondes devant son patron. Puis enfila une tenue plus confortable pour dormir, sortie de la valise. Une simple culotte et un tshirt de nuit long qui recouvrait ses fesses. Et en se retournant, Odile remarqua de nouveau Thierry, qu’elle avait oublié, elle en sursauta quasiment. Son patron était dans sa chambre depuis un moment en train de l’observer. Il était assis sur le fauteuil. Par contre depuis combien de temps avait-il baissé son pantalon et sorti son sexe. Il se caressait et se branlait en regardant ma femme. Le regard d’Odile était fixé sur son membre au garde à vous.
– Désolé je n’ai pas pu m’empêcher. Tu es belle. Ton corps me fait bander. Tu m’excites grave ..
– Depuis quand … Moi ? .. Toute nue? ..
Ma femme avait du mal à prononcer une phrase complète. Honteuse d’avoir été toute nue devant son patron et à la fois, gênée, subjuguée par l’entrejambe de Thierry. Le lent va et vient de sa main sur le long sexe, dur, et légèrement courbé en avant, Odile fixait du regard le mouvement de la main de Thierry sans cligner des yeux. Lors de la soirée libertine, Odile n’avait pas vu en détail le sexe de Thierry. A une distance de moins de deux mètres, elle en distinguait quelques détails supplémentaires et pouvait déjà affirmer que son mandrin était plus longue et grosse que celle de son mari. Le sexe était entretenu, rasé pour ne laisser qu’une petite partie de poils courts au niveau du pubis, imberbe pour les couilles, rendant une apparence de son sexe encore plus gros. Reprenant ses esprits, elle souleva la couette du lit pour se mettre dedans, comme honteuse et de ne plus voir la suite. Thierry en quelques secondes plus tard, poussa un râle de plaisir qu’Odile écoutait dans son lit. Elle écoutait et supposait de ce qui se passait en fonction des bruits. Thierry devait avoir joui, et au bruit de ceinture qui se faisait maintenant, il devait se rhabiller, puis se déplaçer vers la porte.
– Bonne nuit à demain. Fit Thierry sur un ton joyeux.
La porte s’ouvrit et se referma.
Ma femme n’en revenait pas. Tellement de choses se sont passées durant cette soirée. Elle essaya de se repasser les moments en tête, comme si ce n’était pas réel. Le shopping, la préparation, sa tenue, la soirée au karaoke, les japonais qui n’avaient d’yeux que pour elle, ils la mataient, objet de leur désir, le striptease devant ces messieurs, le retour à l’hôtel, et surtout son patron qui la matait en se branlant. Et au fur et à mesure de ses pensées, une de ses mains se glissa dans sa culotte pour caresser sa chatte déjà bien humide. Elle se touchait son clitoris d’une main et de l’autre malaxait son sein sous son tshirt relevé. L’excitation lui prit. Elle pensait au fait que plusieurs hommes la voulaient ce soir. Et que son patron la désirait encore plus. La vue de ce membre bien plus gros que celui de son mari. Ses doigts frottaient de plus en plus vite son clitoris. Elle en enfonçait de temps en temps son majeur dans sa chatte. Elle commençait à gémir en se mordant les lèvres. Sur le moment, elle voulait ce membre viril au fond d’elle. Un orgasme survient avec des spasmes. Son corps en tremblait de frisson. Reprenant son souffle, surprise par ce qu’elle venait de faire, elle n’en revenait pas. Cela faisait des années qu’elle ne s’était pas masturbée. En plus de cela, prise par la culpabilité, elle a fantasmé sur un autre homme que son mari …

Le lendemain, le contrat fut enfin signé. Ma femme et son patron allait pouvoir rentrer en France. Une dernière nuit sur place en attendant leur vol retour. Un dernier dîner ensemble. Odile ne voyait plus son patron de la même manière. Il a été le temps de quelques minutes un fantasme pour elle, ou plutôt son sexe était un fantasme. Entre eux, comme d’un un accord tacite, ils ne parlaient pas de ce qui se passa, pas d’allusion non plus. Le journée se déroula rapidement et le dîner était toujours courtois. Ce qu’Odile aimait bien, c’est qu’elle n’a eu à payer aucune fois de tout le voyage. Elle en profitait un peu, et savourait cette situation.
Après le dernier dîner, ils retournèrent à l’hôtel afin de se préparer pour le retour le lendemain. Chacun dans sa chambre, Odile en profita pour m’appeler au téléphone. Elle me raconta ses journées en détail. Et bien sur, elle omettait intentionnellement de me parler du striptease au karaoke et de la branlette de son patron. Même si on essayait de tout se raconter, elle ne voyait pas comment me parler de ces sujets et de ces dérives. On frappa à sa porte. C’était Thierry avec une bouteille de champagne et deux verres. Odile étant au téléphone, ne lui parla pas, Thierry entra dans la chambre tout sourire sans un mot. Je lui demandai de me dire ce qu’il se passait:
– c’est mon patron Thierry, il est venu avec du champagne pour fêter le contrat apparemment. Même s’il sait pertinemment que je ne bois pas. Dit-elle en regardant Thierry pour lui faire comprendre ses pensées.
Moi, dubitatif, la peur au ventre, savoir ma femme avec un homme dans sa chambre d’hôtel. Je commençais à imaginer tous les scénarios possibles. Nous continuons notre conservation téléphonique. Thierry silencieux, ouvrit la bouteille de champagne et servit deux verres.
– ah, donc il va boire tout seul une bouteille entière.
– apparemment même s’il insiste, je ne boirai pas.
– qu’il ne reste pas trop longtemps hein? Je demandais inquiet.
– non, il va boire un ou deux verre et finir le reste de la bouteille dans sa chambre. Dit elle en fixant son patron du regard.
Thierry s’amusait de la situation. Il s’avançait vers Odile comme pour une parade d’un mâle vers une femelle a****le. Il savait qu’il pouvait profiter de cet instant, sachant qu’Odile ne pouvait pas tout me raconter. Il vit le string rouge de la veille, le ramassa, et le montra à Odile en le pendant du bout de l’index. Odile gênée, s’empressa de l’attrapper et le cacher. Thierry, le sourire aux lèvres, continuait à faire le malin, et commençait même à initier un striptease ce qui fit glousser ma femme.
– qu’est ce qu’il y a de si drôle?
– C’est mon patron, il fait le pitre. A croire qu’il a déjà bu avant de venir.
Elle ne me disait pas toute la vérité. Thierry se mit tout nu devant Odile, assise sur le lit. Cette fois ci, du fait qu’elle soit au téléphone, elle était moins offensée de voir son patron nu, moins gênée étant la troisième fois qu’elle le voit ainsi. La queue de Thierry pendait entre ses jambes, il la caressait comme pour la réveiller. Il se tenait là, sa queue à moins d’un mètre devant ma femme. La conservation avec ma femme devenait plus saccadée, comme si elle était moins concentrée sur notre discussion. Thierry s’avançait petit à petit vers Odile, mais elle l’esquiva au dernier moment, et elle partît s’asseoir dans le fauteuil. Son patron quant à lui, à son aise, s’allongea sur le dos sur le lit, les yeux rivés sur Odile. Comme pour la provoquer, il continuait ses caresses, au fur et à mesure, son sexe grandissait. Odile le regardait faire tout en continuant une conversation sans grand intérêt. La bite de Thierry devenait tellement raide, qu’elle pointait vers le plafond. On pouvait voir dans le regard de ma femme, toute la curiosité et l’envie d’assister à la suite, inconsciemment, elle s’en mordait les lèvres, et n’arrêtait pas de changer la position de ses jambes, en les croisant et puis décroisant. Thierry, sentant l’envie venir, s’approchait du rebord du lit à quelques dizaines de centimes du fauteuil où était assise ma femme. La main libre d’Odile trahissait son envie, elle caressait ses vêtements tout doucement. Son bras replié vers son épaule, avec ses doigts caressant le tissu de sa chemise.
– Écoutes chéri, je vais raccrocher. Mon patron est saoul je pense. je vais le virer de la chambre. Je rentre demain. Je t’aime mon amour.
– Ok, rentre bien, je t’aime aussi.
Sur ces paroles, la peur me saisit de nouveau. Je ne savais plus ce que pouvait faire ma femme avec un homme dans sa chambre. Même si je faisais confiance à ma femme, plus j’imaginais des scénarios, plus le doute me saisissait.
En effet, en raccrochant, ma femme était plongée dans un dilemme. Depuis deux jours, sa libido lui jouait des tours, elle voulait peut être du sexe, mais ne voulait pas être une femme adultère. Le fait d’avoir mis un terme au coup de téléphone, de plus est, en me mentant, prouva qu’elle était en train de succomber au désir. Le sexe de son patron la narguait et son patron faisait tout pour la titiller. Que pouvait elle faire? Elle n’avait qu’un geste à faire envers Thierry pour un point de non retour. Pouvait elle se contrôler et résister à cette envie qui montait en elle. Habillée d’un pantalon noir, et d’une chemise blanche, sans retirer ses vêtement, elle plongeait une main dans son entrejambe, après avoir descendu sa fermeture éclair. Son patron se branlait devant elle, et ça l’excitait apparemment. Elle allait se toucher, sa chatte était déjà bien humide. De l’autre main, elle s’attrapa un sein pour le malaxer à travers son chemisier. Elle se cambrait en arrière, jambe écartée. Thierry accélérait son mouvement. Odile fixait la queue du regard, elle en distinguait les veines apparaître le long de cette longue verge, d’une vingtaine de centimètre. Elle gémissait, ondulait du corps, se mordait les lèvres, jusqu’au moment où une chaleur lui monta au plus profond d’elle, elle en poussa un cri d’orgasme en resserrant ses jambes. Cette scène décupla le rythme de la main de Thierry. Un râle de plaisir d’un mâle viril se fit entendre. Un puissant jet de sperme vola en direction d’Odile pour atterrir sur le bas de son pantalon. Plusieurs giclées sortirent de la queue de Thierry. Puis le silence. On entendait deux personnes reprendre leur souffle, comme s’ils venaient de courir un marathon. Ils restèrent prostrer l’un en face de l’autre, en se fixant du regard. Un long échange silencieux se faisait entre eux, un échange qui valait mieux que mille mots. Thierry se leva, et se rhabilla. Au moment de sortir de la chambre, il dit sur un ton satisfait et victorieux:
– Merci. On rentre demain. Mais je pense qu’on n’en restera surement pas là.
Odile ne bougea pas de son fauteuil. Sa main était moite de toute excitation, la cyprine engluait ses doigts. Elle venait d’avoir un moment intime avec son patron. Pouvait-on dire qu’elle avait trompé son mari? Alors qu’il n’y a eu aucun contact, et de plus, elle n’était pas nue. Le remord s’ensuivit. Qu’avait-elle fait? Jamais elle n’en pourrait en parler. Si elle ne pouvait pas m’en parler, c’est qu’une limite a été franchie pour elle. Elle commençait déjà à regretter, même si sur le moment, ce fut vraiment très agréable. De plus son patron venait juste de lui dire que ce n’était que le début, mais de quoi?

En quelques jours, loin de la France, loin de son mari, ma femme franchissait des étapes que je ne pouvais pas imaginer il y a quelques semaines. Bien sur, de retour en France, ces épisodes resteraient entre elle et son patron. Elle n’en parlerait pas. Et nos retrouvailles furent plus actives que d’habitude. Les jours qui suivirent, ressemblaient à un jeune couple qui redécouvrait le sexe. Est ce parce que je lui ai manqué, ou les diverses événements de son voyage. Quoiqu’il en soit, j’en étais plus qu’heureux pour notre libido du couple. De temps en temps, j’étais suspicieux sur ce changement, sur ce qui s’est peut être passé durant le voyage, mais ma femme en qui j’ai entièrement confiance, m’a toujours rassuré. Ce que j’ai envie de croire, quoique …

A suivre …

A propos de l'auteur

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