Le pique-nique
* * *
C’était l’été. Lors de notre départ en vacances, nous avions décidé de pique-niquer pour rendre plus agréable le long voyage. Aussi, lorsque l’heure sonna, nous cherchons un coin sympa. Bientôt, nous nous arrêtons au bord d’un plan d’eau très sommairement aménagé mais surtout où une grande étendue d’herbe était libre, à l’ombre de grands arbres et parsemée de bosquets. Il y avait éparpillés ça et là quelques touristes comme nous, des promeneurs mais comme l’endroit était très vaste, il y avait de la place pour tous. Nous rangeons notre voiture sur le petit parking en gravier, non sans remarquer que ce coin était propre et bien, puisqu’une cabane distribuait des cafés et qu’un peu à l’écart il y avait des toilettes.
Vu la chaleur, nous nous installons à l’ombre de grands arbres et déplions toutes les affaires du pique-nique, un peu à l’écart d’autres groupes. Tout au plus un ou deux touristes moyennement près de nous. La courte jupette virevoltante plissée de ma femme et ses petites ballerines courtes et dorées attirèrent le regard d’un de ces deux « touristes » allongé sur l’herbe. Je m’en rendis évidemment compte mais, réjoui de la présence de mateurs potentiels, je ne laissais rien paraître. Ma femme s’activait autour de la glacière et du panier, se penchant profondément en avant de temps en temps… donc dévoilant bien ses longues cuisses nues aux regards des deux touristes allongés et scrutateurs de ce que dévoilait la jupette. Tournant autour du lieu, ses « penchées » répétées tantôt laissaient apparaître, dans la large échancrure d’un petit débardeur très fin avec un motif doré sur la poitrine, ses seins retenus par son soutien-gorge balconnet en tulle, mettant en valeur ses deux globes et affleurant les tétons, tantôt plaquaient le fin tissu légèrement transparent de la jupette sur son fessier tendu en dessinant la forme de sa douce et arachnéenne culotte en voile de crêpe.
Le spectacle commençait et s’annonçait bien pour mes deux touristes!
Assis, tous deux sur des serviettes de bain et des rabanes, nous nous installons autour de la glacière et ma femme dut assez souvent écarter le compas de ses cuisses me dévoilant –et peut-être aussi aux deux touristes, s’ils avaient la vue assez perçante… ou des jumelles- sa culotte transparente plaquée sur les lèvres roses de sa chatte, laissant s’échapper quelques poils blonds de sa toison. Pendant tout le repas, je me régalais de ce petit spectacle, alors qu’elle prenait un petit air réprobateur quand elle s’apercevait que je lorgnais ostensiblement sa culotte exposée.
Après le repas, ma femme se laissa un peu aller, écartant un peu plus ses jambes, montrant même un instant sa jolie culotte et ses seins en souriant. Je me disais que les mateurs (il me sembla un instant en apercevoir d’autres qui rappliquaient discrètement) devaient se régaler de ces poses de détente d’après repas. Alors, je m’allongeais à plat ventre sur une serviette de bain pour, comme souvent, piquer une petite sieste à l’ombre… bandant légèrement par les vues sur les seins et la chatte de ma femme et à l’idée que les deux touristes solitaires avaient pu en faire autant. Derrière mes lunettes de soleil, je fis mine de m’endormir, pendant que ma femme s’installait pour lire en plein soleil pour bronzer un peu, cuisses dénudées pratiquement jusqu’à la culotte. De temps en temps elle s’allongeait de tout son long, faisant un peu bronziner ses cuisses découvertes.
Regardant par dessous mon bras, je vis le premier « touriste », un homme âgé d’environ soixante ans lever la tête pour mieux admirer ma femme, probablement enhardi à la fois par la position « offerte aux regards » de celle-ci et par ma sieste profonde. Depuis une zone tamisée par l’ombre des grands arbres, le type, chauve avec de petites lunettes fumées, simplement vêtu d’un short et d’un tee-shirt, s’était allongé également à plat ventre sur une serviette, appuyé sur ses avant-bras et faisait semblant de lire un bouquin mais surtout de quittait plus ma femelle du regard. Il la reluquait de plus en plus ostensiblement, totalement rassuré par mon pseudo-sommeil et par la solitude des lieux. En effet, il n’y avait que nous trois et le second « touriste », un peu plus jeune, qui était discrètement installé trois à quatre mètres sur la droite du premier, à moitié dissimulé derrière le tronc d’un arbre, ne perdant pas une miette du spectacle proposé par ma femme ni des avancées du premier.
Ma femme ne pouvait pas ne pas s’être aperçue de la présence de ces deux mateurs, ou tout au moins du premier, qui lui faisait face, sept à huit mètres plus loin. Après qu’elle eut lancé un petit regard dans ma direction pour s’assurer de mon sommeil, elle s’assit encore plus en avant écartant ses jambes en grand et posa le journal déplié entre ses pieds, toujours chaussés ce ces adorables ballerines dorées, que je trouve très sexy. L’homme n’en croyait pas ses yeux car je décelais un regard incrédule mais appuyé sur l’entre-cuisses de ma femme impudiquement dévoilé. Dans cette position, sa culotte devenait trop petite pour cacher quoi que ce soit ; au contraire, la transparence du crêpe et la tension due au grand écart montraient bien sa chatte avec l’ombrée de la toison et dessinaient les renflements des lèvres. Je bandais dur en observant le type.
Au bout de quelques minutes, le soleil aidant, ma femme « chauffée » enleva son mini-débardeur, comme pour mieux peaufiner son bronzage : elle était maintenant seulement vêtue de son soutien-gorge balconnet transparent, qui, non seulement ne cachait rien lui non plus, mais au contraire mettait en valeur les globes de ses deux seins, en laissant bien apparaître les tétons, à travers le tulle et la dentelle. Naturellement ( ?), elle continua à lire le journal, comme si le type n’était pas là. Puis, elle fit mine de s’allonger pour une petite sieste, dévoilant bien sa culotte.
L’homme, par un petit mouvement discret et habile, en rampant, s’était rapproché imperceptiblement à quatre ou cinq mètres de ma femme. Nous formions un triangle (l’autre mec n’avait pas bougé de derrière son arbre… mais il devait mater aussi et, en cherchant à voir s’il matait bien, j’aperçus deux autres hommes d’âge assez mur qui s’approchaient doucement). Je feignais toujours le sommeil en poussant même quelques ronflements appuyés. Ma femme totalement rassurée sur ma « neutralité », écarta encore plus les cuisses en tournant une page du journal à ses pieds. D’où j’étais, je voyais cette fameuse culotte totalement dégagée par ce nouvel écart qui accroissait sa tension au niveau des fesses. Notre homme, lui, était en prise de vue directe : ses yeux étaient exorbités et fixaient cette chatte rosée, totalement visible à travers le fin tissu sexy, dont les lèvres commençaient à s’humidifier. Par dessus ses lunettes de soleil, ma femme constata que le chauve hagard n’en perdait pas une et jeta un dernier coup d’œil dans ma direction pour vérifier mon sommeil. Je ronflais ! Lâchant son journal, elle s’allongea sur le dos un instant, tout en laissant ses genoux en l’air : évidemment là, ses cuisses étaient complètement offertes à la vue du vieux mateurs… mais aussi aux autres. Je la voyais bouger un peu, écartant plus ou moins, dévoilant sa culotte, serrant et desserrant ses genoux. Le vieux se massait la queue, à plat ventre sans perdre une miette du spectacle fabuleux car la chatte de ma femme moulée par la culotte fine se devinait de plus en plus.
Alors, comme si de rien n’était, se relevant de cette courte sieste et feignant d’oublier la présence du chauve ni de prendre en considération l’alentour, elle prit un de ses seins dans sa main et le fit rouler en se caressant. Puis, suspendant ce geste, elle se mit à se flatter doucement l’intérieur d’une de ses cuisses écartées, dans un geste lascif et suggestif… une vraie invitation, quoi !
Le vieux chauve déglutit fortement et, rampant un peu moins discrètement s’approcha à deux mètres d’elle. Il avait passé sa main dans son short et se massait consciencieusement. Ma femme leva la tête et lui sourit. Le fixant, elle se mit à se caresser la chatte par dessus la fine culotte. Ses doigts allaient et venaient sur le tissu arachnéen, agaçant les lèvres bien humectées maintenant et qui se dessinaient très érotiquement à travers le nylon. L’homme était devenu tout rouge, il était animé par un petit tremblement où l’émotion et l’excitation se mêlaient. Ma femme me jeta encore un coup d’œil… je ronflais toujours.
Alors, elle lui sourit encore et écarta le bord de la culotte aussi trempée qu’inutile pour que sa jolie chatte soit totalement visible, ses cuisses étaient toujours complètement écartées. Encouragé, l’homme était venu tout près d’elle : il aurait pu la toucher en allongeant son bras. Sa respiration, que je percevais bien à trois mètres d’eux, était devenue haletante. Ma femme s’introduisit un doigt dans la chatte et le fit aller et venir lentement, tout en continuant à fixer du regard le type affolé.
N’y tenant plus, il se redressa et se mit à genoux devant elle: un gros gland violacé au dessus d’une fort belle queue dépassait de la ceinture de son short. Baissant ce dernier jusqu’à mi-cuisses il empoigna son énorme tige et commença à se masturber à genoux entre les deux pieds de ma femme, dont il s’était encore rapproché, fixant d’un regard hagard la chatte offerte. Elle lui sourit à nouveau comme pour l’encourager, en passant une langue gourmande sur sa bouche et en accélérant le mouvement de ses doigts, qui s’en prenaient maintenant au clitoris. Le chauve, toujours à genoux, se branlait de plus en plus vite en silence. Ma femme l’encouragea silencieusement encore d’un signe de la tête. Il avait maintenant sa bite à cinquante centimètres de la chatte en feu. Il tendit son bas-ventre en avant, rapprochant un peu plus la grosse tige d’elle. Ma femme, gourmande de cette queue, tendit sa main libre et enserra ce gros gland avec ses doigts de fée. L’homme se cabra sous la caresse et, de sa main gauche, alla délicatement soupeser un sein, qu’il dégagea prestement de la corbeille au ras de la dentelle du soutien-gorge. Ma femme, excitée par cette caresse, accéléra son mouvement, sa main en gouttière montant et descendant de plus en plus vite sur la tige congestionnée. Le mec tremblait de la tête aux pieds. Il lâcha le sein et enserra les deux cuisses ouvertes de ma femme, qu’il se mit à palucher frénétiquement, allant et venant de l’extérieur vers l’intérieur, en s’attardant du bout des doigts à la naissance de la chatte.
Tous les deux ne se préoccupaient plus de mon sommeil ni de l’autre larron, qui s’était légèrement approché, toujours à demi planqué derrière son arbre mais debout maintenant, et observait la scène en se branlant lentement. Ils ne semblaient pas non plus avoir remarqué que deux autres types mataient aussi. Il avait sorti une longue pine rosée, qu’il astiquait très méthodiquement. J’étais aux anges, je triquais à plat ventre.
Ma femme avait les yeux rivés sur le gland violacé qui avait quasiment doublé de volume. Elle serrait la tige, qu’elle ne cessait pas d’agacer, de caresser, de flatter : elle masturbait ce type en plein air avec un plaisir manifeste. Non sans s’être assurée à nouveau que je dormais, elle engloutit en bouche cette belle bitte, suçant délicatement le gland exacerbé puis pompant goulûment la tige entière. Le mec grogna un court instant, la tête renversée d’extase, contempla ma femme penchée sur sa bitte en caressant sa chevelure pour accompagner cette pipe estivale. Quand elle ressortit la bitte de sa bouche, il se cabra soudain, les mains crispées sur les cuisses et les yeux hagards braqués sur la jolie moule, puis il éjacula violemment. Son sperme s’échappa du gland contrôlé et dirigé par la menotte experte de ma femme et vint s’écraser directement sur les poils de la chatte et sur le nylon de la culotte de ma femme, décorant le tout de perles blanches. Ma femme extasiée regardait son foutre la maculer et dégouliner sur ses cuisses tendues vers lui. En grognant, le chauve écarta un instant la main de ma femme de sa grosse pine qu’il prit dans la sienne et, tirant frénétiquement sur sa tige, finit de se faire dégorger en basardant trois giclées de foutre luisant sur les seins offerts et le visage heureux de ma femme.
Elle flatta les couilles velues qu’elle venait de contribuer à vider et laissa le type se pencher sur elle pour lui rouler une galoche en guise de remerciement. Le mec l’embrassa passionnément, profondément, lui murmurant à l’oreille quelques paroles probablement douces et salaces.
Puis, alors qu’on aurait pu croire qu’elle s’était aperçue que je ne dormais pas vraiment ou bien de la présence de l’autre touriste, elle s’allongea de tout son long comme pour mieux profiter de cet instant érotique. Aussitôt, en silence, les autres types rappliquèrent et, ne laissant pas tellement le choix à ma femme, un jeune –le mateur de derrière l’arbre je crois- plongea sur ma femme et commença à lui lécher l’entrecuisses. Souriant à cette caresse buccale, ma femme écarta les cuisses généreusement et se fit bouffer la chatte par ce jeune affamé. Les autres se déshabillèrent plus ou moins et la cernèrent avec leurs queues bandées, tout en activant leurs pognes sur le corps de ma femme, paluchant ses seins, ses cuisses ou son entre-jambes.
J’appuyais mes pseudo ronflements pour laisser ma femme agir sans retenue. Alors, les gars –ils étaient quatre de tous âges maintenant !- s’en donnèrent à cœur joie, à bitte joie, devrais-je dire ! Tour à tour, ils venaient se faire branler la queue, paluchaient ses miches, excitaient sa chatte. Le cercle resserré ne me permettait pas de tout voir mais je pus nettement distinguer les pipes appuyées qu’elle consentit à certains. Par moments, elle avait toutes les bittes qui dansaient autour de son visage, elle en branlait deux pendant qu’elle suçait une autre ou bien elle se faisait peloter de tous côtés. Alors un de ses branlés, très probablement plus excité ou plus hardi que les autres, la contraint en douceur de se mettre à quatre pattes et sous nos yeux médusés, il l’enfila en levrette en plein champ, la possédant bien, ses deux mains enserrant fermement les fesses de ma femme écartées et tendues vers la bitte. Encouragé par les autres, il y allait de bon cœur mais il eut aussi bon cœur car il libéra la place pour un de ses co-mateurs. L’autre vieux se saisit aussitôt des hanches de ma femme et la pénétra profondément dans un long mouvement d’extase. Il se mit à pilonner la chatte lubrifiée avec une belle ardeur. Un autre s’était allongé sur le dos près d’eux, tout en paluchant ma femme et s’astiquant la queue pour lui conserver toute sa vigueur.
Un instant relâchée, ma femme s’enhardit encore plus et vint l’enjamber pour s’enfiler à califourchon sur le pieu tendu, s’empalant littéralement. Aussitôt, le mec la saisit par les hanches et fit coulisser sa chatte huilée sur sa pine de bas en haut. Ma femme dodelinait de la tête, signe de jouissance proche, et accompagnait en ondulant ces pénétrations, fesses et cul largement écartés en pleine lumière. Je voyais la tige coulisser, les couilles velues s’agiter et le beau cul de ma femme exposé.
Alors qu’un type en profita pour venir se faire sucer un peu, présentant sa bitte bandée sous le nez de ma femme, qui goba aussitôt le gland, un autre mec approcha sa queue du cul de ma femme, vint la tapoter sur les fesses puis se frotter dans la raie culière. Elle avait dû comprendre car elle eut comme un moment d’attente et le gland rouge se présenta à l’œillet de son cul tendu. Lentement, le type appuya et la pénétra. Ma femme avait deux queues en elle en plein champ ! Mieux, trois, car elle reprit en bouche une autre pine qui traînait par là. Une sarabande de queues pour elle. Il se la passèrent et repassèrent pendant un bon quart d’heure, tantôt la baisant, tantôt l’enculant, tantôt se faisant sucer.
Alors, après cette frénésie, ils la firent s’allonger sur le dos et la cernèrent à nouveau. Les bittes aux glands exacerbés et surexcités s’approchèrent d’elle. Elle en empoigna certaines, en suça un peu quelques unes, elle contemplait d’un regard béat ces queues bandées qui dansaient à dix centimètres au-dessus d’elle. Puis les types dans un concert de branlées frénétiques vinrent à tour de rôle décharger sur elle, arrosant copieusement sa poitrine ou son ventre, décorant son visage et sa chevelure, s’essuyant sur ses cuisses ou ses seins, toutes les bittes déchargèrent sur elle. Certains chevauchèrent sa poitrine, faisant coulisser leur tige entre ses seins, pendant quelques instants, avant de décharger sur ses miches ou son menton. Elle fut copieusement arrosée.
Alors que tout ce petit monde reprenait ses esprits –et que je feignais toujours de dormir- elle se leva brusquement et, surprenant tout le monde, quitta l’endroit du pique-nique, ainsi dévêtue mais copieusement arrosée. Sa jupette descendit sur ses cuisses… mais elle resta en soutif sans remettre son débardeur. Le chauve interloqué remonta son short et la vit se diriger vers les WC publics, d’un pas alerte sur ses ballerines dorées, faisant onduler sa jupette et bombant le torse, à peine dissimulé (ou plutôt bien dévoilé) par son soutien-gorge transparent.
A part nous cinq, personne (du moins je le croyais… ou peut-être là-bas au loin un couple de touristes, à moins que d’autres mateurs à l’affût…) ne la vit entrer dans le côté hommes de ces WC publics, non sans avoir jeté un petit coup d’œil dans la direction de ses admirateurs. Le mateur de derrière l’arbre fut, à ma grande surprise, le premier à la suivre : en fait, ce petit gros plutôt moche et bedonnant, se disait probablement que son heure était venue, maintenant que l’autre avait déchargé tout son saoul. D’ailleurs, avec un temps de retard, le chauve lui emboîta le pas avec ses deux comparses et je les vis rentrer dans ce WC à la suite de ma femme.
Je leur laissais deux à trois minutes d’avance puis je me décidais à aller voir si un spectacle était possible. Tremblant d’excitation moi-même, je m’approchais de ces WC et risquais un regard.
La configuration des lieux était favorable à l’espionnage : une sorte de cloison en briques creuses délimitait l’entrée. Donc de l’extérieur, rien n’était visible. Discrètement, je me glissais dans un recoin et je me mis à chercher dans quel WC il pouvait se passer quelque chose. Je fis deux cloisons puis je tombe en arrêt devant LE spectacle.
Le petit bedonnant était dos au mur, pantalon aux chevilles et ma femme, accroupie cuisses écartées, suçait longuement et délicatement sa queue, ma foi de fort belle taille, tout en masturbant sa chatte. Elle pompait goulûment et avec application la grosse pine, léchant de temps en temps le gland luisant. Il caressait ses cheveux avec douceur et un peu de frénésie et gémissait de plaisir. A trois mètres d’eux, le chauve et les deux autres mataient la scène, short baissé, en tentant de redonner de la vigueur à leurs grosses pines un peu ramollies car ils avaient vraiment bien juté sur ma femme. Comme aucun des types ne pouvait me voir, je commençais à me branler lentement en me régalant de cette scène lubrique, dont ma femme était l’héroïne.
Au bout de quelques minutes, l’homme fit se relever ma femme, l’attira contre lui et ils s’embrassèrent goulûment, sa bite tendue frottant le nylon de la jupette. Il la fit se retourner et prendre appui contre le lavabo de pierre : d’un geste rapide et souple, il souleva la jupette sur ses reins, écarta délicatement le cordon détrempée de la culotte et dégagea la fente rosée qui s’offrit à lui car ma femme se cambra, tendant son fessier blanc en arrière. Il pointa le bout de son gland vers cette moule humide, dont je percevais l’odeur. Ses deux mains plaquées sur le replat du haut des fesses de ma femme, il l’embrocha sans coup férir tellement cette salope était mouillée. Cambrant les reins, il s’enfonça en elle au plus profond la calant contre ce lavabo rustique. Elle gémit. Il commença à la fouiller avec sa pine. Elle posa pratiquement sa tête contre le lavabo, la soutenant seulement avec ses avant-bras repliés et elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Le petit gros se mit à aller et venir en elle avec une belle cadence avec des « flocs-flocs » indécents qui transperçaient le silence des lieux, seulement accompagnés par les faibles gémissements de ma femme, qui devait apprécier l’intromission de cette pine dans sa moule. Le chauve (qui m’avait enfin aperçu) et moi n’entendions que cela. L’autre y allait de bon cœur, alternant les coups de boutoir appuyés et les longues entrées et sorties décomposées, comme un film au ralenti, admirant sa propre queue enfilant cette belle chatte surmontée de ce fessier blanc, qu’il possédait bien entre ses pognes de manant vicieux. Les deux autres en étaient encore à essayer de redonner de la vigueur à leur engin malmené.
C’est alors que, probablement intrigués et attirés par ces bruits faibles mais surprenants en ces lieux, deux autres hommes (le mari du couple de touristes ? un autre voyeur que je n’avais pas repéré ?) se présentaient. Je me reculais un instant pour qu’ils ne me voient point. Ils m’aperçurent tout de même et virent le chauve et les deux autres également à deux mètres de la scène lubrique. Je leur fis un « chut » avec mon doigt sur ma bouche, tout en continuant à me masturber de l’autre main, et, d’un clin d’œil, je les incitais à entrer.
Quand ils eurent le loisir d’apprécier l’ampleur de ce spectacle inhabituel, ils ne se firent pas prier, flairant la bonne aubaine, et se mêlèrent à l’affaire. Ma femme était secouée de toutes parts sous les coups de boutoir de la pine du petit gros, qui entrait et sortait sur toute la longueur de ses 20 centimètres pour le plus grand plaisir de mes yeux réjouis et de ceux du chauve et des deux autres, qui reprenaient peu à peu de la vigueur. Les seins de ma femme tapaient le rebord du lavabo, les jambes tendues et même arc-boutées répondaient aux coups de treuil de l’autre, fesses cambrées en arrière allant à la rencontre de la queue dure. Elle mordait son poing pour ne pas hurler.
Les nouveaux venus trouvèrent rapidement un moyen efficace de calmer cet orifice. L’un d’eux sortit un énorme pieu de sa braguette, qu’il présenta tout près du visage convulsé de mon épouse, fourrée jusqu’à la garde. Après un tapotement de cette nouvelle queue sur sa joue, ma femme ouvrit grand la bouche, goba le gland et l’emprisonna avec ses lèvres. Le gars n’en croyait pas ses couilles ! L’autre se posta de l’autre côté et, empoignant un sein en soucoupe, il branlait sa queue dans les cheveux de ma femme ou frottait sa joue, attendant impatiemment son tour pour être sucé. Ma femme fut alors trimbalée au beau milieu de ces W-C pour hommes et aussi parfois près des urinoirs sordides.
Probablement surexcité par ces deux « intrus » dans le jeu, le chauve et les deux autres se rapprochèrent du groupe baiseur et vinrent branler leur queue redevenues dures contre les flancs et les fesses de ma femme, admirant le « limage en règle » du petit gros. Ce dernier éclata alors que nous ne n’y attendions plus. Oubliant toute retenue, il se mit à grogner et extrayant de la chatte détrempée sa pine, qu’il empoigna vigoureusement, il fit jaillir son foutre sur le fessier offert de ma femme : tout d’abord, trois belles perles blanchâtres décorèrent le haut d’une de ses fesses, puis de longues traînées de sperme s’écoulèrent lentement et dégoulinèrent dans la raie culière. Se reculant, il continua de secouer sa pine sur sa hanche, essuyant le gland dans l’agréable nylon de la jupette.
Aussitôt la chatte libérée fut investie par la bite d’un des derniers arrivants, alors que le petit gros contournant ma femme, vint lui présenter son gland à lécher. Un peu surprise, elle délaissa la queue du dernier arrivé et, bouche ouverte, engloutit cette pine… qui, aussitôt, déversa les dernières giclées de foutre. Dans le même instant, son autre baiseur, saisissant brutalement ma femme aux fesses se planta en elle, poils vissés sur sa fente et ses fesses, et beuglant en douceur, remplit de sperme la chatte de ma femme.
Le dernier venu le tira alors par le bras et prit la place chaude et gluante. Ma femme fut brutalement projetée sur le sol et ce manant l’embrocha sans coup férir à même le sol en carrelage de ces W-C publics. Alors que, n’y tenant plus, je m’étais rapproché de l’action bite en main et commençais à faire gicler ma propre queue sur ma femme, complétant le décor sur ses fesses, il se mit à la limer avec frénésie. « Oui, oui, oui… encore une » geint ma femme ! Elle tendait encore ses fesses vers à l’arrière, allant à la rencontre de cette pine, qu’elle avait longuement sucée. Le mec n’avait pas besoin de ces encouragements. Et, sous les yeux des autres, qui essuyaient toujours leurs bites rassasiées dans les cheveux et contre les seins de ma femme ou dans le fin tissu de la jupette, il se planta en elle comme un soudard, la faisant cogner contre sol à chaque coup de pilon et l’enfilant en levrette.
« Tu la sens ma grosse queue salope, hein ? »
« oui, oui, hmm.. » grogna-t-elle.
Puis s’adressant à nous le gars reprit ses commentaires :
« Elle aime se faire prendre par derrière, putain qu’elle tend son cul, c’est bon de la limer, putain qu’elle est bonne sa chatte ! regardez les gars s’il est beau ce cul ! putain qu’est-ce que je lui mets, elle aime ça la salope !»
Soudain, il s’immobilisa en elle, ses pognes serrées de part et d’autre du fessier vissé sur sa queue. Avec des longs soubresauts de son bas-ventre, il inonda le vagin de foutre : « ahhh ! tiens, tiens, je te mets tout ! prends mon foutre salope, tiens, tiens, prends tout dans ta chatte …»
Les types rassasiés s’éclipsèrent rapidement, tout en m’adressant un petit sourire de remerciements ; ma femme pantelante était toujours affalée sur le carrelage, reprenant peu à peu ses esprits, et je contemplais longuement sa figue blanchie par le sperme, ses fesses décorées…
Sans un mot mais avec de longs soupirs, nous regagnons notre coin de pique-nique, ramassons nos affaires. Sans se nettoyer, ma femme remonta dans la voiture et, elle enspermée de partout et moi heureux comme un mari vicieux que je suis, nous repartons. Et c’est ainsi que prit fin ce pique-nique d’été, au sens propre comme au figuré !
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