Avec Alain, je vis depuis de nombreuses années une complicité sexuelle exacerbée.
J’avais 35 ans au moment de cette histoire. Nous avions déjà exploré quelques fantasmes. L’ascenseur de l’immeuble se souvient très bien de nos rentrées nocturnes.
J’adore être prise à la sauvette dans des endroits insolites.
Souvent, nous parlons de différentes expériences que nous pourrions tester. Alain, notamment, une fois a pris l’initiative en me parlant d’échangisme. Mais voilà, les jours passe et j’oublie son idée. Un soir, en rentrant du travail, je vois deux blacks en bas de l’immeuble en train de discuter. Je n’y prête pas attention et quand je monte dans l’ascenseur, ils s’y engouffre avec moi. Arrivée sur mon palier, les deux gars sorte avec moi. Je commence un peu à m’inquiéter. Mais comme ils ne s’occupent pas de moi, je cherche quand même nerveusement mes clefs dans mon sac. Ne les trouvant pas, je sonne à la porte et Alain vient m’ouvrir. Alors que je rentre, Alain accueille les deux hommes en leurs disant :
« Bonjour Messieurs entrez ! Vous êtes les bienvenus ! »
Je suis surprise et regardant Alain d’un air interrogateur, il m’embrasse à pleine bouche en me pelotant ostensiblement. Je réponds favorablement à ses caresses et comprends rapidement où il veut en venir.
Puis devant les deux blacks, Alain entreprend de me déshabiller. Le spectacle est plutôt bandant pour eux de voir une blanche se faire déshabiller par son homme devant eux. Les deux mecs ont les yeux exorbités et une bosse révélatrice de leurs état d’excitation déforme leurs pantalons. Une fois nue, Alain me retourne et me coinçant les bras dans le dos, tout en continuant à me peloter les seins, je me retrouve dans la tenue d’Eve face à ces beaux inconnu à la peau d’ébène.Aussitôt un des deux black se rue sur moi et me prenant les seins, il se met à les sucer.
L’autre se met à me fouiller ma chatte qu’il trouve déjà trempée. Il masse du bout des doigts mon bouton sensible. Alain desserre son étau pour prendre du recul et me regarder aux prises avec mes deux blacks. Maintenant, mon corps est à eux. Leurs mains et leurs bouches parcourent mes seins, mes fesses et mon minou en feu. Des doigt inquisiteurs entre dans mon vagin juteux tout en titillant mon clitoris en érection. Je me met à onduler et gémir de plaisir. Puis Ils me couchent sur la moquette du salon écartent mes jambes et l’un d’eux enfourne un troisième doigt au fond de ma chatte. Il me ramone fermement et je suis dans un état d’excitation extrême. Je gémis de plus en plus fort. Il remplace ses doigts par son gros bâton noir. Il a une queue de bonne dimension, pour ne pas faire mentir la réputation des blacks. Il pose son gland à l’entrée de mon vagin palpitant et pousse brutalement s’enfonçant dans mon doux conduit. Je pousse un cri et me cabre sous l’assaut. Commence alors un va-et-vient langoureux entre mes cuisses dans ma petite chatte brûlante.
Son copain ne veut pas être en reste. Il bande ferme. Il se saisit de ma tête et enfourne sa queue dans ma bouche. Je l’accueille par un grognement qui en dit long sur le plaisir d’être utilisée par ces deux blacks inconnus devant mon mari.
Alain, très excité par le spectacle qui se déroule devant lui, se déshabille à son tour. Il bande comme un âne. De mon côté, je gémis et pousse de petits cris au rythme des coups de bites. En me regardant dans les yeux, Alain me présente sa bite et je me met à sucer alternativement les deux mâles. Celui qui ramone ma chatte ralentit sa cadence puis sort doucement sa queue toujours turgescente. Par camaraderie certainement, il laisse la place à son copain. Il me dit alors :
« Mets-toi à quatre pattes ! J’ai envie de te prendre comme une chienne en levrette ! »
Bien évidemment, je m’exécute. J’adore être prise en levrette. Je trouve que c’est très a****l. Je me cambre et il peut voir ma chatte béante et ruisselante, toute offerte à sa saillie. Il me pénètre jusqu’à la garde et commence à me besogner divinement. Les deux autres se reculent un instant pour me voir être chevauchée. La scéne doit être d’un érotisme intense. Mes seins ballottent au rythme lancinant de ses vas et viens. J’encourage son effort en lui disant :
« Ouiii défonces moi bien!!!Ho c’est trop bon ! Merci Chéri ! »
Alain revient et remet sa queue dans ma bouche tout en pétrissant un de mes seins. L’autre black se saisit de mon autre seins et imite mon mari tout en passant son autre main sous mon ventre pour masser mon clitoris. S’en est trop, pour moi et un premier orgasme me vrille le ventre. Etre prise par cette grosse queue qui me défonce le vagin , prendre la queue de mon homme dans la bouche tout en me faisant tripoter est un moment extraordinaire d’extase. J’exulte :
« Ah ! Oui ! C’est bon ! Baisez-moi ! Baisez-moi encore bande de salauds ! C’est bon, vous me faites jouir ! »
Encouragé par mes paroles, celui qui me fourre la chatte, accélère la cadence. Son copain, quant à lui, passe à un autre jeu. Il me fait sucer son doigt et tout gluant de ma salive, il pénètre mon petit trou. Dans l’état où je suis, je suis prête à tout. Son doigt va et vient dans mon trou du cul. Au bout d’un moment, ce qui doit arriver, arrivât. Il remplace son doigt par sa queue. Je pousse un cri de bête blessée transpercée par ces deux gros engins. Je vois dans ce délire Alain qui sourit de me voir prise en double et grimacer de douleur et de plaisir mêlés. J’ai beau être excitée et dilatée, les deux membres Africains durs comme le bois, forcent mes deux conduits qui ne sont pas habitués à un tel remplissage.
Alain est aux anges. Il avait mis du temps à me convaincre du plaisir d’une double pénétration et d’un gangbang. C’est vrai qu’au début de notre relation j’étais plutôt réticente à me faire sodomiser. Mais je laissais Alain le faire pour lui faire plaisir par amour. Il lui avait fallu quand même beaucoup de patience et de tendresse pour réussir un jour à passer par-là.
Mais là, devant mon homme et pour son plaisir, je m’offre aux deux chibres inconnus comme une chienne en chaleur. Je vais même jusqu’à leurs dire ou plutôt leur hurler :
« Oui ! encule-moi … encule-moi … viens bien au fond … oui … j’aime vos bites ! »
J’halète comme une petite chienne. Mes cris deviennent plus forts. Alain me remet sa bite dans la bouche et les deux hommes accélèrent le rythme. Ils me bourrent de toutes leurs forces.
Les trois mâles, n’en pouvant plus, sortent rapidement de mes doux fourreaux et lâchent leurs purées sur moi. Je me prends littéralement une douche de sperme.
Nous restons un moment sans pouvoir bouger, tous anéantis, affalés par terre, sans un mot.
Je suis la première à réagir et à rompre le silence en disant à Alain :
« Bon sang !!! C’était trop bon ! Mais j’ai le cul en feu les gars. Vous y êtes allé un peu fort ! »
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