Jamal
Le samedi, vers midi, je suis allé me planquer dans un café qui s’est ouvert récemment, juste en face de notre maison. Vers seize heures, j’ai vu ma femme, vêtue de son jogging moulant, le téléphone collé à l’oreille, sortir de la maison, en prenant soin de laisser la porte entrouverte derrière elle. J’ai profité de l’occasion et je me suis précipité en courant vers l’entrée. Une fois à l’intérieur, je suis allé me cacher derrière une grande commode, garnie d’un large miroir sans tain, installé dans le salon. À peine cinq minutes après, j’ai entendu des pas dans le couloir, et des voix d’hommes qui chuchotaient. Ils se sont installés dans le hall. J’ai regardé par une toute petite brèche entre le mur et la commode et j’ai pu reconnaître Kamal, accompagné d’un autre jeune homme qui était apparemment plus jeune que lui, il doit avoir dans les vingt quatre ans. Très beau, et très grand, un teint bronzé avec une longue chevelure noire. Il a une allure de basketteur, avec un corps très musclé et des membres très longs. Sa voix est très grave. Il portait un jean, des baskets et une chemise blanche ouverte sur son torse bombé touffu de poils noirs. Apparemment il est très viril. Il avait deux sacs de plastiques dans les mains. Ils discutaient à voix basses.
– Tu es vraiment aventureux Kamal!
– Tu n’as rien vu encore mon frère Jamal.
– Comment tu l’as Connue?
– Elle était notre cliente à la salle de gym où je suis moniteur. Elle venait deux fois par semaine.
– Ah bon.
– Je l’ai sautée une fois à l’époque sous la douche de la salle et depuis je ne l’ai plus revue, jusqu’à la semaine dernière je l’ai rencontré à McDonald’s. Elle m’a demandé mon téléphone et m’a demandé si je pouvais passer la revoir.
– Où est ce qu’il est son mari?
– D’après elle, il est en déplacement dans le Nord, mais tu sais, les putes mentent comme elles respirent.
– Le pauvre cocu, il est entrain de trimer dans les montagnes pendant qu’elle s’envoie en l’air avec toi salaud.
Ils étaient entrain de rire de mon sort quand soudain l’un d’eux a dit:
– Chut! Elle arrive la pute.
Ma femme était de retour, elle était toute souriante. Elle a embrassé Kamal sur la bouche et a fait une bise à Jamal. Kamal a fait les présentations d’usage:
– Chérie, je te présente mon ami Jamal.
– Jamal, je te présente ma belle.
– Soyez les biens venus.
– Merci.
Jamal a donné les sacs à ma femme qui l’a questionné:
– C’est quoi ça?
Kamal l’a répondu :
– Des bières à mettre aux frais, et une bouteille de Whisky. C’est le cadeau de Jamal pou toi. Lui il aime le whisky. Moi je préfère la bière.
– Merci Jamal, moi aussi j’en raffole.
Elle s’est éclipsée un moment dans la cuisine, et revenue vers ses soupirants, les a conduits dans le salon qu’elle a préalablement préparé pour l’occasion. Elle y a disposé la chaîne stéréo, qui d’habitude est installé dans la salle de séjour. On dirait qu’elle a senti ma présence et qu’elle me fait ça exprès. Elle les a installés juste en face de moi de ma planque autour de la grande table garnie d’amuse-gueules, raisins secs, amandes, pistaches etc.… J’ai entendu ma femme qui parle de la cuisine:
– On commence par la bière en attendant la préparation des glaçons. D’accord?
– Pas de problèmes, répondirent tous les deux à la fois.
Jamal faisait des commentaires sur ma femme à voix basse, et Kamal répondait par des grognements et des sourires.
Elle est revenue avec un plateau contenant trois verres et trois bières.
Jamal a demandé à ma femme qui s’est éclipsée derrière la porte, s’il pouvait lui donner un coup de main. Elle lui a répondu gentiment que c’était bon, et elle s’est excusée en disant:
– je vais me changer, ce jogging me sert trop.
Jamal a dit à son copain:
– Mon Dieu quelle créature ! dis-moi Kamal, toi qui l’as déjà sautée, elle doit être bonne?
– Ah oui, elle est très bonne et chaude.
– Tu l’as déjà enculé ?
– Non, j’ai essayé l’autre fois, mais elle m’a refusé.
Ils se sont mis à siroter leurs bières en fumant. Quand ma femme était de retour, elle portait une chemise de nuit noire transparente, avec un ensemble string et soutien-gorge rouge. Ensemble que je lui avais acheté à son anniversaire l’année dernière. Jamal a laissé filer un long sifflement, suivi de quelques compliments flatteurs sur sa silhouette. Elle lui a fait un joli sourire accompagné d’un clin d’œil câlin, apparemment elle le trouve à son goût, et elle s’est installée entre les deux. Jamal lui a versé sa bière dans le verre et le lui a donné. Elle s’est mise à boire et de temps en temps elle frotte sa cuisse droite contre Jamal qui commence à avoir chaud et a retiré sa chemise.
Kamal s’est levé, s’est dirigé vers la chaîne, a mis un CD, et s’est éclipsé vers les toilettes, quand il est revenu, Jamal et ma femme étaient entrain de s’embrasser et il leur a dit:
– Attendez un peu, la nuit et encore longue et d’ailleurs, toi Jamal qui t’as donné la permission de toucher?
Jamal a souri, et ma femme a rétorqué:
– Laisses-le tranquille, il est mon invité ce soir. Sur ce, elle est allée chercher d’autres bières et se sont mis à discuter de tout et de rien en buvant et fumant. Après la quatrième bière, Jamal a demandé à ma femme s’il pouvait avoir un verre de whisky. Elle s’est levée pour aller le chercher, avec l’effet de l’alcool son cul s’est mis à dandiner et l’on pouvait distinguer sous sa chemise de nuit transparente, les lobes de ses fesses qui vacillent, séparés par la mince lanière du string. Jamal l’a suivi du regard et a soupiré profondément, avant d’allumer une cigarette.
Ma femme est revenue avec la bouteille de whisky, des verres vides et des glaçons. Elle a déposé le plateau sur la table, et c’est Jamal, le courtois, qui s’est chargé de les servir. Kamal s’est dirigé vers la cuisine et revenu avec une bouteille de Soda pour le mélange. Évidemment, il a pris ma place le salaud.
Soudain le portable de Kamal a sonné, il est sorti dans le hall et s’est mis a parlé. À son retour, une certaine tristesse se lisait sur son visage et les larmes lui coulaient. Jamal l’a questionné :
– Qu’est-ce que tu as ?
– Je dois partir tout de suite.
Ma femme lui a demandé pourquoi, et il leur a expliqué que sa tente qui étais malade et décédée, et qu’il doit accompagner sa famille. Ils lui ont présenté leurs condoléances, et ma femme l’a accompagné jusqu’à la porte et revenu a allumé une cigarette, et sont restés sans mot dire une bonne dizaine de minutes, et Jamal a pris ma femme qui paraissait attristée par la nouvelle, dans ses bras et lui adit :
– C’est la volonté de Dieu.
– C’est vrai, mais j’ai de la peine pour Kamal. Tu la connais toi?
– Oui, je l’ai vu une fois.
– Elle est âgée ?
– Oui très vieille, elle devrait avoir quatre vingt quinze ans.
– La pauvre.
Jamal a servi un troisième verre de whisky, et a dit :
– Et le spectacle doit continuer.
Ma femme a pris Jamal par la main, et l’a tiré au centre du salon, et a entamé avec lui un slow très érotique. Le jeune homme est très grand, et ma femme du haut de son mètre soixante seize, sa tête ne lui arrive qu’au torse poilu. Elle a posé son visage sur le torse de son cavalier, et s’est mise à lui happer les pointes des seins avec ses petites dents, tout en frottant son bas-ventre contre sa braguette. Jamal s’est penché un peu, et s’est mis à embrasser vigoureusement ma femme, qui se livrait totalement à lui. Il lui suçait la langue et lui massait les seins, ensuite il a passé ses mains sous la chemise de nuit et a commencé à lui tripoter les fesses sans vergogne. Elle a ouvert la braguette de Jamal, et en a sorti une grosse queue qui s’est détenue dans sa main comme un ressort.
Elle a dit:
– Waw!
– Qu’est ce que t’as ?
Toi au moins tu es convenablement nanti. Mon Dieu quelle créature !
Et elle s’est mise à le branler, tout en feignant une danse de plus en plus maladroite. Puis après, elle a déployé une couverture sur le tapis pendant que Jamal retirait son pantalon, il ne portait pas de slip. Il s’est placé à genoux, et ma femme a commencé à le sucer lascivement, bavant sur toute la longueur de la queue.
Jamal, n’en pouvait plus a demandé à ma femme de le laisser reprendre son souffle un moment, à moins qu’elle ne veuille qu’il jouisse dans sa bouche. Elle a lâché prise. Jamal s’est mis à déshabiller très délicatement ma femme qui s’est laissé faire.
Ensuite, il l’a renversé sur le dos et s’est mis à lui lécher la chatte pendant longtemps. Elle a commencé à trémousser et à gémir. Jamal s’est relevé, a déroulé une capote sur sa barre, et s’est couché sur le dos. Ma femme l’a enjambé et s’est mise à introduire doucement le mandrin dans sa chatte. Le sexe de Jamal était tellement gros qu’il lui obstruait complètement la vulve.
Elle a posé ses seins sur le torse de son compagnon qui l’a serré dans ses bras, et s’est mis à la baiser très lentement tout en lui suçant la langue, et lui tripotant vigoureusement les fesses. Elle a commencé à gémir, et à sursauter sur son amant, qui lui a enfoncé complètement deux doigts dans le trou du cul qui s’est anormalement dilaté (Je pense que c’est à cause de la grosseur de la queue qui lui déchirait les entrailles). Elle hurlait et s’agitait sur son amant. Et elle lui a dit :
– Ah chérie je vais jouir.
– Tiens, prends ma belle, prend tout.
– Ah oui, ah ! Oui chéri, je jouie, je jouie.
Ensuite, à la demande de son compagnon, ma femme s’est mise à quatre. Jamal est venu se placer derrière elle, et s’est mais a introduire finement sa bitte dans la chatte mouillée de ma femme. Elle a recommencé à gémir et à dire :
– Ah, ah, oui chéri, oui … je jouie.
Jamal a assuré sa prise sur ses hanches, et d’un seul coup de reins il s’est enfoncé en elle jusqu’à la garde. Il s’activait sur elle avec fougue, faisant rentrer et sortir sa queue, et j’entendais le bruit de ses couilles sur les fesses de ma femme.
Le jeune homme était fougueux, il s’acharnait sur ma femme et la couvrait comme un étalon pur. Il s’est mis à lui parler :
– Tu me sens ?
– Oui chéri, je te sens bien tu touches le fond. Ne t’arrête pas. Ah chéri, ah ! Je jouis, je jouie.
Elle a joui pour la deuxième fois sous les coups de boutoir de son amant.
Elle remuait frénétiquement son cul, et n’a pu retenir un long pet qu’elle a laissé filé. Jamal s’en est aperçu et lui a dit:
– Ton beau cul m’appelle et j’aimerais bien l’embrocher.
Elle a continué de gémir et d’haleter. Jamal s’est retiré, l’a renversé sur le dos, a enlevé sa capote, et s’est mis à se branler sur ses seins, et lui a giclé sur la poitrine une énorme quantité de sperme en de longs jets. Ils sont restés un bon moment effondrés sur le tapis, avant de reprendre leurs esprits. Ma femme a pris une serviette et s’est essuyé les seins. Jamal s’est excusé et s’est dirigé vers la salle de bain. Quand il est revenu, sa grosse queue se balançait entre ses cuisses. Ma femme s’est mise à rire et lui a dit :
– Ton épouse ne doit pas s’ennuyer avec toi.
– Pourquoi ?
– Elle devrait être satisfaite, avec un membre comme le tien c’est le comble du bonheur !
– Actuellement je ne suis pas marié, mais c’est toi qui s’en réjoui.
-Merci chéri.
Il l’a serré dans ses bras, et l’a embrassé longuement. Elle lui a dit:
– C’était très bien chéri, je n’ai jamais jouie aussi fort.
– Merci, moi aussi, mais regardes, je bande toujours.
– Pourquoi? T’a encore envie?
– Oui.
– Je suis éreintée, tu veux me tuer ou quoi?
– Non, tu ne vas fournir aucun effort, tu vas juste te retourner, et c’est moi qui vais œuvrer.
– Mais qu’est ce que tu veux faire?
– Beuh, j’ai trop envie de ton cul chérie.
– Non, tu vas me faire mal, avec ton truc.
– Mais non, n’aie pas peur, je vais rentrer juste le gland. D’ailleurs, tout à l’heure je t’ai planté deux doigts et tu n’as rien senti.
– Si t’as encore envie, donnes que je te suce, et tu jouiras dans ma bouche.
– S’il te plait chérie, faits moi plaisir et tournes-toi, juste pour contempler ton superbe cul, et te lécher le petit trou. Comme ça, je banderais très fort.
Ma femme s’est mise à quatre pattes, et Jamal a entrepris de lui caresser les fesses et à lui lécher le sillon en insistant fermement sur le petit trou. Ensuite, il y a mis un doigt, mais ma femme a vite serré ses fesses et s’est retournée sur le dos.
Il s’est étendu à côté d’elle et a commencé à l’embrasser. Et puis, il lui a dit:
– Dommage!!
– Pourquoi tu dis ça?
– Tu es belle, tu a un cul magnifique, tu es voluptueuse quoi, mais tu a un mari qui, j’imagine a une petite queue qui ne te satisfait pas, ou ne s’occupe pas de toi comme il faut.
– Ne dis pas ça.
– Pourquoi tu le chéris ?
– Bien sûr, c’est mon mari.
Ma femme s’est absentée un moment, et à son retour, ils se sont installés autour de la table et Jamal qui lui a servi un verre de Whisky. Ensuite il a pris la main de ma femme, et l’a posé sur son sexe qui est resté en érection.
– Ma femme a commencé à caresser la queue de son compagnon, et lui a demandé :
– Tu veux que je te fasse une pipe ?
– S’il te plait.
– Avec plaisir.
Elle a soupesé les couilles de Jamal et a dit :
– Waw, elles sont encore pleines !
– Un peu.
Elle s’est mise à le sucer délicatement, ensuite il l’a fait asseoir sur lui, lui a introduit sa queue dans la chatte, et s’est mis à l’embrasser. Après, il l’a mise sur le dos, lui a relevé les jambes sur ses épaules, est s’est mis à la baiser. Ma femme haleter et crier, elle a joui plusieurs fois sous ses coups de boutoir. Après plus d’un quart d’heure, Jamal s’est enfoncé complètement en elle et s’est mis à râler. Cette fois-ci il a déversé sa semence dans ses entrailles.
Dès qu’il s’est retiré d’elle, ma femme lui a dit:
– Tu m’as inondée de ton sperme chéri, je dois vite me laver!
– Pourquoi?
– Je ne prends pas de pilule et je risque de tomber enceinte?
– Ce n’est pas un problème, tu divorceras et tu deviendras ma femme.
Elle s’est mise à rire. Ensuite Jamal a introduit deux doigts dans la chatte de ma femme, les a sorti pleins de foutre et les a mis dans la bouche de ma femme s’est mise à les sucer. Il lui a dit :
– Mon sperme a un bon goût.
– Oui.
– Ah ma chérie, je t’aime et tu vas me manquer, et je ne sais pas comment je vais faire.
– Moi aussi chéri.
– Et comment on va se rencontrer ?
– on verra.
Ma femme s’est éclipsée vers les toilettes.
Quand elle est revenue, il était deux heures du matin, ils se sont servi un dernier verre avant de monter dans notre chambre à coucher.
(à suivre)
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