Cette langue qui savoure, qui fouille, qui boit, qui déguste la mouille de son adorée. La main de la Maîtresse qui se pose sur la tête de sa bonne soumise en guise d’approbation mais aussi de Dominance. Marion est aux anges, elle sait que celle qui se vide dans sa gorge le fait sans vergogne, sans retenue mais avec respect. La Maîtresse reste LA Maîtresse . Tout est à sa place. Une pression de la main plus forte annonce la jouissance … Marion, en bonne chiennasse, lape, aspire et avale le jus.. ‘Elle va jouir et peut-être aurais-je droit à sa bonne pisse .. j’ai été gentille . je dois pouvoir au moins mériter ça’ .. pense-t’elle .. De son autre main, La Maitresse se branle le clitoris .. Jambes largement écartées, elle va tout lâcher .. ce n’est plus qu’une question de secondes .. Elle se crispe . se raidit . et dans un grognement sauvage .. ouvre sa vanne intime dans la gueule de sa femelle .. ‘PRENDS TOUT, TRAINEE … BOUFFE … ET LAVE MOI BIEN… APPLIQUES_TOI … ‘ … Jamais soumise n’aura été aussi heureuse que de recevoir sa pitance .. ‘Merci Maitresse .. Merci..’
Lécher…. Marion y passerait des heures et des heures. En guise de réveil matinal quand les odeurs sont enivrantes, que les moiteurs des corps ‘fleurent’ bon le naturel.. ou au petit déjeuner.. Quand Maîtresse Sylvie prend son café, en petite tenue et que sa chienne est à quatre pattes sous la table pour prendre sa ration. Au retour du travail, Maîtresse exigeante, souhaite sortir en ville mais avant, elle veut être propre de la chatte et du cul .. Chienne Marion s’exécute donc à laver avec sa bouche, sa langue servant de serpillière. Le soir venu, Madame aime être câlinée pendant qu’elle regarde sa série préférée.. Chienne Marion est à genoux, tête baissée, collier bien serré, la laisse pendant au bout de l’anneau .. un coup brusque et Chienne Marion avance jusqu’à l’entrecuisse de Maîtresse qui relève ses jambes pour offrir le plus beaux des spectacles .. La rosette est déjà ouverte, l’étoile sent bon.. Chienne Marion renifle et attend un pet .. .. Elle est autorisée à passer la pointe de la langue sur l’anus de Madame .. puis des petits bisous, une aspiration qui rend le petit trou plus gros . Maîtresse rigole .. et pousse encore. L’anus dilaté, Chienne Marion encule délicatement son adorée .. Récompense d’une journée bien remplie .. Puis un coup de talon aiguille repousse la salope qui y prendrait un peu trop de plaisir.. Maîtresse se lève, tire sur la laisse pour emmener Chienne Marion faire son pissou .. .. ‘Allez Pisse, grosse pute .et n’en mets pas partout .. ‘La traînée, un peu gênée lâche des petits jets bruyants; ce qui a le don de faire rire aux éclats, Maîtresse Sylvie
– ‘Pas comme ça, andouille.. Mais que tu es conne ma pauvre fille .. Je vais te montrer comment on pisse .. Mets toi sur le dos .. et ouvre la gueule
Madame se poste debout, écarte sa vulve et urine sur tout le corps de sa petite putain… c’est long, c’est chaud, c’est odorant, c’est bon… Le final approche .. comme un feu d’artifice .. Madame s’accroupie et vient se frotter le bas ventre sur la figure de sa roulure
– Merci Maîtresse . Merci !
– Stop, salope, à la niche ..
27 août
Ce matin, Miss Marion était d’humeur guillerette.. Elle chantait, sifflotait , dansait dans sa petite chambre de bonne, sa niche comme aimait la nommer Madame, tout en écoutant sa dernière playlist. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait d’aller rejoindre Maîtresse Sylvie dans la grande chambre, se glisser sous le drap de satin pour se blottir contre le corps de celle qui était devenue son mentor. La séance d’hier soir avait confirmé qu’elle avait encore monté une marche supplémentaire vers le Golgotha de la soumission. Elle se livrait, sans retenue, aux exigences les plus vicieuses, les plus salaces de Madame qui, avec un tact et une délicatesse l’emmenait vers des plaisirs hors du commun. Il était l’heure de préparer le petit-déjeuner.. La aussi, ça exigeait un certain protocole. . Madame réclamait son plateau à 8H00 précises. Tout devait être ordonné et arrangé avec soin. Surtout ne jamais oublier la rose dans son petit vase. Les toasts devaient avoir une belle couleur brunâtre et non brulés. Le thé, les confitures, tout devait être parfait. La tenue était sobre, pas vulgaire. Marion s’était vue offerte la panoplie de la parfaite soubrette. Chemisier blanc, jupette et ballerine noires.. Aucun sous-vêtements ne devaient être portés.. Madame pouvait se régaler aussi bien de ses toasts que du cul rebondit et dévoilé de sa ‘fille au pair’. Une petite douche plus tard, Miss se plaçait le plug dans le derrière. La télécommande de celui-ci reposerait, également sur le plateau. Madame aimait ‘jouer’ de bon matin. Tout était calme dans la maison.. Sur la pointe des ballerines, elle se rendit à la cuisine pour s’atteler à sa première tâche de la journée. 7h55, il était grand temps de monter le plateau en chambre.. C’est un peu au ‘radar’ qu’elle le déposa sur la petite table. Elle tira délicatement les lourds rideaux de velours pour laisser le soleil entrer sans qu’il agresse le réveil de Maîtresse.
– Madame, il est 8h00. Votre petit-déjeuner est prêt.
Marion se tenait droite, tête baissée, les mains dans le dos en attente du premier regard. Celui qui serait déterminant pour la suite.. Le chemisier suffisamment déboutonné pour qu’elle puisse apprécier sa jeune poitrine au bout (déjà) durs d’excitation.
– Mhhhhhh .. j’ai bien dormi.
Maitresse Sylvie s’étira voluptueusement.Dieu que cette femme était belle.
– Bonjour ma chérie.. Tout est prêt ? ahhh mais je vois que tu n’as rien oublié . c’est parfait . Tournes-toi et penches-toi que je vois si tout est à sa place ? …. Bien . tu es exquise. Reste dans cette position, face à la glace.. J’aime avoir une belle vue sur ta croupe de pouliche pendant que je déjeune. Qu’allons nous faire ce matin ? as-tu une idée ? non tu n’as pas à avoir d’idée, je te faisais rêver. QUI COMMANDE ?
– Vous Maîtresse
– Biennnnnn, tu apprends vite, je suis ravie.Finalement je crois que je vais te garder à mon service.
– Merci Maitresse
le repas était terminé, Madame s’était régalée des toasts, des confitures et du cul parfait de sa petite soumise. Sans prévenir, elle prit la télécommande du gode vibrant et l’actionna sur la plus haute position; ce qui eu pour effet de faire sursauter et d’enlever un cri à la soubrette. Premier éclat de rire pervers de la journée .. ça promettait..
– Courbes-toi et ne bouges plus .. Chaque mouvement nécessitera un coup de martinet .. te voilà prévenue, salope et surtout ne triche pas. Sinon la punition sera pire encore .. et la pire des punitions, c’est quoi, salope ?
– Pas de punition, Maîtresse
– Parfait, mon petit chat ..
Le traitement anal amusait beaucoup Madame, elle adorait fouiller, enculer, maltraiter mais aussi caresser et câliner un cul de femme. Le postérieur de Marion était un délice et la petite enculée aimait l’exhiber. Aurait-elle déjà déceler la petite faiblesse de sa Dominatrice ? Sylvie n’osait l’avouer mais elle adorait ce cul. Un quart d’heure d’exercice plus tard, elle arrêta net le traitement. Celui-ci avait fait son effet. De son grand lit, elle pouvait voir que les cuisses de sa soumise étaient couvertes de mouille.. La petite pute avait juté sans même la prévenir.
– Dis donc, attardée mentale, qui t’as autorisé à jouir ?
– Personne, Maîtresse, je me suis retenue, Maîtresse
– Explique moi ce que je vois entre tes cuisses, alors ?
– De la mouille, Maîtresse
– Donc .. tu as pris ton plaisir sans que je t’en donne l’ordre
– Oui, Non .. OUI MAITRESSE
– Grosse pute que tu es .. Apporte moi le gode ceinture.. Je vais te casser le fion, ça t’apprendra à ne pas attendre mon consentement et aide moi à me sangler, puanteur que tu es. Tu sens la chienne en chaleur.
Marion allait déguster… Pour la première fois, elle allait ‘tâter’ du gros manche veiné de couleur noire.. Il était si long, si gros qu’à la seule vue, elle avait déjà mal.
– Je crois qu’il est inutile de te préparer.. tu dois être bien ouverte et accueillante .. ton huile intime fera le reste . A sec .. ça t’apprendra.
Le gros gland entra dans le petit trou sans crier gare .. Marion étouffa un cri .. Les larmes coulèrent sur ses joues mais elle ne dirait rien, sinon elle se prendrait une déferlante d’injures, d’insultes et de claques
Les mains de Madame étaient agrippées aux hanches de la petite enculée, la tenant fermement pendant qu’elle lui labourait le fion avec vigueur et frénésie .. La queue entrait violemment et ressortait lentement puis .. paf .. elle replongeait dans les entrailles . tapant contre la matrice..
– C’est bon, hein, grosse traînée t’es vraiment qu’une salooooope
Sylvie prenait son pied de monter si belle pouliche.. Son jus coulait contre le bout de cuir qui servait d’attache à la grosse bite.. JOUIS MAINTENANT .. JE LE VEUX…
Marion n’attendait que ça .. sa tête se releva, la queue de cheval étant tenue par une main ferme. Les claques sur les fesses l’aida à se revenir sur terre et sa bouche, comme par enchantement, se mit à chanter .. non pas un air de sa playlist . mais une plainte longue qui montait en puissance .. Le cul rempli, la chatte béante, les seins durs, elle ‘subissait’ les orgasmes à répétition . Ses jambes tremblaient tellement qu’elle fléchissaient sous les coups de boutoi. Il fallu un bras ferme, en guise de sous-ventrière pour l’empêcher de s’écrouler. Sylvie fatiguait de l’embrocher et c’est ensemble qu’elle se retrouvèrent sur la moquette de la chambre. Sur le côté, en position de la cuillère .. Madame dans son dos, donna quelques coups de gode, tout en ralentissant la cadence . Sa pute avait bien reçue.. Pouce et index étaient venus titiller un téton .. ils le faisaient rouler pour le rendre sensible .. Marion avait toujours la bouche ouverte .. Madame l’embrassa et cracha sa salive dans sa petite gueule .
– Merci Madame .. Merci
Un sourire, la plus belle des récompense et un baiser tendre qui acheva cette petite récréation matinale. La journée allait être longue et pleine de surprise. Nous étions dimanche et s’il y avait bien un autre protocole auquel Sylvie aimait s’adonner c’était le marché dominical de son petit village. Elles iraient ensemble mais avec une autre surprise pour sa femelle.. Elle lui ferait porter des boules de geisha jusqu’à la limite du ‘supportable’ .. Là aussi ça serait une première. Marion avait déjà ‘goûté’ aux supplice des boules dans le vagin mais jamais en public et encore moins de marcher avec. C’est Madame qui lui placerait avant de lui faire mettre une petite culotte virginale (le comble).pour retenir l’appareillage en cas de perte (bien que l’idée de ne rien retenir lui était passée par l’idée, Maîtresse, voulait, une approche plus soft pour un début) Prêtes pour la sortie, Marion devait se tenir droite, petit panier en osier au bras et boules dans le ventre.. elle rayonnait dans sa petite robe à fleurs. Enfin, elle rayonnait.. pour le moment… Madame, quant à elle, arborait un superbe et large chapeau d’été, une robe légère de la dernière collection Armani et des chaussures noires à hauts talons. La classe faite femme. 10 min.à pieds et déjà les petits joujoux faisaient leur effet .. Marion marchait de moins en moins vite et de moins en moins droite ..
– Redresses toi…
– Oui Madame, mais c’est que …
– Chuttt !! .. nous arrivons sur le marché, tu vas pouvoir te reposer un peu .. Allez un peu plus vite..
– Oui Madame
Maîtresse était toujours aussi attentive et bienveillante. Elle pouvait rugir, hurler, sermonner, être cinglante dans toute l’acceptation du terme, elle savait aussi alterner et varier les plaisirs. Le début du marché local était en vue.. La petite allait pouvoir souffler un peu. ç’est que ça lui brûlait le ventre ces petites choses là.. Dingue l’effet rapide que ça pouvait donner… Elle se sentait moite et ce n’était pas la chaleur de cette superbe fin de matinée qui lui faisait monter le rouge aux joues. Elle avait l’impression que chaque personne qu’elle croisait, savait ce qu’elle portait.. Le regard des hommes étaient, selon elle, plus vicelard, celui des femmes étaient horrifié .. Ce n’était qu’une impression . Il fallait absolument qu’elle se calme, qu’elle se reprenne.. Madame vit de suite sa gêne, sans y paraître, elle s’approcha d’elle, la frôla et lui dit tout bas à l’oreille
– ça va, puce, tu apprécies le traitement ?
Marion se pencha à l’oreille de sa ‘bienfaitrice’ et lui répondi
– C’est terrible, Madame, je coule déjà
– Tant mieux, c’est le but .. mais il va falloir me garder tout ça hein ! .. Allez sois patiente et concentre toi.
– Oui Madame (titre qu’elle donnait à son icone quand elles étaient en public ou en société)
Tandis que Sylvie remplissait le panier de légumes, Marion se tortillait comme si elle avait une envie pressante… Cela faisait quand même une 1/2 heure qu’elle subissait le frottement des trésors dans son petit écrin . ça devenait carrément insupportable …
– Voilà, je pense que nous avons tout ce qu’il faut pour préparer un bon repas .. Allons prendre un verre en terrasse, veux-tu ?
– Oh oui, Madame, c’est que je ne dirais pas non à une petite halte ..
– Je sais.. Je remarque que tu ne tiens plus en place.. (sourire pervers)
A peine installée, le serveur était à leur table pour prendre la commande. Madame prendrait un verre de Chablis, tandis que Marion se contenterait d’une eau bien fraîche pour calmer le feu qui prenait dans son intimité.
– Puis-je me rendre aux toilettes, Madame ?
– Pourquoi donc, tu n’es pas bien avec moi, petite ?
– Si bien sur mais c’est que .. j’aimerais me soulager
– Te soulager de ?
– Bein vous savez .. des .. des ..
– Des ?
– (tout bas en se penchant) des boules de geisha, Madame
– Ahhhhhh de ça .. et de rien d’autre ?
– Si bien sur .. j’en aurais profité aussi
– Alors pourquoi ne pas faire les deux ..ICI .. !
– Heu, comment ça .. ICI ?
– Hé bien, tu vas, discrètement, enlever ton p’tit jouet, sucer, tout aussi discrètement, tes boules avant de les placer dans mon sac… Ensuite.. j’aimerais que tu fasses ton pissou, sans enlever ta culotte, sur ta chaise…
– Mais Madame ?
– Oui, Quoi ?? tu veux me désobéir ??
– Non mais c’est que …
– EXCECUTION !
L’ordre avait été donné tellement fort, que le couple, à la table voisine, s’était retourné sur elles.
Marion, gênée, se pencha en avant, glissant une main sous sa robe et sous sa petite culotte .. Sa chatte était suintante, et ses lèvres ouvertes. Elle poussa un peu et attrapa avec ses doigts la petite ficelle qui réunissait les boules .. Elle n’eu pas de mal à les faire sortir.. tellement ça glissait tout seul .. La culotte replacée, elle prit les boules, regarda Madame et et alors qu’elle allait porter la première en bouche, le serveur arriva avec la commande. Surprise, Marion referma sa main, trop tard . Il avait tout vu .. Tellement il était déboussolé, il faillit renverser les verres sur le plateau… Rouge de confusion, il déposa le tout sans même donner le ticket. Sylvie éclata littéralement de rire .. un rire puissant et communicatif .. Marion l’imita ..
– Bon, la suite maintenant .. tu te sens prête ?
– Arf, vous voulez vraiment, Madame ?
– NON, J’EXIGE .. NUANCE !
– Bien Madame
Sylvie s’approcha à son tour et fit le petit bruit que l’on fait aux enfants pour les aider à faire pipi . ‘psstt psstt pssttt’
Bingo .. le liquide couvrait déjà la petite culotte .. ‘pssst pssst psstt ‘ . iil débordait et commençait à couler sous le siège à lames.. Bientôt les autres clients s’apercevraient de l’étendue du dégâts des eaux…
Complètement soulagée, Marion ferma les yeux, soupira longuement.. Elle était bien…
Madame était heureuse .. Tout se passait à merveille dans l’éducation qu’elle voulait donner à sa putain… Pour sauver l’honneur et surtout sa propre réputation, elle prit discrètement le verre d’eau et le versa sous la chaise de la pauvrette…elle le reposa sur la table et fit mine de le renverser ..
– Oh pardon, Marion, sincèrement désolée, je suis maladroite… tu en veux un autre ..?
– Non merci, je crois qu’il est grand temps de rentrer, Madame..
– Oui, allons préparer le déjeuner…
C’est dans un éclat de rire, qu’elles quittèrent la terrasse. l’une heureuse, l’autre soulagée..
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