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Premiers émois

Premiers émois



Cette fois ci je vais vous raconter l’une de mes premières expériences sexuelles.
J’étais encore ado, et avec une amie de longue de date, nous commencions a nous tourner autour.

Fanny était une copine qui venait depuis toute petite en vacances dans ma région natale, tous les étés, et nous passions toutes nos grandes vacances ensemble.

Fanny était blonde, les yeux verts, un minois avenant, et un corps fait au moule, avec suffisamment de rondeurs pour avoir envie de pétrir doucement son corps, mais fermes, et avec le ventre plat.
Ni trop mince, ni trop ronde.

Pour ma part, j’étais une personne sur-complexée, me voyant comme un laideron alors que 20 ans plus tard, en discutant avec des amis, je découvrais que j’étais classé plutôt parmi les beaux gosses.
(Comme quoi, n’écoutez jamais les autres, vous trouverez plein de potes qui vous rabaisseront parce qu’ils sont jaloux)
A l’époque, je faisais déjà plus d’1.85m, les yeux noisettes et des cheveux bruns mi-longs.
J’avais été épargné par l’acné, donc avec un visage harmonieux et lisse, et ce que je prenais pour des bourrelets repoussants étaient juste quelques rondeurs confortables pour mes conquêtes.

Nous avions des rapports très complices et plutôt fraternels/sororaux (pas de mauvaises blagues, « Sororal », c’est l’équivalent de « fraternel » mais pour les sœurs. Mais de rien. :p ), et nous ne nous étions jamais imaginés comme des petit.e.s ami.e.s potentiel, jusqu’à cet été du milieu des années 90.
Avec le recul, je pense que nos parents respectifs s’y attendaient un peu plus, eux.

Bref, nous n’avions aucun secret l’un pour l’autre, nous nous étions baigné ensemble sur des plages naturistes, donc nous nous étions déjà vu tous nus.
Néanmoins, après le passage de la puberté, j’avoue que j’étais troublé lorsque je la voyais seins nus, et que cela commençait à nourrir mes fantasmes d’ado : Elle faisait un digne 95B. (Oui, pour vous dire à quel point on était proches, je connaissais ses marques de culottes et sa taille de soutifs, je lui arrangeais des coups avec des mecs, elle faisait pareil avec des mecs.)

« Ze » été, entre juillet et aout, nous nous sommes retrouvés seuls tous les deux : ca s’était mal terminé avec son mec et ils avaient rompus, et avec ma petite amie, ca s’était dissous de manière plutôt tacite à son départ. (comme souvent avec les amours de camping)

Comme souvent, nous en avions discuté ensemble, maudissant les circonstances, les gens méchants, qui ne comprennent rien, etc.
les peines commençaient à s’effacer, et un soir, mes parents s’absentèrent.
Nous décidâmes donc de profiter d’une soirée tranquille chez moi.

Après une bonne pizza, nous nous sommes vautrés devant la télé. Histoire de rendre le canapé plus confortable, nous avions subtilisés les vastes coussins des fauteuils adjacents pour en faire des accoudoirs, avant de nous sommes allongés sur le coté (gauche), Fanny dans mes bras.

Jusque là, rien de trop surprenant, les câlins, contacts physiques et autres étaient assez courants entre nous.
Nous devions regarder les séries de M6 de l’époque, et ce devait être un vendredi soir, car après X-files (était-ce une soirée spéciale avec plein d’épisodes? je ne me souviens plus) il y avait « Au delà du réel », puis après, une émission érotique, Sexy Zap. (Allez chercher dans les vidéos, il y a des extraits sur XH)

A la fin d’Au delà du réel, il y a l’émission érotique qui est annoncée, et, à la fois un peu gêné et un peu excité, je propose à Fanny de changer (ce qui implique de se lever car nous n’avions pas de télécommande).
Elle me répondit, posée, legèrement somnolente : « Non, laisse ca à l’air intéressant, et puis je suis bien, là. » (Nous étions sous une couverture)

Je ne me souviens plus exactement ce que le programme proposait à voir ce soir là, mais il y avait habituellement des strip-tease, des parodies de feuilletons version erotiques, etc.

Le contexte aidant, ma main droite reposant sur sa hanche commença à se glisser vers le haut dans la « jambe » de sa salopette-short en jeans.

Centimètre par centimètre, ma main remontait. Mon coeur battait la chamade, car je n’avais encore jamais été aussi loin avec une fille, et je m’attendais à me faire « recadrer » d’un moment à l’autre, mais au bout d’un moment, alors que je sentais du bout de mes doigts le début des poils de son pubis, sa jambe gauche s’écarta progressivement, imperceptiblement pour me faciliter la manoeuvre.

Les oreilles bourdonnantes, dans un état second, saturé d’adrénaline, mon majeur se posa sur son clitoris ce qui la fit sursauter dans un gloussement.
Mes caresses étaient assez maladroites, et j’allais de son petit capuchon à son vagin, fasciné de le sentir humide et brulant.
Elle avait les yeux clos, ou mi-clos, la respiration haletante, et je m’enhardis en commençant à l’embrasser dans le cou, derrière l’oreille, ce qui accéléra encore sa respiration, et la fit mouiller de plus belle.

Sa main droite finit par descendre se poser sur la mienne, au travers du tissu, et je crains à ce moment qu’elle me demande d’arrêter, mais au contraire, elle me guida pour m’expliquer comment mieux la masturber.

Tandis que je la faisais grimper au rideau, elle sentait mon chibre gonflé et dur à exploser tendu contre ses fesses.
Prise dans la folie du moment, elle se saisit de ma main gauche, au niveau de son visage car elle était allongée sur mon bras gauche, et commença à me lécher doucement le bout de mon majeur.

Je commençais à perdre le contrôle de moi même, et j’accélérais mon mouvement.
De la main elle me calma et me souffla entre deux gémissements « …. ah …. ah …. régulier … ah … ah … »
Je changeais rapidement de position pour ma main, et la glissa par le haut, entre elle et le rabat de la salopette, manoeuvre qu’elle facilita en déboutonnant les boutons de coté.

Je repris mon massage égrillard, et elle, se mit à sucer de plus belle mon doigt dans une fellation factice propre à me rendre fou.

Mes attouchements gagnant en assurance, sa main droite remonta pour dégraffer les bretelles de sa salopette, non sans avoir écarté un pan de la couverture pour m’en mettre plein les mirettes.

Elle remonta ensuite son petit haut jaune qui découvrait ses hanches et son nombril habituellement, dénudant ainsi son soutien gorge, donc elle écarta les bonnets pour libérer ses seins.

Elle se mit à malaxer sa poitrine, à se pincer les tétons tout en me suçant goulument les doigts.

Elle finit par se crisper me soufflant un  » … T’ARRETE PAS … » puis finit par jouir en gémissant bruyamment, ce qui eut le dont de me faire rougir encore plus si cela était possible et de me rendre complètement fou d’excitation.

Elle m’arrêta au bout d’un moment, et ma main remonta pour profiter de sa poitrine, tandis qu’elle recouvrait ses facultés.

Mes hanches allaient et venaient depuis un moment contre son petit cul sans que je m’en rende compte.
Elle me chuchota : « à ton tour, lève toi … »
Je me levai, elle me mit face à elle, toujours appuyée sur le coussin du fauteuil, puis me déboucla mon ceinturon, me déboutonna le jean, et sortit mon phallus raide comme jamais.
Halluciné, peinant à comprendre ce qu’elle voulait faire, elle plaqua une main contre mes fesses et rapprocha mon bassin de sa tête.
Elle me regarda avec un sourire obscène au lèvres, lèvres qui s’ouvrirent alors pour laisser passer sa langue et se mettre à me lécher le gland.

Sa main gauche enserrait la base de ma queue, commençant à me branler, et sa main droite, une fois mon bassin en position, était redescendu pour pétrir ses nichons.
Elle vint assez vite chercher ma main gauche pour la poser sur sa poitrine, au cotés de la sienne, tandis que j’agrippais sa queue de cheval de la droite pour accompagner son mouvement de va et vient sur mon sexe.

Elle me suçait de plus en plus profond, je finis par sentir son nez contre mon ventre tandis qu’elle enfonçait ma queue au fond de sa gorge, émettant un borborygme de satisfaction lubrique.
Moi haletant, au bord de l’évanouissement, je donnais des coups de reins et tirais sa tête vers moi, de plus en plus rapidement, et je finis par exploser dans sa bouche en gémissant, sa main droite choppant mon cul et me forçant en m’empaler au fond de sa gorge, tandis qu’elle avalait mon sperme avidement.

Les jambes en coton, le jean sur les cuisses, je me retrouvai a genoux devant le canapé, mon front contre le sien.
Elle m’embrassa alors goulument, sa langue portant encore la saveur salée de mon sperme s’enroulant autour de la mienne.

Elle libéra ma bouche, et en me jettant son regard le plus aguicheur, son sourire d’adorable petite garce sur les lèvres, elle me susurra :  » Je vais rentrer chez moi, loulou … »

Voilà voilà … J’espère Vivement que cette histoire vous a plu (bon, moi elle m’a bien remis des papillons dans le ventre !) donc vraiment, VRAIMENT, n’hésitez pas à me laisser des commentaires ou un petit MP pour me dire ce que vous en avez pensé.

J’attends avec impatience vous réactions !

SI j’ai de bons retours, je vous raconterai d’autres expériences de ce genre que j’ai vécu. 🙂

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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