Alors que je suis occupé à analyser des données financières, le téléphone sonne. Ma tendre moitié, d’une voix enjouée s’enquière de ma santé et de mon humeur. Je
Je réponds laconiquement et distraitement, toujours préoccupé par mon travail. En fait je ne prête qu’une oreille peu attentive.
Ma dulcinée met fin à la conversation :
«Tu n’as pas écouté. Tant pis pour toi, tu auras une surprise ce soir. Je t’aime Bisous »
Je repose le combiné un peu intrigué. Je me replonge immédiatement dans mes chiffres et oublie vite cette discussion. L’après midi passe vite, tout absorbé à ma tache.
Je rentre un peu tard à la maison pour retrouver mon épouse. Karine est une superbe femme, mince, aux longues jambes. Son corps parfait avec ses petits seins, sa belle chute de rein, son sourire enjôleur, me rendent fou de bonheur.
Quelque soit sa tenue vestimentaire, elle attire le regard des hommes. Perchée sur ses hauts talons aiguilles, elle se joue de leurs désirs, de leur regard envieux….
Je pousse la porte d’entrée. La maison me semble bien silencieuse. Je découvre une enveloppe posée sur le secrétaire. Je reconnais l’écriture de Karine. Inquiet, j’ouvre fébrilement l’enveloppe. Au dos d’une carte postale coquine est écrit un mot à l’encre bleue :
« Chut !!!! Vas te déshabiller dans la chambre, enfonces toi e le Plug que je t’ai préparé. Mets toi un collier avec haine autour du cou et surtout mets bien le bandeau sur les yeux et attends »
Fébrile d’excitation, je m’empressais de m’exécuter. Les vêtements furent enlevés à grande vitesse. Je bandais dans ma cage de chasteté. (Cela fait presque deux ans que je porte plus ou moins régulièrement une cage de chasteté, au gré du bon vouloir de Karine. Je lui ai offert ma sexualité et ma jouissance. Karine dispose de moi comme un bon petit soumis.)
Mon imagination galopait. J’imaginais ma belle transformée en Domina, prête à me fouetter, me torturer mes seins…
Après un long moment, j’entendis le bruit d’une clé que l’on enfonce dans la serrure de la porte d’entrée. Mon cœur s’accéléra. Les bruits de pas me maintenaient en haleine.
Et enfin la porte qui s’ouvre.
– « Bonsoir, j’ai une belle surprise pour toi. Approches toi à 4 pattes»
Je m’approchais maladroitement.
– « Enlèves to masque « me dit-elle
J’obéis. Un instant ébloui, je remarquai en premier le visage radieux de ma belle. Sa main droite s’agitait. Mon regard fut immédiatement attiré par le préservatif qu’elle faisait tournoyer. L’extrémité était blanche, laissant imaginer sans hésitation qu’il était rempli de sperme.
– « Alors petit cocu, qu’est qu’on dit à sa petite femme qui vient de jouir »
Je restais abasourdi. Aucun son ne sortait de ma bouche. Mon érection, confinée par la cage, trahissait mon trouble interne.
– « Fais pas cette tête, vient me lécher le sexe. J’ai encore envie de jouir » me taquina Karine.
Je m’approchais de ce sexe que j’avais tant de fois vénéré. Ma langue s’infiltra entre les lèvres. Je m’appliquais à la lécher, comme si je voulais la nettoyer. Son sexe sentait encore le latex. Il n’était pas complètement refermé, témoin des assauts récents qui avaient du faire chavirer ma belle dans le plaisir. J’avais envie de la faire jouir, moi aussi, petit coq prétentieux. Je m’appliquais. Karine jouit en criant Jean-Christophe.
Karine repris vite son ton enjoué.
– « Pauvre petit cocu, Jean-Christophe ne veut pas que je t’enlèves ta cage. Il veut que je garde en moi l’odeur de sa peau. Pas de jouissance ce soir, pour un soumis.. Tu devras donc garder ta cage.
– « Par contre, enchaina – t-elle, je te fais un cadeau. Fermes les yeux »
Karine déversa le contenu de la capote sur mon visage, m’interdisant de m’essuyer. Le sperme sentait fort.
Karine me raconta comment elle l’avait connu, pendant que je l’écoutais à ses pieds. Le sperme séchant peu à peu sur mon visage, me faisait comme une seconde peau.
– « Je suis allée au centre commercial. Je choisissais des vêtements, une belle jupe blanche pour les vacances. Commença – t elle
Un Homme de 35-40 ans, plutôt distingué malgré sa tenue décontractée, m’aborda. Il souhaitait offrir une robe à sa femme. J’avais la même taille. Il me demandait de l’aider.
La technique de drague était classique. Mais son attitude si sincère et sa gaucherie m’ avaient donné l’envie de continuer le jeu.
Je me suis dirigée vers les cabines. J’essayais une robe quand mon inconnu se manifesta de l’autre coté du rideau. Il me demandait avec une maladresse touchante d’essayer la robe pour sa femme. J’ai hésité puis finalement accepté. J étais en petite tenue, quand il entrouvrit le rideau. Le coquin s’excusa. Il pensait que j’avais revêtu la robe. Il mit beaucoup de temps pour refermer le rideau. Il profitait de l’instant pour m’admirer. Je me suis amusé à bien me cambrer les reins, Je voulais qu’il admire mes fesses et mon string blanc, qu’il lorgne mes seins dans mon soutien gorge assorti. J en rajoutais même par diverses postures aguicheuses.
Je dois avouer que j’étais troublée. Cette situation me plaisait de plus en plus. Je m’amusais de l’effet sur cet inconnu. Je tissais ma toile comme une araignée qui sait que sa proie va tomber dedans
J’ai enlevé le soutien gorge pour essayer la robe. La finesse du tissu et le décolleté de la robe laissaient complaisamment entrevoir mes seins. Cela devrait avoir raison de mon prétendant.
Quand j’ ouvris la cabine, je suis allé vers lui en virevoltant, laissant mon prétendant devenir cramoisi. Il lorgnait sans pudeur dans mon décolleté, envoyant une onde magnétique forte dans mon bas ventre. Je devais me reprendre. Je suis vite rentrée dans la cabine, me suis changée et en lui donnant la robe lui dit au revoir.
Le bel inconnu s’empressa et finalement couru vers moi pour me proposer un verre pour me remercier en s excusant pour son attitude. J’ai su à cet instant que tu seras cocu. Je le voulais inconsciemment.
Après une courte hésitation feinte, j’ai accepté. L’inconnu se présenta. Jean –Christophe, vigile du centre, il travaillait la nuit.
Il me parla longtemps. Jean-Christophe voulut me raccompagner jusqu’à ma voiture, dans le parking souterrain.
Arrivés devant la porte de ma voiture, il me plaqua contre la voiture et l’embrassa sauvagement. Je n’ai pas cherché à me débattre. Je lui ai même rendu avec passion son baiser. Je sentais que je mouillais quand il pressa contre mon pubis, son sexe gonflé. Il me palpait les seins avec douceur. Je lui caressais sa bosse.
Il me chuchota de venir avec lui. Nous courûmes presque jusqu’à la voiture de Jean-Christophe. Il conduisait nerveusement, une main sur ma cuisse, remontant jusqu’à mon string. J’ écartais les jambes au maximum. Je lui caressai le bras tendrement.
Jean- Christophe s’est garé dans une allée du bois attenant le centre. Une fois sorti de la voiture, Il m’a pris dans ses bras et m’a embrassé de nouveau. Il m’a bientôt poussé à me mettre à genoux. Je me suis accroupi, et j’ai sorti de son logement un sexe déjà bandé. Je l’ai pris en bouche pendant qu’il me tenait les cheveux. Il m’a fait me relevé pour ne pas jouir.
Il m’a ensuite retournée, appuyée sur le capot, a enfilé un préservatif et s’est enfoncé dans ma chatte comme un hussard, me pilonnant avec vigueur. Pour une fois, j’ai aimé ce coté bestiale de l’étreinte aussi brève soit elle.. Nous avons jouit l’un après l’autre.
En me raccompagnant à ma voiture, il m’ a offert la robe destinée à sa femme…. »
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