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Roger

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J’ai toujours aimé les relations fugaces et sans lendemain qui sont purement sexuelle mais qui n’excluent pas un partage humain. Certains de ces épisodes de ma vie sexuelle sont restés ancrés profondément dans mes souvenirs.
Cette toute jeune femme qui faisait le trottoir au coin d’une petite rue du centre-ville. Elle était grande avec une minijupe qui exhibait l’essentiel de ses belles cuisses musclées et un t-shirt fin et court qui laissait apparaître son nombril et la peau bronzée de son ventre. Ses petits seins manifestement libres pointaient leurs tétons à travers le tissu. Je suis monté. Dans la chambre de confort sommaire le lit était monoplace. Elle a posé ses vêtements sur la chaise et s’est couchée sur le dos. Je l’ai suivie dans la même tenue. Je bandais fort sans qu’elle m’ait encore touché. On n’a rien dit. Je suis venu entre ses cuisses. Je l’ai pénétrée doucement pendant qu’elle me regardait dans les yeux. Après quelques va et vient j’ai écarté mes cuisses. Elle a compris et serré les siennes et je j’ai baisée ainsi en sentant bien son sexe enserrer le mien. Je lui ai demandé par permission de sucer les tétons de ses seins qu’on aurait dits d’adolescente. Elle m’a juste fait un signe de tête pour accepter. J’ai fait durer. J’étais très bien à la chevaucher ainsi et à faire durcir ses tétons entre mes dents. Elle n’a rien dit mais elle me regardait et au bout d’un moment elle a caressé ma nuque d’une main et mes fesses de l’autre. Elle prenait du plaisir, mon sexe massant son clito au passage. J’ai joui en elle. Elle m’a embrassé sur les lèvres. Avant de partir je lui ai dit « je ne t’avais jamais vu dans le quartier ». Elle répondit « non je suis très occasionnelle, je n’ai pas l’habitude, mais avec toi c’était bien, tu es doux comme une fille ».
Cette autre jeune femme rencontrée aussi au centre d’une autre ville. Elle avait l’air d’une gamine mais avait bien 20 ans. Elle attendait au coin de deux rues piétonnes tout près d’un hôtel basique. Elle n’avait pas l’air d’une pute mais plutôt d’une jeune travailleuse de sortie avec sa petite robe rouge assez sage et ses chaussures à talon de la même couleur. Elle était petite et menue. Je l’ai observée un moment craignant de l’aborder car si elle regardait les gens passer elle ne racolait pas activement. Je me suis approché en souriant et je lui ai dit « tu sembles t’ennuyer là toute seule ». Elle me regarda sans sourire et répondit « un peu mais on peut s’occuper tous les deux ». On est monté dans l’hôtel proche. La chambre était encombrée sur le côté de colis de cartouche de cigarettes peut-être de contrebande. Une fois nus tous les deux elle m’a dit en se dirigeant vers le lavabo « viens je vais te laver ». Ce qu’elle a fait en vérifiant bien que je n’avais pas d’écoulement suspect. Puis elle est allé s’asseoir sur le lit, m’a regardé et proposé « tu veux classique ou en levrette, je fais l’un ou l’autre mais pas les deux et pas la sodo». J’ai choisi la levrette. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et quand je l’ai prise pas les hanches pour la pénétrer elle me regardait dans la glace placée devant elle. Elle est restée froide et passive un moment puis elle s’est mise à bouger son cul comme si elle ne pouvait pas se retenir. Quand son vagin serra bien ma bite j’ai joui, elle s’est détendue et on a discuté un moment. Elle était ouvrière sur une chaîne de production dans une biscuiterie, faisait ça de temps en temps pour arrondir son budget car elle voulait s’installer chez elle pour se marier l’année suivante. Quand je lui demandé ce qu’elle voulait faire plus tard elle fut claire « Avoir des enfants et une vie de famille ».
Je circulais en voiture le long des quais à la tombée de la nuit quand je vis une jeune fille faire du stop entre la voie de circulation et les voitures garées. Il commençait à pleuvoir. Je me suis arrêté à sa hauteur et j’ai ouvert la vitre et lui dit « vous allez où ? ». « Par-là, prenez-moi il pleut » répondit-elle en montrant la direction que je suivais. Je lui ai dit « oui monte » car je n’avais pas grand-chose à faire et la gamine m’a semblé marrante. Elle était très frisée avec une chevelure en vrac à la Angela. Elle était petite, menue et manifestement d’origine arabe. Elle souriait. On a commencé à rouler et quand je lui ai demandé où elle voulait que je la dépose elle me regarda et dit « on peut faire quelque chose ». Je lui ai dit « attends petite on va aller se garer et discuter ». Une fois dans un parking isolé je lui ai demandé ce qu’elle proposait mais elle n’était pas claire, voire prudente, sans être timide. Elle était shampouineuse dans un salon de coiffure et était mal payée. Elle avait besoin d’argent pour faire faire son passeport car elle était invitée chez ses grands-parents au bled pour un mariage. Je lui ai demandé combien elle voulait et ce qu’elle était prête à faire pour ça mais à ses réponses floues je compris que j’avais à faire à une très novice dans l’art de courtisane. Je lui donné ce dont elle avait besoin puis je lui ai dit « enlève ton haut et montre-moi tes seins pour commencer. Ses petits seins n’avaient pas besoin de soutien. Je les ai caressés doucement puis j’ai pincé doucement les tétons qui réagirent. J’ai enchaîné en lui disant « quitte ta culotte » et elle l’a fait sans discuter en la laissant par terre à ses pieds. Elle n’avait plus que sa jupe autour du ventre. J’ai passé une main entre ses cuisses et je l’ai massé doucement son sexe qui était très poilu. Elle n’était pas détendue, n’écartait pas ses cuisses. J’ai précisé mes mouvements sur son clito et elle s’est crispée, raidie. Puis elle m’a dit « je ne prends pas la pilule ». J’ai pris son menton dans mes mains en tournant son visage vers moi et je lui ai demandé de me regarder. Au début ses yeux fuyaient mais elle a fini par me fixer. J’ai demandé « en fait tu n’as jamais fait l’amour ». Elle a hoché la tête pour confirmer puis a ajouté « mais dans ma résidence j’ai sucé des garçons ». J’ai ouvert ma braguette sorti mon pénis qui bandait déjà et je lui ai dit « si tu me fais bien jouir tu garderas l’argent ». Elle a été à la hauteur car elle aimait sucer. Avant de la déposer là où elle me l’a demandé je lui dis « c’est dangereux ce que tu fais, tu ne tomberas pas toujours sur des gars corrects ». Elle m’a souri et ma dit « oui je sais, merci monsieur ».

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