La jeune fille au pair
La fessée comme punition salvatrice
La famille Duchemin venait de s’agrandir d’un cinquième enfant et Madame Duchemin n’arrivait plus à gérer le magasin de lingerie fine, la villa et son grand jardin ainsi que leurs rejetons. Bien sûr, elle était secondée au magasin par deux vendeuses et une femme de ménage ainsi qu’un jardinier résidaient à demeure à la villa « Montcalm », mais ses enfants étaient toujours dans ses jambes, ce qui importunait son époux.
Son mari, Henri Duchemin, très exigeant sur tous les plans avec son épouse, fit paraître dans un journal d’outre-manche une annonce afin d’engager une jeune fille au pair. Une trentaine de lettres arrivèrent et Mr. Duchemin sélectionna huit demandes d’emploi.
Il se rendit lui-même à Londres pour trouver la perle rare et il auditionna toutes ses jeunes étudiantes de vingt à vingt deux ans qui souhaitaient améliorer leur usage du français sans bourse délier.
Son choix se porta sur Marie, une jeune irlandaise, rousse et tachetée de son comme toutes ses consœurs, aux nattes sages et aux seins généreux. Sa complexion était tout aussi généreuse que sa poitrine et sa peau était d’un blanc laiteux du plus bel effet.
Ses réponses au questionnaire de Mr Duchemin avait fini de le convaincre car il y apparaissait qu’elle était orpheline et qu’elle avait grandie dans une institution religieuse réputée pour sa rigueur et la perpétuation des châtiments corporels. Or, Mr Duchemin était un adepte de la fessée salvatrice.
La jeune fille débarqua à Rouen la semaine suivante et Mme Duchemin vint la chercher à la gare. Elle l’installa dans l’aile gauche de la villa, dans la chambre libre qui jouxtait les trois chambres où dormaient Victor, dix-neuf ans, Stéphanie, dix-huit ans Christophe, seize ans, et Christine, huit ans. Quant au petit dernier, Louis, qui n’avait que quatre mois, il dormait dans une chambre de l’aile droite jouxtant la chambre parentale et Mme Duchemin lui donnait le sein à heures régulières.
Marie s’habitua vite au rythme de vie de cette maisonnée joyeuse et bruyante. Elle aidait les trois aînés dans leurs devoirs d’anglais, elle rangeait et rerangeait la chambre comportant le lit à étage des deux filles Duchemin et elle jouait avec Christine. Mr Duchemin rentrait tard le soir et le week-end il sortait beaucoup avec son épouse, à moins qu’ils ne reçoivent des groupes d’amis dans leur grand grenier aménagé en immense salon à l’américaine.
Mr Duchemin avait expliqué à Marie lors de son embauche qu’il pratiquait la punition corporelle au niveau des employées de la maisonnée et elle avait accepté le fait tout à fait naturellement, ayant elle-même été souvent corrigée cul nu à l’orphelinat par la directrice.
Aussi, lorsque son premier dimanche à Rouen fut venu, elle ne fut pas étonnée outre mesure quand Mr Duchemin réunit son épouse et les domestiques avant le départ pour la messe et demanda à chacun de rappeler les fautes qui leur valait une punition.
Mrs Duchemin, dénommée Marie-Christine, ouvrit le bal en avouant avoir répondu sèchement à un cliente qui n’arrivait pas à se décider entre deux modèles de bustiers. Son époux ouvrit le livre des punitions, ouvrage évolutif où les sanctions étaient petit à petit notées en face des types de fautes.
– « Réponses blessantes ou insultantes envers un client ou dans les actes de la vie courante : dix coups de martinet cul nu ».
– Bien, mesdames, avez-vous d’autres fautes à confesser».
Son épouse reprit la parole :
– « J’ai envoyé le jardinier tondre le gazon alors qu’il commençait à pleuvoir et il a failli att****r un rhume.
– Il consulta à nouveau le livre des punitions.
– « Maltraitance du personnel, vingt claques données par la personne concernée.
– Bien, cela me paraît équitable. Bien entendu, cette punition se fait cul nu. Et puis ? »
Karine, un joli petit bout de bonne portugaise de vingt six ans, aux sourcils noirs très fournis et à la poitrine lourde et ronde, leva timidement le doigt.
– « Oui, Qu’y a-t-il Karine ?
– Mardi j’ai cassé un verre dans la cuisine et vendredi j’ai oublié de refermer le couvercle de la poubelle, ce qui a attiré les chats du voisinage.
– N’y a-t-il pas récidive ?
– Oui, j’avais déjà fait cet oubli la semaine dernière.
– Bon, voyons voir quelle est la sanction ? Un verre ou une assiette cassée, cinq coups de martinet cul nu. Un oubli ménager, aussi cinq coups.
Par contre, la récidive implique que la punition soit aggravée. Le coupable a le choix entre le piquet toute la matinée et recevoir sa punition entièrement nue.
– Bien, Karine, que décides-tu ?
– Le piquet, Monsieur.
– Bon, y a-t-il d’autres fautes ?
Devant le silence du jardinier dénommé Eric, Mr Duchemin prit à nouveau la parole.
– « Aujourd’hui, ce sera Madame qui donnera le martinet à Karine et cette dernière fera ensuite de même à mon épouse».
Karine se colla contre le bureau, son opulente poitrine comprimant un soutien-gorge renforcé. Elle releva d’elle-même sa petite robe noire de soubrette et son tablier de dentelle blanche. Elle gardait les jambes jointes et sa petite culotte blanche en dentelle ajourée, qui faisait partie de l’uniforme choisi par Monsieur, laissait dépasser ses deux joues fessières joufflues et fermes.
Madame s’avança et devant toute la maisonnée silencieuse, elle baissa lentement le sous-vêtement presque transparent, dévoilant une croupe ronde et appétissante.
Puis, elle fit descendre le fin morceau de tissu le long des jambes de la soubrette avant de lui faire soulever une chaussure à talon puis l’autre. Ceci fait, elle tapota ses mollets jusqu’à ce que Karine eut les jambes écartées, largement écartées, et elle pesa de sa paume sur le creux des reins de la punie afin qu’elle se cambre pleinement.
La pose de Karine était particulièrement impudique car l’on pouvait admirer son sexe rose et potelé du fait que toute sa partie inférieure était rasée. Par contre, on devinait que sa parure pubienne était naturellement très fournie car le haut de sa vulve était recouverte d’une toison noire et épaisse qui apparaissait quelque peu chaque fois que Karine creusait les reins.
– « Karine, êtes-vous prête ?
– Oui, Monsieur.
– Vous repentez-vous sincèrement ?
– Oui, Monsieur.
– Bien, que la punition soit appliquée».
Karine savait bien qu’elle n’avait pas oublié de fermer le couvercle de la poubelle et elle soupçonnait le jardinier de l’avoir enlevé après son passage, mais elle savait qu’il ne serait à rien de contester une faute ou d’omettre d’en demander pardon.
Toute réaction qui dérangeait du rituel amenait généralement Mr Duchemin a utiliser son droit de maître de la maison pour aggraver voire doubler la punition.
Madame s’avança et toute la maisonnée savait que quand Marie-Christine était au martinet, celui-ci claquait plus fort que jamais car la douce et soumise épouse de Mr Duchemin semblait prendre un plaisir pervers à punir les instruments qu’utilisait habituellement son mari pour parfaire son dressage.
Et tous les adultes assemblés ici savait que le rôle de Karine était de fister sa maîtresse lors de soirées très spéciales pendant que Monsieur s’enfonçait dans la vulve large et accueillante de sa bonne portugaise. Quant au jardinier, qui avait été recruté en raison de la taille sortant de l’ordinaire de son engin, il avait pour fonction de remplacer Monsieur lorsqu’il était en voyage.
Mr. Duchemin appelait alors, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit Mario, qui débarquait alors dans la chambre des Duchemin, avec à la main le téléphone portable très perfectionné que lui avait acheté son patron. Dès qu’il entrait dans la chambre maritale, Mr Duchemin étant au bout du fil, Marie-Christine avait pour consigne de sucer le jardinier jusqu’à ce que sa queue tressaute devant son ventre plat et athlétique.
Il tendait alors le portable à Madame qui se mettait alors en levrette sur le lit marital et elle expliquait à son mari tout ce que Mario lui faisait subir comme pénétrations et humiliations diverses. Finalement, Mario avait pour ordre de remplir l’anus de Marie-Christine de son foutre épais et généreux lorsque Mr. Duchemin lui transmettait via son épouse soumise, qui rougissait encore au bout de deux ans en prononçant ces paroles, l’ordre de « sonner la charge dans le gros pétard de Madame ».
Chacun savait ce qu’il en était, et donc Marie-Christine se vengeait à sa manière de sa soumission permanente, tout en sachant pertinemment que chaque fois qu’elle faisait chauffer le cul d’un des employés de son mari, celui-ci le lui ferait regretter la fois suivante qu’elle serait leur objet sexuel consentante.
Un jeu s’était même établi de manière informelle entre elle et Karine, cette dernière lui administrant spontanément une punition proportionnelle aux coups de martinet qu’elle avait reçu depuis une ou deux semaines
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