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Un grand zob (2)

Un grand zob (2)



Le lendemain, je vais au quartier naturiste vers 14 heures. André ne m’attend pas avant 15 h 30 mais je veux faire un peu de soleil. Je me déshabille sur le parking et pars vers la digue, nu. J’adore être nu, ça me donne une impression de liberté absolue. A cette heure, il y a beaucoup moins de monde et je peux choisir une place suffisamment grande pour deux serviettes. Je m’étends au soleil pendant un moment puis, au bout d’un quart d’heure, je décide de me baigner.
L’eau est aussi bonne que la veille et je me prélasse. Tout à coup, je sens une main sur mes fesses. Pensant que c’est déjà André, je me retourne en souriant. Ce n’est pas lui mais un homme d’une trentaine d’années qui me sourit.
– Ça va bien la tête?
– Pourquoi, tu n’as pas aimé?
– La moindre des choses c’est de demander avant non?
– Excuse-moi mais je t’ai vu descendre dans l’eau et j’ai flashé sur tes fesses. Tu as un cul d’enfer.
– Merci, je sais, on me l’a déjà dit, mais ce n’est pas une raison.
– Excuse-moi.
Je retourne sur ma serviette et le mec, sans gêne, place la sienne à côté de la mienne.
– Je te signale que j’attends quelqu’un.
– Ok je vais me mettre plus loin.

Il prend sa serviette et va la poser 2 mètres plus loin. Je me retourne ostensiblement sur le ventre et lui tourne le dos. Ce que je ne réalise pas sur le moment, c’est que je lui donne une vue imprenable sur mon cul. Je n’aime pas rester longtemps dans la même position et je me retourne. Le mec est là, toujours à la même place mais son zob est redressé vers le ciel sous les caresses de sa main. Là où il est, seul les personnes arrivant sur nous peuvent le voir. Il y a d’ailleurs un homme assis sur un rocher qui le regarde et se caresse. Tout à coup, je réalise que cette digue n’est fréquentée que par des hommes. J’apprendrai plus tard que c’est le rendez-vous privilégié des homosexuels. Je me lève et retourne à l’eau. Il me suit. Je commence à le trouver lourd quand je réalise, qu’en fait, ce n’est qu’un amusement et tant qu’à faire, autant en profiter. L’homme s’approche de moi mais je ne bouge pas. Il tend la main et me touche le sexe qui réagit aussitôt.
– Je vois que lui au moins, il prend plaisir à ma main.
Quand mon sexe est bien tendu, il prend une respiration et plonge sa tête dans l’eau. Il me pompe pendant pas loin d’une minute. Il a du souffle, il faudra que j’en parle à André. Il reprend sa respiration et replonge à nouveau. Il recommence plusieurs fois. Je suis de plus en plus excité et je me laisse faire. Je sens le plaisir monter petit à petit et mon sexe se tendre de plus en plus. Il recommence jusqu’à ce que je lui crache tout dans la bouche. Je tiens à peine debout tant la jouissance a été violente. Il ressort la tête, me fait signe qu’il a tout avalé et se met derrière moi. Je sens sa bite essayer de se frayer un passage entre mes fesses mais je me retourne et lui dis :
– Là mec, c’est réservé.
– A bon et pour qui?
– Si on te le demande.
– Ok mais au moins, branle-moi !
Je lui prends la bite et le masturbe le mieux que je peux. Au bout d’un petit moment, je vois dans l’eau un petit panache blanc sortir de sa queue. Il a joui.
– Oh Gilles, qu’est ce que tu fous là?
C’est André qui arrive et qui s’adresse à mon inconnu.
– Salut Jean, je vois que vous avez fait connaissance.
Ils se connaissent, il ne manquait plus que ça!
– C’est lui la réservation?
– Oui.
Je sors de l’eau et me dirige vers André. Il s’installe à côté de moi sur le ventre. Je pose la main sur ses fesses et commence à le caresser. Il bouge ses fesses pour me faire comprendre que ça lui plait. Un de mes doigts s’insinue entre ses fesses et lui titille l’anus. Il donne un brusque coup de rein en arrière et mon doigt le pénètre de quelques centimètres. Je ne suis pas très à l’aise, c’est encore la première fois qu’un de mes doigts s’enfonce dans un cul. Je retire ma main. C’est alors que la main de Gilles prend la place de la mienne. Elle est lubrifiée. Il positionne ses doigts en pointe et les présente sur la rondelle d’André. Il pousse et je vois ses doigts entrer doucement dans le cul. André écarte ses fesses avec ses mains et libère le passage pour la main de Gilles. Petit à petit, la main progresse jusqu’à disparaître complètement dans le fion d’André. Je n’ai jamais vu ça de ma vie. Je suis scotché, ma respiration est courte, je bande comme un taureau. André râle de plaisir pendant que Gilles fait de petits va et viens dans son cul. Tout à coup, André se raidit, son corps est tendu comme un arc et il jouit et poussant des grondements de plaisir. Gilles retire délicatement sa main et je vois le sphincter d’André se refermer tout doucement. J’ai envie d’y plonger ma main, mais je n’ose pas.

Une demi-heure plus tard, nous nous retirons. Je me lève, suivi d’André et de Gilles. Je me retourne vers André et lui fais comprendre que j’aimerai être seul pour me faire complètement dépuceler du cul. Il me dit que Gilles partage sa chambre et qu’en fait, il est chez lui dans le studio. Je suis sur le point d’abandonner quand je me dis que, de toute manière, il connaissait le goût de mon sperme et que donc, il pouvait assister à mon dépucelage.
Sur le chemin, André me demande comment va mon cul. Je lui dis que tout va bien, que je n’ai absolument pas mal et que j’ai envie d’avoir son zob dans le cul, bien profond.
– Arrête, tu me fais bander !
Je jette un œil vers sa queue et effectivement, elle commence à se redresser.
Arrivés dans le studio, Gilles vient me voir et me dit :
– Ne t’en fait pas, je ne participerais pas, bien que pour la première fois, tu devais préférer la mienne (elle est en effet beaucoup moins grosse que celle d’André). La seule chose que je te demande, c’est de pouvoir faire des photos.
– Ok mais tu ne prends pas mon visage et tu me donnes les pellicules que je les fasse développer moi-même.
– D’accord, j’ai trois pellicules à finir avant ce soir.

André ne perd pas de temps, il étale ma serviette sur le lit et me met en position. Il enfile une capote et, comme hier, il me prépare le cul mais avec une petite différence. Il a un petit gode de 2 cm de diamètre, il le lubrifie et me l’introduit dans l’anus. Mon cul se dilate un peu et accepte cet intrus. André lui fait faire des va et viens et je sens le gode se déplacer avec de plus en plus de facilité. Au bout d’un moment, il retire le gode et présente son énorme zob à l’entrée de mon fion. Il pousse doucement sous les flashs de Gilles. Le sexe pénètre en douceur. Je ne ressens qu’une légère douleur et le gland passe enfin. André s’interrompt un instant.
– Vas-y, tu peux continuer !
Il pousse encore et les flashs recommencent.
Soudain, je sens deux couilles contre mes fesses. Là, tous mes fantasmes se réalisent, sentir des couilles sur mes fesses avec une bite dans le cul, j’en avais rêvé depuis longtemps. Je savoure cet instant avec délice. Je ne veux pas qu’il s’arrête. Il faut le faire durer le plus possible. Je retiens André en position mais, au bout d’un moment, il faut bien faire quelque chose. Je libère André qui recommence ses va et viens. Gilles n’arrête pas de photographier et au bout d’un moment, il nous annonce.
– Je n’ai plus de pellicule.
– Qu’à cala ne tienne, occupe-toi de ma bite !
Il se couche sous moi et me prend la bite encore un peu molle. Sous les effets de sa langue, elle prend forme et devient raide comme une barre.
André me pistonne toujours et je sens que la conjugaison des actions d’André et de Gilles ne va pas tarder à me faire exploser.
Effectivement, au bout de quelques instants, André accélère ses mouvements et jouit juste au moment où je pars dans une jouissance fulgurante. Je m’écroule sur Gilles, entraînant André dans ma chute. Gilles boit mon jus et se dégage tant bien que mal.
Nous restons affalés sur le lit pendant un bon moment.

– C’est bien joli tout ça mais Gilles n’a pas joui. Il faudrait peut-être faire quelque chose, nous dit André.
Gilles bande toujours, il est sur le dos à côté de moi avec ses hanches à hauteur de mon visage. Je fais un effort colossal pour me redresser et laisse tomber ma tête sur son ventre. Sa bite est à portée de ma bouche mais je n’ai jamais sucé de bite. Gilles m’att**** la tête mais avant que je ne réagisse violemment, André le stoppe.
– Laisse-le faire comme il veut, il ne l’a jamais fait !
Je me calme et avance doucement ma tête vers sa bite. Elle palpite et je sens qu’elle n’est pas loin d’exploser. Je me décide enfin et avance ma bouche. Je referme mes lèvres sur ce zob raide et commence à jouer avec ma langue sur son gland.
– Putain, ce n’est pas possible que ce soit la première fois, ou alors c’est le Mozart de la pipe ! Quel pied, continue, n’aie pas peur ! Je te préviens quand je suis prêt à jouir.
Je continue à le pomper et mon plaisir devient de plus en plus évident. J’aime ça.
– Attention Jean, ça arrive, sauve qui peut !
Au lieu de me retirer, je lui enserre les fesses et continue à le pomper. Un jet de sperme m’envahit la bouche, je suis surpris par la v******e du jet et ai du mal à réagir. Ok, j’avale tout. Ce ne doit pas être si mauvais, Gilles l’avale, toutes les femmes que j’ai eues l’ont avalé, donc on y va. Et bien, c’est délicieux et je ne me prive pas de bien le nettoyer !

– Toi, tu as de l’avenir dans la fonction, me dit Gilles.
Je lui souris et je vois André qui me regarde avec un peu d’étonnement dans les yeux.
– Tu apprends vite, me dit-il.
Il bande toujours, ce doit être le spectacle auquel il vient d’assister.
Je tends la main vers sa bite, l’attire à moi et j’essaie de la gober. Elle est énorme, surtout le gland, mais j’arrive à mes fins et commence à m’amuser avec le gland. Je ne peux pas l’enfourner en entier mais je fais mon possible pour lui faire du bien. Je sens son gland palpiter et il ne tarde pas à m’envoyer la semoule. Je réussis à tout avaler, heureusement qu’il avait déjà joui, ça a limité la quantité de sperme. Après l’avoir nettoyé, je remarque qu’il n’est pas loin de 18 heures. Il faut que je rentre.
Je leur dis au revoir, sans petits bisous, j’ai horreur de ça.
Gilles me dit adieu car il part en voyage le lendemain matin de bonne heure.
André me dit à demain, je lui réponds peut-être.

Je suis retourné au quartier naturiste deux jours plus tard, mais André n’était pas là.
Je ne les ai jamais revus.

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