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Ça devait arriver !

Ça devait arriver !



Qu’est-ce qui pouvait bien sonner au beau milieu de l’après-midi ? Le casse-pied insistait et sonnait rageusement à la porte d’entrée. Je me suis essuyée et je me suis levée du fauteuil et j’ai rabattu ma jupe sur mes cuisses. Je savais bien que j’étais coupable de continuer à me masturber bien que je sois mariée mais je ne pouvais pas m’empêcher de le faire et je le faisais tous les jours quand j’étais tranquille après mon repas et j’étais furieuse de ne pas avoir pu me donner mon orgasme.

Je suis allée à la porte et j’ai vu que c’était mon beau-frère. J’avais fréquenté plusieurs années mon futur mari avant de l’épouse et je connaissais son frère depuis longtemps. J’ai ouvert la porte et il s’est faufilé dans l’entrée.

– Tu sais bien que je t’aime, m’a-t-il dit ! Tu l’as toujours su !

Il avait les yeux injectés de sang comme s’il avait trop bu pour se donner du courage. Je l’aimais bien et je m’étais même débrouillée pour qu’il rencontre une de mes copines, la plus jolie sans doute et il avait fini par l’épouser et j’avais fait ça sans savoir qu’il aurait pu être amoureux de moi. J’ai tenté de le repousser et quand je lui ai dit qu’il ferait mieux de partir et qu’il avait trop bu, il m’a répondu qu’il n’avait rien bu, au contraire et qu’il ne pouvait plus se retenir, qu’il m’aimait…

Centimètres par centimètres, il me repoussait dans le couloir et seconde après seconde, il me fallait bien admettre que j’allais finir par céder et quand nous sommes arrivés à la chambre il m’a poussé à l’intérieur. Je n’avais même pas eu le temps de refaire le lit mais ça n’a pas freiné mon beau-frère qui m’a poussée les mains en avant sur le lit et il a soulevé ma robe et presque aussitôt j’ai senti son pénis qui me pénétrait.

Avec son frère, ce n’étais pas la même chose et c’était presque triste comme s’il faisait ça par routine, le devoir conjugal et là, c’était une énorme bite qui forçait le passage et qui pompait, pompait et qui a pompé un court instant avant de s’arrêter puis mon beau-frère m’a laissée me redresser avant de me dire de retirer ma robe.

Etrangement, je n’avais plus aucune honte ni aucuns remords et j’ai retiré ma robe et mon soutif avec soulagement et quand mon beau-frère m’a fait remarquer que je n’avais pas de culotte, j’ai souri et ça voulait dire : « bin, oui, c’est comme ça ! » et il a compris que j’étais en train de me masturber quand il avait sonné à la porte.

J’étais nue devant lui et mon beau-frère me regardait et quand il a tendu la main ce fut pour me soupeser la poitrine et jouer avec mes mamelons puis il m’a fait mettre à nouveau en travers du lit, les mains appuyées sur le drap, la poitrine pendante et les pieds écartés et il m’a pénétré à nouveau, m’enfonçant son énorme pieu dans le ventre et m’écartant les chairs.

C’était horrible et sublime à la fois et quand j’ai rouvert les yeux, je me suis vue dans la glace de l’armoire, moi, dans une position que je n’avais jamais prise, appuyée sur mes mains et mon beau-frère planté derrière mes fesses qui me souriait et je lui ai souri et il a posé ses mains sur mes hanches et il m’a labourée.

J’aurais voulu que ça n’arrête pas mais il s’est retiré au bout de quelques minutes et il m’a faite mettre sur les genoux pour qu’il puisse me baiser en bouche. Mon mari n’aimait pas ça et ce n’était pas moi qui, là, suçait, mais lui qui me prenait et qui m’enfonçait son pénis jusqu’au fond de la gorge et qui me tenait la tête fermement et qui me faisait baver. Ma salive me coulait sur les seins et j’étouffais mais je n’aurais jamais voulu rien faire pour que ça s’arrête.

Enfin, me disais-je, c’était pour ça que j’étais faite, pour donner du plaisir à un homme. Sa bite m’étouffait et je bavais de plus en plus et elle s’enfonçait plus profond encore dans le fond de ma gorge quand mon beau-frère s’est arrêté et il m’a refait prendre la pose précédente les deux mains appuyées sur le lit.

– Laisse-toi faire, m’a-t-il dit ! Je suis sûr que ça va te plaire ! Je vais t’enculer !

Avant que je ne puisse protester, il avait guidé le gland sur mon anus et il enfonçait sa bite au travers et j’ai poussé un cri de douleur. C’était vraiment horrible mais j’étais bien incapable de faire de la résistance et la bite m’a envahie puis j’ai bien été obligée de rouvrir les yeux parce que mon beau-frère me tenait par les cheveux et me forçait à regarder le miroir.

– Je t’encule, me disait-il et tu seras là chaque fois que j’aurai besoin de t’enculer !

Je ne sais combien de temps ça a duré mais quand j’ai regardé l’heure au réveil, il était quatre heures et demi et pendant tout ce temps, mon beau-frère m’avait baisée dans le con et dans la bouche et aussi enculée et je n’avais plus aucun mal et au contraire, j’avais envie que ça continue mais la douche de sperme m’a ramenée à la vie. Le sperme a giclé sur mon menton et sur mes seins et mon amant a voulu que je l’étale sur ma poitrine et mes joues et que je lèche mes doigts.

Il s’est essuyé avec le drap et il s’est rhabillé tout en me disant que s’il avait été moins timide, il m’aurait demandé en mariage et il m’a laissée couverte de son foutre. Mon mari rentrait tous les jours à cinq heures et j’avais à peine le temps de me nettoyer et j’avais encore du sperme plein les seins quand j’ai entendu la clé dans la serrure. J’ai remis mon soutien-gorge et j’ai enfilé ma robe et j’ai remis les draps à leur place puis j’ai fait semblant de faire les poussières.

– La journée s’est bien passée, m’a demandé mon mari ?

J’ai marmonné que j’avais fait le ménage et que je n’avais pas fini et il est parti dans son bureau. Je ressentais encore la bite de son frère dans ma bouche, mon con et mon anus et je n’avais plus de jambes. J’ai fini mon ménage dans la chambre et je me suis souvent regardée dans le miroir de l’armoire et je me suis dite que je n’avais rien fait pour que ça n’arrive pas et que j’avais aimé ça et que si ça arrivait à nouveau je le referrais.

Ce soir-là, quand mon mari est venu me rejoindre dans le lit, il a fait comme d’habitude : il a repoussé le drap et il a remonté ma chemise de nuit sur mon ventre puis il a touché mon clitoris du bout des doigts avant de se mettre sur moi et de me pénétrer pour me faire l’amour et comme chaque soir où ça arrivait, ça n’a duré que deux minutes avant que je ne sois envahie par son sperme. Après, il m’a tourné le dos et il s’est endormi.

Le lendemain matin, j’ai téléphoné à mon beau-frère et je l’ai supplié de venir me retrouver mais il m’a dit qu’il ne pouvait pas, que j’étais la femme de son frère et il m’a faite attendre pendant plusieurs semaines et tous les matins je l’ai supplié de venir me faire l’amour, en vain puis un après-midi, à peu près à la même heure que la première fois, on a sonné à ma porte et je me suis précipitée et quand j’ai ouvert, je me suis trouvée face à face avec sa femme mon amie et j’ai pensé que son mari mon beau-frère lui avait parlé de notre aventure et j’ai pensé aussi qu’elle allait me le reprocher mais elle n’en a rien fait.

Une fois la porte refermée, Valérie s’est adossée dessus et je voyais bien qu’elle était bouleversée.

– Ah, ma chérie, a-t-elle commencé, ne te fâches pas si je te dis que j’ai toujours été amoureuse de toi et quand tu m’as fait épouser ton beau-frère, je l’ai fait pour te faire plaisir !

Elle était là, devant moi, désolée et les yeux pleins de larmes et elle continuait son récit, me disant qu’elle faisait l’amour avec son mari par habitude et qu’elle se masturbait en secret à cause de moi.

– Regarde, a-t-elle insisté, ça va finir par se voir !

Mon amie, ma belle-soeur a soulevé sa robe et elle n’avait pas de culotte et sa motte était toute excitée et je n’ai pas pu faire autrement que d’aller vers elle et d’y mettre la main et nous nous sommes embrassées à pleine bouche. Ce n’était pas la première fois parce que nous avions déjà essayé quand nous étions gamines et ça m’avait plu mais comme c’était interdit par notre éducation, je n’avais jamais recommencé et là, c’était vraiment agréable. Sa langue s’enroulait autour de la mienne et ses mains remontaient ma robe sur mes hanches et j’ai pensé qu’il valait mieux aller dans la chambre et c’est comme deux gamines gambadant en se tenant par la main que nous y sommes allées. Allait-elle deviner que j’y avais fait l’amour avec son mari ?

En moins d’une seconde nous étions nues, moi avec mes gros seins et elle avec ses petits seins pointus et nous sommes parties pour un soixante-neuf et Valérie m’a bouffé la chatte avec une telle énergie que j’ai eu un orgasme tout de suite, puis je lui ai donné le sein avant qu’elle ne me donne le sien à son tour, tout en regrettant que nous n’ayons pas de lait et jusqu’à quatre heures de l’après-midi nous avons fait les gouines.

Fait les gouines. Je ne pensais pas sur le coup que je pouvais être lesbienne et encore moins bisexuelle car quand Valérie m’a demandé si nous ne pourrions pas faire l’amour tous les quatre, j’ai pâli.

– Tu ne te doutais pas que c’était moi qui avait arrangé ton aventure avec mon mari, m’a-t-elle dit avec un sourire hypocrite ? Je savais bien qu’il était amoureux de quelqu’un d’autre parce qu’il se branlait en cachette mais j’étais loin de deviner qu’il s’agissait de toi, a-t-elle continué ! J’ai arrangé cette petite scène, et voilà !

Valérie a insisté pour que je demande à mon mari et j’ai finalement accepté de lui poser la question mais quand je la lui ai posée, il m’a traité de malade mentale et de salope et nous avons cessé ce soir-là de faire l’amour avant d’entreprendre les démarches pour le divorce et une fois divorcée, je suis allée rejoindre Valérie et mon ex-beau-frère et depuis un an je vis avec eux et je vois bien que ça ne le dérange pas d’être bigame. Au contraire, car maintenant que ses deux femmes sont enceintes, il est tout content.

FIN

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