Chapitre 11:Ma formation s’accélère.
Je me réveillais tôt avec un fort mal de tête. Il me semblait que j’avais du mal à me concentrer. De plus j’avais terriblement faim. Etait-ce l’effet des fameuses pilules ?
Le corps non reposé. Il me fallu un peu de temps pour comprendre quelle était cette épaisse chose qui violait ma bouche, pourquoi je ne pouvais pas bouger ni mes bras ni mes jambes et pourquoi j’avais tant de mal à respirer.
Rapidement je me remémorais ce qui s’était passé la veille. Puis je ressentis une douleur fulgurante à mon sexe. Damnation ! J’étais en train d’avoir une érection matinale. Ou plutôt une tentative d’érection, car la cage qui enserrait mon sexe ne le permettait pas. Et plus j’avais mal, plus ma tentative d’érection semblait vouloir aller à son terme. Ces horribles pointes devaient déchirer ma chair et me mutiler ! Je tentais de me concentrer pour ne surtout pas penser au sexe. Je me tortillais dans mes liens en poussant de forts grognements et tentais désespérément de concentrer mes pensées sur quelque de neutre, en espérant ainsi calmer mon érection. Je me mis à faire des additions complexes, mentalement, puis des multiplications. Enfin, au bout de quelques minutes atroces, je sentis que mon érection diminuait, et que la douleur se calmait un peu.
J’étais toujours dans l’obscurité.
J’entendis des bruits familiers dans l’appartement. C’était Emma qui se levait. Elle allait vite venir me délivrer… Mais elle se dirigea vers la salle de bains pour prendre sa douche. De longues minutes passèrent. Après c’est sûr elle viendrait me délivrer… Je l’entendis ensuite dans la cuisine qui préparait le petit déjeuner. C’était sympa de sa part de me préparer un bon petit déjeuner après toute ces épreuves… Plus d’une demie heure passèrent et Emma ne venait toujours pas… Mais elle viendrait et nous ferons l’amour car elle s’était apprêtée et parfumée et avait pris des forces pour moi… Je l’entendis enfin qui s’habillait… Elle devait me préparer une bonne surprise…
Mais j’entendis la porte de l’appartement claquer. Puis plus rien, le vide, un silence de tombeau. J’étais effondré. Elle était partie sans même me dire au revoir, sans me faire un baiser, sans même me dire un mot ou venir me voir. Je me mis à pleurer à chaudes larmes, silencieusement.
Plus d’une heure passa. Heureusement sans aucune tentative d’érection, et je me sentais au fond du trou, complètement déprimé. Enfin j’entendis à nouveau de légers bruits dans l’appartement. Ce devait être Magalie qui se levait. Mais au lieu d’aller prendre sa douche comme Emma, elle entra dans la chambre d’amis où j’étais et alluma brutalement le plafonnier. Je fus ébloui et fermais les yeux.
Quand je les ouvris, Magalie était à genoux, droite, sur le lit, tout prés de moi, silencieuse, dans une nuisette totalement transparente, sans culotte. Je distinguait parfaitement ses seins imposant qui montaient et descendait au rythme de sa respiration, ses hanches souples et sa chatte poilue était à quelques centimètres de mon visage. Même à distance je pouvais parfaitement sentir sa puissante effluve. Cette fille, avait vraiment peu de notions d’hygiène. Dieu sait ce qu’elle avait fait avec mon Emma toute cette nuit pendant que je dormais, abruti par ce somnifère.
Elle sourie, et toujours sans dire un mot, elle me caressa doucement la cuisse, à travers le bas. Je frissonnais. Elle continua à me caresser la cuisse, puis l’autre, remontant jusqu’à mon entre jambe. Elle pris doucement mes couilles dans sa main, les griffant légèrement avec ses ongles longs, puis remonta jusqu’à ma poitrine, malaxant et pinçant mes mamelons.
Je fus parcouru d’un frisson électrique. Bon Dieu que c’était bon et excitant. Je sentais mon sexe qui se réveillait doucement et commencer à presser contre les terribles pointes. Dans un instant je risquais de hurler de douleur. Je devais me concentrer sur quelque chose, pour éviter cela à tout pris.
» Tu ne veux pas avoir mal, n’est ce pas ? Réponds moi en faisant un signe de la tête. » Dit-elle en revenant à ses caresses à l’intérieur de mes cuisses.
Je fis non de la tête, plusieurs fois, la peur devait se lire dans mes yeux. Peut être qu’elle allait arrêter ce supplice de tantale.
» Et tu veux guérir n’est ce pas, Michel ? «
Cette fois je fis de vigoureux » oui » de la tête.
» Très bien, alors dans ce cas, tu vas te concentrer et bien écouter ce que je vais te dire. Il faut d’abord que tu prennes réellement conscience de ce que tu es maintenant, pour mieux le surmonter ensuite. Cette étape est indispensable pour guérir. Tu vas écouter attentivement ce que je vais te dire, et le répéter en boucle dans ta tête. Quand je dirais ‘Tu es ceci ou cela’, tu répétera mentalement ‘Je suis ceci ou cela’. Tu as bien compris. «
Je fis à nouveau » oui » de la tête.
» Parfait. Mais il faut que tu sois réellement persuadé de ce que tu répétera mentalement, et très concentré sur cette pensée, car sinon tu seras distrait par mes caresses, et tu vas te mettre à bander. Et tu sais ce qui arrivera alors, n’est ce pas… Alors écoute bien : ‘Tu n’arrives pas à bander’. Allez, détends-toi complètement et commence. «
Je ne sais pas si cela allait marcher ou si j’allais réellement être guéri avec tout cela. Mais avais-je le choix ? Aussi je commençais à répéter dans ma tête » Je n’arrive pas à bander « … » Je n’arrive pas à bander « … en espérant que cela allait être vrai, que je n’allais pas bander… Pendant que je me concentrai sur cette pensée, Magalie continuait ses attouchements, ses doigts voletaient sur les cuisses, s’attardant sur mes couilles pour les frôler puis revenait à mes cuisses. Cela dura plusieurs minutes, mais le miracle eu lieu. Mon pénis frémit un peu mais ne durci pas. Je commençais à me détendre et à apprécier ses caresses comme si c’était quelqu’un d’autre qui les recevait.
» Bien. Je vois que tu es bien docile. Plus difficile maintenant… » Et elle pris un gode qu’elle avait posé en entrant sur la table de nuit, derrière ma tête. » Tu vois ce gros gode ? Répète : ‘Comparé à ce gode, ta bite est minuscule’ « . Je commençais automatiquement la répétition mentale pendant qu’elle approchait le bout du gode de ses lèvres poisseuses. Elle le frottait contre son clitoris et le passait doucement entre ses lèvres qui commençaient à s’ouvrir. L’image était très excitante, mais je me concentrais sur la phrase que je répétais encore et encore.
» Hum, j’ai envie d’être bien baisée » dit-elle. » Mais toi tu es inutile, tu ne peux pas baiser. Répète, larve. «
Je m’exécutais. Elle retira le gode de sa chatte où elle l’avait profondément enfoncée en commençant à se branler. Je vis alors que l’autre extrémité était en forme d’une grosse vis. Ce que je ne pouvais deviner c’est que mon bâillon gode était creux et formait un écrou, ainsi on pouvait le visser sur mon bâillon, ce qu’elle fit. Je me retrouvais avec un double gode en bouche, dont l’extrémité sortante formait un magnifique phallus.
Elle enfourcha mon visage et s’enfonça lentement le gode dans sa chatte dégoulinante. » Aaah ! C’est trop bon. Se faire baiser par une grosse queue bien dure ! Ah ! Ah ! Ah ! » Elle se masturbait sur le gode, sa chatte dégoulinant sur mon nez à tel point que j’avais encore plus de mal à respirer. Je n’avais pas de phrase à répéter cette fois, mais la situation était si inconfortable pour moi que je ne risquais absolument pas de bander.
Elle pilonnait le gode de plus en plus fort. Et finalement, jouis, dans un profond râle, et se releva du lit. Défit mes liens, ôtât mon bâillon. Ma bouche me faisait mal tellement elle s’était pistonnée fort sur le gode.
» Je vais te retirer le corset et ensuite tu iras faire ta toilette dans la salle de bain ! «
Enfin libéré de ce maudit corset, je me dépêchais d’aller d’abord aux toilettes pour uriner et faire mes besoins. Je restait debout interloqué devant la cuvette des WC, rabattant abaissé. Magalie, qui me surveillait toujours me dit : » Oui. Tu vas faire pipi assise comme nous les femmes. Au moins tu n’en mettras pas partout comme d’habitude. Et désormais, dans cet appartement, le rabattant des toilettes restera toujours baissé. «
C’était une humiliation de plus, je ne pouvais même plus pisser comme un homme désormais. Je baissais ma petite culotte aux chevilles (même si elle était ouverte je ne voulais pas prendre le risque de la salir pour encourir une nouvelle punition), et je fis pipi et le reste. Puis je pris une douche, chaude cette fois ! Cela me détendit.
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