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Première sodomie pour une beurette

Première sodomie pour une beurette



Fatima était une jeune femme ravissante. Son teint mate et ses longs cheveux bouclés faisaient ressortir ses origines arabes. Très discrète sur sa vie privée, elle ne souhaitait pas s’exposer, par crainte vis-à-vis des personnes de son quartier mais aussi de sa famille. Néanmoins, ses amies proches savaient qu’elle était en couple depuis plusieurs mois avec ce « français », ce « gwer », ce « babtou » qui venait d’un autre lycée de la ville et ces dernières ne voyaient pas cette relation d’un bon œil. Sans pour autant en savoir davantage, elles se doutaient pertinemment que les amoureux devaient se retrouver de temps à autre.

***

Un mardi pluvieux, Fatima et son « boy-friend » n’avaient pas cours de la journée. Ils avaient alors improvisé un RDV chez les grands-parents du jeune homme, partis la veille en voyage. L’occasion était idéale pour se retrouver seuls.

Allongés sur le canapé, télévision allumée, ils commencèrent à s’embrasser tendrement. Comme à son habitude, le jeune adolescent ne pouvait maîtriser son excitation et bien que restant très calme, il sentait néanmoins qu’il entrait progressivement en érection. Bien qu’elle eût été gênée de cette situation la première fois, Fatima s’était peu à peu laissée aller au jeu et se mettait désormais à se frotter de plus en plus souvent à lui tout en continuant à l’embrasser langoureusement.

« Tu veux voir mes seins ? »

Le jeune garçon fût surpris. Devant l’absence de réponse et après le long moment de flottement qui s’en suivi, Fatima pris l’initiative d’enlever son tee-shirt, dévoilant ainsi un joli soutien gorge de couleur rose. Généralement, elle avait l’habitude de porter des vêtements assez amples, ce qui cassait et cachait les formes de son corps. Son copain était alors très loin d’imaginer la silhouette de rêve qu’elle allait dévoiler. Sa poitrine, bien qu’assez volumineuse, était relativement bien dessinée. Sur sa lancée, Fatima se mit à continuer son « show » en enlevant son soutien-gorge, laissant tomber ses gros seins qu’elle s’empressa de placer sous les yeux de l’adolescent. Timidement, ce dernier commença progressivement à les toucher puis à les léchouiller. Finalement, il s’habitua assez rapidement à la poitrine de sa partenaire en jouant avec de longues minutes tout en prenant le temps d’insister longuement sur ses tétons. La jeune femme paraissait assez sensible au toucher de ses seins surtout lorsque son copain s’amusait à les mordiller.

« Tu veux que je te suce ? »

Fatima était si amoureuse de ce « français ». Elle ne cessait de l’embrasser puis se mis à lui caresser le torse tout en redescendant progressivement ses baisers le long de son corps, jusqu’à atteindre le bas de son ventre. Sans se poser de questions, elle retira avec énergie le jogging puis le caleçon de son petit ami.

Encore puceau, il n’avait jamais connu un moment aussi fort et sous l’excitation ressentie, son pénis lui donnait l’impression qu’il allait exploser. Quant à Fatima, également vierge, elle n’était jamais aller aussi loin avec un garçon. S’étant mise à rêver quelques fois de cette situation, elle s’était doutée que son copain n’allait pas être circoncis. Cependant, à aucun moment elle n’avait imaginé qu’un tel morceau allait se dresser devant-elle.

N’arrivant pas à détourner le regard, elle se mit à empoigner la verge plutôt bien entretenue de son partenaire. Ses petites mains lui donnaient une impression de grandeur démesurée qui, bien que n’étant pas d’une taille roccoesque, surprenait par son épaisseur.

Fatima commença à masturber doucement ce gros pénis, le décalottant alors légèrement au passage. Après quelques va-et-vient, il se décalotta presque complètement, laissant apparaître un gland qu’elle couvrit immédiatement de quelques petits coups de langues avant de le rentrer entièrement dans sa bouche. Puis, elle essaya de plonger courageusement sur le reste du pénis qui se présentait devant elle mais n’arriva pas à sucer plus en profondeur. Tenace, elle ne sortit pas la verge de sa bouche pour autant et s’essaya une deuxième fois à l’exercice, allant presque jusqu’à se faire vomir sous l’effet procurait par cette gorge profonde. Bloquée, elle se retira du pénis de son copain tout en lâchant un amas de bave impressionnant sur son pubis.

Une fois son souffle retrouvé, Fatima recommença à le sucer doucement. Au vu de sa petite bouche, la jeune femme devait se rendre à l’évidence. Elle devait se résigner à prodiguer une fellation telle qu’elle aurait voulue mais, elle se remit à s’acharner sur le sexe du jeune homme, gémissant au moindre coup de langue. Affamée, elle ne faisait plus attention à ce que le gland de son copain soit systématiquement décalotté, s’amusant même à jouer avec son prépuce. Quelque fois, elle s’aidait également de ses gros seins pour masturber ce sexe épais dont elle était devenue si vite accro.

« Tu veux que je te lèche ? »

Cette fois, ce fût Fatima qui, surprise de la proposition et ne sachant quoi répondre, se laissa entraîner par son partenaire. Elle était perplexe. Devant la réticence dégagée par son attitude, le jeune homme pris l’initiative de lui expliquer qu’elle ne craignait rien pour son hymen et pour sa virginité. Finalement, après quelques arguments et beaucoup de baisers échangés, Fatima décida d’accepter le cunnilingus et enleva elle-même le reste de sa tenue dévoilant alors une petit culotte rose, assorti à son soutien-gorge. Au vu de sa silhouette plutôt fine, elle avait des hanches impressionnantes et ses fesses, bien rondes, bougeaient au moindre de ses mouvements. Ensuite, elle retira également sa culotte et se positionna de façon à ce que son copain puisse contempler son jardin secret. Fatima avait un vagin plutôt lisse où seul son clitoris ressortait. Ses lèvres, petites et effacées, étaient déjà légèrement humidifiées.

Le jeune garçon écarta les jambes de sa partenaire et sans se poser de questions, commença à lui lécher le clitoris tout en descendant de temps à autre vers ses lèvres. Fatima gémissait timidement mais appréciait le travail de son petit ami. Elle n’avait jamais été aussi excitée de sa vie et commençait à mouiller plus abondamment sous les grands coups de langues qu’elle recevait. Elle sentait une sensation étrange arrivée du plus profond de son corps mais ne trouvait pas d’explication à cela. Au fil des minutes, elle ne pouvait se contrôler, son cœur s’accélérait, tout comme sa respiration. Sentant son corps se raidirent de plus en plus rapidement, Fatima referma ses jambes assez sèchement et suspendit le plaisir que lui offrait son petit ami. Après être restée quelques secondes les yeux fermés, elle fixa son copain qui ne lui donna pas l’impression d’avoir réalisé ce qu’il venait de se passer. Elle était aux portes de l’orgasme.

« Tu veux essayer dans mes fesses ? »

Devant cette nouvelle proposition des plus étonnantes, le jeune homme se demanda d’abord si il ne s’agissait pas plutôt d’une astuce pour arrêter définitivement le cunnilingus. Il regarda Fatima un long moment mais sentit que sa copine restait encore bouleversée par la découverte de ses nouvelles sensations. D’un seul coup, elle se mit à genoux sur le canapé, en position de levrette. Devant ce regain d’excitation, qui laissa rapidement place au stress, elle se remémora les différentes conversations qu’elle avait pu avoir avec ses copines sur la pratique de la sodomie pour rester vierge. Même si elle avait une totale confiance en son partenaire, la jeune femme redoutait ce moment …

Il écarta les fesses de Fatima, laissant apparaître un anus très serré auquel il donna quelques petits coups de langue. Cette dernière apprécia et lui demanda de continuer à lui « bouffer le trou du cul ».

Pour faciliter la sodomie et préserver la jeune femme de la douleur, il eût la bonne idée de ramener un préservatif ainsi qu’un petit pot de crème de la salle de bain, qui allait leur servir de lubrifiant. Après ce bel anulingus, il se repositionna entre les jambes de sa copine, toujours à quatre pattes dans le canapé, et lui enduisit la rondelle de crème avant d’y introduire un doigt. Tel un suppositoire, son index glissa parfaitement dans l’orifice de sa petite amie.

Elle ne trouvait pas cela désagréable même si elle ressentait d’étranges sensations, difficilement explicables. Son anus était à présent bien lubrifié et prêt à recevoir plus. Le gland à moitié décalotté, il mis le préservatif prévu et se rapprocha. Elle sentait désormais la verge de son copain descendre le long de sa raie, prête à rentrer. Après un léger gémissement, c’était parti : Fatima se faisait sodomiser.

Le jeune homme n’avait enfoncé que son gland mais elle sentait son anus se dilatait à chacune des ses poussées. Son rectum commençait à se détendre progressivement et au bout de quelques minutes, il se relâcha complètement s’enfonçant d’un coup, sur plus de la moitié du pénis de son copain. Surprise, toujours à quatre pattes et la tête dans un coussin, elle lâcha un énorme cri.

Fatima avait ressenti comme une violente brûlure mais insistait pour ne pas s’arrêter. En effet, elle restait très excitée, se touchant parfois timidement le vagin afin de se rendre compte à quel point ses lèvres étaient humides et son clitoris sensible. La sodomie s’effectuait désormais tellement aisément qu’elle pris la décision de gérer les opérations, la douleur s’était estompée laissant peu à peu place au plaisir. Elle allait assez doucement mais s’empalait de plus en plus sur la verge épaisse de son copain, lui, tellement loin de s’imaginer tout cela ce matin.

Elle s’arrêta quelques instants pour souffler un peu mais le jeune adolescent repris immédiatement le flambeau. Désormais, il rentrait dans sa copine avec une facilité déconcertante. En extase, et sentant la mayonnaise quelque peu montée, il se mit à accélérer, sous les soufflements et gémissements de Fatima qui sentait son anus se remplir de plus en plus rapidement. De plus bel, il continua et se permettra même d’accélérer une nouvelle fois malgré les cris gênants de sa partenaire. Fatima était partagée entre la douleur et le plaisir mais ce qui était sûr, c’était que son corps recommençait à se raidir et cette étrange sensation qui émanait de son clitoris revenait. Le jeune homme n’arrivait plus à s’arrêter et maintenant, il la pilonnait littéralement tout en sentant son sperme arrivait. Il n’arrivait pas à se raisonner. Dans un dernier élan de lucidité, il retira sèchement sa verge de l’anus de Fatima, qui lâcha un énorme cri, se jetant à plat ventre sur le canapé sous l’effet de la douleur. Il retira alors son préservatif d’un coup seul et éjacula plusieurs gros jets de sperme sur les fesses de sa copine, la laissant une nouvelle fois aux portes de l’orgasme, l’anus grand ouvert …

***

Fatima c’était peut être ta première copine, une ex, c’est peut être ta femme actuelle … ou finalement Fatima c’était ou c’est peut être toi ?

A nos premières sodomies.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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