Préambule :
Lena et Pola, deux étudiantes parisiennes de 19 ans, sont venues se ressourcer en Bretagne. Dans la maison de vacances des parents de Lena, avant de commencer, début octobre, leur première année universitaire.
Autant Lena est blonde, menue, une silhouette très féminine. Des cheveux blonds, longs, qui encadrent un visage à l’ovale parfait illuminé par de beaux yeux bleus. Les seins hauts, ni trop gros, ni trop petits. Des hanches à la courbure parfaite, sur de longues jambes bien galbées …
Autant Pola « sa petite amie », est brune aux yeux verts. Ses touts petits seins, sa coupe de cheveux et des vêtements à la garçonne, lui confère une allure androgyne…
Il fait encore chaud pour une après-midi de fin septembre, dans Les Cotes d’Armor. Sur cette plage de Lourtuais, en plein cœur du site classé du cap d’Erquy. Une plage de sable dans un écrin de grès rose, de lande et de bruyères. ou Lena, depuis toute petite, aime venir et se baigner quand le temps est propice. Comme aujourd’hui, ou seulement quelques personnes sont installées autour d’elle et de Pola. Il est vrai qu’en cette période il n’y a plus beaucoup de vacanciers, le travail à repris ses droits. Ce sont en majorité des séniors, qui sont installées sur des serviettes, chaises pliantes, à l’abri de leurs parasols …
C’est Pola qui nous raconte la fin de leur après-midi sur cette plage …
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Léna à chaud … Elle se lève pour aller se baigner. M’invite à la suivre, mais je n’en ai pas envie. De ma place, je l’observe traverser la plage. À la voir, si sexy avec ce bikini et ses seins à l’air libre, une insidieuse chaleur m’envahit et irradie mon bas-ventre.
Quand elle revient, la fraicheur de l’eau a raffermi ses seins et fais ériger leurs pointes. Le triangle de son maillot détrempé épouse la forme de son sexe épilé et laisse deviner sa toison dorée, taillée en triangle, qui orne son pubis. Une vision qui ne me laisse pas indifférente … Et fini de m’émoustiller. Je sens que je deviens humide.
Lena allongée sur le ventre, se laisse sécher par le soleil sur son drap de bain, sa tête tournée vers moi, posée sur ses avant-bras.
Assise sur ma serviette, je reprends ma lecture avec pour compagnie mes papillons dans mon bas ventre et mes longs tétons turgescents, que je caresse inconsciemment d’une main tout en lisant.
Machinalement, en tournant une page, je la regarde et m’aperçois qu’elle a rejoint le royaume de Morphée. Il faut dire que notre dernière nuit a été très mouvementée.
En la contemplant ainsi abandonnée, les jambes écartées, le maillot qui souligne d’un pli provocateur la raie de ses fesses et bombe son sexe … Il me vient des idées cochonnes.
Des pensées à l’acte … Il n’y a que ma main, posé sur son dos, légèrement, pour ne pas la réveiller. Sa peau est chaude, douce. De la pulpe des doigts, je descends le long de sa colonne vertébrale, trace des arabesques au creux de ses reins. Sa respiration est profonde, et en apparence elle est insensible à mes caresses quand je les laisse courir, avec la même légèreté, sur son sillon fessier. Au moment ou je glisse vers l’intérieur de ses cuisses, elle se retourne brusquement.
C’est-elle réveillé ? … Non, elle dort toujours !
Tant mieux, car je ne veux pas qu’elle sorte de ce rêve érotique que je suis en train de lui construire. Aussi, parce que mon envie d’elle est maintenant trop grande, je ne peux plus contrôler les pulsions qui m’habitent.
Je laisse Lena se repositionner sur le dos, un avant-bras sur ses yeux, l’autre sous sa tête. La bouche entrouverte, comme si elle souriait aux anges, elle ouvre son entrejambe, avec une jambe tendue et l’autre repliée, le pied a hauteur du genou.
Je la contemple. Cette bouche et ses fines lèvres qui sont une tentation au baiser. Ses globes, libres de toute entrave, mamelons gonflés et tétons durcis, qui ne demande qu’ à être cajolés. Ses cuisses, largement ouvertes, qui laisse deviner son intimité sous ce mince triangle de tissu … Comme une invitation !
Autant d’images qui me donnent une impérieuse envie de la caresser … Et de la faire jouir !
Un regard aux alentours, pour m’assurer que personne ne nous observe. Par chance, en cette fin d’après-midi, les vacanciers, on bien déserter la plage, il reste très peu de monde, et surtout, personne proche de nous. Je couvre son ventre et ses cuisses d’une serviette, pour éviter que quelqu’un remarque cette situation pour le moins équivoque et cette posture indécente de « ma belle à la plage dormant » …
Couchée sur le côté, au plus près de Lena, ma main passe doucement sous la serviette et se pose sur sa cuisse, juste au-dessus du genou. J’ai le cœur qui bat la chamade et je retiens mon souffle, quand ma main serpente lentement vers sa fourche, caresse le sexe sur le tissu, passe sur son ventre et se faufile sous le maillot. Empaume le sexe, exerce quelques pressions. Puis, mes doigts pianotent sur sa fente. Délicatement, car je ne veux pas la réveiller, si tant est qu’elle dort !
Après quelques minutes de ce petit jeu, j’ai envie de m’aventurer plus loin. Mais avant, je m’assure, une nouvelle fois, que personne ne nous a remarquées.
Rassurée, mon majeur court sur sa fente. Puis écarte les lèvres de son sexe … Et il découvre avec surprise qu’elle est déjà beaucoup excitée.
De cette découverte, mon émoi grandit d’un seul coup, ma fontaine se met en marche, je serre mes cuisses sur ma chatte et ma respiration devient plus difficile. En même temps, je me demande si ce sont mes caresses ou le rêve érotique que j’ai fait naitre en elle, qui l’excite à ce point… Peut-être les deux ensembles !
Mon doigt reprend la délicieuse exploration de ses nymphes. Lena est tellement mouillée que quand je l’enfonce dans sa vulve, il glisse sans problème. Arrivé le plus loin que je peux le mettre, j’ entame un va-et-vient dans son antre, chaud, doux, trempe. Ponctué de quelques sorties pour lui masser le clitoris.
L’ index a rejoint le majeur et c’ est maintenant deux doigts qui la baisent pendant que mon pouce bosse son bourgeon. Elle ruisselle …
Je crois rêver, c’est la première fois que je me trouve dans cette situation, j’ai honte de ce que je lui fais en public. Mais mon envie de la faire jouir est trop grande … Mes scrupules s’envolent vite quand le bassin de Laure vient à la rencontre de ma main, comme un encouragement à poursuivre.
Dort-elle… ? … Fait-elle semblant ? …
En apparence Lena dort toujours. Toutefois sa respiration de plus en plus ample, son mouvement des hanches, me font penser qu’elle est consciente de ce qui se passe, mais ne veut pas se manifester et joue le jeu de l’endormie. Peut-être de peur que je m’arrête.
Mais cela ne risque pas ! …
Je continue donc à la masturber ,doucement et délicatement pendant de longues minutes. Lena aime, je le ressens, car son bassin, se soulève, ondule au rythme des caresses, ce qui augmente son plaisir.
Brusquement, elle lâche un gémissement étouffé, tout en refermant brutalement ses cuisses sur ma main. Je jubile ! Je la regarde, j’adore la regarder pendant son orgasme. Puis je sens son corps se détendre peu à peu. Elle a peut-être envie de continuer ? Je vais bien voir …
Ma main reprend possession de son sexe. Je me remets à la masturber tout doucement pour commencer, à la recherche d’un encouragement qui ne tarde pas à venir avec de nouveau son bassin qui vient à ma rencontre, tout en essayant de réprimer quelques plaintes de plaisir pendant que mes deux doigts fouillent son intimité. Cette fois, Lena jouit très vite et son orgasme me surprend, car cela ne fait pas longtemps que j’ai recommencé à la forniquer.
Se peut-il qu’elle en veuille encore ? … Car Lena ne repousse toujours pas ma main, bien au contraire, elle la serre fortement entre ses cuisses comme pour m’empêcher de la retirer.
Qui résisterai à une telle invitation ? Moi, je ne peux pas ! … Alors, je fais jouir Lena pour la troisième fois !
Et cette fois, elle me laisse retirer ma main …
Un instant après, Lena se redresse sur sa serviette, me souris avec des yeux énamourés, et me dit sur un ton enjoué : « Tu sais, ce n’est pas parce que l’on a les yeux fermés que l’on dort obligatoirement ».
Ma belle s’est amusée en me jouant la comédie du sommeil ! … Nous éclatons de rire en même temps, un rire complice.
Puis Lena me lance un : « On y va ? » …
À peine arrivée à la maison, Lena se colle à moi, m’embrasse. Puis me chuchote à l’oreille qu’elle veut me faire jouir …
Frustrée de l’épisode de la plage, il ne me faut pas longtemps pour à mon tour atteindre l’orgasme …
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