En fin de matinée, un jeudi matin j’entre dans un magasin de vêtement pour homme pour voir les nouveautés. La principale nouveauté c’est ce vendeur : un jeune minet imberbe.
Il s’approche de moi et me demande s’il peut m’aider, à ce moment un millier d’idées me viennent en tête et je décide de faire un petit jeu avec lui afin de voir s’il pourrait être intéressé par les hommes : « Oui s’il vous plait, je recherche des jockstrap, vous savez, ces sous-vêtements pour sportifs (à ce moment je sais qu’ils en vendent et où ils sont situés dans le magasin).
-Vous en trouverez dans le rayon « sexy » à côté des string, me répond-il
-Sexy ? Pourquoi pas dans le rayon sport ?
-Il y a des connotations comme quoi le port de ce type de sous vêtement est destiné à un certain public… gay, c’est à cause des films porno ça.
Je lui répond alors faisant semblant de m’énerver :
-Mais juste parcequ’on aime être à l’aise on est gay ?
-Je ne peut pas vous dire, répond-il timidement et gêné, ce n’est pas de ma faute, je suis juste là pendant la période de noël en intérim…
Il me guide alors à l’opposé du magasin, j’en profite pour regarder son petit cul tout mignon dans son jean serré. Il me demande ma taille, et je lui demande du M (dans lequel je ne sais même pas si je rentrerais). Il se penche pour prendre le jockstrap et surprise ! Je vois l’un des élastique du sien. L’excitation m’envahi alors, et je le lui dit : « Mais vous en portez vous aussi pourtant. Ce n’est donc pas destiné à une communauté particulière.
-Et bien euh… moi je suis… euh enfin, je suis… gay.
J’ai alors envie de le croquer à pleine dents, de le sucer à pleine bouche mais je me retiens et rejoins la cabine d’essayage. Je met le sous-vêtement en question… Il est trop petit je n’arrive pas à y caser mon sexe. Je sort donc dela cabine ainsi vêtu pour montrer au vendeur que c’est trop petit (à cette heure nous ne sommes que deux dans le magasin).
Il me voit ainsi, le gland à l’air, se jette à mes genoux, m’enlève le jockstrap et dit : « attention vous allez couper la circulation du sang » il commence donc à me masturber pour « revigorer mon sexe ». M’imaginait tant de chose, ma bite grossit vite entre ses mains. Voyant cela il accelère le mouvement et se rapproche peu à peu. Il l’engloutit… Le jeune homme sait s’y prendre. Je le déshabille. Son corps imberbe de minet me fait rêver. Je me baisse à mon tour pour le remercier… bucalement 😉 et ce devant le miroir à côté des cabines. L’adonis à un petit sexe, je comprends donc vite que ça sera à moi de lui faire plaisir.
Un homme, la quarantaine, entre alors dans le magasin. Le vendeur gêné veut tout arrêter voyant que le client avait vite tourner les talons. Mais c’était sans compter sur le fait que quand je tiens une bite en bouche je ne la lache pas. Il me tend alors ses fesses en se plaçant sur le petit meuble pour essayer les chaussures. Je lui prépare la rondelle à coups de langue… Mes doigts ne lui font pas d’effet, il doit avoir l’habitude. Je rentre donc mon sexe tendu dans cette petite route pas si étroite que ça. Il gémit de plaisir. J’accélère ce qui semble lui faire beaucoup d’effet. On change de position et on se place debout contre le miroir. C’est beau de voir le plaisir sur son visage. On se place ensuite sur la table de la caisse. Sa petite queue tape sur le clavier de l’ordinateur à chaque coup de butoir. Mes couilles pleines clapotent sur ses fesses musclées… Je vais jouir. Il se penche pour prendre mon jus en pleine face. Il en a partout sur le visage et semble aimer ça. Il aime tellement qu’il va jouir à son tour. Gourmand que je suis je me met à genoux et avale son sperme chaud. On s’embrasse, puis on se rhabille. On se met à discuter et il me dit qu’il s’appelle Sebastien et a 19 ans… Comme moi. De fil en aiguille, on continue de discuter, puis sa main viens se poser sur mon sexe au repos, qui ne tarde pas se mettre au garde à vous. Il semble que la petite séance de barbacking va pouvoir se répéter. Je ressort mon épée de son fourreau et il se remet à me sucer. C’est extra. Soudain sa patronne reviens de sa pause déjeuner. Ce n’est pas les quelques chemises devant nous qui vont réussir à nous cacher. Elle le renvoit sur le champs… Malheuresement pour lui et heuresement pour moi, car j’ai pu le raccompagné chez lui et le consoler comme il se doit… Dans chaque pièce de l’appartement… et aussi dans l’escalier 😉
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