Mercredi – Premier jour d’enquête.
9h15 – La madame est fâchée.
On alla prendre notre petit déjeuner dans la magnifique salle a manger de l’auberge.
La ronde aubergiste fut ravit de rencontrer Marie Lemieux. Pleinement réveillé cette fois elle nous servit sans me regarder drôlement Ouf ! Mais je cru quelle me faisait les yeux doux. Je devais rêver.
-Vous aller voir, fit-elle en nous servant ; café, croissant, bacon, fromage, oeuf etc… Tout est naturel ici et sans agent de conservation. Cé ben meilleur. On a une charcuterie naturelle, fromagerie naturelle, boucherie naturelle, boulangerie naturelle, des…
-Laisser moi deviner, fis-je exaspérer par la litanie, des vidanges naturels, des égouts naturels et un dépotoir naturel.
-Eh !
-Occupez-vous pas de lui Sally, fit Marie en lui faisant son plus beau sourire télé, y est de mauvaise humeur ce matin y as trop ben dormit. Y ses endormit très tôt.
Elle avait insister sur le ( très tôt ) ça m’insulta et je froncer les sourcils en disant…
-Moi ! Moi je suis de mau… Outch !
Coup de pieds au tibia droit, je lui fit mes gros yeux méchant mais… Aucun effet comme d’habitude. J’allais devoir m’exercer un peut plus.
On mangea en silence se faisant des petits sourires de convenance.
Le repas terminer, Sally me demanda de la poser avec son idole, la photo trônerais fièrement a l’entré avec celle de son défunt chien, Snooky. Ce que j’allais faire quand le mari apparue avec une énorme tronçonneuse a la main et le regard mauvais. Y avait mal dormit, trop de recherche, ou y savait. Merde.
Je prit la photo et me rassis, évitant de trop le regarder et déglutit nerveux l’imaginant déjà me découper en petits morceaux parce que j’avais profiter de sa femme en pleine crise de somnambulisme. Il allait rire comme un dément en me débitant tout en s’arrosant de sang vermeil ainsi que nos blondes et toute la pièce par la même occasion. Vive l’halloween !
-Bien dormit, dit-il, ses tranquille ici hum, pis toute est naturel chez nous vous savez !
Y avait pas mit son dentier ni ses lunettes et souriait. Sa aussi c’était naturel.
-Ouiii !
-Super bien, fit Marie, surtout lui, a 10h y dormait déjà comme un petit bébé. Hein !
J’eu droit a un autre petit sourire pincé, c’était comme ça depuis le réveil. Elle m’en voulait de m’être endormit sans tenir ma promesse et elle avait la rancune tenace. Mais elle était splendide ce matin. Bien maquiller, rouge au lèvre, gros anneaux aux oreilles et cheveux gonfler, prête à être filmer. Wow. Monsieur tronçonneuse louchait vers ma blonde, moi vers la sienne mais ben, ben discrètement.
-Bon ben, faut que j’y aille, fit-il, je dois couper mon bois pour cet hiver.
-Du bois naturel ! Fis-je.
-Absolument monsieur. Répondit-il ravit.
Encore un sourire d’épouvantail en s’en allant et Marie qui me fit à son tour des gros yeux.
-Quoi ? Grognai-je.
Elle soupira simplement avant de sourire à notre hôtesse qui débarrassait la table.
La petite salle a manger donnait sur la rue principale ou il y avait déjà tout un attroupement pour voir la vedette. Une dizaine de femmes et un vieillard avec une marchette. Tien tient, me dis-je. Peut être un loup-garou de l’age d’or. Qui sait ?
Je ris tout seul en me brûlant la langue encore avec du maudit café. Marie plissa les yeux genre. A quoi tu pense idiot ?
Il ventait, des feuilles mortes multicolores virevoltaient sa et la, les gens grelottaient et de gros nuages voguaient haut dans le ciel bleu vers une destination lointaine. Une vrai belle journée d’automne.
La scie mécanique démarra derrière l’auberge, infernal est le bon mots. On s’entendait même plus pensé. Sally nous resservit du café, naturel probablement. Elle avait enfilé sa plus belle robe sans doute celle quelle portait au salon funéraire, noire et moulante, s’arrêtant à mi-cuisses, bas noir et collier de perle qui se perdait dans sa craque de seins, même le Titanic y aurais couler et disparu sans problème. J’y jeter un coup d’oeil malgré moi me rappelant… Autre coup de pieds de Marie, mais sur mon tibia gauche cette fois, le plus sensible et elle le savait. Outch !
Cette fois je décider de répliquer et de lui rendre son coup mais je frapper une des pattes de sa chaise. Mes orteils craquèrent dans mes running. Shit ! Elle me sourit, délicieuse comme tout, un sourire qui voulait dire… Une chance que tu m’as maquer mon sacrement.
-Pourquoi ces pauvres gens reste dehors ? Hurla telle à Sally pendant que je lui faisais encore des gros yeux inefficaces en me frottant le tibia comme un bloopers de Jaki Chan.
-Y attende le maire pour vous rencontrer, je veux pas qui salissent mon beau planché de bois franc antique qui provient du couvent des Ursuline a….
-Les toilette son ou ? Demandais-je exaspérer en criant.
-Hein !
-LES TOILETTES… ? Hurlai-je en me levant.
-Au fond a droite en arrière.
-Je reviens mon amour. J’eu droit a un sourire glacé de dame qui ne pardonne pas en boitant vers le couloir.
Shit ! C’était mal parti pour notre belle semaine de vacance en amoureux.
J’allais refermer la porte de la minuscule salle de bain lorsque Sally s’y engouffra en me bousculant, je tomber assit sur le bol nerveux, mon dos frappant durement le mur. Heureusement je portais ma veste épaisse de motard noir a col Mao. Elle amortit le choc.
Elle se rappelle et veux m’arracher la tête pensai-je aussitôt. Hiii… !
Heureusement la lunette était abaisser mais un rouleau de papier de toilette me tomba sur la tête en se déroulant et d’autres babioles. Elle barra la porte et s’agenouilla devant moi en me regardant avec des yeux doux me prenant les mains. Il y avait une grande et vilaine sorcière en carton épingler sur la porte qui avait le même sourire que son homme. Wash…
-Ah monsieur Paul, cria telle, je vous trouve si séduisant, surtout a tv. J’ai bien vu comment vous me regardiez tantôt, vous aimer les rondes vous, fit-elle en me pointant du doigt comme on sermonne un petit enfant, laisser moi faire.
-Pas si fort. Murmurai-je.
-Hein !
-PAS SI FORT !
Petit sourire narquois.
Elle défaisait déjà ma ceinture tandis que par la petite fenêtre sur ma droite juste a coté, au-dessus d’un évier des années 50, je voyais son mari dans la cour arrière trancher de gros billot joyeusement. Il travaillait joyeusement en portant un casque vert, des gros écouteur orange et des lunette de sécurité. Il n’avait qu’a tourner la tête pour me voir, ce qu’il fit tandis qu’un tourbillon de vent entraînant des feuilles mortes l’entourait. Je le saluer tout électrique en souriant bêtement mais il se retourna et continua tandis que ça femme qu’il ne pouvait voir heureusement descendait ma fermeture éclair et rentrait sa petite main dans mon pantalon et mes slip pour en sortir ma bite et l’avaler encore molle.
Oh oui !
Les dents bien écarter et les lèvres bien serré elle s’acharnait à me l’étirer en me l’agaçant avec la langue mais l’image de la tronçonneuse et des billots c’était imprégner dans mon esprit.
Elle releva la tête pour dire en me masturbant à point fermer, sa salive ayant rendu sa main bien glissante.
-Stresser par pour mon mari monsieur Paul, y est quasiment aveugle sans ses lunette.
Elle me ravala. Veut, veut pas, je me mit à bander dans sa bouche.
Mais c’est le quasiment qui me stressa et c’était une situation des plus dangereuse. Il y avait une toile a la fenêtre, j’agripper le petit anneau suspendu a une corde et la tirer doucement vers le bas mais elle remonta aussitôt avec fracas en tournant plusieurs fois sur elle-même. Évidemment, la maudite toile s’enroula la haut entre les rideaux ouvert et impossible a fermer. Ils étaient attacher de chaque coté de la fenêtre, même clouer.
Merde ! Put moyen d’atteindre la toile. Le gars me regarda, nouveau salut, toujours aucune réaction tandis que je bandais complètement dans la bouche pleine de salive de sa femme. Elle me suçait avidement et vraiment bien. Ouf…
Toc ! Toc ! Toc !
Gros frissons j’imaginais la lame de la scie mécanique couper la porte en deux. Mais le gars n’avait pas bouger.
-Paul, j’ai envie !
Merde, Marie.
Toc ! Toc ! Toc !
La femme releva la tête mais je peser dessus avec force au point ou ses petits doigts porcins s’enfoncèrent dans mes cuisses.
-Grosse commission, vas en haut. Hurlai-je.
Un silence, l’autre grognait en salivant en abondance mon gland dans sa gorge.
-Ok, on se retrouve dehors, le maire est arriver pis vas chercher la caméra.
-Ok ! Criais-je en empoignant la tête de Sally la forçant à s’y remettre et a me sucer plus profond.
Fallait pas que sa traîne le mari était quand même armé d’une tronçonneuse mais je comprenais maintenant pourquoi hier, endormit, elle était venue à notre chambre. Elle avait un petit kik sur moi. Good.
Elle avait le kik sur moi endormit et éveiller. Cool.
Je me mit à grimacer en caressant ses cheveux fin et doux tout en surveillant le mari.
Quand je me sentit venir, bon gars comme je suis, je l’en avertis. Elle sortit aussitôt ma bite de sa bouche pour se pencher, sortir les perles de sa craque de seins et elle y fourra mon gland profondément en me masturbant et j’éjaculer abondamment dans cet endroit chaud et douillet.
Et ben !
Quand j’eu fini, elle se redressa toujours a genoux et tout sourire se prit les seins par-dessus la robe et se les brassa en disant très fort.
-Hum, monsieur Paul, je veux garder sa sur moi toute la journée, oups, j’ai une monté de lait.
-En sainte ? Hurlai-je tout bas.
-Oh non, mes seins on toujours donner du lait. J’ai nourrit plein d’enfant ici et je remplie des biberons. Sa se vend bien !
-Pardon !
-J’en vend à Amos ! Ses mieux que du lait en canne vous savez.
Et ben !
-Eh, hier vous étiez endormit quand on est arriver Sally et…
Elle partit à rire comme une dinde.
-Oui, je suis somnambule, désoler, sa m’arrive souvent.
La tronçonneuse stoppa.
Chit.
-Oups, fit-elle en se relevant, j’espère qu’on pourra fourrer la prochaine fois monsieur Paul, je vous trouve si beau.
-Ouiii ! Promit.
Elle fila toute joyeuse tandis que je reprenais mes sens en essayant de pisser.
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