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Alex et Sylvain

Alex et Sylvain



Alex’ et moi avons passé une nuit chaude, passionnée, très sexuelle…
C’était la première fois pour moi que je couchais avec une fille, et j’avais énormément aimé…
La douceur de sa peau, de son corps, mêlée à sa puissance sexuelle, j’avais été le jouet sexuel de cette tigresse une bonne partie de la nuit, dans cette grande maison. Je n’avais pas été en reste, moi non-plus, jouant de plus en plus habillement avec ce magnifique jouet qu’elle avait…
Je me suis réveillée vers 7h15, le lendemain matin, Alex’ dormais encore. Nous étions dans les bras l’une de l’autre, enlacées, nues. Ça a été un réveil très agréable, d’autant que ne n’avions cours que dans l’après-midi. Nous avions largement le temps de profiter de la matinée.
Je lui faisais des bisous dans ses cheveux, sur son visage, je caressais ses jambes avec mes pieds.
– Mmmh, Sophie… Bonjour, ma chérie !
– Bonjour, ma chérie (petit bisou sur sa joue) !
– Tu veux un café ?
– Oh, avec plaisir ; merci !
Elle m’a embrassé sur la bouche, je lui ai rendu son baiser, mêlant ma langue à la sienne. Doux réveil…
Elle s’est levée, entraînant une partie de la couverture avec elle pour la laisser ensuite sur le bord du lit. Elle s’est étirée, dos à moi, et j’ai détaillé son superbe corps, ses fesses rebondies, sa chute de reins magnifique… Elle s’est tournée, toujours cambrée, je voyais le détail de ses côtes et ses seins pointés vers moi. – mmmmmh haaaa ! Bon ! J’arrive !
Je suis resté quelques minutes à l’attendre, nue, en me caressant doucement.
Elle est revenue, toujours nue, deux cafés à la main. Elle s’est réinstallée près de moi, m’a de nouveau embrassée et nous avons bu notre café. Puis, un bisou en amenant un autre, nos baisers sont devenus de plus en passionnés et, nous avons de nouveau fait l’amour…
L’atmosphère de la pièce était étrange, un fort parfum d’agrumes embaumait la chambre et, bien qu’il était tôt, le soleil frappait déjà fort sur le store de sa fenêtre ; cela allait être une journée chaude pour un mois d’avril.
Rapidement, elle s’est allongée entre mes cuisses pour me lécher le sexe, qui n’en attendait pas moins, puis, elle m’a fait me mettre à genoux, la tête dans les oreillers.
Quant à Alex’, elle s’est positionnée derrière moi, une main sur chaque fesse… Elle les écartait tout en me pénétrant le sexe de sa langue… Je jubilais de plaisir… – Alex’, je… Ohhh ouiiii…
Là, les fesses toujours bien écartée, elle m’a léché entre les fesses, sur toute la longueur de la raie, plusieurs fois, pour, enfin (!), passer sur ma petite étoile…
Je sentais la salive couler sur mon sexe tandis qu’elle me pénétrait l’anus de sa langue dardée… Elle enfonçait sa langue littéralement dans mon cul, m’arrachant des cris de plaisirs évidents, n’omettant pas de me claquer les fesses et, ce qui devait arriver… J’ai eu un orgasme, un orgasme avec mon anus…
Bien qu’elle me caressait le sexe avec vigueur… ! C’était une sensation incroyable, de sentir le plaisir naître dans mon bas ventre pour finalement exploser en moi… Diablesse, Alex’…
À mon tour, je l’ai faite se positionner couchée, sur le côté. J’avais une vue superbe sur son cul magnifique, sur son anus, sur son petit abricot… Je me suis appliquée à bien la lécher entre les fesses, sur son étoile évidemment, mais sur son sexe également. De mes deux mains, doucement puis, plus vite, je caressais son clitoris, ce qui la faisait gémir avec force et, avec l’index de ma main droite, je pénétrais son cul… 7 minutes plus tard (peut-être plus, peut-être moins), Alex’ jouissait sur ma main gauche, la mouillant de son nectar du plaisir… Un début de matinée bien rempli… Nous sommes allées nous doucher, nous savonnant l’une, l’autre, puis nous sommes descendues prendre notre petit-déjeuner.
– Tu reviens ce soir ? Me demanda Alex’.
– Oh, ma chérie, non, je crois que je ne pourrai pas. Je dois donner cours de rattrapage à un jeune gars, ce soir.
Puis, demain matin, j’ai cours assez tôt… J’étais triste de la laisser, mais à mon soulagement, elle me dit de ne pas m’inquiéter, mais que mercredi (le jour suivant, donc), il allait falloir mettre notre « plan » à exécution, à savoir, trouver un mec ou deux pour nous, et continuer à punir Cédric… Ce qui fit monter l’adrénaline dans mon ventre… Je commençais à être excitée…
Alex’ avait cours début d’après-midi, mais dans une autre option que la mienne, ce qui fait qu’on s’est quittées vers 11h30, devant chez elle, non sans nous embrasser langoureusement pour se dire « à demain », alors que le facteur passait de l’autre côté de la rue ; il a évidemment bien remarqué que deux jolies petites biches s’embrassaient et, le pauvre, il s’est cogné à un poteau de signalisation !
On a bien ri de ça ! Lui, mignon petit facteur, gêné, a fait semblant de rien et rouge de confusion, a continué à farfouiller dans sa mallette. – Tu vois ? Me glissa Alex’ à l’oreille ? Tu as vu la réaction de ce gars ? Alors, imagine, s’il en voyait plus, il en aurait une attaque ! Me glissa-t-elle d’un air espiègle. J’imaginais bien, oui ! J’étais de plus en plus excitée ! Cette fois, je voulais que ce soit l’homme, le jouet dans mes mains, plus l’inverse, comme avec le concierge ou Didier et ses potes…
Sur le chemin du trajet vers l’appart’, je réfléchissais à ce que je pourrais bien faire à un mec pour l’amener à l’extase, mais pour que ce soit lui qui se sente objet, tout petit dans mes mains, ou ma bouche, ou, … Une autre partie de mon corps…
J’avais cours à 14h00 et, après avoir fait un peu de rangement chez moi, je suis partie vers la fac’, sans arrêter de penser à comment m’y prendre pour torturer de plaisir un homme…
Mon après-midi de cours s’est passée sans histoires, j’étais très soulagée et contente de constater que j’étais bien en avance dans mes cours et mes révisions, j’allais pouvoir avoir plus de temps libre, donc, m’adonner à plus de plaisir… Je suis rentrée rapidement, pour pouvoir faire un peu de sport chez moi (abdos, pompages, un peu de yoga) et préparer mon cours du soir ; un cours de deux heures, c’est assez long, mais j’étais bien payée pour ça et, avec ce que Cédric recevait de son job, on vivait plus confortablement, en ce moment. Soit ! J’avais rendez-vous à 19h00 avec ce qu’on m’avait présenté comme un/une jeune en difficulté dans ses cours, on allait bien voir !
19h00, on sonne, j’actionne l’ouverture automatique de la porte et j’attends. On frappe, je vais ouvrir.
– Ah ! C’est vous ! M’semblait bien que l’adresse me disait quelque chose ! Me dit un homme à l’air intimidé, dans l’entrebâillement de la porte.
Surprise, il n’est absolument pas question d’un « jeune ». Enfin, pas un lycéen, en tout cas ! Sa tête me dit quelque chose, mais pas moyen de le situer.
– Heu, vous n’êtes pas lycéen, vous ?
– Non, non, je suis inscris au cours du soir pour l’alphabétisation. Dit l’homme en rougissant.
– Quoi ? Il y a erreur, je suis supposée donner des cours à des jeunes en difficulté et, heu… Enfin, c’est bizarre !
J’ai sans doute mal lu ce à quoi je m’inscrivais ! Il faut dire que quand j’ai changé de job, j’avais dans la tête des images de queues bien bandées qui se présentaient à ma bouche, et … Enfin, j’avais la tête ailleurs, de tout évidence ! Je savais que ma fac’ organisait des cours pour des jeunes en difficulté et pour des adultes qui devaient réapprendre à lire et à écrire, mais j’étais persuadée de m’être inscrite pour le premier module de cours… Sophie ! Putain ! Enfin, soit ! Ce type était là, au milieu de mon appart’, je n’allais pas le mettre à la porte. Je fis mine de consulter les documents administratifs qu’on m’avait remis quand je m’étais inscrite et, effectivement, j’avais remplis les documents pour les cours pour adultes. D’abord emmerdée, je constatai ensuite que lesdits cours étaient mieux rétribués, donc, je fis comme si de rien n’était et accueilli ce gars.
Tout en lui serrant la main, j’essayais de me rappeler où je l’avais vu auparavant. Lui, semblait connaître mon adresse, en tout cas…
– Vous êtes la copine de Cédric, pas vrai ? Il est pas là ? Demanda-t-il timidement, comme surpris de se retrouver dans la même pièce qu’une femme.
Ça y est ! Oui, je me souvenais ! C’était le gars qui travaillait avec lui au fast-food, le « con de service », comme disait Cédric. Je l’avais vu déjà, une fois où j’étais allée attendre Cédric à la fin de son service. C’était le préposé au nettoyage, le commis de la cuisine. Je me souvenais qu’il m’avait bien matée, cette fois-là. Sans méchanceté aucune, il ne devait pas avoir vu beaucoup de femmes dans sa vie, le pauvre.
– Heu, je, … Non, non, il est absent pour le moment. Vous êtes son collègue, c’est bien juste ? Demandais-je poliment. Sylvain, c’est bien ça ?
Il écarquilla les yeux, comme surpris que quelqu’un se souvienne de lui.
– Oui, oui, c’est bien ça ! Ah oui, c’est pour ça qu’il vient pas, alors. Ouais, je travaille avec lui.
Il avait l’air gêné que ce soit quelqu’un qui le connaisse plus ou moins qui allait lui donner cours de français.
Je lui ai demandé pourquoi il voulait prendre des cours, et il m’a répondu que c’était pour « monter en grade » au boulot, pour pouvoir prendre les commandes des clients et se servir de la caisse enregistreuse. Brave type, pensais-je. C’était tout à son honneur. Je ne pouvais m’empêcher d’avoir de l’empathie pour cet homme, il devait avoir la quarantaine, il travaillait comme commis d’une cuisine de fast-food depuis pas mal de temps, d’après Cédric. Il n’était pas ce qu’on pouvait appeler, un bel homme. Il devait faire 1,70 m, tout au plus, mal habillé, ventru, et pas hyper intelligent, d’après ce que j’avais cru comprendre. Je n’allais pas avoir affaire à un homme à femmes, apparemment. Tout en parlant de banalités, je le détaillais physiquement, donc. Je dois admettre, à son crédit, qu’il était plutôt soigné : certes, pas très bien habillé (t-shirt publicitaire d’une quelconque marque de bière), jean trop large pour lui, baskets blanches pas très à la mode, mais il était propre. Il avait les mains assez soignées, il sentait l’eau de Cologne et avait coiffé le peu de cheveux qu’il lui restait, ce qui lui donnait une allure « passe-partout », malgré ses lunettes épaisses et sa barbe mal rasée. Il ne correspondait pas aux canons de la beauté en vigueur, mais il n’était pas repoussant pour autant non-plus.
Lui, de son côté, ne se privait pas de me détailler, en revanche. Consciemment ou non, j’avais malgré tout fait un effort pour apparaître jolie ; je m’étais maquillée, coiffée, j’avais mis une robe blanche courte au niveau des cuisses et assez décolletée et, détail, je l’avais reçu pieds-nus. Je sais que ça peut paraître sans importance, mais j’avais remarqué que pour les hommes, ça ajoutait une touche sexy à l’allure d’une fille, ça dévoilait une partie du corps et ça laissait sur une légère impression de nudité. Fait exprès ou pas, il me matait plus ou moins indiscrètement et je sentais que j’avais le dessus sur cet homme, et ça m’excitait…
Je l’ai rassuré sur la teneur du cours, en lui proposant quelques exercices de lecture pour commencer. Je voulais qu’il se sente à l’aise, sinon, il arrêterait tout et n’approcherait jamais la caisse enregistreuse, synonyme de progrès social pour lui. Je me découvrais des talents de pédagogue et je le voyais faire des efforts pour comprendre la grammaire, la conjugaison, la syntaxe des phrases que je lui soumettais. C’est ainsi que les deux heures passèrent rapidement et que le cours se termina sur les exercices que je lui donnai à faire pour son prochain cours. Il me demanda si ça allait encore être moi qui lui donnerait cours, mais non, nous étions une vingtaine d’étudiants inscrits à ce programme et nous fonctionnions en tournante. Je le rassurai en lui disant que je transmettrais ses exercices du jour et le contenu de ce qu’il allait devoir préparer à son prochain prof’. Là, il m’a timidement demandé que le fait qu’il prenne des cours d’alphabétisation reste entre nous, que je n’en dise pas un mot à Cédric. Il ne voulait pas que les autres se moquent de lui. Il avait sa sensibilité, et étant une fille respectueuse, je lui assurai de ma discrétion. Après tout, je savais ce que c’était que d’avoir des petits secrets, qui plus est, vis-à-vis de Cédric également…
À cet instant, j’ai eu un flash… Tout s’imbriquait parfaitement, réalisais-je ! Un, je voulais avoir le dessus sur un homme et avec lui, j’étais certaine de mon fait ; deux, je voulais toujours punir Cédric et le punir avec quelqu’un qui le connaissait mais qu’il prenait de haut, c’était idéal pour le punir. De trois, j’avais très envie de baiser… Alex’ m’avait bien calmée ce matin, mais de nouveau, mon ventre en feu avait besoin d’être apaisé…
Je lui ai donc proposé quelque chose à boire et, timidement, en bafouillant, il accepta de prendre un café.
– Installe-toi dans le fauteuil, on sera plus à l’aise ! Lui dis-je, alors que je me dirigeais vers la cuisine, faisant bien exprès d’onduler des fesses. Le tutoyer, alors qu’il continuait à me donner du ‘’vous’’ me donnait un avantage moral sur lui, pensais-je. À tous les coups, le spectacle de mon cul moulé dans ma petite robe n’allait pas le laisser de marbre…
Je commençais à présent à avoir plus confiance en moi, vis-à-vis des hommes et, je savais quelle attitude adopter pour faire monter en eux le désir de palper mes fesses, mes seins… Je devenais une vraie petite cochonne… Je me faisais l’impression d’être une araignée qui avait attrapé sa proie dans sa toile et qui allait se faire une joie de s’en repaître…
Je suis revenue avec un café pour lui, un thé pour moi environ 5 minutes plus tard. Il était assis sur le fauteuil trois places, les mains sur les genoux. Il me regardait comme si j’étais Vénus sortant des eaux. J’allais le dévorer ! Je me suis assise près de lui, sur le côté, jambes croisées de manières à ce que mes pieds puissent toucher ses mollets. Il était tout chose. On a parlé de banalités, de boulot, des cours, etc. Puis, je me suis redressée et me suis approchée de lui, mes pieds frottant son mollet gauche, ma main gauche sur sa cuisse, j’ai fait mine de lui enlever une (soi-disant) peluche sur l’épaule pour mieux le toucher.
– Tu as l’air troublé, Sylvain !
– Heu, je, non, enfin, oui, je veux dire,… C’est que j’ai pas tellement l’habitude qu’une fille si belle me touche… Lâcha-t-il. Je sentais que je le tenais…
– Oh, c’est vrai ? Tu me trouves jolie ? Je feignais l’ignorance, alors que je m’évertuais à l’allumer, pauvre bougre… Je décidai de passer un cran au-dessus.
– Qu’est-ce qui te plaît, chez moi ? Mes jambes ? Mes fesses ? Mes seins… ?
Tout rouge, il dit : – Heu, hem, je oui, tout ça. Vous êtres très jolie… Je vous avais déjà vue, avant, je…
– Tu crois que tu aurais envie de moi, Sylvain… ? Là, j’avais carrément ma main à quelques centimètres de sa queue, à travers son jean. Je frottais sa cuisse en remontant… Je sentais quelque chose à proximité de sa poche qui, de toute évidence, n’était pas un téléphone portable…
– … Il ne dit rien, se contentant de me regarder bouche bée. Il devait se dire qu’on ne vivait ce genre de chose que dans les films, dans les films classés X, de tout évidence…
Je décidai d’aller encore plus loin, en mettant ma main sur son entre-jambe pour palper sa queue à travers son pantalon. Il bandait très fort, apparemment… Sa queue, qui paraissait vouloir jaillir comme un diable de sa boîte semblait de dimension prometteuse… Là, je me suis carrément mise à califourchon sur lui, collant bien mon sexe sur son entre-jambe, ondulant du bassin comme une cochonne. Je voulais la queue de ce mec…
– Apparemment, tu as envie de moi, Sylvain, je me trompe… ?
Toujours aucune réponse. Je glissai lentement vers l’arrière pour me retrouver à genoux devant lui. Il respirait comme un a****l, le souffle court, le visage écarlate. Il n’en revenait pas…
Je lui fis enlever ses baskets et ses chaussettes, puis, je l’ai fait se lever pour défaire la ceinture de son jean trop large qui est tombé presque tout seul à ses pieds. Là, je me suis retrouvée face à cet homme en slip, où un outil de belle dimension se cachait encore, mais plus pour longtemps…
– Tu bandes… Tu as envie de moi… ? Demandais-je, tandis que je faisais glisser les bretelles de ma robe le long de mes épaules, pour me retrouver en soutien-gorge devant lui.
– Ou… Oui, bredouilla-t-il.
Là, j’abaissai son caleçon, et sa queue, d’abord coincée par l’élastique, rebondit fièrement devant moi. Une belle queue, large et longue (d’environ 18 centimètres, à vue d’œil), toute veinée, gonflée de désir, agrémentée d’une belle paire de couilles, rasées, à mon étonnement… Je détaillais sa queue, et vis qu’il était circoncis ; son gland était assez volumineux, mauve et lisse… Je constatai avec plaisir qu’il était très soigné, j’allais essayer de profiter de cette belle queue le plus longtemps possible…
Je le fis se rassoir en enlevant mon soutien-gorge, laissant apparaître ma poitrine qu’il ne cessait de fixer depuis qu’il avait franchi le pas de la porte. Je plongeai mon regard dans le sien, au travers de ses lunettes épaisses, me mordillant la lèvre inférieure…
Je lui fis écarter ses jambes, largement, les mains posées sur ses genoux, tout en m’approchant lentement de sa queue, dressée fièrement devant moi. Sans utiliser mes mains, je collais ma bouche sur ce mât de plaisir, embrassant sa queue, ses couilles, faisant mine de l’emboucher, puis, redescendant le long de sa bite…
Je l’entendis dire : – Non, il ne faut pas, c’est mal, Cédric, je…
C’est ça ! Pensais-je. Si tu crois que je vais te lâcher, maintenant ! Ton sperme suinte déjà de ton gland, je sens son goût sur le coin de mes lèvres… Manifestement, ses couilles étaient pleines, j’allais devoir faire attention de ne pas le faire éjaculer trop vite…
– Chuut… Sifflais-je. Tu as une belle queue, Sylvain, tu sais… ? Je vais te prendre dans ma bouche… Et, joignant, le geste à la parole, je l’embouchai goulument… -Ahooommm… !
J’empoignai délicatement ses couilles, toutes douces, tandis que je pompais sa queue qui, déjà énorme, semblait encore grossir dans ma bouche… J’enroulais ma langue autour de son gland, je frottais sa queue contre mes joues, mon menton, tout en le fixant dans les yeux… J’entrepris de le branler lentement, en léchant ses couilles avec délectation… Le sentant au bord de l’explosion, j’arrêtai de le sucer pour me lever, et enlever complètement ma robe et enfin, mon string. Totalement nue, je me suis mise à califourchon sur lui pour faire pénétrer sa queue dans mon sexe trempé de désir, lequel ne résista pas très longtemps à la taille de sa queue…
J’imprimais le rythme, afin de ne pas le faire éjaculer trop rapidement, toujours.
Je gémissais de plaisir, j’avais envie de baiser et le premier mec qui m’est passé sous la main me servait de jouet sexuel… J’étais aux anges… De son côté, je pense qu’il se croyait toujours au beau milieu d’un rêve érotique, ne revenant pas d’être tombé sur une femelle assoiffée de cul…
Après quelques minutes dans cette position, je me suis couchée sur le dos, le faisant me prendre en missionnaire ; il a enlevé son t-shirt, trempé de sueur dans la chaleur étouffante de l’appart’ mansardé.
Tandis qu’il me pénétrait de plus en plus vite (moi, gémissant de plus en plus fort), je posai mon pied sur son torse, augmentant ainsi mon excitation… Ses lunettes étaient embuées, et il faisait des efforts pour distinguer les éléments autour de lui, mais pas moi, comme si l’instinct sexuel de l’homme l’aidait à y voir clair, concernant mon corps et ses zones érogènes… Je pose enfin mon pied sur sa bouche, qu’il ouvrit pour y faire entrer mes petits orteils… À pareil traitement, et me massant le clitoris comme jamais, j’atteignis mon premier objectif, à savoir mon orgasme…
Quant à lui, quelques secondes après mes cris équivoques, il stoppa net, se retirant d’un coup de mon sexe. Par réflexe, j’ai attrapé sa queue et à peine avais-je commencé à le branler, il hurla comme un a****l blessé, mais pas de douleur, oh, non ! De plaisir, d’un plaisir a****l, d’un mâle qui éjacule dans un orgasme violent…
Un premier jet de foutre frappa mon ventre, bientôt suivit d’un second qui atteignit mes seins… Deux premiers jets puissants qui expulsèrent une quantité phénoménale de foutre, suivis par un troisième jet qui atteignit lui, mon menton et mes lèvres, puis un quatrième qui acheva son envolée sur ma joue gauche et, enfin, plusieurs autres saccades qui terminèrent sur mon ventre, inondant mon nombril de ce liquide épais et crémeux… Son foutre était particulièrement épais, et je devinai que ça devait faire un moment qu’il n’avait plus vidé ses couilles… Heureusement pour moi, pensais-je, telle une perverse… Je me sentais honorée d’avoir pu vider les couilles de cet homme qui à présent, haletais au-dessus de moi et qui paraissait flotter dans l’air, tant il semblait que ses couilles étaient remplies de jus…
Nous sommes restés comme ça quelques secondes, puis, très vite pour un homme de sa corpulence, il se rhabilla, ramassa ses affaires et me lâcha un timide « merci ».
Il claqua la porte derrière lui, dévala les escaliers quatre à quatre et parti dans la nuit.
De rien, cher Sylvain, pensais-je, songeuse, occupée à me frotter les seins avec ce foutre épais, pour finalement prendre de ce jus visqueux du bout des doigts et le déposer sur ma langue, constant qu’il avait un goût plus fort, plus musqué que ceux que j’avais déjà eu à goûter…
Nous avions baisé ainsi 15 minutes à peine, mais ça avait été très intense… Il avait commencé maladroitement, pour terminer de manière plus que correcte, se répandant comme jamais sur moi ; j’étais comblée, pour cette nuit-là, bien que j’aurais apprécié une bonne levrette…
J’avais dominé un homme, sexuellement, et j’en avais éprouvé énormément de plaisir… J’étoffais encore un peu plus mon répertoire sexuel, pensais-je… Ça m’excitait terriblement…
J’aimais de plus en plus les surprises…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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