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Mes femmes

Mes femmes



Il y a quelque temps de ça, je suis rentré de mon travail plus tôt que prévu. Oui, c’était un long weekend et j’avais complètement oublié ça. Donc, en ce vendredi, en tout début d’après-midi, je suis arrivé devant notre villa. Je pensais être seul. La maison est silencieuse, à part les chats qui font les fous entre le premier et le salon. Je me suis fait un truc à manger et je suis monté me changer. C’est en passant devant la porte de notre fille de 21 ans que j’ai entendu du bruit. Le bruit est métallique. Je frappe, j’appelle Cindy, je n’entends que ce bruit de métal sur le parquet de sa chambre. Je frappe encore, ouvre lentement la porte et là, je reste pantois. Ma fille est en petite culotte, pieds et poings solidement attachés les uns avec les autres à l’aide de jolies menottes et muselée par un bâillon boule. J’ai pensé en premier que c’était sa grande sœur qui lui avait joué un très vilain tour. Seulement, quand, près de Cindy, je découvre cette toute petite clef dans sa main gauche, je devine qu’elle s’est mise dans cette position toute seule. Du coup, un peu pervers, je le reconnais, je lui prends la clef.

– Je te laisse mijoter dans ton jus. Disons le temps que ta mère et ta sœur reviennent des boutiques qu’elles auront dévalisées.

– Mmmh.

– C’est juste pour que cela te serve de leçon.

Entre nous, dans mon futal, c’est un volcan qui vient de se réveiller. Sans fermer la porte, je sors et vais me doucher avant de me mettre en tenue genre congé prolongé. Après une petite heure, n’y tenant plus, je remonte voir ma fille. Elle est couchée sur le côté, la culotte comporte une large auréole foncée entre ses cuisses. Il y en a même sur le sol de sa mouille. De me voir, elle pousse des gémissements derrière son bâillon. Je m’approche encore, m’assois sur son lit et la regarde se débattre. Mes coudes sur mes genoux, les mains sur le menton, je l’observe remuer comme un poisson hors de l’eau.

– À te voir, ma chérie, tu aimes t’attacher. En tout cas, tu ne t’es pas offerte de la pacotille, c’est du solide et d’excellente qualité. Bien, tu veux que je te délivre ou tu préfères attendre ta maman et ta frangine ? Oui, tu aimerais que je te délivre. Seulement, moi, je t’aime bien comme ça. Imagine que tu sois toute seule, dans ton état, un cambrioleur, il fait quoi ? Ben oui, il te baise, t’encule et je ne sais quoi d’autre. Imagine s’ils sont plusieurs, leurs mains sur ton joli corps, leur queue dans ton cul, ton vagin et ta bouche. À vrai dire, je m’imagine très bien jouer les voleurs violeurs. Ok, je te pose ta clef sur ta table de nuit, on se voit en bas après.

Je la délaisse, je crois bien qu’elle a remarqué que je bandais. Enfin quoi, on ne fait pas ce genre de combine chez soi, surtout quand on vit chez ses parents. Enfin, j’espère que la leçon portera ses fruits.

Une bonne demi-heure après, je la vois arriver. Ses chevilles et ses poignets portent encore la marque des menottes. Elle n’a ajouté qu’un long tee-shirt à sa culotte. Elle se pose près de moi, appuie sa tête contre mon épaule.

– Merci papa, si tu savais ce que j’ai joui en t’entendant me raconter ces voleurs.

– La prochaine fois, évite de le faire ici, on ne sait jamais. La preuve, je suis rentré plus tôt.

– Pas grave, je me suis même imaginé que c’était toi qui me baisais avant que tu n’arrives.

Je te l’ai couchée en travers de mes cuisses et te l’ai fessée cul nu. Moi, baiser ma fille, et puis quoi encore. Ok, j’ai bandé et alors, bordel, Cindy comme Béatrice sont mes filles, mes trésors. Je ne dis pas, si cela avait été leur mère, elle passait à la casserole sur le champ. Seulement, devant ce petit cul superbe, la force de mes claques sont allées en diminuant jusqu’à devenir de tendre caresse. Mes doigts se sont insinués là où cela fait du bien, sur son sexe, son anus. Puis, j’ai vu le tee-shirt de ma fille tombé sur le sol. Je bande comme un âne, elle le sait, elle la sent, ma queue. Après quelques caresses très intimes, elle jouit dans un très long soupir de bonheur. Nos regards se croisent, je rougis de cette situation qui m’émeut. Elle se redresse, me chevauche et m’embrasse de partout sur mon visage. S’il n’y avait pas eu les rires de ma femme et de mon autre fille, cela se serait terminé avec ma fille empalée sur ma queue.

Très vite, je la repousse, lui montre la porte d’entrée. Des rires encore, Cindy se dégage de moi, ramasse son tee-shirt et, me prenant par la main, m’entraine en haut. Elle me pousse dans la chambre à coucher, me retire mon pantalon gris clair d’intérieur, m’enfile la première chose qu’elle trouve, un short. Au passage, elle abaisse mon slip, lèche ma queue. Je n’ai rien fait pour l’en empêcher. Étais-je devenu si lâche que ça ou avais-je réellement envie de baiser ma fille ? La réponse viendra plus tard. En bas, mes deux autres femmes ne cessent de rire dans la cuisine. Je descends, tentant de rien montrer de mon émoi encore perceptible. En catimini, je me glisse derrière ma femme et la chatouille. Du coup, mon émoi disparaît et derrière moi, comme si de rien n’était, Cindy arrive entièrement vêtue. Ouf, nous étions passés près d’une catastrophe.

C’est quelques semaines plus tard. Les grandes vacances universitaires commencent. J’ai également deux semaines de congé, heures sup, vacances, j’ai de quoi. Alors que Béatrice propose à sa mère et sa sœur s’aller au lac nous baigner, je ne suis pas assez bien pour m’y rendre. Depuis mon levé, un mal de tête me tue à petit feu. Alors que mes trois femmes se préparent, Cindy me regarde en compagnie de sa grande sœur.

– Pas bien le père.

– Non, faut dire que ses maux de tête, quand ça lui prend, il en a pour la journée. Mais bon, heureusement, c’est rare.

– Je crois que je vais rester avec lui.

– Cindy, non, on va…

– Non, je reste, maman.

Et voilà ma femme et ma grande en route pour le lac. Cindy se pose derrière moi, derrière le canapé et me masse délicatement mes tempes. J’avoue que son massage commence à me faire du bien, qu’il amorce même un soulagement de mon mal de tête. Cela dure une bonne dizaine de minutes avant que mon mal finisse par disparaitre presque totalement. Encore une dizaine de minutes et je n’ai plus mal.

– Tu vois, c’est mieux que les médicaments.

– Où tu as appris ça ?

– Ben, je fais médecine et un peu de charlatanisme aussi. Non, je rigole, c’est une amie qui a le même problème récurrent que toi qui m’as montré comment faire.

– En tout cas, c’est terriblement efficace. Tu remercieras ton amie pour moi.

– Dis, papa, tu ne veux pas m’attacher.

S’étant assise en tailleur devant moi, elle m’offre une vue imprenable sur la petite culotte de son tout petit bikini bleu azur. Je ne sais pas si je dois ou pas, l’envie est pourtant telle que je peine à résister. Surtout qu’elle se penche en avant, embrassant mes pieds et les léchant.

– Sois cruel avec ta vilaine et méchante fifille, papa !

Comment résister à ça, je vous le demande. Perso, je bande devant elle et elle sait que j’ai cette érection, mon short est tendu, prêt à se déchirer. Se redressant, sa poitrine glisse sur mes jambes, mes cuisses et se pose sur mon service trois-pièces. Son visage contre mon ventre, elle peut entendre les gargouillis dans mon ventre. Je fais pourtant tout pour ne pas flancher, mais l’appel de la chair est si violent que je la soulève, la couche sur moi, lui tapote ses petites fesses sous sa très courte jupette en tissu éponge. Encore, encore et plus fort daddy, qu’elle me déclare. Je frappe un poil plus fort, retroussant sa jupette. Déjà sa culotte de bain s’assombrit entre ses fines cuisses. Dans un mouvement brusque, elle se dégage de moi, monte quatre à quatre les quelques marches qui nous séparent du premier. Elle en revient avec tout son attirail. Devant moi, elle pose le tout sur la table basse et retire tous ses vêtements. Nue, elle s’agenouille devant moi, en me tournant le dos, ses mains sur ses reins. Cette fois, je n’en peux plus, je craque. Je prends les menottes sans chaine, emprisonne ses poignets. Elle me demande, me supplie de bien les serrer, ce que je fais dans le feu de l’action. Puis c’est au tour de ses chevilles que j’emprisonne en passant la chaine entre les bras. Cindy ne peut plus se relever, aussi, je la retourne, dégageant mon sexe tendu à son maximum. La tenant par sa queue-de-cheval, j’enfonce sa bouche sur ma bite. Nul besoin de la forcer, elle ne voulait que ça, me sucer, cette gourgandine. Sa bouche sur mon sexe, je reste vigilant tout de même, on ne sait jamais. Cela dit, en l’étant, cela retarde d’autant mon éjaculation et me laisse profiter de cette bouche plus longtemps. Au moment de jouir, en père pervers, je retire la bouche de ma fille de quelques centimètres pour lui cracher mon foutre en plein visage. Je n’avais pas dégorgé depuis quelques jours, elle s’en prend plein partout, jusque sur ses jolis seins.

– Bien joué, papa, elle ne méritait pas mieux, la frangine.

Oh merde, Béatrice est rentrée. Je m’attends à voir ma femme débouler ventre à terre juste derrière elle.

– Te fais pas de bile, maman est restée avec des amies.

– Tu ne peux pas prévenir ?

– Oh putain, la belle bite que t’as. Ça va petite sœur ? T’es mignonne attachée comme ça.

– Elle n’a pas détesté. Bon, la clef est sur la table, délivre ta sœur.

– Tu rigoles, j’ai envie qu’elle me bouffe la chatte, cette petite salope.

Sans perdre de temps, elle est aussi nue que sa sœur et sa chatte déjà sur le visage de Cindy qui ne renâcle devant aucun effort pour donner satisfaction à sa grande sœur.

– Tu vois, elle adore ça. Je savais qu’elle aimait s’attacher. On a acheté tout ça ensemble. Parfois, c’est moi qui l’immobilise toute une après-midi dans sa chambre pendant que tu travailles. Et pis… De temps en temps, c’est elle qui…enfin tu vois quoi.

– Eh bien, je vois que je suis loin d’être au courant de tout dans cette maison.

– Ben comme quoi. Maman le sait aussi, elle l’a surprise un jour, comme toi je suppose.

– Pas plus tard qu’il y a trois semaines, pourquoi.

– Maman était en colère, elle lui a flanqué une de ces fessées, comme quand elle était toute petite. La vache, ce qu’elle a ramassé. Sinon, je te plais, mon papounet ?

– Détester serait mentir.

Et là, elle me plaque sa bouche sur la mienne, une main sur ma queue déjà d’attaque. Là encore, je ne résiste pas à ce baiser, cette main si douce qui monte et descend le long de ma bite. Très vite, ma Béatrice jouit de la bouche de sa sœur, lui lâchant un grand flot liqueur d’amour dans la bouche. Moi, j’ai maintenant la bouche de ma grande qui pompe à tout va ma queue. Cette fois, comme pour marquer mon emprise sur mes filles, je dicte le rythme à Béatrice tout en forçant Cindy à lécher sa sœur. Au moment d’éjaculer, même punition que pour Cindy, Béatrice ramasse tout en pleine poire et ses cheveux d’or. Je lance la clef à Cindy en leur disant que dans une demi-heure, leur mère sera de retour.

Je monte me doucher, me changer, mon mal de tête est oublié. Sous la douche, deux petites dévergondées se joignent à moi. Cette fois, c’est remplit de tendresse que nous nous étreignons, que nous nous lavons. Cela aurait pu durer un bon moment si Élisabeth, ma femme n’était rentrée quand on en était encore aux préliminaires. Cela dit, on a vite su quoi faire. Je les laisse sous la douche et fonce mettre un short propre.

– Déjà rentrée ?

– Ben oui, les autres avaient du monde, mais surtout des excuses bidon pour rentrer. Béatrice est là ?

– Elle se douche avec Cindy, pourquoi ?

– Ça tombe bien, faut qu’on parle de Cindy.

– Te fatigue pas, je suis au courant. Je l’ai surprise complètement menottée, y a environ un mois. On en a longuement parlé tous les deux.

– C’est vrai, m’man, papa ma raconter les risques que je prenais en m’attachant avec mes menottes.

– Bien, je préfère ça. La dernière fois, je lui ai mis une fessée. C’est vite dit, elle n’a pas pu s’assoir pendant trois jours.

– Mouais, bon, alors tout va bien.

– Et ton mal de tête ?

– Cindy m’a massé les tempes et tout a disparu comme par enchantement.

Dans la cuisine, ma femme prépare déjà le repas du soir, une bonne grillade sur la terrasse. Cela dit, le temps de faire le feu, Cindy et Béatrice s’amuse à me montrer qu’elle ne porte rien sous leur long tee-shirt. Quand Élisabeth arrive, c’est à croire qu’elles se sont donné le mot. J’ai la queue aussi dure qu’une barre d’acier. Elle aussi ne porte qu’un tee-shirt sur la peau et court avec ça. Cela me permet, près du grill, de lui mettre la main au panier et de gentiment caresser sa croupe toujours aussi merveilleusement désirable. Son baiser n’en est que meilleur et il s’en faut de peu pour que je ne prenne devant nos filles. Assise près de moi, à table, elle me montre qu’elle a une envie folle de faire l’amour. Sa chatte est si humide que sa chaise en subit les conséquences. Bien plus tard, dans notre chambre, je l’honore autant que je peux lui en donner. Pourtant, si je fais l’amour à ma femme, c’est à mes filles que je pense et là, je m’emballe. Je commence à lui dire des mots crus, vulgaires et plus j’en dis, plus ma femme se monter lascive, docile. À croire qu’elle est comme mes filles, de caractère soumise quand on les bouscule. En plus, suprême surprise, Élisabeth insiste pour que je la sodomise. Chose qu’elle m’avait toujours refusé jusqu’à ce jour. Lentement, je prépare son joli cul bien rond. Je dilate son anus, parfois avec ma langue et elle en jouit. Quand mon sexe la pénètre, c’est encore plus fort que moi :

– Après, ma petite cochonne, faudra que tu me la lave tout en douceur.

– OUIII, mon gros cochon. Encule-moi sauvagement, rudoie-moi, ma grosse brute

Pas besoin de répéter deux fois, j’ai bien capté le message. Alors je donne tout ce que j’ai et même la réserve. Je la défonce, lui déchire son cul. Je subodore même que nos filles nous écoutent à travers les murs. Élisabeth ne cesse de pousser des vagissements a****liers. Jamais je ne l’ai connue comme ça. Putain que ça fait du bien de se défouler dans ce cul. Et encore mes mots vulgaires, crus, sales triviaux qui lui font un effet bœuf. Plus je lui en dis, plus elle se rapproche de l’orgasme. C’est elle qui me le dit, me le crie. Elle me supplie de me vider dans son fion. Salope, je vais me gêner, tiens. Quand l’orgasme explose, c’est jour de fête, nous jouissons ensemble, à l’unisson comme la toute première fois. Toute la maison peut nous entendre hurler notre bonheur et même les bois des alentours. Sur son dos, je tombe comme une masse. Elle se dérobe de mon corps, me retourne sur le dos et sa bouche fait ce que je pensais encore comme inconcevable, inimaginable, il n’y a pas trente minutes. Sa bouche, sa langue me lavent mon sexe, me le pompe. Elle en veut encore, c’est clair, mais moi, je suis raide, mort parce que je n’ai plus vingt piges. Enfin, sur mon corps, ses mains se font douces. Je connais ces mains, elles me massent et là, quand elles massent mes tempes, je comprends que je me suis fait avoir. Cindy, ce n’est pas une copine de la fac qui lui a appris à masser, c’est Élisabeth, sa mère, ma propre épouse. Alors, je la bascule sur son dos, en maintenant ses mains sur le lit, bloquant ses jambes des miennes.

– Et si on causait, toi et moi. Je crois que vous me faites un gosse dans le dos, toutes les trois.

– C’est que…

– Pas de mensonge, je peux encore te fesser et pas qu’en douceur.

– Écoute, le jour où j’ai trouvé Cindy, menottée dans sa chambre, elle était avec Béatrice. Je n’ai pas besoin de te faire un dessin.

– Ok et c’est parti en vrille dans une petite partie fine entre vous trois.

– C’est ça. Mais je te le jure, c’était la toute première fois. Bon, depuis, il y en a eu d’autres. La dernière fois, c’est moi qu’elles ont menottée. Pire que tout, j’ai adoré ça. Donc hier, en sachant ton mal de tête, c’est moi qui ai dit à Cindy de rester. C’est encore moi qui ai dit à Béatrice de rentrer, je l’ai déposée près de la ferme des Borloz. Ensuite, je ne suis pas allée au lac, mais visiter un magasin pour nous ramener ce qu’il y a dans le premier tiroir de table de nuit, c’est pour nous.

Un coup d’œil au contenu, quelques paires de menottes, trois bâillons boules et une magnifique petite cravache. Menottée en boule, ma femme m’offre la plus belle des visions sur son cul que je puisse avoir. Je vais enfin pouvoir étrenner cette jolie cravache. Mais avant, je dois savoir quelque chose. En silence, je m’approche de la porte en donnant des coups sur un coussin comme si je fessais mon épouse. En ouvrant brusquement la porte, je découvre mes filles assises sur le sol, en train de se branler comme des folles avec des godes. Cette fois, menotte en main, je vais menotter à tour de bras tout ce petit monde et déposer le tout dans la chambre à coucher. Et d’un pas leste, je vais chercher mes filles qui sont parties au pas de course dans la chambre de Béatrice. Et devinez ce que je trouve dans la chambre de Béatrice, deux petites solidement entravées de menottes, une scène à croquer et des corps à défoncer. Oh ça, on peut dire qu’elles ont l’habitude de s’attacher rapidement. Elles ont eu vite de fait mes petites dévergondées. Bref, je les emmène toutes les deux auprès de leur mère.

– Bien, voilà un joli tableau, trois petites salopes de première. Je me demande ce que je vais faire de vous trois, mettre vos photos sur un site de rencontre ou vous donner en pâture à des sadiques pervers ? Déjà là, faudrait faire des photos. Oui, mes mignonnes, des fois que l’on voudrait me larguer sur le bord de la route. Et puis, c’est plus simple quand j’ai envie. Facebook me les refuserait, mais Messenger ou WhatsApp, vos copines, vos copains, ils vont adorer, eux. On ne bouge plus, le petit oiseau va sortir. Un petit film, non, ne vous cacher pas, vous êtes si belles, toutes le trois ensemble. Là, parfait.

La lumière maintenant éteinte, je me couche contre ma femme, laissant mes filles à même le sol, ruminer sur la suite qui pourrait survenir dès demain. Fatigué, je ne tarde pas à sombrer.

À suivre.

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