Je suis chauffeur routier depuis plus de 20 ans et je parcours le pays en tous sens. Je suis célibataire, pas très grand mais bien foutu. Quand je ne suis pas sur la route je rejoins le weekend mes vieux parents dans une ferme isolée dans le centre du pays où il ne se passe jamais rien. Ma vie privée se confond donc avec la vie de boulot et se passe sur la route où il y a de multiples occasions de s’amuser tout en restant très sérieux au volant de mon semi-remorque.
Les collègues conductrices de poids-lourds sont de plus en plus nombreuses. Elles sont souvent assez jeunes et loin de leur famille en semaine. Elles ont donc comme nous les hommes besoin parfois de décompresser et de se faire plaisir. C’est comme cela que j’ai une liaison avec un petit bout de femme de 50 kg que j’ai rencontré dans un restoroute lors d’une pause le soir avant de reprendre la route de nuit. Nous discutions depuis un moment sur le parking quand elle me dit « Ouah t’as une cabine climatisée, tu me la fais voir ». Nous sommes montés à bord. Elle me plaisait avec sa petite poitrine, son visage doux et ses yeux rieurs. L’ambiance y était. Elle était mariée, avait un enfant et aimait sa famille et son travail. Elle se rapprocha de moi, mis sa main sur ma cuisse et en me regardant droit m’a dit « tu me plais, tu me ferais essayer la couchette ». Nous avons fermé les rideaux et sommes passés tout nu à l’horizontal. Elle m’a fait l’amour très tendrement avec beaucoup de délicatesse et je me suis retenu pour l’amener à l’orgasme. Ensuite elle s’est blottie contre moi et en me caressant les tétons m’a dit « c’était super bon ». Nous avons échangé nos téléphones et de temps en temps quand nos routes se croisent nous avons des moments très câlins que son mari ne soupçonne pas.
Il y a aussi les auto-stoppeuses, de plus en plus rares. D’abord les habituées au long cours qui voyagent comme cela en sachant qu’elles vont payer le trajet avec leur cul. On les reconnait vite car elles sont seules, avec un bagage très léger et cherchent une place directement dans les parkings de camions. Ce sont souvent des grandes gueules qui n’ont peur de rien. J’en ai rencontré une qui est montée à mon bord avec un short en jean percé et un tee-shirt échancré qui n’étaient pas nets. Elle était grande, fumait, avait une voix rauque et avait un parlé vulgaire. Nous avons fait un trajet assez long de nuit. A un moment elle me dit « faut que t’arrête je dois pisser ». En remontant elle me dit « on peut baiser maintenant, j’ai le cul propre ». Je n’avais pas trop envie mais c’était vraiment une belle salope. Elle s’est mise à poil et sans que je lui rien répondu m’a sorti ma queue et m’a sucé avec art. Elle avait dû en tirer de kilomètres avant la mienne. Ensuite elle dit « bon assez bricolé, tu m’as excitée maintenant faut me tringler ». Ce fut fait rapidement avec protection. Elle avait un vagin très chaud. Ensuite elle s’est endormie dans ma couchette jusqu’à l’arrivée.
Il y a aussi les occasionnelles, des étudiantes qui font la route en été avec un copain de leur âge pour partir en vacances. Ce sont souvent des rencontres sympas avec une conversation intéressante. Ils sont jeunes et mignons et pleins de force vitale et de naïveté. Je me souviens d’un tout jeune couple que j’avais chargé pour un trajet de quelques heures. Elle était à côté de moi et lui somnolait contre la portière. Au bout d’un moment elle me dit « il est fatigué, tu pourrais lui prêter la couchette pour qu’il dorme ». Quand il fut endormit elle se rapprocha de moi mis sa main sur ma cuisse et me dit « je suis parti avec lui mais c’est juste un pote de vacances ». Je vis qu’elle avait les yeux brillants et qu’elle regardait la bosse de mon pénis qui prenait forme. Nous avons fait une pause un peu plus loin sur une aire de repos. Son copain ne s’est pas réveillé. Nous avons baisé dans la cabine de toilettes pour handicapés qui est plus grande. Après quelques caresses précises pour nous chauffer, je l’ai prise debout par derrière pendant qu’elle se penchait en s’appuyant des deux mains sur le mur. Son vagin était très serré. Ensuite elle m’a embrassé en me murmurant à l’oreille « j’avais jamais joui comme ça ».
Et puis il y a les pros qui tapinent au bord des routes dès qu’on est près d’une grande ville. On y rencontre de tout du vieux travelo fatigué à la fille à peine majeure et presque vierge. Mais c’est une autre histoire.
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