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Chapitre 4 : PAMELA ET CINDY (2ème partie)

Chapitre 4 : PAMELA ET CINDY (2ème partie)



Pour le weekend suivant, la météo avait prévu un samedi chaud et ensoleillé. Pamela habitait près de l’océan et avait prévu d’aller à la plage avec sa cousine Cindy. Elle m’a proposé, en milieu de semaine de les y retrouver. J’ai accepté avec plaisir.
Je me suis retrouvé sur la plage, les grains se sable chaud s’écoulaient entre mes orteils. Après un rapide tour d’horizon (il n’y avait pas grand monde à cette époque de l’année), je les ai aperçu allongées sur leur serviette. lorsque Pamela m’a vu marchant dans leur direction, elle s’est levée et a couru vers moi. Elle portait un maillot de bain jaune deux pièces qui faisait ressortir sa peau mate. Elle s’est jeté dans mes bras et on s’est embrassé, si heureux de se retrouver après une semaine sans s’être vu. Nous avons ensuite rejoint Cindy. Lorsque cette dernière s’est mise debout pour me saluer, je suis tombé sous le charme par la beauté de son corps, caché sous un bikini noir.
J’ai installé mes affaires à côté de « Pam », les deux filles étaient à nouveau sur le ventre sur leur serviette et d’un bref coup d’oeil j’ai regardé leur popotin. Je ne sais pas si elles m’ont surpris, mais elle se chuchotaient quelque chose qui les faisaient beaucoup rire. Je me suis mis torse nu et j’ai entendu Cindy, qui, voulant être discrète s’était rapprochée de l’oreille de « Pam »:
– Putain, il est bien foutu…
Il est vrai qu’à l’époque, mes abdos étaient beaucoup plus dessinés qu’aujourd’hui. J’ai fait comme si je n’avais rien entendu, mais au fond de moi je me sentais flatté. J’aimais cette situation, je plaisais à ces deux belles créatures, et inversement.
Le soleil brulait nos corps et « Pam m’a demandé de lui crémer le dos. Je me suis assis sur le haut de ses cuisses, j’ai défait le noeud de son maillot et je l’ai massé sensuellement avec la crème solaire. mes mains ont parcouru ses épaules, ses omoplates, ses flancs. Mes doigts sentaient facilement ses côtes, dûe à sa maigreur. « Pam » dit alors:
– Hum c’est super agréable, tu masses super bien.
Cindy envieuse me réclama:
– Moi aussi ça me plairait, tu voudrais bien m’en faire un aussi?
– Oui pas de problème.
J’ai continué à massé « Pam », mais je n’étais plus concentré. Les lunettes de soleil sur le nez, je dévorais du coin de l’oeil le corps de Cindy. Elle était allongée sur le dos, les yeux fermés. J’ai scruté sa bouche, puis sa poitrine, son ventre plat, son nombril terriblement sexy. Mon regard est descendu sur son pubis, j’ai essayé d’identifier une quelconque toison. J’ai poursuivi mon exploration en observant ses jambes luisantes de crème. Je me suis arrêté sur ses pieds. Je ne suis pas fétichiste, mais je les ai trouvé magnifiques. Elle avait de jolis pieds fins, ses orteils étaient longilignes, ses ongles vernis d’un rouge vif, identique à celui de ses ongles de mains. Cela m’a procuré un début d’érection que j’ai essayé de dissimuler à « Pam » en me replaçant plus bas sur ses cuisses. J’étais divisé entre le corps de Cindy et le superbe fessier bombé de « Pam ».

J’ai ensuite entamé la discussion:
– Et toi Cindy, tu es célibataire?
– Oui.
Elle n’a pas eu le temps de finir sa phrase que Pamela a réagit en se moquant d’elle:
– Le jour où Cindy aura un mec, les poules auront des dents…
– Arrêtes de dire n’importe quoi, je suis déjà sorti avec des mecs.-
– Oui, tu parles, ça a duré à peine une semaine.
– J’y peux rien si je suis tombé sur des blaireaux!!!
J’en ai déduis que cette charmante cousine était, elle aussi, vierge de tous rapports sexuels.
J’ai ensuite demandé à Cindy:
-Mais y a t-il un mec qui te plait, sur qui tu as des vues?
-Non aucun répondit-elle séchement.
Elle s’est ensuite levée:
– on va se baigner?
Moi: -oui carrément.
Pam: Oh non pas maintenant, je viens de mettre de la crème et en plus elle doit être froide.
Une fois dans l’eau j’ai demandé à Cindy:
– Ca va? tu as l’air contrariée
– Non, non, ça va, c’est juste qu’elle me saoule avec les histoires de mecs. Tu sais je vous ai menti, il y a bien un mec qui me plait.
-Ha bon et c’est qui?
-Un mec de mon lycée, mais il est déjà en couple. De toute façon il a une mentalité de gamin. Mais je ne dis rien à « Pam » car elle va me prendre la tête sinon.
-Ne t’en fais pas avec ça, mimi comme tu es, tu trouveras bien ton prince charmant.
Ce compliment la fit rougir et elle m’a sourit de plus belle. Nous avons discuté un bon moment ensuite, de tout et de rien. Et finalement, cette nana que j’imaginais, au départ, nunuche et coincée, était vraiment très intéressante, et encore plus quand j’ai vu ses tétons pointés à travers son maillot de bain.
Après être sorti de l’eau, Pamela m’a proposé de venir manger chez elle, ses parents avaient prévu un barbecue.
Cindy habitant, la commune voisine, nous l’avons ramené en voiture. En la déposant devant chez elle, je lui ai glissé discrètement mon numéro de téléphone en lui murmurant que si elle avait besoin de discuter et de se confier, elle pouvait m’appeler.

Arrivé chez « Pam », celle-ci m’a laissé seul avec son père, le temps de prendre une douche.
Patrice m’a offert une bière et j’ai fait connaissance avec ce guadeloupéen très cool.
Soudain, Pamela qui était à l’étage me cria:
– C’est bon j’ai fini, tu peux me rejoindre
J’ai fini ma bière rapidement et je suis monté. Dans le couloir de l’étage, je suis tombé nez à nez avec Mélissa (la soeur de PAM). Elle était enroulée dans une petit serviette, elle allait prendre sa douche à son tour. Cela m’a fortement émoustillé. Entre la vue de cette soeur presque nue et cette cousine en maillot que j’avais maté tout l’après-midi, j’étais plutôt excité. Et ça ne s’est pas arrangé en entrant dans la chambre de Pamela. Elle était en débardeur (sans rien dessous) et en string, devant la porte-miroir de son armoire. Elle se coiffait.

Je suis venu me coller derrière elle et j’ai passé mes mains sous son haut par devant et j’ai caressé son ventre en l’embrassant dans le cou:
– Tu es vraiment belle tu sais…en lui parlant dans le miroir
Elle a passé sa main derrière ma tête pour me caresser les cheveux et j’ai remonté mes mains sur ses seins. elle était presque plate, mais ses petits tétons dressés me prouvait qu’elle était excitée. Je les ai pincé un peu, et je les ai fait rouler sous mes doigts. elle s’est mise à gémir. J’ai gardé ma main gauche sur sa poitrine et j’ai glissé ma main droite dans son string. J’ai caressé sa vulve, elle mouillait telle une fontaine. Puis je l’ai pénétré avec mon majeur. Elle couinait de plus en plus vite. Elle a appuyé ses fesses contre mon sexe raide comme un piquet dans mon short. On se regardait toujours dans le miroir pendant cet acte impudique.
-J’ai trop envie de toi ma puce
-On ne peux pas, il y a mes parents juste en bas.
-Ok alors allonge toi sur lie lit.
Elle s’est installé sur le dos, j’ai déroulé son string le long de ses jambes. Je l’ai tiré par les chevilles, afin que ses fesses soient au bord du lit. Je me suis mis à genoux et j’ai écarté lentement ses cuisses. J’ai en face de moi son abricot tout humide et je lui ai alors prodigué un savoureux cuni. je lui ai chatouillé le clito avec la pointe de ma langue. Elle a sursauté en poussant un petit cri strident. Puis j’ai aspiré son bouton rose. elle n’en pouvait plus, frappant la couette de ses bras.
J’ai ensuite léché ses lèvres, je les ai suçoté en buvant son nectar salé qui coulait le long de ma gorge. J’ai fini par la pénétré avec ma langue, faisant des va-et-vient incessants. Elle miaulait discrètement en se mordant l’avant-bras.
c’est à ce moment là que sa mère a frappé à la porte en nous disant:
-Vous venez manger, c’est prêt.
J’ai eu envie de répondre que j’avais déjà commencé le dîner.
Je me suis relevé et j’ai emballé Pamela avec ma langue pleine de sa cyprine. Elle m’a remercié en me disant que c’était trop bon que j’étais très doué. elle n’était pas objective c’était son premier cunilingus.
Nous sommes descendus pour le repas, Pamela avait les joues encore un peu rosies. Sa soeur avait bien compris qu’il s’était passé quelque chose, mais sa mère cru que c’était parce qu’elle avait pris une douche trop chaude.
On ne s’est pas quitté des yeux de tout le repas.
Puis je suis rentré chez moi, une fois de plus je n’avais rien eu, j’étais un peu frustré et un peu en manque, me demandant quand est ce que j’allais niquer. Cela n’allait pas tarder….

A suivre

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