Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe arabes

Un amour d’esclave – Ch 10

Un amour d’esclave – Ch 10



La leçon

Retour progressif de la teinte D/S que certain me demandaient !

—–

Quand j’avais dit à Eloïse que je pourrais tenir toute la nuit pour lui donner du plaisir, ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Après son premier orgasme, son blocage avait comme disparu : je lui avais montré qu’elle en était capable, elle s’en savait capable. Et elle en a profité. Nous en avons profité tous les deux.

Nous avons littéralement fait l’amour toute la nuit, elle pour ratt****r les orgasmes perdus au cours des années, et moi… moi tout simplement parce que je voulais profiter de son enthousiasme. Nous avons passé en revue les bases de mon Kâma-Sûtra, puis infatigables tous les deux, il a fallu trouver d’autres positions. Eloïse n’y connaissait pas grand-chose, et elle se laissait guider avec plaisir. Elle n’était pas très souple, mais faisait tous les efforts nécessaires pour prendre des positions un peu plus originales.

Pour l’amazone, elle s’est complètement jetée en arrière, prenant appui de ses mains sur mes chevilles. Je n’avais pas besoin de la tenir, elle semblait avoir un bon équilibre toute seule, alors j’ai profité de mes mains libres pour la caresser. Les jambes, les cuisses, mais surtout le sexe. Elle s’est relevée pour regarder ce que je faisais, et a découvert mes doigts en train de fouiller habilement son intimité, ouvrant ses lèvres, dégageant ses poils de mon champ de vision et exhibant ses chairs intimes.

Elle a rougi de gêne mais a continué ses mouvements de bassin sur mon sexe. Elle a joui une énième fois, et nous avons encore changé de position.

« Maitre m’a prise dans Ses bras et a guidé Son sexe en moi, m’invitant à refermer les jambes autour de Sa taille. Quand Il s’est levé, je me suis accrochée à Lui plus fermement pour ne pas tomber, sans risquer de Lui faire perdre l’équilibre. Debout comme ça, Il a commencé à me faire sautiller dans Ses bras pour me faire monter et descendre sur Sa hampe. L’angle de pénétration était encore nouveau, et je sentais que j’allais y prendre beaucoup de plaisir.

Sans s’arrêter, Il a commencé à marcher, je ne pouvais pas voir où, mais j’ai bientôt senti contre mon dos un des coins de la pièce. Il m’a plaquée contre les murs et a accéléré Son mouvement, délesté d’une partie de mon poids. Je ne pouvais plus bouger, bloquée par le mur ou par Ses bras, et risquant de tomber par terre si je faisais un faux mouvement. Je n’ai pas eu d’autre choix que de subir Ses assauts fougueux.

Il m’a dévoré la bouche de baisers pendant que je jouissais, puis Il m’a reposée par terre sur mes pieds. Mais mes jambes tremblaient encore de plaisir et je n’ai pas pu me tenir debout correctement. Je suis tombée à genoux à Ses pieds, toute tremblotante de mon plaisir, et j’ai enlacé Sa taille, mon visage collé sur Son sexe. Lui, moqueur, m’a lancé

– Fatiguée ?
– non, encore !!! »

Infatigable je disais…

Eloïse a de nouveau englouti mon membre jusqu’à la garde, et les mouvements de sa gorge ont failli me faire jouir. Je me réservais pour notre dernier corps à corps, et nous avions encore assez d’énergie tous les deux pour faire durer nos ébats un peu plus longtemps.

Je me suis dégagé en laissant couler un fil de bave le long de son menton, puis sur le sol. Je l’ai désigné du doigt, et, soumise, elle s’est mise à quatre pattes pour nettoyer avec la langue, comme je lui faisais régulièrement faire avec son jus à elle. A voir la couleur de ses joues, je savais qu’elle trouvait toujours cela extrêmement dégradant. J’ai juste regretté qu’Amandine se soit endormie sur le fauteuil, lui offrir un public aurait été encore plus plaisant.

Un dernier coup de langue, puis elle s’est redressée vers moi, toute souriante, semblant m’en demander encore et encore. Je l’ai délicatement couché sur le tapis, puis je l’ai prise a même le sol. Cette fois ci, je lui ai attrapé les poignets et je les ai immobilisés loin au-dessus de sa tête, l’obligeant à arquer son corps et mettre en avant sa superbe poitrine que je n’ai pas pu me retenir de dévorer.

«Au fur et à mesure de mes orgasmes, je me faisais de plus en plus soumise, espérant encourager Maitre à continuer à me prendre encore un peu. Lui répondait en se montrant de plus en plus dominant, pour mon plus grand plaisir. Après m’avoir baisée par terre sur sa descente de lit, Il m’a soulevée dans ses bras et m’a carrément jetée sur Son lit ! Son matelas moelleux a parfaitement amorti mon atterrissage, mais il y avait quelque chose dans cette action d’incroyablement autoritaire.

Soumise par la puissance de Maitre, j’ai ouvert les jambes pour l’accueillir en moi pendant qu’il s’approchait du lit. Pas de caresses, pas d’avertissement, avant que Son membre ne replonge de nouveau en moi en m’arrachant un cri de plaisir. J’étais Sa chose, Son objet de plaisir et Il se servait de moi comme Il le désirait. Cette pensée m’a faite devenir encore plus chienne que je ne l’étais et j’ai redoublé d’ardeur pour satisfaire Maitre en tout ce qu’Il me demanderait.

Les minutes devenaient des heures, et dehors l’aube commençait à poindre. Mais même après tant d’heures passées à faire l’amour, ni Maitre ni moi ne voulions déjà arrêter. Il s’est levé pour aller nous chercher une bouteille d’eau, et en partant de la pièce, Il m’a lancé tout simplement

– quatre pattes

Je me suis immédiatement mise en levrette, attendant qu’Il ne revienne pour me prendre dans cette position. Ça n’a pas manqué ! Il m’a tendu la bouteille d’eau pour que je boive, puis une fois désaltérée, je me suis cambrée pour l’inviter en moi. Il m’a attrapé les poignets dans le bas du dos et m’a pénétrée assez sauvagement. Sans mes mains pour garder l’équilibre, je me suis effondrée dans son matelas, la tête dans l’oreiller pour ne pas hurler de plaisir a chacun de Ses coups de reins.

J’ai encore joui… Combien de fois avais-je joui pendant la nuit, je ne saurais pas m’en rappeler. Pas assez, tout simplement. Maitre m’avait fait découvrir cette incroyable sensation de l’orgasme pendant l’amour, et il dépassait de loin tous les autres orgasmes, même ceux qu’Il avait pu me donner en me caressant.

Cette fois, point de répit. Je ne m’étais pas encore remise de mon orgasme que Maitre s’appuyait de tous son poids sur moi et m’obligeait à me coucher à plat ventre sur le matelas. Il m’a écarté les fesses en grand, puis sans prendre le temps de se reposer lui non plus, Il m’a bourrée tellement énergiquement que j’en ai eu l’impression qu’Il voulait me clouer à son lit !

Son pubis claquait si fort contre mes fesses que j’en avais presque mal… Je mordais les draps de son lit pour ne pas crier, mais même comme ça j’ai eu peur de réveiller mademoiselle Amandine. Maitre s’est couché sur moi en calmant un peu ses coups de reins, puis Il m’a grignoté l’oreille du bout des dents.

– Ça te plait ma Câline ?

Son souffle, ses assauts, et surtout l’entendre m’appeler pour la première fois par mon nom de chienne m’ont à nouveau faite exploser, et même avec Lui sur le dos j’ai décollé du matelas tant mes spasmes étaient violents. Il a roulé sur le dos à côté de moi et m’a caressée gentiment pendant que je reprenais mes esprits

– On dirait oui !

J’ai rigolé en grimpant sur Lui et en lovant ma tête contre son torse, caressant ses bras, jouant avec ses mains tendrement. Il semblait finalement être épuisé, et je dois avouer que je commençais à avoir moi aussi un sacré coup de barre ! Mais Maitre n’avait pas encore joui, et je ne voulais pas que nous terminions cette folle nuit sans Lui avoir offert le meilleur des orgasmes. »

« – Encore, Maitre ? »

Je l’ai regardée les yeux ronds, impressionné par son endurance et son appétit. J’étais complètement lessivé, mais pour ma petite soumise, j’étais prêt à continuer l’aventure. Je lui ai fait un signe de tête approbateur, et cette fois elle a eu l’air de vouloir prendre les choses en main.

« – Asseyez-vous, Maitre, je reviens ! »

Elle s’est éclipsée de la pièce en me montrant ses superbes fesses bouger au rythme de ses pas, et elle est revenue presqu’aussitôt, agitant au bout d’une main les boules de geisha que je lui avais offertes plus tôt dans la journée. Elle est montée à quatre pattes sur le lit, ondulant de tout son corps tel un félin, portant les boules de geisha dans sa bouche. Délicatement, elle les a enroulées autour de mon sexe… Je ne voyais toujours pas où elle voulait en venir, mais j’ai compris quand elle s’est mise à califourchon sur moi.

J’ai pu l’aider à tenir le jouet en place pendant qu’elle descendait sur moi. Après quelques efforts et des grimaces, elle a réussi à faire entrer mon sexe entouré des boules de geisha dans son fourreau grand ouvert. J’étais soufflé !!! Nous nous sommes installés plus confortablement, moi appuyé contre le mur, elle m’enlaçant de ses bras et plaquant sa poitrine contre mon torse.

Son visage avait un air de pur bonheur. Les dimensions impressionnantes de mon sexe entouré des boules de geisha ne l’avait absolument pas dérangée pour me prendre en elle, et maintenant elle semblait sur le point de jouir rien qu’en profitant de la position. Quand elle a activé les vibrations de son jouet, nous avons tous les deux gémi de concert. Elle les a réglé sur la plus faible puissance, a trouvé un rythme de vibration original, puis a lancé la télécommande sur un coussin dans un coin de la pièce, l’air espiègle : elle nous condamnait à jouir dans cette position !

Nous sommes restés sans bouger, les vibrations nous faisant monter très lentement. Au bout de quelques minutes, elle a poussé un petit cri mignon en se collant un peu plus contre moi. Malgré tous les orgasmes qu’elle avait eus pendant la nuit, elle semblait toujours capable de jouir. Je n’ai pas tardé à la rejoindre, et notre plaisir a monté crescendo tous les deux.

Nos cris qui se faisaient de plus en plus sensuels ont fini par réveiller Amandine qui nous a découverts dans cette étrange position, collés l’un contre l’autre, sans bouger mais semblant prendre autant de plaisir que lors d’un fougueux corps à corps. Du coin de l’œil, je l’ai vue glisser sa main dans son pantalon et se caresser pour prendre du plaisir avec nous.

Front contre front, nez contre nez, je regardais la jouissance monter dans les yeux à moitié clos d’Eloïse, et elle regardait mon orgasme monter dans les miens.

« Ni Maitre ni moi n’allions pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Nous tremblions de tout notre corps, et j’ai dû m’accrocher à Son cou pour ne pas perdre l’équilibre.

– Je vais jouir Maitre !
– moi aussi !!!
– ensemble ?

Parfaitement synchronisés, nous avons poussé notre ultime cri de jouissance en même temps. Après m’être retenue toute la nuit, j’ai fini par éjaculer sur les cuisses et le ventre de Maitre, mais il n’en n’a pas eu l’air gêné. Lui aussi a joui en moi, et j’ai senti Son sexe tressauter en se vidant dans mon vagin. Lui qui faisait toujours en sorte de m’obliger à m’auto humilier en récoltant Sa semence jusqu’à la dernière goutte, cette fois il me faisait l’honneur de me l’offrir au plus profond de mon corps.

Il s’est allongé sur les draps trempés de Son lit et m’a entrainée avec lui. Nous aurions dû changer les draps et aller nous doucher, mais épuisés comme nous l’étions nous nous sommes simplement écroulés dans un sommeil de bienheureux. »

Amandine nous a quittés dans la matinée, avant que nous ne soyons réveillés, en nous laissant un petit message de remerciements pour le spectacle de la soirée. Elle n’avait pas tenu la totalité, mais en observant notre dernier orgasme, elle avait semblée captivée par le lien entre Eloïse et moi.

Le reste du weekend s’est passé de la même manière : Eloïse et moi avons quasiment passé deux jours à nous exciter mutuellement. Plus d’une fois quand elle me tendait sa croupe je n’avais pas résisté à l’envie de la prendre, par terre, sur le canapé, sur la table de la cuisine. Elle, m’impressionnant par son contrôle de ses pulsions, attendait bien sagement mon ordre pour me sucer, m’offrir une nouvelle gorge profonde, ou s’empaler sur moi.

Puis le grand soir est arrivé !

En sortant du travail, j’étais passé à l’a****lerie pour récupérer notre commande puis j’étais rentré tôt chez moi. J’avais invité Amandine pour le diner, Eloïse aurait un public pour cette nouvelle séance. Et j’avais une autre idée en tête. Je voyais bien qu’Amandine voulait participer à nos jeux, qu’elle voulait retrouver ses instincts de dominatrice… Quant à Eloïse, il suffisait de remarquer comme elle dévorait Amandine des yeux pour comprendre qu’elle ne désirait qu’être livrée à elle. Quand j’imaginais les deux femmes de ma vie jouer ensemble, c’était une image réellement sublime !

Eloïse est arrivée vers 19 heures, toute enthousiaste et très impatiente, mais nous avons attendu Amandine qui est arrivée une petite heure plus tard. Elle m’a embrassé amoureusement sous le regard d’Eloïse où il n’y avait plus la moindre trace de jalousie. Au contraire, elle semblait heureuse de nous voir aussi bien l’un avec l’autre. Après tout, c’était grâce à elle que j’avais rencontré Amandine. Je n’avais pas eu l’occasion de la remercier pour cela, mais c’était chose qui ne saurait tarder.

Eloïse se tenait sur ses talons à nos pieds, et elle a rougi en ronronnant de plaisir quand Amandine l’a embrassée délicatement sur le front.

« – Bonjour ma belle
– Bonjour mademoiselle Amandine ! Vous êtes très belle aujourd’hui !
– Merci bien ! »

Amandine était effectivement radieuse. Elle n’avait pas la classe de la dernière fois, mais même un simple jean et un chemisier lui allaient à merveille. A nouveau, j’ai remarqué Eloïse qui la dévorait littéralement des yeux, la déshabillant du regard. Mais il y avait aussi un soupçon de tristesse dans ce regard, elle pensait surement que jamais je ne la laisserais vivre son rêve. C’était bien mal me connaitre pour ma petite esclave adorée !

Amandine non plus n’était pas indifférente aux charmes d’Eloïse, et elle la regardait avec autant de plaisir que moi. Elle profitait de sa nudité pour regarder son corps dans les moindres détails. Je n’étais pas le seul à trouver mon esclave très désirable : il me restait à montrer cela à Eloïse de la meilleure façon qui soit.

« – tu voudrais que je t’apprenne à t’en servir mon cœur ? »

Mes deux femmes ont répondu à l’affirmative en même temps, Eloïse baissant les yeux en réalisant que je ne m’adressais pas à elle. Mais c’était trop tard, Amandine l’avait entendue, et elle semblait bien décidée à jouer avec elle.

« – Oui, j’adorerai ! Ta petite esclave est décidément très excitante…
– Et toi Eloïse, tu n’as rien contre le fait que j’autorise Amandine à se servir de toi ?
– Oh non Maitre !
– Parfait, nous verrons ça tout à l’heure, alors ! Viens Eloïse, allons ouvrir ton cadeau ! »

« J’ai suivi Maitre et mademoiselle Amandine dans le salon et je me suis tenue face à eux pendant qu’ils s’asseyaient sur le canapé. Sur la table basse, entre eux et moi, le sachet en papier de l’a****lerie, avec mon « cadeau » dedans, mon collier de chienne et la laisse. Je n’avais évidemment jamais porté ce type de collier avant, et si l’idée m’excitait énormément, j’avais un peu peur qu’il ne m’irrite, ou ne me gêne.

Maitre à vidé le sac sur la table basse et j’ai revu le collier, une belle pièce en cuir avec un petit médaillon marqué du nom que Maitre et mademoiselle Amandine voulaient me donner : Câline. J’étais infiniment reconnaissante envers elle d’avoir proposé ce nom. Non seulement il ne me dérangeait pas plus que ça, mais il me plaisait presque… Je me reconnaissais dans ce nom. J’étais toujours très tendre, très câline avec Maitre, et savoir qu’Il le reconnaissait était très motivant pour moi.

Maitre a poussé le collier vers moi et a mis de côté la laisse et la gamelle.

– C’est une étape importante que nous voulons faire ce soir Eloïse. « Câline » est un nom que tu porterais très bien, mais si tu veux l’accepter, c’est comme ça que nous t’appellerions, quelles que soient les circonstances…
– Je comprends Maitre.
– je veux que tu réfléchisses si tu es prête à faire ce pas.

Étais-je prête à laisser Eloïse derrière moi et devenir Câline ? Maitre aimait Eloïse pour ses doutes, ses imperfections, ses peurs… Câline serait-elle plus parfaite ? Maitre l’aimerait il moins ?

J’ai regardé alternativement Maitre et mademoiselle Amandine… Quel que soit mon nom, ces deux personnes m’aimeraient tout autant. Le collier et le nom, c’était pour moi un simple pas de plus dans ma soumission totale à Maitre. Et quel pas !!! Un nom et un accessoire qui me réduiraient à être Sa chienne.

Me réduiraient… le terme était si mal choisi que j’en ai presque rigolé…

C’était ce que je désirais le plus au monde. »

Eloïse a pris le collier et a avancé à genoux vers le canapé. Les yeux implorants, elle a levé ses mains en offrande en me tendant le collier.

« – J’aimerais devenir Votre chienne Maitre. J’aimerais porter ce collier que je Vous tend pour montrer que je suis Votre propriété »

Je lui ai souri en réponse et elle a continué de s’approcher. Quand je lui ai pris le collier… son collier, des mains, elle a penché la tête en arrière pour m’offrir son cou. Je me rappelais des conseils de la vendeuse, ces mêmes conseils qui avaient motivé Eloïse à porter un collier pour chien alors qu’elle était rentrée dans la boutique à reculons… Associer le collier à de la tendresse…

Je l’ai invitée à grimper sur mes genoux, et elle s’est roulée en boule, la tête posée sur mes cuisses. Elle adorait cette position, elle la trouvait très reposante, aussi humiliante qu’elle puisse paraitre au premier abord. Cette fois, elle avait aussi les pieds posés sur les cuisses d’Amandine, qui était assise à côté de nous. Ma compagne lui caressait la jambe de bas en haut, faisant frissonner Eloïse… de désir, très certainement…

Je lui ai soulevé la tête pour pouvoir passer le collier ouvert sous son cou, puis je l’ai reposée avant de reprendre mes caresses. Elle a fermé les yeux en soupirant de bonheur entre les tendresses d’Amandine et les mienne. En refermant le collier, je me suis penché sur elle pour lui embrasser le front, réglant la taille du collier pour ne pas la gêner outre mesure. Il était parfait, il semblait avoir été fait pour elle.

Les yeux pleins d’émotion, elle a passé sa main autour de son cou pour ajuster le collier, je l’ai aidée un peu, mais mes gestes étaient maladroits devant la beauté de mon esclave ainsi parée.

« – Il te va très bien Câline !
– Merci Maitre !!! »

Féline et habile, elle a roulé de nos genoux et a atterri à quatre pattes sur le tapis à nos pieds. Elle s’est tournée vers la table basse et a pris la laisse qui trainait dans sa bouche, pour me la tendre, les yeux pétillants de malice.

« – Tu veux faire une promenade ma grande ?
– wouf ! »

Nous avons ri tous les trois. J’ai passé le mousqueton de la laisse dans l’anneau du collier de Câline et je me suis levé, me laissant entrainer là où elle voulait m’emmener. Elle a jeté son dévolu sur le miroir mural de mon couloir, et s’est tenue en face pour se regarder. Moi je l’admirais.

« Contrairement à ce que j’avais pu en penser, sentir le cuir du collier sur la peau de mon cou n’était pas une sensation désagréable. A vrai dire, je n’aurais pas vraiment su la décrire… Un rien humiliante bien évidemment, et quand Maitre tirait légèrement sur ma laisse Il me rendait la respiration un peu plus difficile.

Certes, si un inconnu me voyait porter ce collier, je serais passée pour une perverse, une chienne ou une malade à interner…

Mais avec ce collier de chienne autour de mon cou, Maitre pouvait me prendre sans tendresse, m’utiliser brutalement, abuser de ma bouche comme Il le voulait, m’infliger les pires punitions si je Lui désobéissais, au moins ce collier me rappelait que j’étais Sa propriété. Et une propriété, on la protège, on la garde, on veut lui faire gagner de la valeur !

Alors j’ai eu envie de courir dehors, de hurler sur les toits : regardez mon collier de chienne, traitez moi de perverse, de chienne ou de malade à interner, je n’en n’ai rien à faire !!! Je sais que Maitre sera content de voir le pouvoir qu’il a sur moi, et moi je serais contente de voir que je peux le rendre content. Puis je m’avancerai vers lui à quatre pattes, et quoiqu’il me demande, je le ferai, en espérant pouvoir le rendre heureux. Et avec ce collier de chienne autour de mon cou, je serai alors heureuse.

Je suis restée un long moment à me regarder dans le miroir, Maitre était debout à côté de moi et me regardait aussi. Je souriais, j’étais heureuse d’être avec Lui. J’ai glissé mon cou contre Sa jambe et je me suis redressée vers Lui.

– Merci Maitre !
– de rien ma toute belle. Tu as soif, tu veux boire quelque chose ?
– Oh oui Maitre !

Je suis reparti à Sa suite, toujours tenue en laisse et nous sommes retournés vers mademoiselle Amandine, qui me regardait marcher à quatre pattes d’un air admiratif. Maitre est passé à la cuisine et est revenu avec une bouteille de lait. Il m’en a servi un fond dans ma nouvelle gamelle et l’a poussée délicatement vers moi. J’étais décidément très joueuse ce soir, je me suis mise à laper le lait comme une petite chatte.

Maitre est retourné s’asseoir à coté de mademoiselle Amandine, et après l’avoir embrassée, Il a commencé à lui expliquer comment bien m’utiliser. Je n’en perdais pas une miette en buvant mon lait…

– Câline est une petite esclave extraordinaire si tu sais comment t’occuper d’elle
– Je te crois sur parole et je ne demande qu’à apprendre
– Tu vois, il y a deux Câline en fait… Celle que tu vois maintenant, soumise et joueuse, mais encore timide et peu sure de ses charmes. Et puis celle que tu verras tout à l’heure : non plus soumise mais offerte, non plus joueuse mais passionnée. De timide, elle deviendrait presque innocente et crois-moi, sa seule inquiétude sera alors de ne pas arriver à te donner du plaisir. Mais à cela elle y met tout son cœur !

J’ai regardé Maitre, impressionnée par cette connaissance qu’Il avait de moi »

« – La clef pour passer avec elle des moments inoubliables, c’est donc de savoir comment transformer notre Câline toute calme en une Câline…explosive ! »

J’ai fait signe à Câline d’approcher, et j’ai pris sa tête entre mes mains pour embrasser son front.

« – C’est elle-même qui t’offre ce cadeau… Elle se dégoupille toute seule… Comme elle est très motivée et désireuse de découvrir de nouvelle chose, elle est très obéissante. Tu dois donc lui donner des ordres qui la mènent dans ce sens. Mais lentement, discrètement. Tu l’embrasses furtivement, une fois, deux fois, trois fois… le rideau monte et la séance commence »

J’ai passé ma main devant ses yeux pour la mettre dans le noir et j’ai continué

« – Tu dois prendre le contrôle de chacun de ses sens, l’un après l’autre. Pas l’en priver, non…mais les dominer, choisir ce qu’elle ressent. Les yeux fermés comme cela, elle ne peut que rêver que tu es en train de te mettre nue à côté d’elle. Est-ce que tu la regarde, est ce qu’elle doit se mettre en valeur ou bien est-ce qu’en réalité tu es partie ? »

Amandine buvait mes paroles en regardant fixement Câline frissonner dans mes bras. Elle s’est encore rapprochée de moi, et a posé sa tête sur mon épaule.

« – Continue s’il te plait
– Ensuite vient le plaisir. Une fois que tu contrôles quelques-uns de ses sens, tu peux commencer à lui donner du plaisir. Tu ne dois pas avoir peur qu’elle jouisse trop rapidement : déjà parce qu’elle demandera la permission, ensuite parce que tu sais ce qu’elle ressent. Elle ressent ce que tu veux. Vas-y, demande lui de se donner du plaisir.
– Caresses toi Câline.
– Oui mademoiselle Amandine.
– Pendant qu’elle se caresse, elle baisse sa garde, et tu peux envahir ses autres sens. T’entendre souffler à son oreille que tu aimes ce qu’elle fait, que tu la regardes se donner du plaisir et qu’elle te donne envie d’en prendre…. Imagines l’état dans lequel tu la mets…
– mmmmmmmmh…
– Tu flattes la peau de son cou, ses joues… Elle tremble, elle ne sait plus d’où vient le plaisir… De ses doigts ou des tiens ? Tu sens l’odeur de son sexe et tu réalises qu’elle se sent elle aussi… Est-ce que c’est ce que tu veux ? Moi je veux qu’elle me sente moi, alors je l’embrasse, je passe ma langue sur son visage je veux que le plaisir qui est en train de monter en elle soit associé à mon haleine, à l’odeur de ma peau. »

Du coin de l’œil, j’ai vu Amandine qui transpirait, clairement excitée par la situation… Elle a enlevé son petit pull et l’a jeté à côté d’elle. Je voyais une petite bosse au niveau de ses tétons qui ne me laissait plus aucun doute sur son état.

« – Le spectacle qu’elle t’offre suffit pour t’exciter, alors tu te caresses aussi. Elle l’entend, tes gémissements, les frôlements du tissu sur ta peau… Tout ça lui dit que tu aimes ce qu’elle fait. Puis tu la vois trembler, tu l’entends soupirer, et même si elle le cache pour en profiter un peu plus longtemps, tu devines qu’elle se rapproche de l’orgasme. Alors tu lui rappelle que sa jouissance est sa récompense pour son obéissance, qu’elle t’appartient autant qu’elle-même t’appartient, et tu lui ordonnes d’arrêter.
– Câline, stop…
– A contrecœur, elle obéit, et ses mains reviennent dans son dos. Elle a le bas ventre encore tremblant et le souffle court. Tu te demandes à quel point elle s’est rapprochée de sa récompense, et tu glisses un doigt en elle, pas pour lui donner du plaisir, juste pour te renseigner. A ce moment, tu peux libérer ta main qui cachait ses yeux… Elle a compris que les yeux fermés elle te rend heureuse alors elle garde les yeux fermés. Cette main peut rejoindre l’autre dans ses caresses, et peu à peu, Câline recommence à respirer plus fort, sans qu’elle n’ait besoin de se toucher. Ta peau sur sa peau l’électrise, tes mots dans ses oreilles la transportent, ton visage sur ses paupières lui sourit, et ton doigt dans sa bouche lui fait prendre conscience qu’elle est beaucoup plus excitée qu’elle ne le pensait.

« Alors je suis à Vous…

– Ses sens lui disent que sa récompense, sa jouissance, c’est toi. Tu les libère un par un, elle inspire à pleins poumons, elle cligne des yeux éblouie par la lumière… et elle découvre que cette grande illusion qu’elle s’était construite, cette grande illusion qui lui avait fait prendre tant de plaisir, c’est en fait la réalité. Que tu es là, qu’elle te sent, que ses oreilles résonnent encore de tes compliments…

Maitre a attrapé mes seins et les a pressés contre ma poitrine, bloquant presque ma respiration. Ce qu’il me restait de souffle, Sa bouche me l’a pris en m’embrassant, puis aussi soudainement Il m’a libérée et son baiser est devenu plus doux.

– Là, tu choisis comme tu la veux : sauvage ou tendre, offerte ou prise, chienne ou chatte… Tu lui redonnes l’ordre de se donner du plaisir. Elle essaye, réessaye, encore et encore, mais son corps ne lui appartiens plus, il est à toi… Il a gouté aux plaisirs que tu pouvais lui procurer et ne veut plus de ses doigts, il veut les tiens. Elle est obéissante, tu lui as donné l’ordre de prendre du plaisir, elle veut s’en donner absolument.

Je me caressais frénétiquement le sexe d’une main, puis des deux. L’effort me faisait transpirer à grosses gouttes, mais la seule chose que j’arrivais à faire était des bruits de succion entre ma mouille et mes doigts…

– Elle lutte un moment puis elle s’avoue vaincue, elle reconnait que toi seule peut lui donner du plaisir désormais. Alors elle te regarde, et tu vois dans ses yeux qu’elle fera tout ce que tu lui demandes pour que tu veuilles bien lui redonner un peu de ce plaisir. Tu n’es pas cruelle, tu la rassures, tu lui fais comprendre par ta tendresse que tu n’attends pas qu’elle dépasse ses limites pour te satisfaire, puis tu lui redonnes un avant-gout de ce que tu lui réserves. Son esprit est à toi, son cœur est à toi et son corps aussi. Tu joues avec elle le temps que tu veux, puis tu te souviens que tu es sa récompense. Alors comme elle s’est offerte à toi, toi tu t’offres à elle. Tu la laisse te combler, te donner ce plaisir qu’elle ne peut pas se donner. Elle se donne à toi comme jamais elle n’a appartenu à personne, puis c’est son tour. Et elle jouit, encore, encore et encore, tant que tu le décides, tant que tu as de la force pour la faire jouir et tant qu’elle en a pour le supporter.»

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire