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un divorce compliqué

un divorce compliqué



Mes parents ont décidé de divorcer subitement, en fait ça faisait des années qu’ils parlaient moins ensemble, et même au moment des vacances ils avaient du mal à passer une journée sans se crier après. Nous vivions dans une belle maison bourgeoise dans le sud de la France. Mon père avait une profession liberale qui lui permettait de bien gagner sa vie. Ma mère avait travaillé avec lui comme secrétaire, mais sans jamais être déclarée.
Elle avait toujours été assez autoritaire avec moi. Elle devait tenir ça de sa propre éducation à elle, ses parents avaient toujours été très autoritaire. Mais je pense aussi qu’elle était assez accablée par sa vie conjugale, et de ne pas avoir le moral au beau fixe faisait qu’elle s’énervait ou s’emportait facilement.
J’ai eu mes premières expériences sexuelles avec la lingerie de ma mère. Je trouvais sa lingerie fine, en dentelle, particulièrement belle et excitante. Je l’imaginais porter ces culottes, et me disais aussi qu’elles ne devaient pas cacher grand chose (peu de tissu, et beaucoup de transparence). La première fois que je me suis branlé de ma vie, c’est en ayant une erection devant les culottes de ma mère, et je me suis branlé en frottant ma queue contre l’une de ses culottes. Je me rappelle avoir été surpris lorsque mon sperme a giclé, et que j’ai ressenti un immense soulagement m’envahir, mais aussi immédiatement après de la culpabilité, et la peur de me faire att****r car il y avait du sperme un peu partout. J’ai du tout nettoyer de mon mieux.
J’ai recommencé cela encore à deux reprises sur quelques années, après deux grosses engueulades de ma mère (à cause de mes résultats scolaires), où à chaque fois elle m’avait donné une gifle après m’avoir crié dessus. Elle pétait complètement les plombs dans ces cas là.
Donc, je me soulageais, et me vengeais un peu aussi, en baisant les culottes de ma mère, je me rappelle avoir bien pris mon temps à chaque fois, et avoir eu la dentelle de sa culotte tellement contre mon gland que mes jets de sperme avaient giclé au travers.
Quand ça péta entre mon père et ma mère, ma mère était complètement hors d’elle. Je ne sais pas ce qui a été déclencheur, mais elle était furieuse. Elle n’a pas giflé mon père, mais elle a cassé pas mal de choses dans la maison, elle a appelé ses parents pour les prévenir, elle a fait une valise, et elle m’a pris par la main.
Mon père a vendu la maison un mois après, et il est parti à l’étranger, on suppose en Thaïlande. Il a cessé toute activité. Je n’ai eu que très peu de nouvelle de sa part. En gros, il me disait de vivre ma vie. Voilà.
On a vécu chez mes grands parents pendant deux semaines, le temps de trouver un appartement.
J’avais tout juste 18 ans, j’avais bossé juste après le bac dans une agence immobilière pour faire un essai, et cela m’avait plu, les clients me trouvaient dynamique et le fait que je sois « jeune » mais « volontaire » plaisait assez. J’avais fait deux ventes, ce qui m’avait apporté de belles commissions. Et j’ai pu chercher de façon un peu plus facile un nouveau logement pour ma mère et moi.
Malheureusement, avec un contrat comme le miens, et ma mère sans travail, et qui ne pouvait prétendre à aucun chômage, ce ne fut pas très simple. La meilleur chose que je pus trouver, ce fut un studio de 17m2. Ce n’était pas le Perou, mais je me disais que c’était déjà ça pour commencer.
De toute façon, mes grands parents habitaient loin de la ville et ce n’était évident d’être chez eux (ma mère ne le supportait pas trop, il faut dire que mon grand père n’arretait pas de dire que le mariage était quelque chose de sacré, etc…)
On s’est intallé au studio debut Juillet, et grace à l’argent obtenu par mes deux ventes, on a pu acheter quelques meubles. Un soucis se fit vite : il n’y avait pas la place pour deux lits, ou un lit et un canapé lit. On prendrait donc un seul lit. En attendant que les choses s’améliorent.
Le premier soir, on avait fini de ranger nos affaires tard, et honnetement nous étions fatigués. Ma mère alla se prendre une douche, tandis que j’allais chercher des pizzas au coin de la rue, et quand je remontais, elle avait allumé la télé, et sortait des couverts, et ne portait qu’une culotte et un soutien gorge en dentelles noirs. Je me rappelle de la période où je me disais que ses culottes ne devaient pas cacher grand chose. Et bien en effet, je voyais distinctement sa toison au travers, à priori assez fournie, ainsi que les mamelons de ses seins. Ma mère remarqua mon mal à l’aise.
– Il va falloir t’y faire, on a qu’une pièce pour vivre ensemble.
Elle s’approcha de moi, me prit les pizzas pour les installer sur la table, et me sourit :
– Bon sang j’ai faim ! A table. Merci d’être descendu en acheter, mais promis demain je te prépare un bon repas.
– Je te laisserai un peu d’argent pour faire les courses.
On mangea assez rapidement en regardant la télé. Ma mère resta assez songeuse, je lui parla un peu mais elle répondit évasivement, la tête un peu ailleurs.
Je me coucha le premier, et prit un livre (une habitude qui m’aide à m’endormir). Ma mère termina de se brosser les dents et me rejoignit. Ca me fit un peu bizarre de la voir entrer dans le lit, mais bon on s’y était préparés psychologiquement. Assise dans le lit, elle dégrafa son soutien gorge pour mettre ses seins à nu.
Elle posa son soutien gorge par terre du coté de son lit, puis s’allongea, me regarda lire un moment, et se tourna vers moi.
– Heureusement que je t’ai. C’est toi l’homme de la famille maintenant.
Je la regardais sans rien dire. Elle se colla contre moi. J’avais ses seins contre ma peau, l’un sur mon coté, et l’autre doucement posé contre mon torse.
– C’est toi qui prend soin de moi maintenant. Ton père nous a abandonné. Et je n’ai pas toujours été très gentille avec toi.
Je regardai ma mère.
– Je le sais. Parfois je m’enervais contre toi. Parce que je n’étais pas heureuse. Excuse moi.
– C’est bon, ce n’est pas la peine d’en parler maman.
– Tu prends soin de moi, si tu veux je peux prendre soin de toi.
Il y eu un long silence. Je sentis que du coup ma mère était mal à l’aise. On ne dit rien pendant un long moment. On ne se regardait pas non plus.
– Heureusement que je t’ai. C’est toi l’homme de la maison.
En disant ces mots à voix basse, elle se frotta doucement contre moi. Je sentis la pointe de ses seins se durcir. Ca me faisait tellement bizarre de me dire que c’était ma mère. La femme que je respectais le plus au monde. Mais également la première femme pour laquelle je m’étais branlé. Je ne pouvais lutter contre l’érection qui me prenait. Ma mère se redressait doucement, continuant de frotter ses seins contre moi, et amena un de ses seins à ma bouche. Elle le présenta et appuya, mécaniquement j’ouvris ma bouche pour accueillir ce sein, et me mit à le sucer. Ma mère gémit un peu, et je sentis sa main passer sous mon pyjama. Elle saisit ma queue, et commença à me branler.
– Laisse toi faire, me dit-elle, détends toi, tu as mérité tout ça.
Je fis le vide en moi. Je sucais le sein de ma mère, qui au bout d’un moment me présenta l’autre à la bouche. En même temps, elle me branlait, tenant mon sexe de sa main entière, à une cadence régulière.
Au bout d’un moment, je ne saurai dire combien de temps, elle se redressa un peu, me regarda. Je contemplais ses seins et son sourire doux. Elle s’allongea sur le dos, lacha mon sexe un instant, et descendit sa culotte.
Malgré mes 18 ans, c’était la première chatte que je voyais en vrai. J’en avais vu en photo ou en vidéo, mais ce n’est pas pareil. Et il fallait que cette première chatte, ce fut celle de ma mère. Elle avait une belle toison brune.
Elle saisit à nouveau ma queue et se remit à me branler, un peu plus vite cette fois-ci. De me faire branler en voyant ma mère entièrement nue juste à coté de moi, je sentais que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps.
– Touche moi si tu as envi, me dit-elle. Si tu ne veux pas ce soir, ce sera demain. Ou le jour suivant. Quand tu voudras. N’ai pas peur de me toucher. Je veux que ça te fasse plaisir d’être avec maman. Je veux te donner au moins ça.
Je n’osais la toucher, mais je me redressais un peu pour la contempler. C’était ma mère, evidemment, le visage, son sourire, ses yeux. Mais quand je descendais mon regard, je découvrais son corps, ses seins genereux, ses mamelons durcis que je venais de lécher, son ventre et ses formes feminines, et sa toison, sa chatte, ce sexe qui m’attirait, et qui me faisait un peu peur également. De savoir que c’était ma mère, je savais que cela était complètement tabou.
– Tu me trouves belle ? demanda ma mère. Tu aimes mes seins, ma chatte ?
D’entre ma mère prononcer mes mots me fit jouir. Elle cessa de branler ma queue, tandis que j’arrosais son ventre et son sein droit. Un premier jet vraiment important, qui apergea copieusement son ventre, au dessus du nombril, et deux autres petits jets, qui allèrent gicler sur son sein droit.
– C’est chaud… Je t’aime… me dit-elle.
On resta allongés l’un à coté de l’autre, sans dire un mot. Puis ma mère tira la couverture sur elle, et eteignit la lumière. Elle s’endormit rapidement, couverte de mon sperme.
Je m’endormis vite aussi.
Sentant qu’une nouvelle vie s’ouvrait à moi.

(à suivre)

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